Visite Au Musée De L'Érotisme
Visite au musée de lérotisme
Cela faisait longtemps que je voulais amener Chantal visiter le Musée de lérotisme. Jy étais allé à différentes occasions de vernissages avec un pote. Cette après midi daout, il y a vraiment peu de visiteurs, surtout quil faisait beau sur la ville. Je ne me souviens plus à quelle occasion nous nous y sommes retrouvés mon épouse et moi.
Un caissier nous délivre des tickets dentrée. Nous sommes apparemment les seuls à visiter.
Au premier étage on trouve une exposition de toiles de peintres de femmes nues. Chantal naime pas beaucoup. On sattarde devant une toile montrant une femme nue jusquà la taille et quun homme, son mari ou ami peut-être, exhibe à un groupe de personnages assis dans un salon luxueux. Au deuxième étage on est seuls également. Pas pour longtemps car japerçois soudain un visiteur isolé. Je suis contrarié car je projetais de mamuser avec Chantal.
Il est apparemment en admiration devant une vitrine dans laquelle on aperçoit des figurines représentant des scènes érotiques. Je laisse Chantal regarder les photos aux murs. Absorbé par des photos montrant des scènes fétichistes, je la perds de vue. Quand je la retrouve elle sapproche fortuitement de linconnu. Je la laisse seule. Je me fais des plus discrets.
Ce type doit aimer le sexe et la présence dune femme dans ce lieu ne peut quattirer son attention et même susciter son intérêt.
Chantal est jolie ce jour là. Il fait beau, elle porte une jupe de coton rouge légère qui lui arrive à mi cuisses et des petites chaussures à talons courts rehaussent ses jambes fines et nues. Elle a enlevé son blouson quelle porte à son bras car il fait encore plus chaud dans les étages. En haut elle porte son pull bleu léger en cachemire, décolleté en V sans soutien gorge. Ses seins se dessinent bien et pointent légèrement sous le vêtement. Elle est sexy.
Elle est très détendue même si certains objets ou images la troublent ou lénervent.
Elle a bien repéré le nouveau venu mais elle ne lui prête aucune importance et sa présence na pas lair de la gêner. Lhomme aussi, apparemment, la repérée car il semble rester sur place pour lattendre. Il est planté devant ses figurines.
Bien entendu Chantal arrive à sa hauteur. Discrètement elle regarde les figurines. Elle a lair elle aussi de les trouver intéressantes. Comme les vitrines ne sont pas très larges, elle sest ment rapprochée de linconnu. Il lève la tête, la regarde et lui adresse un sourire discret auquel elle répond poliment. Tous deux replongent dans la contemplation des figurines.
Je mécarte pour la laisser seule. Je vois que soudain linconnu la regarde en coin, et jimagine, comme elle se penche au dessus de la vitrine, quil tente de lorgner dans le V du pull pour essayer de voir ce quil y a dedans ! Il insiste même au point de ne plus regarder la vitrine. Chantal ne saperçoit de rien, les yeux sur les objets exposés. Cette image me trouble. Cela mexcite de savoir quelle intéresse un autre homme. Je sens soudain comme une pression sur ma queue.
Lhomme reste très près de Chantal, à la toucher. A un moment il sécarte pour la laisser se déplacer devant la vitrine. Il lui adresse la parole, elle le regarde mais ne répond pas. Têtu, il revient à la charge avec un large sourire et cette fois elle lui répond. Je nentends pas ce quils disent.
Ils échangent même maintenant quelques mots et je comprends quils partagent leurs impression sur les figurines. Chantal séloigne.
Ce jeu mexcite de plus en plus, je décide de la laisser seule.
Evidemment, lindividu la suit. Il lui désigne une statue posée au milieu de la pièce et semble lui expliquer quelque chose. Chantal, attentive, lécoute, souris et même se met à rire. Incroyable ! Elle se laisse draguer.
Ils poursuivent la visite ensemble. Je deviens mateur. Chantal me jette un regard et je lui adresse un sourire rassurant.
Je les vois qui sympathisent de plus en plus.
A un moment je le vois la prendre par la taille, lattirer à lui et pointer sa main vers un objet précis, elle ne réagit pas. Comme ils continuent leur visite, il la maintien toujours. Elle se dégage bien une première fois, mais comme il revient et insiste, séduite, elle se laisse aller.
Cette fois je bande, la jalousie me tenaille et mexcite en même temps.
Ils sengagent vers lescalier pour monter à létage supérieur. Comme elle passe devant je le vois qui mate ses jambes. Son déhanchement fait danser sa fine jupe. Elle est vraiment excitante.
Ce type jeune et plutôt beau mec, la séduite, elle moublie complètement. On est toujours seuls dans létablissement.
Je les suis à distance et quand jarrive au dernier étage, je ne les vois pas tout de suite. Dans cette salle, il y avait une exposition de photos de bondage. Des femmes attachées, photographiées dans toutes les positions. Chantal à plusieurs reprises mavait dit son aversion pour ce genre de pratique.
Je reste caché dans lescalier en essayant de les voir. Jentends son rire dans un renfoncement de la pièce. Je mapproche silencieusement. Il la prise dans ses bras, lenlace et tente de lui voler un baiser. Elle me cherche du regard, se dégage sans me repérer.
Il la ratt, continue à lui parler tout en lui montrant des photos de plus en plus obscènes. Chantal rit de plus belle. Ma jalousie me faisait trembler.
Je décide de lui faciliter la tâche. Je me découvre mapproche deux pour dire que je redescends pour regarder un film ancien. Elle acquiesce sans hésitation, le gars est collé à elle et la tient toujours par la taille. Elle na pas bougé, restant enlacée devant moi. Jétais cocu.
Bien sûr au lieu de descendre je me cache dans un renfoncement de la salle.
Ils se sont arrêtés devant un mannequin uniquement vêtu dune guêpière rouge et de bas noirs. Ses seins sont nus.
Le gars essaye à nouveau de lembrasser promptement sur la bouche. Elle esquive. Et quand il veut à nouveau lenlacer elle se dérobe encore, mais mollement.
Dans un coin de la pièce, sur un petit guéridon, il y a des objets de bondage exposés. Une paire de menottes, une corde, un collier et des bracelets de cuir reliés par uns chaîne. Au dessus, un tableau accroché au mur montre une femme attachée par les poignets à une chaîne reliée à anneau fixé au plafond. Elle est tiraillée vers le haut si bien que seules ses pointes de pied touchent le sol. Chantal parait perplexe, il lui parle.
Soudain, elle pose son blouson et prend en main les bracelets pour les voir de plus près. En souriant elle sen passe un au poignet droit. Son complice sest approché delle, et lui a passe lautre bracelet. Puis en riant il les serre aux poignets. Chantal a maintenant les mains liées. Elle rit et son visage est devenu écarlate. Lhomme sécarte pour la contempler. Il a lair excité ! Il a dû lui proposer de poursuivre car je la vois qui lui fait un signe de tête dassentiment. Alors le type se saisit de la corde, lattache à la chaîne qui relie les deux bracelet, lattire à lui et tente à nouveau tenter de lui voler un baiser.
Il a approché son visage très près. Il marque une pause. Ils se toisent, leurs lèvres séparées de quelques centimètres. Leurs deux visages sont tendus, sérieux, les yeux dans les yeux. Quand il veut lui saisir sa bouche, Chantal détourne encore la tête puis elle éclate de rire, conquise. Elle lui tend ses mains pour linciter à continuer le jeu.
Doucement il lentraîne de lautre côté de la pièce. A cet endroit, au plafond est suspendu un solide anneau.
Je comprends : elle veut reproduire le tableau ! Il monte sur une chaise pour passer la corde dans lanneau puis, lentement il tend la corde pour hisser les bras de Chantal qui se retrouve en un instant suspendue au plafond par les bras.
Dans cette position Chantal ne peut plus bouger au risque de perdre son équilibre. Elle est prisonnière. Elle rit mais elle comprend quelle est à la merci de cet inconnu. Il attache lautre bout de la corde à un crochet au mur. Ainsi étirée, Chantal découvre son ventre et une bonne partie de ses cuisses pas loin de la culotte.
Doucement linconnu sapproche delle et lui parle. Visiblement elle nest plus daccord car je la vois dire non de la tête. Mais il doit la rassurer car elle se met à rire.
Il passe derrière elle, la saisit aux épaules et la faite tourner un tour sur elle même sans quelle puisse émettre une quelconque résistance. Elle était bien suspendue. Si elle avait voulu à ce moment elle pouvait toujours mappeler. Mais visiblement la situation ne doit pas trop leffrayer.
Il se saisit du bord de la jupe quil soulève pour lui mater les fesses : ça devient hard. Je nen peux plus, je sors ma bite et lentement je me caresse.
Chantal porte une petite culotte blanche en coton, très évasée qui lui découvre une large partie de ses fesses. Lhomme regarde sans toucher en contemplation et il a compris que cela devait être humiliant pour cette femme de se sentir exhibée, impuissante. Elle se plaint car aussitôt, il laisse retomber le tissu sur les fesses presque nues. Il lui fait refaire un demi tour. Elle ne rit pas mais semble accepter la situation. Cela me pique à nouveau dans ma jalousie : ma tendre épouse se laisse voir le cul par un inconnu sans vraiment protester !
Ils sont à nouveau nez à nez. Il sapproche delle et lui prend le visage dans ses mains pour lattirer à lui. Elle se débat mollement en détournant la tête pour refuser le baiser quil tente encore de lui voler. Très vite sa résistance est vaincue, impuissante quelle est à se défendre ainsi suspendue. Les yeux grands ouverts elle semble lui demander de ne pas r. Puis elle se tait et je la vois qui respire de plus en plus vite, certainement excitée par la situation. A aucun moment elle ne semble sêtre inquiétée de moi ni de ma possible venue. Ma jalousie était à son comble et je suis au bord de léjaculation. Joublie que je suis en un lieu public et quon peut me surprendre à tout moment en train de me branler.
Quand il pose ses lèvres sur les siennes, elle ferme les yeux, leurs bouches sentrouvrent pour échanger leur baiser.
Ils sembrassent pleine bouche maintenant et de ma cachette je vois nettement leurs langues se mêler.
Labandonnant, il séloigne delle de quelques mètres pour la regarder, la contempler encore. Il lui sourit gentiment, presque tendrement. Visiblement il est également sous le charme. Trente minutes plus tôt, ils ne se connaissaient pas !
La jupe remontée presque en haut des cuisses sur les jambes nues, le pull découvrant son ventre, elle est presque nue sous les yeux de son voyeur. Elle le regarde droit dans les yeux comme par défi. La fine laine du pull en Cachemire dessine le galbe de ses seins dont on voit clairement les bouts pointer sous le fin tissu. Elle serre les cuisses comme pour se protéger des regards de linconnu.
Lentement il se rapproche delle, silencieux. Il la sait à sa merci. Doucement il soulève le bas du pull découvrant ses seins qui apparaissent blancs au milieu de la pièce abondamment éclairée. Il les contemplent dabord puis il en saisit les bouts entre ses doigts pour les faire rouler. Aussitôt, ma femme qui aime cette caresse, se met à se contorsionner, en équilibre précaire. Elle adore se faire bander le bout des seins, aussi elle tend sa poitrine vers la bouche qui maintenant la suce. Puis lhomme se met à les pétrir sans douceur. Il est très excité.
Il lui reprend la bouche et à nouveau sempare de sa langue. Chantal halète si fort que je lentends de ma cachette. Elle prend vraiment son plaisir.
Abandonnant ses seins il a passe une main sous la jupe pour la placer entre ses cuisses et la toucher au sexe. Elle se contorsionne de plus belle sous la caresse. Elle est rouge écarlate et elle respire de plus en plus, oubliant où elle se trouve sous lemprise de la main qui la fouille. A un moment, je lentends sans vraiment de conviction, dire quil fallait arrêter car je pouvais revenir.
Mais lhomme maintenant nécoute plus, il est tout à son plaisir. A la position que prend son bras, jimagine facilement quil lui fouille le ventre sans retenue et elle prend du plaisir à se faire branler.
Sa respiration saccélère, elle geint de plus en plus fort. Elle pousse maintenant des petits cris quelle étouffe pour ne pas crier. Lhomme la doigte avec vigueur tout en lui suçant les seins. Moi je nen peux plus. Ma queue dure comme du bois, me faisait mal. Un mélange dexcitation et de jalousie mélangé à de la honte. Caché, je me branle en regardant ma femme se faire besogner par un inconnu qui a réussi à lattacher pour la soumettre à ses désirs !
De son autre main, il lui pelote le cul sous la jupe et la presse contre lui pour bien la travailler. La bosse dessinée à lendroit de sa barguette ne peut cacher son excitation. Le rythme de sa main cachée sous la jupe saccélère et soudain Chantal jouit en laissant échapper un cri. Je la vois alors se relâcher dans les bras de son violeur. Ils restent immobiles quelques instants pour reprendre leur souffle. Jimagine quil a dû jouir également sans se toucher.
Puis doucement il lui cache les seins sous le pull, rajuste la jupe. Il va décrocher la corde de lanneau pour libérer sa proie. Chantal est encore toute rouge. Elle remet de lordre dans sa tenue et sans un mot, reprend sa veste.
Elle a regarde linconnu dans les yeux, sapproche de lui et rapidement elle déposé sur ses lèvres un baiser chaste comme pour le remercier du plaisir quil venait de lui faire connaître.
Puis lentement elle se dirige vers lescalier pour venir me retrouver. Je nai eu que le temps de mesquiver pour aller la recevoir à létage en dessous.
On continue à regarder les objets exposés puis Chantal demande à partir. On redescend tranquillement. Au rez-de-chaussée, lhomme a rejoint le caissier qui fixe Chantal avec intérêt et insistance. Je devine facilement quil avait dû tout lui raconter. Chantal qui a compris se met à rougir de honte.
On a pris congé et sur le trottoir jai simplement fait remarquer à Chantal quelle avait fait de leffet aux deux hommes. Elle na rien dit.
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