Hélène La Visite
Hélène : La visite
Mel
Jai trouvé un boulot : je travaille comme agente immobilière dans une agence à Chevreuse.
Mon ex ma laissé de quoi vivre sans soucis, mais je nai pas envie de passer mes journées à regarder les feux de lamour, en engraissant sur le canapé. Et puis comme ça, je redeviens une femme active, à égalité avec Hélène.
Cest arrivé par hasard : je regagnais ma voiture avec ma baguette, et en passant devant la vitrine dune agence, jai vu une offre demploi. Je nai pas réfléchi, je suis entrée.
Le patron a été surpris que je me présente sans CV. Jai été franche, je lui expliqué ma période dinactivité de femme à la maison, mais je lui ai confirmé mon master décole de commerce, et je lui ai décrit mon activité professionnelle, avant mes s,
Il ma pris à lessai, et puis il ma embauché pour de bon.
Quelque temps après, il ma confié que mon allure bourgeoise BCBG, toujours en jupe, et souvent en tailleur, propre sur moi , elle, lavait intéressée car il voulait avoir parmi ses collaborateur une femme, de mon âge et de mon allure pour attirer une clientèle plus âgée et qui la mette en confiance . Et puis surtout une collaboratrice dont il espérait quelle resterait car il trouvait que son personnel était trop jeune et mobile.
En plus, il est toujours très correct avec moi. Et pour une bonne raison : un jour, il ma présenté son compagnon.
- Mélanie !
Mon boss ne mappelle que par mon prénom, jamais par mon diminutif.
- Mélanie, un couple va passer jeudi, pour acheter en Vallée de Chevreuse, vous lui ferez visiter ces trois résidences, ça nous permettra de préciser leurs gouts. Fait-il en me tendant trois dossiers.
A lheure dite, mes clients poussent la porte de lagence. Monsieur est dans les quarante cinquante ans, mais dégarni et bedonnant. Madame présente de belles formes, mais shabille comme shabillerait sa fille : boots, un jean slim, en cuir fauve, porté avec un sweat shift glissé dans le pantalon et serré par une ceinture étroite.
Jai trois maisons au programme.
Nous nous arrêtons à peine à la première. Son seul intérêt est un vaste parc, mais elle est perdue à lécart des autres habitations. Et léloignement du moindre commerce entraine son élimination
La deuxième est flanquée dun petit jardin donnant sur la rue et dun plus grand, derrière, et caché dans de hautes clôtures. Je leur fais visiter le rez de chaussée, puis je les précède au premier étage. A mi- palier, par en dessous, dans lescalier, je sens la caresse dun regard sur mes cuisses, au-dessus de mes bas, à travers dans la fente de ma jupe. A la marche suivante, je laisse remonter le tissu sur mes cuisses, et je me retourne brutalement pour foudroyer du regard ce voyeur pervers. Mais, mon visiteur est toujours en bas.
Seule, Madame a entrepris de grimper lescalier. Je me suis encore fait un film !!!
Le tour de la maison se poursuit et ils semblent intéressés.
La troisième habitation est une maison, sans jardin, en plein cur du village, sur trois niveaux.
Ce coup-ci, je les fais passer devant dans lescalier, et je monte derrière ma cliente.
On peut dire que la nature la bien pourvue. Elle pourra tomber en arrière sans risquer la fracture du coccyx. Le choc sera bien amorti.
Jen suis là dans mes pensées, quand elle se retourne, et madresse son plus joli sourire. Professionnelle, je lui souris en réponse.
Malgré tout, visiblement cette résidence ne répond pas à leur attente.
Nous nous quittons devant la porte de lagence, en échangeant des platitudes. Sans croire quils donneront suite.
Nous prenons tranquillement le café, avec Hélène quand mon portable professionnel sonne.
- Madame Crural, cest Anne-Sophie Saint-Marc, vous savez jeudi dernier, la visite des trois maisons.
- Oui, Oui, je vous remets, Madame Saint-Marc.
- Je voudrais visiter à nouveau la deuxième maison. Cest possible.
- Bien sûr, jeudi après-midi, ça vous va.
- Cest daccord.
- Mais je nai pas de voiture.
- Je vous attendrai à la gare, ou plutôt au café en face.
- Merci beaucoup, alors à jeudi, Madame Crural. Et elle raccroche.
Hélène et moi finissons de déjeuner au bistrot de la gare. Nous avons organisé notre repas pour quil se termine un peu avant larrivée de ma cliente. Je laccueillerai au bar, comme ça ma belle maitresse pourra lobserver de la salle.
Elle a renoncé au look ado, et sest habillée bourgeoisement : un bel ensemble rouille, jupe droite au genou, veste doudoune assortie, et tee shirt en micro fibres de même couleur que le reste, ajusté sur une belle poitrine ronde, foulard Hermès, jambes gainées de brun doré et talons de six centimètres. Bref une mise bien bourgeoise, à lopposé du look de la dernière fois
Nous nous serrons la main et je la retiens juste le temps pour ma chérie de lobserver.
Puis je lentraine vers ma voiture et lui ouvre la porte. Elle sassoie. Jen profite pour mater, mais je dois me contenter de la vision de ses genoux, bien ronds mais un peu forts.
Nous repassons dans le petit couloir, quand elle pivote brusquement, et me rentre dedans.
Excusez-moi !!!
Nous sommes quasiment coincées lune contre lautre. Elle a le souffle court, sa poitrine un peu forte se soulève au rythme de sa respiration précipitée.
Elle tremble, elle lève sa main et la glisse derrière ma nuque pour mincliner. Je me laisse faire. Elle pose ses lèvres sur les miennes, elle pousse sa langue, je mentrouvre, et elle lintroduit dans ma bouche. Elle membrasse, mélangeant nos salives.
Je la prends par la taille et lattire contre moi. Nos bouches se lient pendant un long baiser lesbien.
Nous nous séparons. Elle me fixe, les yeux brillants. A voix basse, presque un murmure.
- Vous aimez les femmes. Me demande-t-elle.
- Non, je nen aime quune. Lui réponds-je.
Elle baisse les yeux, frissonnante.
- Désolé, jai cru...Je me suis trompée
Excusez-moi
Je prends sa main, elle croise mon regard.
- Venez, il y a un canapé, avec une housse dans le salon. Fais-je en lentrainant
Je assois, rabattant les pans de ma large jupe sur mes genoux. Je la laisse debout
- Déshabillez-vous, mettez-vous en dessous.
- Mais
- Allons, cest bien ce que vous vouliez, nest-ce pas ?
- Euh
.Oui
- Alors, ne trainez pas, je veux vous voir.
Elle pose sa veste, puis elle puis elle fait glisser son haut au-dessus de sa tête. Sa poitrine imposante est contenue dans un bustier à coques emboitantes. Elle descend la glissière de sa jupe, puis le fait glisser le long de ses cuisses en se tortillant pour lui faire passer sa croupe opulente. Elle se retrouve en string, soutien-gorge et bas auto-fixant. Cest une belle mature, solide à peau claire, forte en cuisses, en fesses et en hanches, aux seins lourds en forme de demi-bol.
Une fourrure abondante, châtain claire déborde de son slip.
- Vos mains derrière la tête. Ordonne-je. Puis je poursuis.
- Vous nêtes pas si mal foutue. Et puis vous avez mis des bas.
- Oui, jai vu que vous en portiez, la dernière fois, dans lescalier
- Ah cest vous ce regard indiscret qui a glissé sur mes cuisses. Un instant, jai cru que le voyeur, cétait votre mari.
- Vous ne risquez rien avec lui, il ne regarde plus que les nymphettes.
Pendant un instant, je retourne à mon triste passé. Et jai un petit éclair de sympathie pour elle. Mais je décide de rester dans mon rôle.
- Vous devriez mettre un porte-jarretelle, ça vous éviterez dêtre serrée aux cuisses, ça les boudine. Et je continue.
- Et quelle idée de mettre un string.
- Je ne voulais pas avoir de marques !
- Alors ne mettez pas de slip !
- Mais
- Pas de mais, enlevez moi ces bouts de ficelle, et agenouillez-vous devant moi.
Elle est là, agenouillée, tremblante. Ça me rappelle le début de mon initiation par Hélène, mais je pense que jétais moins godiche quelle. Je lui prends le menton entre mon pouce et lindex, et je la fixe dans les yeux.
Cest bien ce que vous vouliez ? On continue ?
Oui, répond-elle à voix basse.
Dégrafez-vous, je veux voir vos seins.
Elle sexécute. La nature la très bien dotée : ses nibards tombent un peu, ils sont ronds et lourds avec de larges auréoles brunes et grumeleuses, avec des bouts comme mes phalanges.
Je les soupèse, japprécie leur poids dans ma paume. Elle commente.
- Je ne les aime pas, ils sont trop gros
- Vous avez tort, je les trouve magnifiques et si appétissants. Et je poursuis
Vous allez poser vos mains sur mes chevilles et remonter jusquà ma lingerie, et vous me lenlèverez.
Enlever quoi ?
Ma culotte, bien sûr.
Sa caresse sur mes cuisses me fait frissonner. Elle glisse ses phalanges entre ma peau et la soie et la tire.
Je me soulève légèrement, pour faire passer mon linge, jusqu à mes chevilles, puis je mouvre légèrement.
- Troussez-moi !
Elle repousse ma jupe et dévoile mon ventre jusquà mon nombril. Elle découvre mon sexe annelé et surtout ma plaque accrochée à ma petite lèvre.
- Surprise ? Et je continue
- Approchez-vous, et lisez !!!
- Hélène ! Cest le nom de votre amie.
- Oui, cest une vraie amie, mais aussi une maitresse autoritaire et exigeante. Et je continue
- Penchez- vous et embrassez- moi.
Elle pose sa bouche sur mon sexe impatient.
- Mangez-moi
Elle mobéit, elle est assez maladroite, et timide. Puis elle senhardit et mâchonne mes lèvres. Elle joue de sa langue dans les replis de ma chatte. Elle déguste ma cyprine abondante.
Je ne boude pas mon plaisir et je lencourage de petits gémissements.
Mais je dois assumer mon rôle de maitresse autoritaire. Je remonte mes jambes, dévoilant mon périnée.
- Descendez, je vous prie.
Elle lève les yeux, inquiète. Je veux la soumettre, mais pas lhumilier. Alors les mots dHélène me reviennent en mémoire. Je lui murmure.
- Sil vous plait, vous verrez, jai bon gout, et je suis très propre.
Elle se penche. Sa langue glisse sur mon périnée, puis marque un temps darrêt avant de caresser mon illet. Je mouvre. Elle hésite, puis se faufile dans mon anus. Celui-ci baille de bonheur et se déplisse.
- Plus profond !!!
Soumise, elle sexécute et ventouse sa bouche à mon sphincter. Elle mexplore, sollicitant toutes les fibres nerveuses de mon rectum.
Je laisse échapper un profond râle de gorge en me laissant glisser en arrière. Je pars en emprisonnant sa tête entre mes cuisses.
Ce nest pas un orgasme puissant comme ceux que me prodigue ma déesse en mêlant plaisir et souffrance. Mais cest bien agréable
Je reprends mon souffle, en me redressant. Elle me fixe anxieuse.
- Cétait bien
Un peu maladroit, mais bien !!!
Mon compliment lémeut plus que je my attendais. Des larmes montent dans ses yeux.
Je prends son visage entre mes mains, je lattire à moi. Et je lembrasse. Patin denfer, je fouille sa bouche, comme tout à lheure, elle a fouillé mon anus.
Nous séparons. Elle halète.
- Posez-vous en travers de mes genoux !
Elle se positionne, me tendant son pétard plantureux. Il est opulent, un peu gras, mais sans cellulite, ni peau dorange. Il est magnifique. En un instant, je décide de loffrir aux lanières de ma maitresse adorée.
Je glisse ma main entre ses fesses. Je memmêle un peu les doigts dans ses poils. Elle se laisse faire avec complaisance, et elle écarte ses cuisses, me livrant accès à sa vulve.
- Posez vos mains sur vos mains sur votre cul, et écartez-vous. Je veux vous voir.
Elle croche ses doigts dans cette chair si tentante. Son sillon et son périnée sont envahis par la même pilosité que sa chatte.
- Vous vous négligez.
- Personne ne vient plus y voir. Me répond-elle.
- Pas même un amant.
- Jai plaqué le dernier, il y a un mois, il était trop con. Il me faisait mal en me tripotant les seins. Et je nétais quun trophée pour lui.
- Faites un effort pour vous, alors !
Je glisse mon majeur et mon index dans son sexe et je la fouille. Sa respiration saccélère.
Jappuie mon pouce sur son anus, elle se crispe, et résiste.
- Vous nallez pas me faire croire que vous êtes vierge du cul.
- Non, murmure-t-elle, mais je naime pas.
- Et vos amants, ou votre mari ?
- Un amant, mais parce quil avait été bien sage et gentil.
- Eh bien, vous allez vous laisser faire. Fais-je en poussant mon doigt.
Elle se bloque et serre ses fesses autour de main. Je la décoince, et dans lélan je claque son popotin.
- Ouille, vous me faites mal.
Je la fesse encore cinq ou six fois.
- Voilà, vous allez être bien gentille maintenant.
Elle chouine et chuchote un petit oui.
Je glisse mes doigts dans sa fente. Je farfouille entre ses lèvres et pénètre dans sa vulve ruisselante.
De ma main libre, je mempare dune de ses mamelles. Je la soupèse, puis je saisis le téton qui se gonfle aussitôt. Je le serre entre pouce et index. Elle soupire. Je ne sais sil sagit de peine ou de plaisir.
Je la pistonne doucement, puis de plus en plus énergiquement. Elle halète, puis râle au rythme de mes allers retours. Je place mon pouce contre son anus et je pousse. Son oignon résiste.
Alors sans pitié, je tords son mamelon. Elle crie de douleur, mais se relâche et je passe en force sans cesser de la branler.
Elle geint, et marmonne des mots sans suite.
- Oui, oui, oui
- Branlez-moi.
- Je suis votre salope.
- Enculez-moi.
- Je suis votre chienne.
Tout un vocabulaire cochon y passe, puis elle se tait, respirant de plus en plus fort, bouche ouverte.
Puis un râle sourd et elle spasme violement, se crispant tellement quelle broie mon pouce.
Elle sécroule en travers de mes jambes.
Doucement, je la redresse et je la câline.
Elle se cramponne à moi, puis se jette sur mes lèvres et viole ma bouche.
Nous restons liées par nos langues une éternité.
- Allez, il faut se rhabiller. Fais-je en la repoussant.
Elle me laisse à regret et entreprend de rassembler ses vêtements. Jen profite pour admirer son corps pulpeux et je jauge le plaisir que je pourrais en tirer.
Elle boucle son soutien-gorge, puis enfile son haut. En me tournant le dos, elle enjambe sa jupe de cuir et la remonte sur son splendide croupion rosie par la fessée.
- Ouille, ouille.
- Pauvre chérie. Ça vous apprendra à vous jeter à la tête de la première venue.
- Vous mavez fait un peu mal, mais cétait bon quand même. Vous mavez dévastée
Cette dernière réplique me provoque un flash intérieur.
- Agenouillez-vous sur le canapé
Et je farfouille dans mon sac. Jy trouve un bijou, pas trop gros, mais suffisamment lourd pour lusage auquel je le destine.
Je lui montre.
- Vous savez ce que cest.
- Oui, quand même, je ne suis pas une oie blanche
- Ouvrez la bouche, Et jy plante lolive métallique du leurre.
- Salivez bien, il faut bien le lubrifier. Et je conclus.
- Cest bon, rendez le moi.
Je passe derrière elle.
- Troussez-vous, et ouvrez-vous à deux mains
Je pose la petite pointe ovale sur loignon de la belle.
Il se contracte. Je lui claque la fesse gauche.
- Il faut que je recommence.
- Non, non, je serai docile.
Je pousse. Le sphincter résiste, Alors elle respire un grand coup et tire sur ses fesses. Je force. Et il passe, ne laissant plus que sa corolle apparente.
- Aie !!!
- Cest bon, il est rentré.
Elle se remet sur pied, et fait descendre sa jupe en ondulant du croupion.
- Ça fait bizarre, mais ce nest pas désagréable.
- On continue la visite, ou on sarrête.
- On arrête, vous pouvez me raccompagner au RER.
Je range la voiture devant la dépose rapide de la gare. Son train est dans cinq minutes. Nous descendons. Je lui tends la main. Elle la prend et la garde. Elle tremble légèrement.
Le bijou ? Me demande-t-elle
Oui ? Fais-je.
Elle poursuit dans un murmure.
Jen fais quoi ?
Vous pouvez le garder, dans un tiroir secret de votre table de nuit, ou le mettre à la poubelle, ou
Et je laisse la suite de mon propos en suspens.
Ou ? Minterroge-t-elle avec une toute petite voix
Vous pouvez aussi décider de passer me le rendre.
Oh, je ne sais pas.
Vous connaissez mes gouts. Alors appelez-moi. Puis je continue.
Votre train est là, il faut y aller. Et je lâche sa main.
Elle se détourne, et séloigne vers le quai. Jaurais juré quelle avait retenu quelques larmes.
Deux semaines, après cette péripétie, nous prenons le café chez Hélène quand mon portable professionnel sonne. Lappel est identifié : Anne Sophie !!!
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