La Toison De La Voisine

Je suis de la somme, j’ai aujourd’hui 35 ans. Depuis mon adolescence je suis ami avec des voisins qui ont maintenant 57 ans : lui est artisan et sa femme travaille dans un restaurant. A l’époque de mes vingt ans mes parents avaient un mobil home en baie de somme, quand ils n’y allaient pas ils le proposaient à nos voisins. Bien souvent, Maryse, la voisine finissait le week end toute seule, je ne comprenais pas son mari car fréquemment il la faisait pleurer. Jamais de gestes tendres envers sa femme pourtant c’est une femme coquette blonde cendrée toujours coiffée en brushing, les yeux bleus, toujours en robe avec des talons. Un jour nous avons été invités avec mes parents à leur étang pour passer un ou deux jours avec eux. Comme il faisait chaud, ma voisine se mit en maillot de bain une pièce de couleur noire et s’installa sur une chaise longue pour bronzer. Sans me faire remarquer, je matais son entrejambe car quelques poils pubiens blonds dépassaient de l’échancrure de son maillot. Elle ne se rasait pas ce qui me donnait de sacrés érections. Lorsque que je passais à sa hauteur, elle releva les genoux pour mettre ses jambes de cotés afin de cacher son intimité. De ce jour la Maryse se rapprocha de moi, elle se rendit compte que j’avais le béguin pour elle, elle me charriait et je la voyais plus souvent peut être pour combler l’absence de Robert son mari. Elle s’arrangeait toujours pour placer ses seins sous ma figure ou ses fesses mais ma mère voyait cela d’un mauvais œil. Maryse qui avait à l’époque 42 ans mit ses distances car elle ne voulait pas se brouiller avec mes parents puis un jour sachant que mes parents étaient au Maroc elle m’appela à mon bureau à neuf heures car elle devait faire des courses et elle voulait me voir. Je lui dis de venir vers onze heures car je ne travaille pas l’après midi. Maryse me dit : tu te doutes pourquoi je te vois moins ? Ta mère se met entre nous alors qu’il n’y a rien. Je lui réponds tu te fais des idées, va faire tes courses et rejoins moi vers onze heures.

En fin de matinée, Maryse frappe à la porte vitrée de mon bureau, elle porte une robe courte moulante blanche avec un bandeau dans ses cheveux et des nus pieds. Une fois rentrée elle enlève ses lunettes de soleil et pose son sac sur mon bureau, elle me dit : on ne risque pas de rentrer subitement ? Je lui dis non car tout le monde est presque partit. Elle m’embrassa sur la bouche et en plongeant ma main dans son décolleté je réponds à son baisé longuement. Maryse était penchée sur le bureau, je passais ma main à ses fesses et lui demandais d’enlever sa culotte. Elle me dit en s’asseyant face à moi et en écartant les cuisses : toi enlève la ! Je me levais et allais fermer le verrou de ma porte et revint m’asseoir. Sa culotte blanche était trempée de son jus de femme, les poils de son entrejambes étaient drus, ils remplissaient bien sa culotte que je lui enlevais. Maryse appréciait mon cunnilingus, son clitoris gonflait sous mes coups de langues. J’avalais ses poils mais quel bonheur ! Elle me dit : tu suces bien, vas y continue… Elle prit sa culotte et la serra dans sa bouche pour ne pas hurler de plaisir, j’avalais sa mouille. Une fois calmée de son orgasme vaginal, Maryse se réajusta et nous quittâmes le bureau. Je l’invitais dans un hôtel restaurant…
Je vous raconterais plus tard la suite…