Rencontre À La Plage
Thierry, beau jeune homme de vingt cinq ans, et son épouse Amandine , pulpeuse blonde de vingt deux ans, vont passer leurs vacances , dans leur coquet appartement situé en bord de la mer. Ils décident d'aller y passer le week end, afin de tout installer, et surtout profiter de la plage. Il fait un temps caniculaire. Une fois le nettoyage terminé, ils estiment avoir le droit de faire un petit somme sur le sable. Il est treize heure. Ils ont prévu de rentrer vers dix huit heures.
Amandine est magnifique, campée sur ses talons compensés, qui font ressortir ses seins
nus. Farrah Fawcet quand elle avait vingt cinq ans. Les regards se tournent sur son passage.
Ils déplient leurs serviettes, et s'allongent. Quand Amandine se réveille, Thierry sort de l'eau.
Il est quatorze trente.
-Alors mon amour, j'ai du m'assoupir, j'avais même pas remarqué que tu n'étais plus là.
Elle est bonne?
-Tu vas te régaler ma chérie. Tu sais, elle est comme tu l'aimes. Chaude comme une bite.
-Dis salaud, tu dis ça pour m'exciter. Allez, je vais faire plaisir à ma chatte.
Amandine fait une queue de cheval de ses longs cheveux blonds. Elle embrasse tendrement son mari sur les lèvres, et s'éloigne en lui adressant un sourire. C'est vrai que l'eau est à une température idéale. Elle a à peine fait cinquante mètres dans l'eau, que Thierry est tombé dans les bras de Morphée. Elle part à la nage au large, là ou c'est plus calme. La fraicheur de l'eau lui fait dresser le bout des seins.
Elle ne prête pas attention à la main qui effleure ses fesses. Un geste involontaire, pense-t-elle, comme il en arrive souvent quand il y a trop de monde. Par contre, la deuxième fois, la main a tendance à s'éterniser sur le galbe de ses hanches. Elle se retourne, et se trouve face à face avec un mec d'une exceptionnelle beauté. Cheveux bruns, yeux bleus au regard impénétrable. Un vrai mannequin.
-Ben, vous vous croyez où? faut pas vous gêner, dit-elle sèchement.
-Mais là ou il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir, Mademoiselle, sourit-il.
-Mademoiselle! Mon mari est sur la plage, reprend Amandine. Vous voulez que je l'appelle?
-Que cet homme doit être heureux, poursuit-il. Je m'appelle Abel, je suis maitre nageur.
Amandine est fascinée par ce jeune homme. Prise dans ses pensées, elle ne voit pas arriver la troisième tentative. Abel la saisit carrément par la taille, et l'attire à lui. Elle appuie ses mains sur son torse pour essayer de se dégager. Leur bas ventre sont en contact. Elle ne peut pas ne pas sentir le sexe d'Abel contre son pubis. Petit à petit, ses forces la trahissent.
Elle commence à céder. La queue, maintenant en érection, est sortie du maillot. Elle se sent attirée par la virilité de ce mâle. Elle écarte son string de bains, noue ses bras autour de son cou, ses jambes autour de sa taille. Elle a décidé de s'offrir.
-Prend moi maintenant, lui murmure-t-elle à l'oreille.
La queue pénètre d'elle même dans la chatte toute mouillée d'Amandine. Ses seins a fleur de l'eau, sautent au rythme des coups de reins d'Abel. Les lèvres se rejoignent pour un baiser charnel.
-Et ton mari, souffle-t-il. Tu l'appelles pas? Tu attends d'avoir pris ton coup de queue avant.
-Tais toi, imbécile. Tu vois pas que je préfère me le faire mettre là. Ca fait si longtemps
que je me suis pas faite prendre comme ça. Oh putain, je vais jouir. Et toi, vide toi en moi.
Pour que les cris de plaisir n'alertent pas les baigneurs, Amandine prend Abel à pleine bouche.
Son aventure érotique terminée, Amandine rejoint son époux comme si de rien n'était.
-On va pas tarder ma chérie, dit Thierry, il est déjà seize heures. Le temps de se doucher.
-Comme tu veux mon amour, c'est vrai qu'une bonne douche nous fera du bien.
En partant, Amandine se retourne, et lance un coup d'oeil au large. Un sourire éclaire son visage.
Une fois dans la salle de bains, Amandine se pend au cou de son mari, comme si elle avait quelque chose à se faire pardonner.
-J'ai réfléchi à un truc ma chérie. Pourquoi tu resterais pas ici. Tu sais, dans une semaine
je suis là. Ce soir, il y a une fête avec feu d'artifices sur la place, tu pourrais aller y prendre
un verre.
Amandine avait envisagé cette éventualité, mais n'aurai jamais pensé que son mari le lui propose.
-Hé, tu veux qu'on me drague, ironise-t-elle. Non, tu me vois sortir sans toi.
Il est dix huit heures quand Amandine accompagne Thierry à la voiture. Ils s'embrasse amoureusement.
Après un repas léger, Amandine s'installe sur le canapé, dans sa tenue favorite. toute nue.
Elle se revoit en train de se faire prendre par Abel. finalement, elle décide d'aller faire un tour à la fête. Il est vingt trois heures. Elle enfile minijupe, petit bustier, et chaussures à talon hauts compensés.
Arrivée sur la place, Amandine fait le tour de la piste où se trouve l'orchestre, et se rend à la buvette, en jetant un regard circulaire. A la recherche d'une connaissance peut être.
-Deux babys s'il vous plait, dit Abel.
Amandine reconnait la voix. Elle se retourne, et ne peut s'empêcher de lui adresser un sourire. Ils trinquent, puis il l'invite à danser. Elle passe ses bras autour de son cou, lui autour de sa taille. Il lui murmure tendrement à l'oreille. Elle sourit, puis hoche la tête dans un signe affirmatif. Il l'entraine derrière la scène, et la cloue contre un platane. Il lui prend les lèvres. Le baiser est sulfureux.
Lentement, Abel glisse le long du corps d'Amandine. Il lui embrasse les cuisses. Avec deux doigts, il écarte le string, et caresse la chatte déjà humide. Puis, doucement, décalotte le clitoris. Il avance son visage, et force la fente avec sa langue. Amandine lui maintient la nuque en gloussant de plaisir. Elle sent le bout de ses seins durcir. Elle pose un pied sur un caisson pour mieux s'écarter, et s'offrir à son bel amant. Elle tend son bassin pour que la langue la pénètre davantage.
-Ha...comme tu me suces salaud...que c'est bon...ha..oui..tu vas me faire jouir tu sais..
Vas-y, bois la mouille de ma petite chatte. ha..oui..ça y est...je joui...s'il te plait..viens
passer la nuit avec moi.
Dans le lit, c'est un combat de titans. Un coup, il est sur elle. Un coup, c'est elle qui est empalée sur lui. Ils ont une endurance peu commune. Les seins, la chatte, le petit trou, le clitoris, les couilles, la queue sont mis à rude épreuve.
-Tu vas abandonner oui, soupire Amandine. Enfoiré, tes couilles sont pas vide encore.
-Et toi, petite pute, quelle santé. Tu baises toujours comme ça? Ton mec doit se régaler.
-Mais ça va pas, c'est la première fois qu'on me nique comme ça. C'est même la première
fois qu'on m'encule. Si mon mari savait ça. C'est toi qui m'excite salaud. Tu te rends compte
que tu m'as tirée toute la nuit. Tu as pas arrêté de me faire jouir. Ha..je viens encore, oui..
oui..vas-y...oh ma petite chatte...qu'est-ce-qu'il t'a fait ce voyou..il t'a bien donnée, hein?
Tu t'es régalée salope..faudra pas le dire.....ha...hum..ça c'est de la baise...Mon dieu, quel
amant merveilleux tu es. Je suis seule toute la semaine, tu peux passer me niquer toute
les nuits si tu veux, dis oui, allez.. Je te taillerai des pipes comme jamais on te taillera.
-Ah, vu sous cet angle, ironise-t-il, comment refuser.
Il est six heures du matin quand ils prennent une douche, et changent les draps.
Câlinement, Amandine s'endort, blottit dans les bras d'Abel.
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