Une Fin D'Après Midi Torride...

Ca s’est passé il y a une quinzaine d’années, je me souviens encore de cette aventure inattendue… C'était en plein été et je faisais la permanence seul, au bureau. Parfois, Philippe le photographe passait, mais ses visites étaient rares à cette époque très calme.

Ce soir là, je suis resté tard au bureau et comme souvent, il y avait encore Marc, le maçon qui faisait des travaux de rénovation au sous sol. Il profitait de la fraicheur de la fin d'après midi pour bosser. Avant de partir, et comme chaque soir, je suis allé le voir afin de le saluer.
En ouvrant la porte des bureaux du sous sol, je fus surpris de voir Marc vêtu d'un simple et unique en slip de bain et de ses baskets. Il sursauta quand j'entrai dans la pièce, la musique d'un poste de radio ayant couvert mon arrivée. Suintant de sueur, il me sourit et me salua. Je lui rendis son sourire et entamai une discussion sur l'état des travaux. Il flottait dans l'air une odeur de transpiration, de peinture fraîche et de tabac. Je ne sais pas pourquoi, mais cette ambiance émoustilla mes sens. Peut-être le fait de pénétrer dans une sorte d'antre virile...
Tout en discutant avec Marc, je scrutai discrètement son torse nu et brillant de sueur face à moi, descendant le regard sur son entrejambe et ses cuisses musclées et velues. J’imaginais brièvement des scènes érotiques avec lui en observant les formes de son corps...
Au final, je connaissais peu ce garçon, mais il était toujours souriant et enjoué. Il avait la petite trentaine, brun, mignon et plutôt bien foutu. Un mec sympa et attirant. Le voir ainsi quasi nu dans le bureau du sous sol me sembla un peu surréaliste. Il y planait comme une ambiance d’interdit qui me perturbait de plus en plus.
Inconsciemment excité, je prolongeais artificiellement la conversation. Nous parlâmes d’un peu tout et rien pour finalement parler cul, un sujet universel chez les hommes… Au bout d'un moment, l'ambiance monta d'un cran car je vis qu'il commençait à bander sous son maillot de bain.

Il faut dire qu’étant donné la petitesse du slip, ça lui était difficile de le cacher. Ma présence l'excitait elle ?

Il vit de suite que je l’avais remarqué et ne s’en cacha pas le moins du monde. Au contraire, je sentis son comportement changer alors qu’il semblait mettre bien avant son entrejambe, comme une invitation à mon intention. je ne pouvais m'empêcher de scruter la forme rigide de son sexe sous le tissu. Elle formait une bosse impressionnante qui en déformait l'étoffe.
Très excité par la situation, je me mis à bander moi aussi. Mon sexe se dressa dans mon pantalon de toile souple. Marc s'en rendit compte et me sourit, baissant son regard vers son entrecuisse.
Ne pouvant plus tenir, je m'approchai en posant la main sur le renflement de son sexe. Ma main entra en contact avec la bosse chaude du tissu. J’eus un frisson de plaisir en sentant la queue rigide de ce jeune homme entre mes doigts, simplement séparée par l’étoffe du tissu de son maillot de bain. Marc resta immobile, me regardant faire, mettant bien en avant son paquet moulé. Il me souriait toujours, m’invitant à continuer en serrant les fesses. Sa respiration devint plus forte.
Encouragé, je caressais plus violemment sa queue brûlante à travers le tissu. Elle s'était placée sur le côté. Il l'avait bien dure. Je sentais ses formes viriles sous mes doigts agiles. Il transpirait et suait, dégageant une forte odeur masculine, ça m'excita. Je continuais à le toucher et à le chauffer. Décidant de passer un cran au dessus, je tirai l’élastique du sous vêtement et fourrai alors ma main dans son slip. J’entrai alors en contact direct avec sa verge en érection : elle était embrasée et humide. Je la saisi sans hésitation et commençai à le masturber doucement en lui baissant le slip de l’autre main.

Il n'avait pas la plus grosse verge que j'ai vue, mais elle était bien droite et bien lisse, rigide et luisante. Elle était surmontée d’une légère toison frisée qui s’étendait jusqu’au nombril.
Le gland turgescent brillait entre mes doigts, glissant sous mes caresses de plus en plus appuyées. Je décidai de le branler quelques instants, tout en lui léchant les tétons. Il souffla de plaisir. Sa queue bien chaude glissait rapidement entre mes doigts. Marc était aux anges et gémissait de plaisir, m’invitant à continuer.
Je glissai alors à ses pieds, me mettant à genoux face à lui et lui saisi la verge à pleine main, la plaçant face à mon visage. J'observai un instant ce sexe tendu de désir vers moi, puis je décalottai son gland rougeoyant et posai la langue sur sa colonne de chair rigide. Dans la foulée, je lui lapai la veine bleue, descendant jusqu'aux couilles, puis je remontait et j’absorbai sa queue à pleine bouche, la pénétrant jusqu’à la garde.
Marc sembla halluciné par ce qui était en train de se passer, mais il se garda bien d’en dire mot, profitant bien de se faire pomper la queue en cette fin d’après midi moite. Je sentais sa bite aller et venir dans ma bouche, glissant souplement sur ma langue chaude.
Tout en le suçant bien voracement, je lui baissai le slip jusqu’aux pieds, il se retrouva totalement nu face à moi, vêtu de ses simples basket, sa verge en érection entrant et sortant de ma bouche avide. Je lui palpai les fesses tout en continuant de le téter. Il n’en pouvait plus et ferma les yeux en râlant de plaisir passant ses mains dans mes cheveux afin d’accompagner le mouvement..
Je m’attardai sur son gland brûlant et turgescent, jouant de la langue avec son prépuce et son méat. Il mouillait abondamment, répandant sa liqueur séminale dans ma bouche assoiffée de bite. Je lui léchai ensuite bien les balloches afin de l’exciter encore plus. L’action dura un bon moment avant qu’il ne décide d’aller plus loin...
Il me releva et me tomba la chemise tandis que je dégrafai mon pantalon. En quelques instants, nous fûmes nus tous les 2, l’un en face de l’autre. Nos 2 verges bandaient à fond, le gland prêt à exploser. J’avais encore le goût de son sexe sur la langue.

Il m’allongea sur l’un des bureaux et me releva les jambes, face à lui, les posant sur ses épaules. Il me releva les fesses et m’écarta l’anus tout en se branlant. Puis il frotta son gland baveux sur mon œil de bronze afin de me le dilater. Il me sourit béatement puis commença à me sodomiser lentement. Je poussai un long soupir de satisfaction durant la pénétration. Je sentais sa queue rigide entrer en moi, écartant mes parois anales.
Une forte odeur de cul et de bite régnait dans la pièce...
Il commença un va et vient de plus en plus rapide, me sodomisant de plus en plus rudement. Je voyais son visage se crisper tandis qu’il m’enculait prestement. La sueur dégoulinait de ses tempes et coulait sur mon torse. Je sentais son souffle rauque sur moi. Je me branlai tout en subissant ses assauts virils écartant bien les jambes. Sa queue me perçait le cul, je la sentais entière en moi et j’aimais ça
« Vas-y, soufflai-je, casse moi le cul à fond et jouis moi dans la bouche ! Lançai-je dans l'action.
- t’aimes ça, répondit il, salopard, t’inquiètes pas, tu vas en avoir plein le cul ! »
Il accéléra alors la cadence. Je hurlai de douleur et de jouissance sous ses coups de boutoir m’explosant le cul. Plus Il me défonçait et plus j’aimais ça. Chacun de ses assauts m’approchait de l’apothéose...
Puis, il cria à son tour et se retira soudainement. Il se branla en fermant les yeux et en grimaçant de plaisir.
« Prends ça, cria t il »
Il s’avança et colla son gland turgescent sur mes lèvres. J’ouvris la bouche afin de recevoir cette offrande virile au plus profond de moi. Une giclée blanchâtre énorme jaillit de sa queue rougeoyante et se répandit sur mon visage, m’inondant les joues d’une coulée épaisse de sperme brûlant. Avant de continuer à éjaculer, il m’attrapa la tête par le cou et fourra brusquement sa queue dans ma bouche.
« Avale ! Souffla t il » le sperme continua à jaillir dans le fond de ma gorge, telle une fontaine inépuisable.
J’en avalai, j’en recrachai, mais toujours, la semence fusait de cette belle queue tendue et ferme. Marc cria et agita nerveusement son bassin, finissant de se répandre dans ma bouche. Je le suçai fiévreusement, absorbant frénétiquement l’intégralité de sa semence chaude.
Je hurlai à mon tour en éjaculant abondamment sur mon ventre un sperme gras et épais. Ca le fit sourire et il me refourra sa queue dans la bouche.
« Continue à me sucer, souffla-t-il, si tu es bien sage, je vais t’en remettre une tournée ! Je ne savais pas que t’aimais sucer des bites, mon salaud, mais je vais t’en donner pour ton compte, fais moi confiance ! »

Le ton me surpris un peu, mais m’excita encore plus et je me mis à le sucer goulûment, avalant entièrement sa queue jusqu’à la garde afin de lui redonner de sa vigueur. Ce qui ne tarda pas...
« Oui, comme ça, dit-il en me caressant les cheveux, tu es un bon garçon, tu suces bien » Il ferma les yeux en cambrant ses petites fesses rebondies, enfournant sa queue gonflée au plus profond de ma gorge. Mes lèvres affamées se refermaient voracement sur cette bite tendue à l’extrême maintenant…
Je continuai ma fellation en fermant les yeux de désir, me concentrant sur cette tache excitante. J’avais le goût du sperme plein la bouche, des traînées gluantes me zébraient encore le visage. Sa queue continuait de mouiller abondamment dans ma bouche.
Il resta debout devant moi, les jambes écartées, encore un moment avant de se retirer de ma bouche et de frotter sa verge sur mon visage. Il me tapota les lèvres du gland en riant, étalant les traînées de sperme gluantes restantes sur ma figure..
« T’aime ça mon salaud, lança-t-il, t’aime la bite hein ? Une bonne bite bien dure dans ta bouche, ça t’excite hein ? Et une belle queue bien rigide dans ton cul ça te dit encore ? » Il continuait à me frapper le visage de sa queue tendue en riant d’un air dominateur. « Répond, reprit-il, dis le que t’aime ça, que t’as envie d’une belle bite dans ton cul.
- oui, halerai-je, j’aime ça, fourre la moi dans le cul. »
Il ricana d’un air triomphant, puis il me retourna sur le bureau et me plaqua en deux sur l’aire de travail. Il m’écarta à nouveau l’anus et entreprit de me sodomiser à nouveau. Il passa la colonne de sa verge sur la raie de mes fesses et tapota mon anus un instant avant de me pénétrer immédiatement jusqu’à la garde de son pénis rigide et brûlant, recommençant un va et vient rapide. Sa queue entra dans mon cul comme dans du beurre. J’avais l’anus en feu...

Soudain, la porte du bureau s’ouvrit nous faisant sursauter et Philippe le photographe entra, nous découvrant ainsi : Marc me serrait la taille et m’enculait prestement tandis que je suçais mes doigts.
Philippe resta un instant coi et s’approcha de nous tandis que Marc continuait à me faire reluire le cul en riant, d’un mouvement souple du bassin, pas gêné du tout de la présence de Philippe, ce qui me surprit au plus haut point. Je n'avais fini de m'étonner quand je vis Philippe s'approcher de Marc et l'embrasser à pleine bouche...

« Viens, dit Marc à Philippe, rejoins nous, il aime la bite, profites en, c’est un bon coup ! » et il rigola en me claquant sur les fesses. Je n’en pouvais plus de plaisir et l’excitation monta encore plus quand je vis avec effarement Philippe s’avancer et dégrafer son jean. Il tomba son fut’ et baissa son caleçon, révélant une imposante verge striée de veines bleues qui grossissait à vue d’œil.
Philippe l’avait vraiment grosse…
Sans aucun embarras, il se retrouva rapidement cul nu et se décalotta le gland à quelques cm de ma bouche. Sa queue était vraiment beaucoup plus grosse que celle de Marc, elle était épaisse et massive. Une nouvelle odeur de bite arriva à mes narines. Philippe approcha son sexe de mes lèvres et, sans hésiter, enfonça son gland violacé dans ma bouche ouverte. Je l’avalai fiévreusement, suçant cette nouvelle queue en érection. J’aimais être pénétré par ces 2 jeunes mâles en rut. Marc et Philippe se claquèrent dans la main en riant tandis qu’ils enfournaient leurs membres rigides en moi, me pénétrant par mes 2 orifices.

La scène dura un bon moment. La pièce sentait encore plus la sueur et le cul. Une odeur de bites persistante m’assaillait les narines. Puis, Philippe se retira de ma bouche et prit la place de Marc qui se retira. Philippe m’encula à son tour, enfonçant sa grosse verge dans mon anus déjà bien dilaté... Je poussai un cri de douleur, mais l'excitation me submergea. J’étais exsangue, totalement et volontairement soumis aux caprices de ces deux hommes en folie sexuelle.
Marc se mit face à moi et se branla rapidement en fermant les yeux. Je le vis se contracter sous l’effort, sa queue gluante était violette et rouge, le gland apparaissait à un rythme régulier entre ses doigts.
Philippe semblait proche de l’éjaculation car il me ramonait à une cadence infernale. Marc cria alors et une projection de sperme blanchâtre me frappa sous le nez et coula sur mes lèvres. J’ouvris la bouche afin de recueillir cette semence fraîche. Il y fourra à nouveau sa queue afin de se vider complètement en moi pour la deuxième fois en moins d’une heure. Je sentis avec délectation le sperme se répandre dans toute ma bouche. Quand il eut fini; il se retira doucement, frottant sa verge ramollie sur ma langue. Je lui suçotai le gland avec un plaisir réel, le lui rendant brillant et purifié de toute semence.
Philippe, dans la foulée, se retira rapidement de mon cul et s’approcha à son tour de mon visage pantelant en se branlant. Il posa sa grosse bite face à moi et éjacula à son tour une giclée abondante sur mon visage. J’avais alors un véritable masque de sperme qui se répandit sur la figure en dégoulinant sur le menton et dans le cou. Philippe continuait de se branler frénétiquement tandis qu'un sperme crémeux et très blanc continuait de jaillir par vagues, me frappant le visage à chaque giclée avec force, puis, il enfonça sa verge dans ma bouche, finissant de se vider les couilles en gémissant dans le fond de ma gorge...
Je le suçai avec allégresse, calmant le feu de son gland. J’avais du sperme plein la bouche, entre Philippe et Marc, et j’étais super excité par ce qui venait de se passer. J’avalai jusqu’à la dernière goutte continuant de lécher Philipe et Marc qui s’était à nouveau approché.
Philippe ferma les yeux tandis que je le suçai encore, m’attardant tendrement de la langue sur son gland, léchant ses grosses boules molles avec désir...Il me caressa la tête, comme j'aimais, ce qui me poussa à le pomper encore plus vigoureusement.
Marc me caressa les fesses et enfonça son pouce dans mon anus, ce qui me fit frémir. Il commença à tourner doucement, m’écartant les parois anales tandis que je continuai à tailler une pipe à Philippe qui fermait les yeux de plaisir.
Cela faisait plus d’une heure que nous baisions tous les 3 et ils avaient encore envie de mon cul et de ma bouche. Il faut dire que je mettais le paquet pour les satisfaire. La nuit était bien tombée.
Je continuais à sucer Philippe tandis que Marc m’enfilait 3 doigts dans le cul. Puis, Marc s’avança et colla sa queue sur ma joue.
« Suce-moi,-moi aussi » dit- il
Je ne me fis pas prier et j’enfournais simultanément les 2 verges de ces 2 beaux jeunes hommes en pleine fleur de l’âge. Mes lèvres passaient d’un gland à l’autre, d’une hampe à l’autre. Je les pompais de toutes mes forces. Leur semence me collait encore sur la peau du visage car je n’avais même pas pris le temps de m’essuyer que déjà j’avais repris mes fellations.
L’ambiance était torride et suintante. Le sperme s’était mêlé à la sueur, ça sentait la bite, le foutre et le cul d’hommes. Je les suçais avec acharnement depuis un moment tout en me branlant quand soudain, Philippe cria « Je jouis » et il se masturba face à moi. A genoux face à lui, je reculai un peu tandis que sa semence jaillit à nouveau de son gland rougeoyant et se répandit en dizaines de petites gouttelettes sur moi, m’inondant le visage et le torse, ce qui me fit sursauter. J’en avais de partout. J’éjaculai à mon tour en hurlant de plaisir. Marc rigola, me collant sa queue dans l’oreille, puis il recula et me fourra à nouveau sa queue ramollie dans la bouche.
Ma vision, à cet instant, n’était que bites dressées face à moi et j’exultais car j’étais le centre de ce désir au masculin.

Ce n'est que bien plus tard que nous nous sommes rhabillés. Une fois la frénésie passée, nous avons fait comme si de rien n'était, rentrant chacun chez soi, mais j'avoue que l'envie de recommencer nous prenait aux tripes...

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