Promesse Tenue...
Suite à une urgence, jai du sortir en grande pompe quitter mon bureau, laissant là tout mon fatras de notes, et de feuilles manuscrites, où étaient couchées des histoires à ne pas mettre dans nimporte quelles mains.
Après mettre assuré de lurgence qui nen était pas une, à vrai dire, je me souvins que javais négligemment dans la précipitation oublié de verrouiller le bureau.
Immédiatement à pas décidé, je retournai jusquà ce dernier, pour surprendre Adeline, une comédienne du groupe, qui était normalement censé répété dans la salle, mais qui se trouvait assise devant mon bureau, en train de lire en toute impunité mes écrits. Qui dailleurs, absorbée par la lecture, ne mentendit pas mintroduire dans la pièce et mais sursauta une fois mavoir découvert.
- Eh bien ! Adeline
il ne faut pas sen faire
- Heu
Excuse-moi ! A-t-elle bredouillé.
- Ben, cest que
enfin, ce nest pas réellement de la littérature pour une jeune fille comme toi.
- Je vois bien
dit-elle en rougissant, honteuse et très mal à laise de sêtre fait surprise.
Adeline pour la décrire, était une petite brune aux cheveux noirs de jais, aux yeux de la même couleur. Une bouche fine mais délicieusement dessinée, dotée dune belle poitrine ample et généreuse.
Je la connaissais depuis pas mal années. Nous avions partagé quelques discussions ensemble. Mais ces dernières années, javais remarqué quelle ne cessait de me tourner autour.
- Jai hésité au début, mais après avoir lu les premières lignes la curiosité ma poussé à lire la suite. Tu men veux ?
- Oui ! Tu mérites la fessée, toi !
Et là, elle éclata en rire. Ce qui était loin denchanter mes oreilles. Puis après avoir repris son sérieux, elle me lâcha avec un air que jannoncerai très coquin, pour ne pas dire mutin :
- Pfff ! Vous, les hommes, des promesses, des promesses, toujours des promesses.
Je lui lançais un regard sévère, et lui dit dun ton calme, ferme mais autoritaire :
- Des promesses ? Oh que non ! Tu as même de la chance quand tattende sur la scène !
- Ah oui ! Et bien sache monsieur Alain que pour ma part, la répétition est finie.
- Alors, tournes-toi, baisse ton froc et tu vas voir, petite effrontée si cest des promesses.
Je pensais sur linstant quelle allait se débiner dune pirouette. Mais au contraire elle restait immobile et jai pu lire dans ses yeux le doute puis lenvie, et enfin lhésitation.
- Alors ? Que des promesses. Ai-je fait. Aller sort veux-tu, jai du travail à finir.
Elle hésita encore une fraction de seconde, avant de prendre sa décision. Et à ma grande surprise, contre toute attente, je la vis se déboutonner et de tirer son jean vers le bas, pour le faire descendre jusquà mi-cuisses. Je mentirais à ne pas avouer que je nétais pas en admiration sur ceux quelle mexposait. Des cuisses à la peau laiteuse, avec un slip de couleur rose, qui moulaient comme une seconde peau, le renflement du pubis. Elle fronça les sourcils, avant de lâcher :
- Alors, que des promesses !
Sa voix nétait plus que murmure, avec tout de même, un peu de gêne.
- Cest très bien Adeline ! Remonte ton pantalon, sil te plaît. Tu as gagné.
Elle battit des cils. Je lui ai souri.
- Allez, écoute-moi Adeline. Je suis ton ami.
Pour toute réponse elle prit alors une position que je dirai indécente. Qui me permirent dapercevoir une petite tache sombre en amande sur le devant de sa culotte.
- Tu ne peux pas savoir leffet que cela me fait de me tenir ainsi devant tes yeux.
- Arrête tes gamineries Adeline. Remonte ton pantalon.
- Moi tu vois. Me fit Adeline. Je préconise autre chose !
- Et quoi donc ?
- De faire glisser ma culotte, et de texhiber mon minou.
Je laissai un petit temps de silence, avant de lâcher.
- Quest-ce que tu veux entendre pour que tu daignes enfin remettre ton pantalon.
- Que tu as, à présent envie de moi. A-t-elle fait en sapprochant de moi, tout en me regardant fixement. Je ne te plais pas ?
- Bien sûr que tu me plais ! Il faudrait être difficile.
- Que quoi ? Toujours le même refrain, que je suis trop jeune pour être toucher par un homme. Dis plus tôt que je ne te plais pas.
- Où vas-tu chercher cela ?
- Pas besoin dêtre devint. Avec tout ce que je texpose il y a longtemps quun autre maurait sauté dessus.
Je fis remonter ma main le long de sa hanche. Cela la fit frissonner. Ne pouvant me résonner, je me laissais tenter à glisser ma main sous son t-shirt. Mes doigts se refermèrent sur un sein, tout chaud sous le soutien-gorge. Contente dêtre arrivée à ses fins, elle savourait la caresse en fermant les yeux. La faufilant entre le tissu et sa peau, je saisis la pointe entre les doigts, et les lui roulais un moment.
Elle laissa échapper un adorable « Mmmmhhh », en plissant les yeux, en tordant légèrement sa bouche. Encouragé, jétirai simultanément laréole, qui se fripa effrontément. Tendant son téton qui se durcit sous laction de mes phalanges.
Quand elle ouvrit les yeux se fut pour les poser sur moi, avec un regard que je qualifierais dincertain.
Avec des gestes lents, elle fit tomber lune après lautre ses baskets et se hissa pour ôter complètement le jean. Le tissu du slip foncé de plus en plus dans son milieu. Il était indubitablement humide de mouille.
Je la caressai par-dessus létoffe, avec insistance. Elle laissa échapper de sa bouche de nouveau un gémissement quand mon index se posa précisément à la hauteur de son bouton. Que je frottais un moment, observant mes doigts courir sur la culotte fine. Elle avait à nouveau les yeux clos. La tentation étant la plus forte, je posais ma main sur larrondi des fesses. Enfonçant létoffe entre les deux globes tièdes. Que je pinçais la peau à travers le textile, sans sauvagerie, puis je glissais pour mon plus grand plaisir mes doigts sous la culotte. Son premier réflexe fut de gémir à nouveau :
- Oh oui !
cela fait si longtemps
!
Je touchais la corolle de chair et sentais quelle était comme lautre côté, humide.
- Non, mais dis-moi. Tu mouilles en abondance, coquine ?
La remarque lui extirpa tout lair des poumons. Et la montée de sang lui empourpra ses joues, se joignant à celle qui fit enfler ma queue. Que je sentais agréablement vibré au fond de mon slip.
- Pourtant une fessée na jamais eu pour vocation de faire mouiller qui que ce soit, Adeline ! Cest une punition, non ? Je me trompe ?
Pour toute réponse, Adeline me regardait par en dessous. Avec de grands yeux et une mine de chien battu, le menton encore baissé. La vue de ses grandes lèvres à peine poilue me donnait leau à la bouche. Je les écartais pour apercevoir le clitoris. Il nétait pas aussi gros que celle de mes partenaires femme. Mais pointait bien. Sa respiration saccéléra. Elle me regarda, me dévisagea, de ses yeux ronds.
À laide de mon index et de mes majeurs joints, je forçais lentrée de son con qui mavala les deux premières phalanges. Elle gémit, ahana et ondula des reins, alors que je cherchais du pouce et de lannulaire, réunis en pince, lexcroissance de chair sensible, la trouvais, la serrais. Elle eut comme un sanglot dhumiliation.
- Je
Oui
Oui, Alain, je
je vais jouir.
Et la voilà partit dans un tremblement qui la secoua de la tête aux pieds. Ses yeux se voilèrent, se révulsèrent. Un long râle séchappa de ses lèvres.
Jattendis quelle revienne à elle pour lâcher :
- Tu as aimé ?
- Parce que
tu as fini, là ? Lança-t-elle, avec un air déçu.
- Cela ne te suffit pas ? Répliquais-je.
- Je mattendais à beaucoup plus, venant dun homme comme toi.
- Parce que tu tattendais à quoi ?
- Je ne sais pas moi, ce nest pas moi lexpérimenté.
Je repris brutalement la toison pubienne et tirai pour bien dégager le clitoris. Je posais ma bouche sur son sexe, pour happer le bouton. Lentement je me mis à le suçoter. Dans une succion lente qui la fit de nouveau gémir. Lui faisant bouger sa tête de gauche à droite, les mains crispées sur mon crâne.
Elle laissa échapper de petits gémissements de chiot quand ma langue donna de petit coup le long de la fente trempée. Elle ondula quand je la suçais de plus en plus fort, et de plus en plus vite. Soudain elle laissa échapper une plainte aiguë de plaisir. Lorgasme la fit se tordre sous ma bouche, en secousses si violentes que je dus la maintenir pour continuer ma caresse buccale.
Javais usé de sa bouche pour satisfaire son envie de jouir, et je préférai en rester là, me contentant de lui lancer un :
- Promesse tenue, Chipie !
Et je quittais mon bureau. La laissant, là, pantelante, avec la ferme intention quelle ne sy trouve plus à mon retour.
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