Bienvenue ...

Tiré d‘une histoire vécue...

En 2013, je travaillais pour une agence de voyage, chargé de faire découvrir la Polynésie. J’étais marin-cuisinier sur des catamarans en location.
Durant l’été un couple nous a réservé un Lagoon 400 ( joli cata confortable), lui désirait apprendre à naviguer, elle se réjouissait de découvrir les traditions et la culture Polynésienne.
Le faire au rythme du vent et des vagues, bercés par les couchers de soleil et accompagnés de dauphins, quoi de plus romantique pour 2 mois sabbatiques qui devaient fêter leur 1ère année de mariage.

Le skipper qui allait être le capitaine à bord était un Maori, originaire de Nouvelle-Zélande, taillé comme un rugbyman,
Né sur l’eau, il connaissait les îles et les lagons de la Polynésie Française par cœur.
45 ans , musclé, bronzé, il assumait cette fonction depuis bientôt 20 ans.
Il transpirait la culture Polynésienne, couvert de Tatouages pleins de fortes significations sur ses origines.
Moi, j’étais encore un bleu... que depuis 2 ans son équipier, chargé de rendre la croisière la plus agréable possible.
Originaire de Papeete... j’avais eu beaucoup de chance de décrocher ce job et m‘y investissait à 200%.
Je débutais ma formation à 21 ans.
Nous allâmes accueillir ce jeune couple à l‘Aeroport , puis les amenèrent à bord afin de faire connaissance.
Collier de fleurs de Tiaré et musique de ukulélés.
Haere Maï... c‘est le nom du bateau... cela signifie „bienvenue“ en Maori dit Nael le skipper au moment de mettre le pied sur le pont.

Marcel et Brigitte se présentèrent. Lui, 26 ans voyageait pour la première fois hors de France, il était avait étudié dans un collège privé à Genève et avait partagé sa jeunesse entre cette ville très calviniste et le manoir de son père dans la Loire. Il était très littéraire et avait nourri son imaginaire des livres de voyage.
Son apparence extérieure était discrète, de taille moyenne, un peu d’embonpoint sans plus.

Imberbe, il avait un corps Pour lequel il n’y avait rien à dire.
Elle, plus jeune avait dû se marier à 20 ans, mariage convenu entre 2 bonnes familles de petite noblesse de la Loire.
Elle sortait d‘une école stricte et catholique.
Jolie fille,(1m70 environ) cheveux châtains longs, attachés en chignon, peau claire, des formes appréciables...
Elle avait un corps jeune et musclé, yeux bleus et des lèvres marquées...elle donnait l’image d‘une jeune mannequin.
Lui travaillait comme comptable dans l’entreprise familiale et elle faisait du bénévolat dans les associations chrétiennes de la ville.

Nael leur expliqua le fonctionnement à Bord,
- sur un bateau c‘est „tous pour un, un pour tous“, nous partageons tout. Il y a une caisse de bord et chacun y contribue pour tous les besoins que nous aurons.
Mike , en me présentant, sera notre cuisinier, votre guide, et mon mousse pour les manœuvres, sa cabine est à bâbord à l’avant.
Je serai votre skipper et seul maître à bord, chargé de vous apprendre à manier la barre et vous amener à bon port en vous faisant découvrir la magie des mers du sud.
Ma cabine sera celle en face de la vôtre à Tribord à l’avant.
Après l’avitaillement que nous allons faire ce matin, Nous lèverons directement l’encre direction Tetiaora , l’île aux oiseaux.

Marcel et Brigitte étaient à l’écoute comme envoûtés...une nouvelle vie totalement inconnue commençait.

Une fois au large, l’éducation commença.
Sur le bateau nous vivons très léger... un maillot de bain ou rien.
Naël se libéra de ses vêtements et comme traditionnellement enfila un simple pagne de paille... ceci sous les yeux médusés du jeune couple... Naël avait bien apprécié les formes et le corps de Brigitte , nous avions bien compris durant ces premières heures qu’ils étaient naïfs et qu’ils n’avaient jamais réellement vu le monde.
il était bien décidé à leur apprendre sa vision de la vie et du partage... Haere Mai portait bien son nom.

Brigitte avait découvert ce corps incroyable... les muscles saillants, la peau burinée par le vent et le sel, les tatouages, les mains calleuses et puissantes à force de tirer sur les cordages et ce sexe ... elle n’avait connu que celui de son mari ( elle était vierge à son mariage) et que depuis une année.
Ce sexe deux à trois plus long et épais que ce qu’elle connaissait l’avait tant impressionnée qu‘elle n’avait pu détourner les yeux.
Marcel était tellement surpris et ébahi qu‘il était resté sans réaction.

Ils allèrent se changer en costume de bain puis revendirent sur le pont.

Naël les invita sur le trampoline avant à se relaxer pendant que je tenais mon quart et assis à la

C‘est à ce moment que cela commença...

Naël de manière autoritaire et convaincante se mis à nu et se doucha sur le pont..., le soleil se couchait et il apparaissait comme un surhomme à côté de Marcel.

Il proposa à Brigitte de faire de même... la vie à bord avait ses habitudes ainsi que les traditions des îles.
Le jeune couple s’interrogeât du regard puis comme hypnotisés par la situation se déshabillèrent.
Naël et moi étions aux anges et jouissions de cette situation.

- Mettez vos vêtements en cabine, nous vivrons nus durant ces prochaines 24h jusqu’à notre prochaine escale.
C‘est un accueil à la nature, vous sentirez ainsi mieux la brise vous caresser.

Brigitte avait des seins bien ronds et qui pointaient fièrement, son ventre plat, ses fesses musclées et un sexe assez volumineux avec une épilation biquini bien réalisée.
Marcel rien de particulier, un petit ventre et un sexe des plus ordinaire... qui ressemblait à son propriétaire.

Une fois Brigitte sous la douche, Naël pris Marcel vers le carré et lui donna sa première leçon, comment tenir la barre.
D‘une manière ferme et souple à la fois, Arriver à diriger cette roue tout en jouant avec les vagues... il le laIssa s’entraîner avec moi et retourna retrouver Brigitte...

Et là de manière très directe également sous la douche il lui enseigna comment tenir la barre, sa barre....

Brigitte n’avait jamais réellement touché le sexe de son mari... à raison d‘une à deux fois par mois, le dimanche, ils couchaient ensemble sans réelle émotion ou échanges.

Elle rougit, devint pivoine et ne savait que répondre...
- de manière fermé et souple en même temps..dit Naël. Tu dois tenir ta barre pour l‘amener au désir, où tu désires!
Carrosse mes boules, fait glisser tes doigts autour de mon mandrin...remonte doucement...
Elle n’arrivait pas en l’entourer entièrement.. il lui pris sa deuxième main et à genou devant lui les deux mains autour de ce sexe énorme le doigts croisés, elle écoutait ses directives, ses conseils en étant totalement perdue!
- regarde moi, cela fait partie du partage et de la vie en communion sur le bateau, aie confiance!
Ton mari apprend également à barrer!
Brigitte senti une drôle de chaleur dans le bas ventre mais continuait à obéir.
Lorsque Marcel s’aperçût de la situation, j’intervins de manière stricte!
- Reste là.. ta femme apprend également à barrer selon la tradition polynésienne..
Cela fait partie du deal, apprentissage du partage total sur un bateau... tu as de la chance, Naël, le Maori est sûrement le plus expérimenté et meilleur skipper de la compagnie.
Ce qui se passe sur le bateau reste sur le bateau, c’est l’école de la vie!
Brigitte regardait son mari et vu une acceptation dans ses yeux.
Elle senti le sexe se durcir, des veines proéminentes se dessinaient!
Un râle puissant et il éjaculait sur son visage et ses seins...
à moitié dégoûtée mais satisfaite de sa réussite, c’était la première fois qu’elle profitait de sperme...

Tu apprend vite, c’était parfait...je vais te laver, viens sous la douche, il rempli sa main d’Aloe-vera et lui frotta tout d’abord le dos et les fesses pour ensuite venir vers sa poitrine..., elle se laissait faire, dans un état second, ce corps musclé, cette voix la dirigeait et lui faisait de drôles de sensations.
Il pris les seins entre ses paumes, pinça légèrement les tétons qui se durcirent ... puis une main descendit sur son sexe...
Marcel ne l’avait jamais réellement touchée ou caressée...! Ces doigts qui commencèrent à la fouiller lui lancèrent une décharge électrique...
elle était entre les mains d’un dieu ..Naël senti très vite le relâchement du corps et l’abandon, il sourit.
Très vite il joua avec son bouton, il faisait tourner le clitoris entre ses doigts d’une main et de l’autre lui triturait un téton...
Elle était trempée et jouit en criant... Marcel était sonné... il n’était pas réellement attiré par le sexe, lui son dada c’était la lecture.
Il n’avait jamais imaginé toucher sa femme ainsi...

Naël retira ses doigts et dit à Marcel,
Viens et suce les, découvre le goût de ta femme.
Marcel suça les doigts de Naël couverts du liquide de Brigitte.

C’était la première leçon, Tenir la barre, fermement et souplement.
Mais aux vu de l’état des 2 barres qui n’avaient pas été soulagées, Naël dans ce souci de « un pour tous » demanda à Brigitte de répéter son instruction auprès de moi , j’étais dans cuisine et elle vint de remettre à genoux face à moi pour me masturber ... j’ai un sexe très long , mais pas particulièrement épais, une seule main suffisait , je lui pris la deuxième pour la poser sur mes fesses.
Elle allait et revenait fermement, me serrait les couilles et s’appliquait... ses yeux le fixait et son visage angélique resplendissait.
Dans le même temps, Marcel dut tenir sa barre seul en nous regardant puis se soulager seul.

Il était temps pour tous de manger avant de partir pour la nuit où chacun devrait tenir son quart!
Tartare de Daurade au lait de Coco et Gingembre!

Durant le repas, Naël dirigea la conversation vers ce 1er apprentissage. Comme un débriefing!
- Marcel, savoir barrer, sentir l’eau et le vent sont essentiels pour être navigateur...
-Brigitte, découvrir son corps, ressentir ses vibrations sont pour les femmes polynésiennes indispensables.
Comment as-tu vécu cet apprentissage ?
Brigitte - une fois la surprise passée, c’était invraisemblable .. jamais Marcel ne m’avait touchée ainsi, tenir vos sexes et vous sentir grossir puis venir sur moi était un plaisir incroyable!
Marcel- Nous ne sommes pas habitués à cette culture du partage, cette vie proche des éléments va être une découverte totale. Barrer ce bateau seul au milieu de l’océan m’a fait frissonner de plaisir.

Les horaires de quart furent établis.
Marcel avait le 1er puis Naël, Brigitte et moi en dernier.

Nous bûmes un peu de rhum, mangèrent un dessert et laissâmes Marcel surveiller le pilote automatique, le Cap et l’horizon..

Naël dit , - tous au lit ... j’accompagne Brigitte dans ta cabine.

Naël dit crûment qu’il voulait partager cette nuit avec Brigitte afin qu’ils fassent connaissance de manière plus approfondie
Marcel dormirait dans la cabine invité à Bâbord.

Naël commença à enduire le corps de Brigitte avec une lotion au Tiaré ( lotion de l’amour) qui avait également une petite touche de gingembre qui lorsqu’il arriva aux parties intimes , cela chauffa le con de Brigitte instantanément.

Depuis le carré, Marcel essayait de se concentrer sur la navigation mais il entendait en même temps le duo dans la cabine en dessous de lui.
-tiens là bien
-suce là ... comme une glace, lèche bien
-avale tout, c’est une potion magique, l’essence des dieux...pour ma petite chrétienne !
-on va te raser la fouine, tu dois exposer ces jolies lèvres...
-tu as l’air d’adorer qu’on te fouille... tu mouilles
- oui empale toi sur moi, guide le en toi
-t’es encore bien serrée.. j’aime ça
-doucement...ma petite française, on va baiser tranquillement... on a deux heures ... que dis-je deux mois !
Il entendait les réponses de Brigitte..
- oui, j’aime ton goût
- aah, Oh... c’est trop bon
- je l’ai, je la sens si fort... elle me remplit, mon mari ne l’a jamais fait ...
Quel bonheur... j’adore!
Je suis au paradis.
Naël - tes seins sont superbes, j’adore les téter
- Viens nettoyé moi bien avec ta langue, re prépare moi ...
- parfait, mets toi à 4 pattes sur le bord du lit
- maintenant je glisse bien profondément... tu t’es ouverte!
. Caresse toi ton bijou ...
Les râles et cris de jouissances se répétèrent et continuèrent durant une bonne heure!

Puis Naël appela Marcel...
-Marcel vient avec ton portable svp , viens filmer et prendre des photos je vais déflorer le petit trou de madame!

Marcel descendit dans la cabine, il vit sa femme en tête bêche sur le lit avec Naël en train de le sucer et lui en train de lui enfoncer 2-3 doigts dans son anus...
elle tressautait de plaisir et la lotion polynésienne lui avait chauffé les fesses!
Il prit son téléphone portable qui était dans son sac à côté du lit et se fit tout petit dans un coin.

Naël: va d’abord chercher du beurre... on va éviter de la blesser...
Marcel en ramena de la cuisine et dut enduire le petit trou de madame et le chibre de Naël de beurre!

Puis de son coin il assista en filmant la 1ere enculade de sa femme...
- pose tes avant bras sur le matelas ( brigitte était debout, penchée en avant sur le bord du lit)
-Oui ouvre toi
- Mais tu es trop gros... je suis vierge de ce trou...
- tu suis mon éducation... à toi de faire l’effort! Recule et viens t’empaler!
Dis le fort que tu veux être enculée par ton maori adoré...
-oui enfiles moi mon Maori adoré... je plane et vis une seconde vie.. merci Marcel pour ce voyage de découverte!
Une foi qu’elle eut placé sa rondelle, il rentra tout d’abord doucement... mais après une heure de sexe fou et le beurre, cela glissait simplement,
Elle cria et il en profita pour d’un coup la remplir jusqu’à la garde ...
Marcel filmait ..
L’accouplement était intense et Brigitte jouit pour la 5 ou 6 eme fois.
Naël ne prenait plus de gants, ce couple de français lui appartenait pour 2 mois et surplus ils payaient pour ça!
Il allait leur faire découvrir le côté caché et mystérieux du Pacifique sud!
Il pilonna ce magnifique cul et Brigitte adora surtout au moment où il jouit au fond de ses entailles.
Elle s’écroulât sur le lit!

Naël- Bon c’est l’heure de mon quart...sur le bateau c’est tous pour un , un pour tous.. Marcel vient me nettoyer mon chibre, suce moi et lèche moi afin qu’il soit rutilant!
Goûte aussi mon foutre mélangé aux odeurs de madame... c’est riche en protéine.

Brigitte repose toi jusqu’au prochain quart !
Il y aura Mike pour t’accompagner.

Haere Mai ( bienvenue) en Polynésie

De mon côté, tout en somnolant je me réjouissait du prochain quart qui s’est avec le lever du soleil!