Le Risque Paye Souvent...(1Ère Partie)
Jai une liaison depuis quelques semaines avec un jeune homme dune trentaine dannées et il sappelle V.R.
Comme il nhabite pas loin du glacier où il minvita, il me proposa de me montrer la maison de sa belle mère avec laquelle il vivait depuis de décès de son paternel il y a cinq ans.
Ce premier rendez-vous là, je noublierai pas.
-- Je sais quil est tard, je te montrerai donc la maison en passant devant
je nai pas prévenu belle maman que je rentrais avec quelquun. Me dis t-il.
Pendant que nous cheminions, il posa sa main gauche sur mon bassin en me demanda si cela me gênait.
Pour toute réponse, je fis glisser sa main plus bas sur ma fesse gauche. Il la remonta et la redescendit lentement puis sarrêta :
-- Je nai senti aucune trace de slip, à moins que ce ne soit un string ?
« Pourquoi tu ne vérifies pas toi-même ? » Dis je en me plaquant contre lui.
Ces deux mains prirent mes fesses et farfouillèrent à la recherche dun sous vêtement qui nexistait pas. Il fit entrer ses mains dans ma jupe par la taille flexible et tomba sur mes fesses nues. Je senti son sexe se raidir contre mon bas-ventre et il membrassa.
« Tu es sur de ne pas vouloir minviter chez toi ? »
Il ne réfléchi pas longtemps et mentraîna devant un portail quil ouvrit avec une clef.
Il était presque minuit et tout était éteint dans la maison à part une fenêtre qui restait éclairée.
-- Cest la chambre de ma belle mère. Chuchota t-il.
Je lattirai automatiquement sous cette fenêtre et fis sortir son pénis. Il ne résista pas longtemps quand il me vit mabaisser et prendre sa verge dans ma bouche.
Jétais accroupie dos au mur et lui, tenait lanti-vol de la fenêtre éclairée.
Le sucer fut un vrai régal. Javalai son jusquà la garde, puis baissai son pantalon totalement avant de lui lécher les couilles puis je revins à son sexe que je sucer à nouveau.
Brusquement, une lumière nous éclaira.
Il fit des va-et-vient en tenant toujours lanti-vol et quelques minutes plus tard, des pas nous firent sursauter puis ce fut une voix de femme que lon entendit. V.R. cessa net ses va-et-vient mais son pénis resta dans ma bouche.
- Mais que fais-tu là ? Oh mon dieu !
Jentrevis entre mes mèches une dame en robe de chambre, les yeux écarquillés. Le sexe de V.R. se ramolli aussitôt dans ma bouche puis ce fut un silence de quelques secondes qui parurent des minutes.
Mais la dame resta toujours là à nous regarder puis sortie une cigarette quelle alluma sans nous quitter des yeux.
Je tournais alors ma langue autour du pénis qui avait perdu toute constance et il reprit du volume entre mes lèvres.
Le sexe de V.R. se raidit très vite et je me remis à le pomper sous regard de la dame qui fumait.
Comme elle nous matait ainsi sans retenue, je décidais de lui en mettre plein la vue. Je faisais sortir le sexe, léchais les couilles, remontais jusquau gland avant de lengloutir et de le sucer.
V.R. nen pouvait plus car je sentis ses fesses se crisper, alors je fis sortir le sexe et garda la bouche ouverte en passant ma langue autour du gland. Si bien que je reçu dans la bouche une première giclée chaude de sperme, puis une seconde, une troisième et bien dautres jusquà ce quil ny ai plus rien. La dame nous regardait toujours mais ne portait plus sa cigarette à la bouche.
Je repris le pénis (qui avait gardé sa rigidité) au fond de ma gorge et le fis ressortir tout luisant de salive et de sperme.
V.R. me releva, me retourna et me pencha en avant contre le mur avant de retrousser ma jupe.
Jécartais les jambes et il neut aucune difficulté à glisser en moi tellement je mouillais.
Il resta fiché en moi quelques secondes avant de se retirer puis me proposa de passer la nuit avec lui pendant que je me rajustais.
Mais je devais rentrer nourrir mon chat que je navais pas vu de toute laprès midi.
Il était 01 heure du matin quand jarrivai à mon appartement où je venais daménager. Après une douche, je mendormie comme un bébé.
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