Jules Et Cette Petite Garce De Manon. » Épisode 8/18.
Tamara et Jules formait un couple exemplaire, ils coulaient des jours heureux et ceci dura pendant plus dun mois et demi. Entre activités diverses, footing, fitness et danses, mais aussi cinéma, soirées entre amis, restaurant, tourisme et promenades, ils passaient tout leur temps libre ensemble, ils ne se quittaient plus. Le soir à la maison, Jules sétait mis aux tâches ménagères en attendant Tamara. Leurs relations sexuelles toujours plein de tendresse occupaient une bonne partie de leurs nuits. Cependant, le mercredi 04 mars 2020, Tamara apprit une terrible nouvelle.
Tamara fut prévenue par téléphone par sa tante que son père était en fin de vie, au centre hospitalier universitaire de Fort de France. Il ne lui restait que quelques jours à vivre au grand maximum une semaine pas plus. Avant de mourir il désirait revoir sa fille une dernière fois. Nayant pas ses coordonnées, linfirmière chargée de prévenir la famille, avait contacté Sylviane, la sur du patient, avec laquelle elle navait plus aucun contact. Tamara fit tout de suite le nécessaire pour son voyage, en principe dune durée de deux semaines mais cela pourrait durer un peu plus, suivant létat de santé du malade. Elle avait pris des congés et avait prévu de partir dès le surlendemain le vendredi 06 mars, par TGV pour prendre lavion pour la Martinique dans la foulée où elle devait se rendre directement au CHU puis dorganiser les obsèques de son père, avant de prendre contact avec le notaire, en ce qui concernait son héritage.
Tamara avait fait des pieds et des mains afin que Jules laccompagne mais celui-ci, prétextant des raisons professionnelles, lui avait promis de réfléchir. Le jeudi soir, lorsquil lui annonça son refus, celle-ci fut très déçue, appréhendant de le laisser seul, elle lui demanda de rester ici à côté de son frère et sa belle-sur mais il nen voyait pas du tout lutilité et une nouvelle fois, il avait refusé. Une petite dispute était venue interférée leur belle entente mais ils furent très vite réconciliés sur loreiller.
Si Tamara était triste de perdre son père, elle ne létait pas moins dabandonner Jules. Lui aussi était dans tous ces états, il ne concevait plus la vie sans elle et deux semaines de séparation lui semblait une éternité. En quittant lappartement de Tamara, il regrettait de ne pas avoir eu le courage de partir avec elle, il se sentait impuissant devant cet évènement imprévu, il était tellement désemparé que dans ces moments-là, il avait envie de se confier. Lorsquil était monté dans lascenseur, il tomba nez à nez avec Karine qui, le voyant ainsi, nhésita pas de linviter à diner malgré leurs différends. Il avait besoin de partager sa peine avec quelquun et accepta de passer quelques instants en sa compagnie, cétait probablement la seule personne qui pouvait laider dans ces moments si difficiles.
Lorsque Madame Marchand installa Jules au salon pendant quelle préparait le repas, Manon faisait ses devoirs dans sa chambre. Pendant que les deux amis prenaient lapéritif, Karine navait pas voulu lui reparler de leur dispute, elle aussi désirait se réconcilier et cétait sans doute loccasion de le faire indirectement. Jules parla avec franchise et en toute confiance, lui raconta toutes les joies quil avait vécu avec Tamara et lui avoua quil était follement amoureux de sa princesse des îles. Karine sinclina devant la passion que son jeune ami avait pour cette fille, elle avait vu juste Tamara lavait ensorcelé.
Jules fut heureux dapprendre que Karine avait enfin rencontré quelquun quelle voyait plusieurs fois par semaine mais que son amitié avec son voisin lui manquait beaucoup, il la rassura en répondant que cela était réciproque.
Dès que Jules avait franchi la porte, Manon était sortie de sa chambre et était restée dans le couloir en les espionnant, elle avait pratiquement tout entendu, de leur conversation. Elle était toujours très amoureuse de son prof, elle en rêvait. Maintenant que sa mère ne couchait plus avec lui et que Tamara sabsentait pour une quinzaine de jours, cela lui laissait le champ libre. Elle savait quil ne la regardait pas ou très peu, mais elle allait faire le nécessaire afin que tout cela change à son avantage, ne pensant quà une chose, soffrir à lui.
Pendant le repas, ils discutèrent comme par le passé de Richard le nouvel ami de Karine, de la scolarité et des bons résultats de Manon au lycée et bien entendu de ce satané virus qui accaparait toutes les infos à la télévision. Madame Marchand avait même proposé à Jules de refaire un peu de ménage chez lui car lappartement, après une si longue absence, devait bien poussiéreux, elle devait donc passer le lendemain nettoyer, avant que Tamara vienne vers 18 heures.
Manon au courant de tout, était bien décidée de mettre tous les atouts de son côté car à 18 ? ans, elle était belle et formée comme une vraie femme. Le lendemain à 16 heures, elle sexcusa de son absence auprès de son professeur dhistoire, prétextant un mal de ventre suite à des règles douloureuses mais imaginaire. Elle était donc arrivée bien avant Jules dans limmeuble. Karine étant au travail, elle avait eu le temps de passer chez elle, de prendre un string de sa mère dans le bac à linge sale et emprunta les clés du voisin afin de déposer ce petit sous-vêtement rouge, sous lessuie main dans la salle de bain, en prenant soin de laisser dépasser légèrement le fin tissu rouge.
Elle avait entendu Jules arriver, il faisait les cent pas dans son appartement, priant le bon dieu quil ne découvre pas tout de suite la supercherie. Elle attendait à la fenêtre de la cuisine donnant sur lentrée de limmeuble, larrivée de Tamara. Manon la voyant descendre dun taxi, se frappa la tête contre la porte dentrée et appela immédiatement Jules à son secours. Elle avait choisi de lappeler sur le téléphone fixe, son numéro y était enregistré et elle nétait pas censée avoir celui de son portable :
Monsieur Pennys ! Dit-elle presquen pleurant. Je viens de tomber, jai vraiment mal à la tête. Pouvez-vous venir tout de suite ?
Ne bouge pas Manon ! Allonge-toi sur le divan, jarrive immédiatement.
Il neut pas le temps de laisser un mot à Tamara mais laissa sa porte entrouverte, afin que celle-ci puisse entrer. Il descendit quatre à quatre les escaliers et pénétra chez Karine, se dirigeant immédiatement vers le salon où il vit Manon se tenir la tête. En effet, elle avait une belle bosse sur le front mais elle ne saignait pas :
Comment te sens-tu ? As-tu mal à la tête ? As-tu envie de vomir ? Lui demanda-t-il
Non, rien de tout ça, jai surtout mal au front. Dit-elle en lui montrant sa bosse.
Avec un gant de toilette mouillé quil lui passa sur le front, il saperçut quil ny avait rien de grave et la rassura. Il lui demanda où se trouvait la pharmacie et revint auprès delle pour lui déposer une compresse imbibée de Synthol. En lui signifiant que si jamais elle avait des douleurs et des vomissements, quelle appelle sans attendre le Samu :
Je dois remonter chez-moi, je repasserai vers 19h45 avant que ta mère ne rentre. OK Manon ? tu verras, tout va bien se passer. Lui dit-il en lui caressant la joue.
Pendant que Jules était à létage inférieur, Tamara qui vit la porte entrouverte, pénétra dans lappartement vide. Après lavoir appelé sans résultat, elle se doutait quil nétait pas très loin et ne sinquiéta pas.
Quelle stupéfaction lorsquelle vit ce petit string rouge pendu, ce sous vêtement ne venait pas de sortir de la machine à laver. Une femme était passée chez Jules, cétait à peine croyable. Il était revenu ici la veille que déjà il la trompait en amenant une femme chez lui. Pensa-t-elle immédiatement. Elle tourna les talons et repartit en courant. Elle était tellement en colère quelle se jura de ne jamais le revoir, elle ne répondrait plus à ses appels. Ce nétait quun menteur, elle ne pouvait plus lui faire confiance.
De son côté, Jules qui venait de soigner la fille de sa voisine remonta en prenant lescalier et entra dans son appartement. Tamara devait sans doute lattendre, passant dune pièce à lautre en appelant son nom, il ne la trouva pas. Il lappela plusieurs fois au téléphone mais en vain. « Que sest-il passé ? » Se demandait-t-il. Il connaissait Tamara, elle était très impulsive et assez jalouse, celle-ci avait dû voir quelque chose quil ne fallait pas.
En inspectant les lieux, afin de chercher ce qui lavait fait fuir, il tomba sur ce petit string rouge dans la salle de bain. « À qui peut bien appartenir ce sous vêtement ? » Tout de suite, il eut des doutes, il appela Karine à son travail et lui demanda. Celle-ci lui jura quelle ne lavait pas vu lorsquelle était venue faire le ménage, quelle sétait attardée à changer le lit et ranger la chambre, le salon et passer laspirateur partout :
Karine ! Tas pas fait ça exprès, rassure-moi ?
Je te le jure Jules ! Les choses sont claires entre nous.
En faisant une rétrospective dans sa mémoire, il se rappelait quavant de partir vivre avec Tamara, Sandy la jeune caissière du supermarché avait passé la soirée chez lui. Si Karine navait eu que très peu de temps à consacrer à son ménage, elle navait pu faire la salle de bain à fond. Lui faisant confiance et croyant sa voisine, il sen voulut de ne pas avoir fait attention à cela mais cela le rassura. Il devait joindre Tamara avant quelle ne quitte la ville, il avait au moins une explication à lui fournir. Ne pouvant la joindre au téléphone, il lui envoya un SMS puis comme il était déjà 18h45, il descendit prendre des nouvelles de Manon avant de monter dans sa voiture pour rejoindre la gare.
Ce ne fut pas vraiment pas son soir, arrivé à lentrée de la ville, il doubla un véhicule qui navançait pas assez vite à son goût et se fit arrêter par la police. Non seulement il prit une contravention mais lorsquil était enfin arrivé sur le quai, le train venait de partir. À cet instant, il reçut un SMS : « Nessaye plus de me joindre, cest bien fini ente nous. » Il navait quune solution, cétait de lui envoyer un mail lui expliquant les faits. Ce string appartenait à Sandy sa copine de lépoque. Mais ce mail neut jamais de réponse.
Depuis près dun an et demi, Manon était très amoureuse de Jules son prof danglais. Elle avait toujours fait le nécessaire pour le cacher afin de ne pas attirer l'attention mais ces derniers mois, elle essayait discrètement de le séduire en vain. Lorsquelle était en sa présence, elle ressentait des frissons insoupçonnés, les battements de son cur saccéléraient et avait des papillons dans les yeux et dès son départ, elle se précipitait dans sa chambre et se masturbait en pensant à lui dont le corps si sexy la faisait rêver.
Depuis que ces cours particuliers se déroulaient dans lappartement de son prof, Manon sétait sentie pousser des ailes. Elle était bien plus à laise, sans la surveillance permanente de sa mère et Jules accordait beaucoup plus dattention à son élève, pour son plus grand bonheur. Elle pensait réellement à un rapprochement possible. Se rappelant des cris et des gémissements de sa mère lorsquils étaient dans la chambre, elle limaginait comme un taureau ! C'était tellement excitant de se retrouver seule avec lui, quelle se voyait se faire baiser sur la table au milieu des cahiers et des livres ouverts.
Sachant quil navait plus de partie de sexe avec sa mère, et que sa principale concurrente sérieuse, la jeune martiniquaise avait quitté la France pour deux semaines avec une rupture à la clé, Manon avait désormais les coudées franches pour parvenir à ses fins. Le plus gros problème pour elle, était que Jules ne pouvait plus se passer de Tamara, ses pensées nétaient que pour elle, il avait des difficultés daccepter cette séparation brutale, elle le sentait absent et sans réaction, lui qui dhabitude était si gai, il était devenu aujourdhui nostalgique et morose.
Cela faisait déjà huit jours que Jules attendait des nouvelles de sa princesse, mais celles-ci ne venaient pas. Ce vendredi-soir du 13 mars 2020, Manon était chez lui et il avait des difficultés de se concentrer, il avait les yeux rivés sur son portable, attendant un message ou un appel de Tamara :
Je vois bien que cela ne va pas Monsieur Pennys. Je peux repasser plus tard si vous voulez.
Karine travaillant beaucoup ces derniers temps, Jules navait pu se confier à elle et cela lui manquait :
Non Manon ! Reste, ce nest pas ça, tu sais sans doute que ma copine ma largué et cela me fait très mal.
C'était le moment dagir, de sauter sur loccasion, pensait Manon. Ce soir-là, elle en était bien décidée, se remémorant comment sa mère faisait lorsquil venait lui raconter ses histoires de cur, elle se leva de sa chaise, pris Jules par la main et lui demanda de sassoir sur le canapé :
Installez-vous ici, je vais vous chercher une bière.
Manon était une jeune femme splendide, une blonde aux yeux vert dont le corps était parfaitement sculpté. Faisant du sport régulièrement, elle était légèrement musclée, son ventre était plat, sa taille fine mettait en valeur sa magnifique poitrine et ses fesses fermes et rondes. Elle portait une mini robe imprimé floral portefeuille, à manches courtes recouvrant uniquement ses épaules dont le décolleté laissait une vue plongeante sur ses seins et sa mini longueur dévoilait le haut de ses cuisses. Jules venait de rendre compte lorsquil la vit se diriger vers la cuisine, sans lui ressembler, elle remuait les fesses comme sa mère Karine.
En revenant, il ladmirait encore lorsquelle lui tendit son verre de bière et sinstalla de trois-quarts à ses côtés :
Je partage votre peine Monsieur Pennys, jai moi aussi connu une séparation dont jai eu beaucoup de mal à men remettre. Lui dit-elle en mentant et en posant sa main sur la cuisse.
Jules était stupéfait, plus il regardait cette jeune fille, plus il en était attiré. Il venait de sapercevoir que ce nétait plus la petite adolescente quil avait connu à son arrivée au lycée :
Merci Manon ! Lui répondit-il en lui passant affectueusement, la main sur la joue.
Jespère de tout cur que vous vous en remettrai, cest tout le bien que je vous souhaite.
Quest-ce que tu as changé. Tu es devenue une vraie femme maintenant. Tu sais jolie comme tu es, tu vas vite retrouver quelquun, je nen doute pas une seule seconde.
Manon navait pas enlevé sa main de la cuisse de son prof mais lorsquil saperçut quà ce contact, il ressentait quelque chose, il regrettait à présent les gestes et les mots daffection quil venait de faire à son élève. Il lui retira la main gentiment et bu une grande gorgée de bière avant de dire :
Bon ! Si nous reprenions nos cours.
Ils restèrent encore une heure ensemble et pendant tout ce temps, il saperçut quelle était beaucoup moins concentrée, elle le dévisageait et lorsque leurs regards se croisaient, elle nhésitait pas à lui sourire. Il la trouvait vraiment jolie mais il se demandait si elle ne lui faisait pas les yeux doux. Cétait incroyable, non seulement Manon avait un de regard sensuel mais on pouvait lire dans ses yeux une certaine malice. Il devait donc faire attention à ne pas tomber dans le piège car il ne désirait pas compromettre sa carrière. Au moment de se séparer, Manon lui dit avant de franchir la porte :
Au fait, vous avez entendu les infos ? Il parait que lon va être confiné à partir de mardi.
Cest exact, je dois faire mes cours en télétravail.
Je pourrai quand même venir ? rassurez-moi !
Bien sûr Manon, mais il faut suivre le protocole sanitaire.
Manon posa ses deux mains sur ses larges épaules, se leva sur la pointe des pieds et lembrassa pour la première fois sur la joue en disant :
Ne vous en faites pas Monsieur Pennys, tout va sarranger.
Jules avait aimé sa décontraction et son naturel, il avait très envie de lui faire également la bise et de la serrer dans ses bras, néanmoins il sétait retenu au dernier moment :
Encore merci Manon pour ton soutien, à mardi.
Dès son départ, Jules se posa beaucoup de questions à son sujet. Sil ne laimait dun amour avec un grand A, Manon restait une personne quil affectionnait beaucoup. Il comprenait à présent quaprès cette petite heure et demi passée en sa compagnie, quil désirait cette jeune femme et ce nétait pas quune impression, cétait physique, cette petite avait eu le don de lexciter, il était certain maintenant, en repassant les images quil avait encore en tête, quavec son regard, ses gestes et sa main posée sur sa cuisse, que Manon voulait baiser avec lui. « Cette petite garce ma fait bander. » Avait-il pensé.
Il chassa ses pensées érotiques et regarda ses mails. À sa grande surprise, il en avait un de Tamara quil sempressa de lire :
« Je devais rentrer avant le confinement mais mon père étant dans le coma, je resterai en Martinique jusquà son décès, cest lhistoire dune semaine à présent. Jai prévu de rester en Martinique au moins jusquau déconfinement. Sache Jules que je pense encore à toi mais il me faudra du temps, je veux justement prendre un peu de recul. » Ce que Tamara ne lui avait pas dit, cétait quelle avait rencontré son ancien voisin de classe, Grégoire, dont elle était amoureuse avant de venir habiter en France. Cet homme de son âge était lui aussi amoureux delle à lépoque et ne lavait jamais oubliée.
À létage du dessous, Manon seule dans sa chambre, était dans ses pensées essayant détablir un plan daction afin de séduire définitivement son prof danglais, elle nétait quà deux doigts, elle avait bien remarqué lorsquelle était assise à ses côtés quune bosse prenait forme sous sa braguette. Elle ne supportait pas que Jules soit si triste après sa séparation avec Tamara. Cette fille lui tapait sur les nerfs ! Elle la détestait depuis un moment, probablement par jalousie. Cétait vendredi soir, elle ne désirait pas sortir en boîte avec ses copines et ne voulait pas non plus, aller chez son con de père et sa nouvelle pétasse de femme.
Elle eut une idée d'enfer ! Depuis cet après-midi, elle avait le sang qui bouillonnait en elle. C'était décidée avant minuit elle allait perdre sa virginité ! Et c'était Jules qui aurait le privilège de la dépuceler. Elle ne pouvait pas attendre plus longtemps. Sa mère étant chez son ami Richard, elle prévoyait daller squatter chez lui pour la nuit, elle était persuadée quil ne dirait pas non. Elle lavait vu dans ses yeux tout à lheure quil la matait enfin comme une vraie femme et non plus une jeune élève.
« Sil pense que je suis une jeune fille sérieuse et timorée, il va vite tomber des nues en découvrant ma vraie personnalité. Jules pense peut-être que je suis une petite allumeuse mais quand il me verra dans ses bras, devenir une vraie lionne, je lui ferai oublier cette pimbêche de Tamara. » se disait à voix haute, Manon dans lit.
Nous verrons la suite dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous aussi, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par e-mail, avec votre aide, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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