Le Garagiste Pervers

Elle m'avait déposé sa voiture pour une panne...et était venue la chercher un soir...J'allais fermer. Une bourgeoise, l'air d'une sainte nitouche, une petite quarantaine...Timide et terriblement bandante pour un pervers comme moi.
J'avais fermé...Je sentais que cela l'inquiétait...puis l'avait entrainée dans le bureau.. C'était l'été, j'étais juste en salopette, elle en robe légère...Elle regardait mon torse velu à la dérobée, mes épaules larges et mes bras musclés. J'essuyais mes mains sales avec un torchon et lui dit
- Ma p'tite dame, va falloir y passer maintenant...
Elle rougit...
- Pardon ?
- Ben oui, va falloir passer à la caisse...dis je en la regardant avidement…
Elle s'assit, fouilla dans son sac...continua à fouiller...ne trouvant pas ce qu'elle cherchait...
- Y a un problème ma p'tite dame ?
- Je...je crois que...que j'ai oublié mon chéquier, balbutia t’elle…
- Eh ben voyons... On me la fait pas ma p'tite dame...
- Mais vous me connaissez...Vous savez que je vous paierais...J'ai besoin de ma voiture...Je dois aller voir ma mère...Elle est malade...
- C'est hors de question...Pas de sous...pas de voiture...
- Oh non, s'il vous plait...Je dois vraiment aller la voir...
Des larmes apparaissaient dans ses yeux...Je commençais à bander...Je m'approchais d'elle et l'a pris par le bras...MMM...sentir sa peau douce et tendre..
- Lève-toi...
Elle me regarda, éberluée par le tutoiement et la fermeté de ma main qui l'obligeait à se lever...
- Mais, Monsieur...
Je l'attirais contre moi...Je fais 1m82 et avait le ventre plat à l'époque..
- Tu as fait exprès de venir sans ton chéquier hein ?
- Non, je vous jure...J'ai changé de sac avant de partir et n'est pas pensé à vérifier..
Je sentais ses seins contre le haut de mon ventre...Ma queue commençait à durcir contre le sien...Je vis dans ses yeux affolé qu'elle me sentait bander contre elle.

..affolée...
- Tu veux vraiment ta voiture ?
- Euh....oui...non...lâchez moi...vous allez me salir...
La prenant par les épaules...Je la retournais et la poussais en avant vers le bureau...Toujours collé à elle, je sentais ses fesses charnues et encore fermes contre le haut de mes cuisses...Ce fût le déclic...Je ne pouvais plus m'arrêter....Il me la fallait...
Elle heurta le bord du bureau avec son ventre...
- mais enfin Monsieur, lâchez moi...Que faites-vous...Pour qui me prenez vous...
- Allez laisse toi faire...pense à ta maman malade..Je ricanais...penche toi en avant...
Je me décollais d'elle...Et lui donnais une claque sur les fesses...
- Penche toi en avant je te dis...
- Non s'il vous plait....Je suis mariée...Je n'ai jamais...Vous comprenez...S'il vous plait...Laissez moi partir..
D'une poussée dans le dos, je la forçais à se pencher en avant sur le bureau...
- Aie..Oh non ! Ne me faîtes pas mal...
Je saisis le bas de sa jupe à 2 mains et la retroussais sur ses reins légèrement cambrés. Sa culotte apparut. Ce n’était pas une culotte sexy...Non une large culotte en coton qui couvrait bien son cul de femme mariée et sage...
- Oh ! Non ce n'est pas possible...Laissez moi...
Elle avait des fesses assez grosse avec de la culotte de cheval en haut des cuisses...Pas un cul de mannequin...mais un vrai cul de femme...bien en chair..
Tétanisée, toujours appuyée à mon bureau, elle ne bougeait pas...Je ne devais pas la laisser se reprendre..Je baissais rapidement sa culotte, dévoilant ses fesses grasses et toutes blanches contrastant avec le reste de son corps légèrement bronzé...La culotte tomba à ses chevilles encore serrées..
- MMM...tu sais que tu as un joli cul...ton mari doit se régaler avec, le salaud !
Je commençais à lui malaxer les fesses...Mes doigts s'enfonçant dans la chair un peu molle...
- Oh ! Lâchez-moi ! Vous ne devez pas....S'il vous plait !
Je lui donnais un coup de pied sur l'intérieur de la cheville.
..
- Ecartes les jambes, poupée...Dépêche toi...
- Non ! Je ne veux pas...Vous êtes un cochon...Je me plaindrais...
Mais elle dégagea docilement sa cheville de la culotte et écarta un peu les jambes..Je glissais une main dans la raie de ses fesses...descendant vers son entrecuisse...De l'autre main, fébrilement je sortais ma queue. Je bandais comme un taureau à la vue de ce cul blanc et offert...
- Je suis sûr que ton mari adore te prendre comme cela...et que cela te fait jouir...Tu vas voir..J'ai une belle et grosse queue pour toi..
- Oh non ! Vous êtes fou...Jamais, il n'oserait...Laissez moi...J'ai honte...Vous voyez mes...
J'appuyais sur sa nuque...L'obligeant à allonger le buste sur la table...faisant s'ouvrir son cul de femme fidèle. Je glissais ma bite dans la raie...me frottant entre ses 2 fesses....MMM...C'était une sensation délicieuse...J'allais la prendre...Là sur le bureau...Je profitais de ce moment unique...
- Tu sens comme j'ai envie de toi poupée ? Tu sens l'effet que tu me fais ?
- Oh ! Non ! Vous êtes....trop gros...C'est si dur...Vous n'allez pas...avec çà ! Oh non...Ne me violez pas !
Prenant ma bite d'une main, je passais mon gland violacé dans sa raie....effleurant au passage son anus..Cherchant l'entrée de sa chatte poilue...
- Vous n'êtes qu'un cochon ! Qu'un pervers ! Jamais personne...
Je sentis ses lèvres au bout de mon gland et d'un léger coup de reins le plantait !
- Oh non....Mais vous allez vraiment..Non ce n'est pas possible...
Elle tenta de monter sur la table pour m'échapper...Mais je la tenais bien...et la retirais vers moi...vers ma bite appuyée à sa chatte...tout en donnant un violent et long coup de reins...
-oooooooooohhhhhhhhh..........AAAAAAAAAHHHHHH........
C'était merveilleux....Je sentais ma grosse queue s'enfonçant inexorablement. Elle était étroite...Elle me comprimait merveilleusement la bite...Ses chairs intime étaient douces...et humides.
..
- Arrêtez...Vous êtes trop gros...Vous me faîtes mal...Oh Mon dieux ! Oh non...
Continuant ma poussée, je finis par buter au fond de son ventre...Je sentais ses fesses contre mes poils...Je la tenais aux hanches et ne voyait plus ma bite profondément enfoncée..
- Oh si Jacques savait....Oh que j'ai honte...
- Tu es toute mouillée....Toi aussi tu es une cochonne...Tu aimes cela hein ?
Je me retirais lentement puis commençait à la besogner sur le bureau...
- Non...Vous mentez...Je ne ....Je...
Ses fesses tressautais sous mes coups de reins....Sa chatte s'ouvrait...se lubrifiait pour mieux m'accueillir...C'était merveilleux...J'accélérais la cadence...
- Cà te changes de la bite de ton mari...Tu ne connais que la sienne hein ?
- Oh...Oui...Je ne...
Secouée par mes coups de reins, elle avait du mal à parler...mais visiblement, elle avait envie de raconter...
- Oh ! Je ne savais pas....Vous êtes...Un cochon...avec votre gros....machin...Oh non ! Vous allez trop loin...Oh mon dieux Jacques....Il me prend....Je n'ai rien pu faire...Oh non...
Elle coulait littéralement sur ma bite maintenant...Elle tremblait...les mains crispées sur le bureau...venant à la rencontre de ma queue...C'était trop bon ! Je sentais l'orgasme poindre...Mes couilles devenir dures..Il fallait que je me retienne encore...Elle continuait à parler à son mari..
- Jacques....Je ne voulais pas...Il me viole...avec son ...sa....Oh, il est si gros...si fort...Oh mon Dieu...Jacques...Je crois que je vais...Oh non ! Pas avec ce pervers...Oh c'est un animal...Mais que m'arrive t'il...Que me fait il...Oh mon Dieu....Jacques....
Je n'en pouvais plus...je sentais venir un orgasme formidable...Je sentais mon sperme remonter à l'intérieur de ma queue...Je me laissais tomber sur elle...l'écrasant de tout mon poids...
- Oh Jacques....Oh non...Il va....oh non pas dans mon ventre !
Me plantant le plus loin possible...Je gueulais ma jouissance en lui crachant ma semence à jet épais au plus profond.
..
- Tiens ma poupée...prend çà...pour ton Jacques....
- Oh le salaud...Il jouit....Il jouit en moi....Oh Jacques...Mon Dieux...C'est....bon...Oh non...Je ...Je ne peux pas...OOOOOHHHHHHHHHHHH.......
Elle jouit à son tour....tendant les jambes....contractant sa chatte autour de moi....se couvrant de sueur...

Je restais sur elle un instant....laissant mon cœur reprendre un rythme normal...Puis je me levais, retirant ma queue de sa chatte, trempée par le mélange de nos jus.

- Tu peux prendre ta voiture poupée, tu l'as bien méritée !

Elle était écarlate...Les cheveux en bataille...Elle n'osa pas me regarder.

- Les toilettes sont par là poupée !
Je lui jetais les clés. Elle remonta maladroitement sa culotte et tituba un peu en allant vers les toilettes. Je descendis ouvrir la porte du garage.
5 minutes plus tard, elle ressortit, monta dans la voiture, démarra et parti, sans un regard ni un mot.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!