Corinne Chez Le Vieux Pervers (Chap 4)
Jai eu enfin des nouvelles de mon amant, il y a quatre jours. Ça faisait bien longtemps
que je navais plus de ces nouvelles et sa voix au téléphone ma troublée. Il est revenu
du bled jeudi dernier. Il ma confié quil a une forte envie de me prendre et de me
remplir mes trous. Il est allé au sex-shop et a retrouvé son pote Christophe, le gérant. Il
a tenté déchafauder un plan cul à trois mais Christophe a repoussé pour linstant sa
proposition car il partait quinze jours en Vendée et çà ne sera possible avant la mi-
septembre. Ce nest que partie (de jambes en lair) remise
Par contre, il lui a donné
un filon en lui remettant un bristol portant un numéro de téléphone. Il avait été confié au
gérant, en juin dernier par un vieux monsieur denviron 72 ans. Kader men a parlé et je
lui ai rappelé que cétait celui qui mavait gratifié de son urine à travers le glory-hole
cette soirée-là. Il a donc aussitôt contacté le vieux pervers qui habite la ville dAmiens.
Celui-ci a dit quil serait charmé de me revoir et de me faire subir les derniers
outrages. Il proposait de nous recevoir chez lui en indiquant quil souhaiterait me voir
vêtue en tenue décolière : couettes, jupes plissée, dim up, corsage blanc et
chaussures vernies. Kader a pris le rendez-vous pour le lendemain après-midi. Cest
lui qui ma fourni lensemble demandé et je me trouvait très sex et désirable avec cette
jupe plissée masquant à peine mon abricot fraîchement épilé. Jétais très impatiente
et si excitée que le soir, jai joué une demi-heure au moins avec mon rabbit.
Le lendemain, Kader me récupère devant la station service, à côté de chez moi. En
chemin, mon maître se dit très excité par mon air dingénue juvénile. Il stoppe dans le
chemin menant dun bois à proximité de Doullens, me fait mettre en missionnaire et
me baise vite fait dans la voiture.
vite au fond de mon vagin, sans soccuper de mon plaisir. En suite nous reprenons
notre chemin pour arriver chez le vieux pervers. Le rendez-vous quil a fixé à Kader est
non loin du centre dAmiens, dans un appart cossu, sur un boulevard près de la
mosquée.
Lancien nous accueille lil vicieux, en peignoir de laine et nous fait pénétrer
rapidement dans un salon très style XIXème siècle. Il nous fait asseoir sur un
chouette canapé en cuir et nous propose des rafraîchissements. Je suis un peu
nerveuse et je demande lautorisation de griller une cigarette. Il sassoit juste à mes
côtés et mallume ma clope. Il pose dabord une main ferme sur mon genou. Il
apprécie ma tenue décolière et me fait des compliments sur mes longues couettes
brunes. Il remercie mon maître de mavoir fait jouer le jeu. Il farfouille sous ma jupe à
carreaux, constate que suivant ses instructions je ne porte pas de culottes et glisse
deux doigts dans mon abricot.
« Huumm, tu as déjà la chatte toute graissée, tant mieux, mon gros chibre nen
rentrera que plus facilement. Je te le montre si tu sors tes nibards de ton corsage ».
Excitée par le scénario, je me sens jeune étudiante, je sors mes seins de mon
corsage et il se met aussitôt à me pincer les tétons. Puis il écarte les pans de sont
peignoir et sort son nud. Cette fois ci, jai tout le temps dapprécier la bitte du vieux.
Très large, au moins 6 cm de diamètre, surmontée dun beau gros gland violet qui
semble un peu négligé. Sa bitte fait bien plus de 20 cm et ses couilles bien lourdes
ont été rasées depuis notre dernière rencontre du sex-shop. Il me gobe le lobe de
loreille, le suce et me susurre :
« Aujourdhui ma jolie, je vais tenir ma promesse du sex-shop. Papy va mettre sa
grosse biroute au fond de ton petit cul et tu vas jouir très fort, petite salope, tu seras ma
petite pute vicieuse ».
déshabille. Il me fait retirer mon corsage, relever ma jupe et relever les jambes. Je
suis ainsi, les cuisses écartées, mon abricot glabre bien ouvert face à eux. Le vieux se
met à genoux et commence à me bouffer la cramouille. Il sait y faire le saligaud ! En
cinq minutes je suis au bord de la jouissance. Il le sent et interrompt ses caresses.
Kader et lui ont maintenant une belle érection. Je les fais se rapprocher. Jai envie
denfourner leurs belles grosses bittes ensemble dans ma bouche. Cest difficile, ma
lèvres se distendent trop, jai un haut le cur et je ninsiste pas. Comme lautre fois,
notre ami sent la sueur et lurine mais çà ne me gêne pas. Je suis fascinée par son
chibre. Bientôt il se rallonge sur la moquette, me fait maccroupir au dessus de lui et
membroche sans ménagement. Je suis déjà bien lubrifié par son cuni et mes ébats
précédents. Je le sens taper contre mon utérus, il me remplit terriblement bien. Je le
chevauche en cadence, jai chaud et le rouge me monte aux joues. Il écarte mes
fesses et montre mon anus lisse à Kader en lui faisant en clin dil. Celui-ci savance
et, sans préparation entame une douloureuse sodomie sur moi. Malgré la douleur, je
ressens bientôt mes premières contractions de mon vagin et un orgasme monter. Je
hurle :
« Ouiii, cest bon monsieur, punissez moi, jouissez au fond de ma petite chatte ! »
Mais lancien ne veut pas se faire prendre dans mon four brûlant. Il cesse de me limer,
sort de ma chatte humide et échange sa place avec mon amant. Ma rondelle est assez
dilatée et il senfonce doucement au fond de mon cul. Il me dit alors à loreille :
« Alors, cest comment petite garce ? »
Au bord du gouffre je lui réponds :
« Cest bon monsieur, comme elle est grosse, comme je vous sens bien tous les
deux, je, je vais
jouiirrr
.
compressent délicieusement sa queue. Une nouvelle fois, il sait quil ne pourra tenir
longtemps. Il sort alors de mon cul et passe à ma bouche. Sa queue est un peu
maculée
Aussitôt Kader, toujours aussi vif, prend sa place entre mes fesses en
levrette. Déchaîné, il me tire les cheveux et hurle :
« Ptite pute, tu me sens bien au fond de ton cul ? Taime comme je te dilate ta
rondelle de femelle en chaleur, allez lèche bien le gros gland de ce vieux salop, taime
çà hein » ?
« Oui maître Kader, jaime sentir ta queue bien au fond de mon anus, jaime quand tu
encule à sec mon cul de pouffiasse ».
Il me prend par les cheveux et me redresse la tête puis il met sa langue sans
ménagement dans ma bouche luisante de salive. Il continue ses va et vient de plus en
plus fort, il me frappe sur les fesses tellement sèchement que jen ai les nichons qui
ballottent. Une nouvelle fois il me demande si japprécie la bitte du vieux pervers.
« Elle sent fort mais elle est bonne, tu vas voir, je vais prendre tout son foutre dans ma
bouche ».
Ma langue virevolte habillement sur son gland violacé, je branle sa grosse tige,
descend jusquà ses couilles, je les prends dans ma bouche puis je les lèche. Sa
bitte tressaute et je sais quil ne va pas tarder à balancer sa purée. Il dit à Kader quil
va bientôt jouir dans ma bouche de salope. Mon maître se retire alors, il tient ma
mâchoire et me fait ouvrir ma bouche bien grand. Il me fait mal tellement il serre. Le
vieux nen peu plus : le méat agacé par ma langue, il jouit très fort et sécrie :
« Tiens soumise, tiens prends, bouffe la semence de papy, prend tout ouiii
» La
première giclée est tellement rapide que je la prend au fond de la gorge et lavale.
Après il me nappe la langue, çà coule sur mes lèvres. Il a un goût salé, je lavale
jusquà la dernière goutte en me frottant le clitos.
qui a coulé sur mes lèvres et mon menton et me donne ses doigts à sucer. Il ne tarde
pas aussi à venir, il sort et marrose copieusement la raie. Il a lair satisfait de ma
prestation et il me dit :
« Bonne petite pute, il ta bien enculé le vieux hein, il ta bien joui dans la gueule ? »
Je lui réponds tout en caressant la bitte mollissante du vieux :
« Oui, il ma bien baisée, jamais je nai senti mon cul aussi ouvert ! Cétait terrible ».
Bien fatiguée par notre séance, jai pris une douche rapide, puis jai sucé une dernière
fois le vieux. Cette fois-ci, il na pas voulu me jouir sur la langue. Il ma fait le branler
très fort. Il bandait terriblement et son nud était nervuré par de grosses veines. Il a
jouit dans mes mains au bout dune dizaine de minutes de ce traitement et ma fait
sucer mes doigts jusquà ce quil ne reste rien de son épaisse semence. Lui aussi
semble très satisfait et en partant, je le vois glisser prestement quelques billets dans
la poche de Kader.
Nous prenons enfin congé de notre hôte. Sur le trottoir, je grille une nouvelle clope car
jai encore le goût du sperme dans la bouche. Nous faisons le chemin retour
ensemble, sans échanger un mot. Kader me dépose à 300m de chez moi et me dit
quil me téléphonera bientôt, dès quil aura un nouveau plan pour faire remplir son sac
à foutre. Jentre à la maison et constate que jy suis seule. Jai le temps de me dévêtir
et de me changer, ouf, mon mari nest pas encore rentré
Merci une fois encore pour vos commentaires pimentés !!
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