Un Part De Mon Jardin Secret
Je venais de me faire « mettre en congés » par celle que je croyais être la femme de ma
vie. Oui, nous avions eu une relation pendant 10 ans, de mes 20 à mes 30 ans et de ses
18 à ses 28 ans. Autant dire, le genre dhistoire qui marque un homme, un jeune homme en tous cas.
Un peu perdu et en quête de « je ne sais quoi », jai fait comme beaucoup de monde à lépoque. Je me suis connecté à internet un soir au bureau après que tous mes collègues soient partis.
Jai découvert, le « Tchat Wanadoo ». Cétait un peu nouveau, mais pas vraiment avant-gardiste. Nous étions en 2002, cétait la fin de lété.
Au bout dun moment, en quelques soirées, je suis devenu presque accro. Javais pris lhabitude de discuter sur le « géné » avec dautres Internautes anonymes sur le « salon jaune » de Wanadoo.
Un soir je capte lattention dune certaine Zoé13. Nous habitons tous les deux à Marseille, nous avons à peu de chose prêt le même âge. Je sens dès le début que jai affaire à une fille intelligente. Elle aussi a fait un passage à lécole de commerce où jai fini mes études.
A force déchanges, nous nous constatons que nous sommes du même milieu, tous les deux en plein doute sur le plan affectif.
Le courant passe bien, je la fais rire, elle me fait marrer. Nous nous entendons bien. Nos conversations sont pleines dallusions « sexies ». Peu à peu, nous avançons dans lintimité de lautre. Nous dévions vers une conversation assez orientée vers le sexe. Nous partageons nos expériences, elle me dit quelle me confirme que la taille de la queue nest pas super importante, quil faut quelle soit bien rigide, qua choisir, il vaut mieux que ce soit large que long. Je lui livre mes secrets intimes, que jadore brouter le minou, que je nai pas encore fait lexpérience de la sodomie, que nous ne baisons plus beaucoup avec ma copine
quil y a un truc qui coince. Nous lâchons tout sur tout. Elle a dans sa vie un certain David avec qui elle nest pas certaine de vouloir construire.
Elle finit par me dire : « ça te dit un scénario ? ». Quest que cest que ce truc là ? En gros elle me propose de jouer à se séduire et plus si affinité par internet. Nous avons un échange très chaud au cours duquel chacun joue son propre rôle. Nous nous amusons bien.
Le lendemain, cest la même chose, mais cest lescalade. Notre désir monte de part et dautre des ordinateurs. Nous en venons à nous téléphoner. Ce que nous avons fait avec nos claviers, nous devrions le faire au téléphone. Nous nous parlons, cest la première fois que jentends sa voix. Elle a un léger accent marseillais, mais ses phrases sont bien construites. Cest une fille qui a de léducation, pas une poissonnière ni une « cagole » comme on peut dire ici. Son débit est rapide. Sa répartie est vive. Elle a de lhumour, elle constate que je nen suis pas totalement dépourvu. Je passe de bons moments avec elle.
Nous faisons lamour au téléphone, je ne sais plus ce que je lui raconte ni ce quelle me dit mais je me souviens dune chose : une soir à minuit passé, je me trouve assis sur la moquette dans mon bureau à jouir au téléphone, la queue entre les mains, en train découter et de lui raconter des cochonneries.
Un autre soir, nous démarrons notre conversation alors que je quitte les bureaux, il est encore une fois très tard. Nous continuons à nous exciter au téléphone. A un moment, elle me dit quelle va jouir et quelle veut que je laccompagne. Je me pose sur un grand axe de Marseille en bordure dun parking de supermarché. Je jouis une fois de plus dans un mouchoir en papier.
Au bout dune semaine environ, titillés par nos échanges virtuels et vocaux, nous décidons de sauter le pas et de ce rencontrer « pour de vrai » comme on disait en primaire.
Nous convenons de nous retrouver sur le vieux port, dans un endroit dans lequel il y a beaucoup de monde. Ce sera à lheure de lapéro sur la terrasse du bar de la Marine. « Tu me reconnaitras, jarriverai à lheure, jaurai un t-shirt bleu assez distinctif, jai les cheveux très court
ok, je te fais passer une photo. »
Le soir en question, me voilà avec mon t-shirt « Pornstar » bleu. Il met en scène de manière schématique, mais non moins explicite, un homme qui prend en levrette une nana qui elle-même est en train den lécher une autre. Cest fin, cest distingué.
Elle arrive, sur la terrasse, je lui tourne le dos, elle ne me remarque pas. Je ne la vois pas savancer. Se présente à moi une jeune femme très bronzée, ses dents sont très blanches.
Elle est superbement souriante. Je ne dirais pas que je lai trouvé très belle, mais elle me convient. Elle regarde le t-shirt et me dit : « au moins, cest clair
». Elle a raison, je me dis que je ne suis pas prêt à retomber amoureux. Nous avons eu un échange purement sexuel, très agréable, ne jouons pas à autre chose. Ne nous mentons pas. Elle veut du cul, jen veux aussi. Nous verrons bien.
Son sourire et sa pêche surpassent tout ça. Elle narrête pas de parler. Nous parlons a cur ouvert, cest la première fois que je me retrouve à parler avec un fille sans aucune retenue. Elle peut tout me demander, je lui répondrais sans calcul. Sans tenter de lui plaire ou crainte de lui déplaire. Après ce que nous avons fait via le web et le téléphone, la glace est déjà largement brisée. En quelques soirées, je lui en ai plus avoué quà mes meilleurs amis en plusieurs années. Nous échangeons sans retenue sur nos intimités respectives. Nous enchainons lapéro à la Marine, le diner au NPA et puis après un autre verre je ne sais ou
Et enfin arrive le moment ou je pose la question.
Je prends ma 106, elle monte dans sa Ford fiesta presque aussi moche que ma propre voiture. Je la suis jusquau bout du boulevard Longchamp. Juste au pied des marches du palais. Elle habite le dernier étage dun immeuble bourgeois mais sans ascenseur. Au bas de limmeuble, des plaques de médecins et davocats entourent une lourde porte assez vieille mais belle. Elle me dit quelle est la seule à vivre ici la nuit, quelle peut faire tout le bruit quelle veut, que les gens qui ont leurs bureaux ici ny vivent pas.
Je pénètre dans un petit appartement ni très coquet, ni très rangé. Elle na pas fait deffort pour impressionner son futur amoureux. Une fois de plus je me dis que nous ne nous mentons pas.
Un canapé fait face à une télé et une table basse les sépare. Cette pièce fait à la fois office de salon et de cuisine. Cest un studio typique du « jeune actif ». Elle minvite à minstaller sur le canapé. Elle me sert un verre de Perrier bienvenu après la soirée un peu arrosée.
Elle sassied à son tour et très rapidement, elle sallonge sur ce divan, sa tête posée sur mes cuisses. Cest le feu vert. En tout cas, je linterprète comme tel. Je lui caresse le bras, le ventre à travers son chemisier. Elle ferme les yeux, elle semble sabandonner. Je remonte sur ces seins, qui ne sont pas très gros. Je passe sous ses vêtements « à laveugle », elle a la peau douce. Elle ouvre les yeux. Je tends le cou pour venir chercher un baisser. Je lembrasse goulument en la caressant. De son ventre jarrive à sa taille. Je glisse ma main sous sa jupe. Je reste au dessus de sa culotte. Je la sens est un peu humide à travers le tissu. « Tu as ce quil faut ? » me demande telle ? Quel con !!! Je suis venu sans me outils. Je métais moi-même persuadé quil ne se passerait rien. Je métais jeté dans le gueule du loup sans y croire vraiment. Jai en face de moi une fille qui est ouverte, et je suis dans son appartement.
Au moment au je rentre dans lappartement, Marie (Cest ainsi que nous lappellerons) viens de faire une « pause salle de bain ». Elle apparaît en culotte et petit top. Ses seins pointent sous le tissu fin. Elle minvite à la rejoindre dans sa chambre. Nous nous installons sur son lit, nous nous embrassons. Je sens sa langue très agile titiller la mienne, je suis excité comme un adolescent. Moi qui ai été fidèle durant dix ans, je suis le point de coucher avec une autre fille. Jai un peu limpression dêtre un puceau. Je suis « tout dur de partout » comme dirait Greg le millionnaire. Pendant que nous nous embrassons, elle me déshabille. Elle plonge la main dans mon caleçon et, me regarde dans les yeux, avec lair de la fille qui vient davoir une bonne surprise, et me dit : « oh, mais tu as un gros kiki toi !!! ». Je suis nu avec elle, nous nous chauffons, je caresse son corps très bronzé. Sa peau est si douce que lorsque, encore aujourdhui, jessaie davoir une pensée agréable, je pense à ce moment. Elle a une jolie marque blanche à la place de son bas de maillot dont on devine que ce nest pas un modèle pour lequel on a utilisé beaucoup de tissu. Je découvre une jolie chatte très entretenue. Un joli ticket de métro surplombe des lèvres charnues et très brunes. Ma main sy promène. Elle mouille à fond. Lorsquelle empoigne ma queue pour lui offrir des mouvements de va et vient, je sens que je suis très très excité (et cest un doux euphémisme. Un peu trop sans doute pour assurer une prestation à la hauteur des ambitions de la demoiselle). Elle me branle doucement durant une vingtaine de secondes et se mets à me sucer magnifiquement. Je me souviens encore de cette sensation. Cette fille suce comme personne. Très agréablement surpris, je lui dis : « Mais tu suces comme une déesse !!! » Elle ne sen laisse pas compter, elle continue à me pomper. Elle avale une bonne moitié de ma verge qui disparaît derrière ses lèvres. Elle aspire beaucoup et serre bien les lèvres. Je ne sens pas du tout ses dents (Maintenant les filles, vous savez comment faire
). Cest magnifique. Je me tends de plaisir, elle ne voit pas venir le danger. Je lui éjacule dans la bouche. Elle avale le tout sans sourciller. Elle reste pendue à ma queue comme un bébé au sein de sa mère jusquà la dernière goutte.
Je nai pas été brillant, jen suis bien conscient sur le moment. Elle boit une gorgée de
Perrier, se colle contre moi et me fait savoir dans un langage sans détour que je ne suis pas le grand baiseur quelle espérait : « Et bien, tes un rapide toi. Je plains ta copine ».
Ma relation battait vraiment de laile, mais je nétais en effet pas encore totalement libre
je men souviens maintenant.
Après un bref (jai 30 ans, ne loublions pas
) intermède, et quelques gorgée de Perrier.
Nous revenons à nos affaires, gentiment. Je lui caresse le bas ventre avec mon visage, le lembrasse, je descends en direction de sa petite touffe. Je passe mes lèvres sur la toison pour arriver enfin à son clitoris que je lèche dabord avant de le pincer entre mes lèvres.
Je la broute doucement, elle me tient la tête, me la caresse parfois comme on félicite un bon chien. Jaime cette chatte qui mouille mon menton. Je sens sa respiration qui saccélère. Ses mains se font plus pressantes sur ma tête et mes épaules. La sentant à fleur de peau, prête, je la garde allongée sur le dos. Je lui relève les jambes en lui remontant ses genoux de part et dautre de sa poitrine. Sa vulve est ouverte. Jy introduis mon gland et doucement et fermement je my enfonce de tout mon long. Elle ouvre les yeux et me confirme que mon « kiki » est toujours aussi « gros ». Je lime doucement en plaquant mon corps contre le sien, nous transpirons beaucoup. Je prends grand plaisir à la pénétrer très profondément et à coller mon pubis contre lentrée de sa chatte. Nos corps tremblent. Très excité et pourtant très appliqué, je ne la comblerai pas totalement.
Décidément, fait chier
Ce soir là, nous ne nous endormirons pas ensemble. Dailleurs, je ne me souviens pas davoir passé, même par la suite, une nuit complète avec elle.
Le lendemain soir, nous échangeons encore sur le salon jaune de Wanadoo.
Zoé13 - Alors ? Tout va bien ?
Tom13 - Oui, jai peu, mais bien dormi. Ai passé la soirée avec une copine. Je me suis couché tard.
Zoé13 - Ah bon ? Une bonne soirée ?
Tom13 - Oui. Super. Mais jai un petit regret.
Zoé13 - Dis-moi.
Tom13 - jaurais aimé tenculer.
Zoé13 au moins cest direct
Nous repassons la soirée à parler de tout, de choses et dautres, de nos doutes sur la vie à deux
Nous nous revoyons pendant quelque semaine, en copains. Un jour, elle minvite à une soirée dans laquelle elle a de nombreux amis venus, semblent-il, de nombreux horizons.
Je me retrouve à papoter avec lune ses copines, qui me demande qui je suis. Comment, et par qui jai été invité. Normal, elle se renseigne sur une nouvelle tête. Je crois bien quelle est chez elle
.
« - Tu es un copains de Marie ?
- Oui
- Ça fait longtemps que tu la connais ?
- Non. Quelques semaines.
- Vous vous êtes rencontré sur Internet ? »
- Après une petite hésitation, je réponds un peu penaud : « Oui, elle ten a parlé ?
- Pas spécialement, mais cest son truc en ce moment. Cest marrant, tes pas mal pourtant !
- Vous avez couché ensemble ?
- Oui. »
Je comprends alors que jen ai trop dit, je suis assez gêné. Embarrassé parce quelle sait que je suis capable de rencontrer via le net. Chose que je pensais, moi-même, jusqualors réservée au boutonneux informaticiens. Jai sans doute en même temps un peu « grillé » Marie.
Lintéressée arrive, sur ces entre- faits.
- « Vous parliez de quoi.
- Je disais comment nous nous sommes rencontrés. »
Je comprends alors que je viens de trop en dire. Que, si tout est permis entre nous, si nous pouvons tout nous dire, nous faisons cependant chacun partie du jardin secret de lautre.
- « Tes pas gêné, est-ce que je vais raconter à tes copains que tu es un mauvais coup
?
- Désolé ».
Ce soir là, nous nous quitterons un peu froissés sans même un petit baiser pour marquer la trêve. Je rentre assez tôt.
Une autre fois, elle minvite à passer une soirée dans un bar musical dans lequel elle a ses habitudes. Vous trouvez peut-être que je me fais beaucoup inviter. Cétait en effet le cas à lépoque. Traversant une passe très difficile sur le plan affectif, javais plus tendance à me laisser trainer quà être un moteur pour les autres. Marie, en amie, était un peu ce moteur pour moi.
Le bar sappelle la Fiesta, cest à coté du Cours julien. Le soir, nous y retrouvons lune de ses copines avec qui nous passons la soirée, cest détendu. Nous parlons de tout et de rien, elle me fait savoir que cette copine est au courant de tout ce quelle fait, quelle sait que nous nous sommes rencontré sur le net et quelle sait aussi que nous avons baisé et que je ne suis pas un « super coup ». Nous sommes donc en confiance. Boosté par les apéritifs qui senchainent, nous dansons une bonne partie de la soirée. Marie ne se comporte pas comme si nous étions ensemble. Normal, nous ne sommes pas ensemble.
Des gars dansent avec elle, elle va et vient, passe de bras en bras et me revient parfois.
Alors que nous dansons à un moment assez proche lun de lautre, je sens de temps en temps une main qui me caresse la braguette. Je passe décidément une excellente soirée.
Nous picolons pas mal. Mes mains se baladent de temps en temps à la naissance de ses fesses au gré de nos danses de plus en plus guidées par la musique et les boissons qui nous enivrent. Arrive 1 heures du matin, le bar ferme. Direction le Trolley bus. Nous continuons à picoler, nous dansons de plus en plus chaud.
A un moment, sur une musique qui appelle le coup de rein, elle est dos à moi, mon bassin est collé à ses fesses. Nous bougeons au rythme de la musique. Mes mains se promènent sur son ventre. Ses doits caressent mes cuisses. Je passe sous son t-shirt, je suis en contact avec sa peau, mes mains sont sur son ventre. Son ventre se rentre comme pour me laisser la place pour fourrer ma main dans son pantalon. Me voilà en public ne train de mabandonner, jai ma main dans sa culotte. Se chatte est humide, jy plante mon majeur. Comme nous ne sommes pas seuls sur la piste, elle retire ma main en me retenant le bras. Personne ne nous a vus. Elle repart danser avec un autre.
Elle joue avec moi, elle veut bien me faire sentir quelle est libre, quelle nest pas ma nana. Elle danse avec dautres mecs. Je ne les trouve évidemment pas à mon gout. Elle flirte avec eux. Elle reçoit avec le sourire les mots quils lui glissent à loreille. De temps en temps, elle croise mon regard et puis me quitte des yeux pour fixer un autre. Arrive lheure où il faut sen aller, nous nattendons pas la fermeture et lallumage des lampes, moment trop difficiles des fins de soirée ou les patrons de boites vous demandent de quitter les lieux alors quil allument des néons à vous rendre aveugle. Au moment où nous sommes dehors, elle enlace encore un jeune brun. Il cherche à la peloter, elle détourne ses avances en ne lui offrant pas sa bouche et en lui repoussant les mains. Mais elle garde ses bras autour de son cou, cest un peu comme si elle écartait les cuisses en lui disant : « non, tu ne mauras pas ». Nous sommes tous ivres.
Je monte dans ma voiture. Elle monte dans la sienne. Je prends mon téléphone, je fais son numéro, elle décroche :
- « Je peux venir chez toi ce soir ?
- Si tu veux, on verra bien.
- Si tu es trop fatiguée, cest bon, je rentre.
- Non viens, jai envie dêtre avec toi. Mais tu ne restes pas, demain, jai rendez-vous avec David à 11h. Il vient me chercher.»
Les relations entre garçons et filles, sont quand même tordues. Elle a passé sa soirée à jouer avec moi, pour que je sois à se pieds. Et jy suis.
Nous nous garons, nous montons ensemble lescalier. A chaque étage, cest une tentative de pelotage. Elle me repousse et remonte dun niveau en se marrant. Nous arrivons dans son appartement. Nous filons directement dans sa chambre, nous nous déshabillons mutuellement. Nos gestes sont un peu brouillés, nous sommes passablement éméchés.
Je lui mange les seins, elle est sur le dos. Je suis sur elle. Ses jambes sont écartées, elle est offerte. Je descends sur son minou que je broute avec délice. Je la pénètre lentement, nos corps se serrent. Nous passons un petit moment guidés par des « va et vient » doux.
Nous sommes bien. Elle me regarde dans les yeux, et me dit : « Prends-moi par derrière ».
A son ton je comprends quelle ne parle pas de levrette mais quelle veut me faire un cadeau, me laisser un souvenir inoubliable. Elle se met sur le coté et moffre sa croupe.
Je lui lèche le minou et son petit trou en prenant soin de bien lubrifier lobjet du fantasme.
Je positionne mon gland très dur à lentrée de son anus. Elle prend ma queue et la guide de sa main. Elle pose une main sur mon ventre comme par crainte dune douleur. Je menfonce doucement. Elle retire sa main. Jy vois le signe quelle ne souffre pas. Cest très serré. Cest une sensation que je découvre et que jaime instantanément. Je sens que si je vais trop fort ou trop loin, je peux lui faire mal. Cest un sentiment de puissance et de confiance qui me remplit. Cest ma première sodomie, je tiens ses fesses fermement et je les écarte pour voir ma queue dans ce nouveau contexte. Je jubile. Elle gémit de bonheur sans atteindre la jouissance. Nous navons pas mis de préservatif. Elle me demande « jouis-moi dessus ». Je me retire. Elle se met face à moi sur le dos, elle empoigne ma queue et la presse jusquà ce que je gicle sur ses seins, son menton, son ventre. Elle est ravie. Elle continue à me malaxer la verge, elle en retire les dernières gouttes. Elle porte sa main à se bouche et se délecte de ma semence. Elle me fixe droit dans les yeux. Elle passe sa main sur son ventre, ses seins, son corps et avale tout mon sperme. Elle se lèche les doigts un à un. Elle me sourit lair très contente delle. Je dois être dans un rêve.
Nous nous sommes endormis, lun dans le bras de lautre usés que nous étions par lheure avancée dans la nuit, par le sexe, par lalcool ingurgité. Vers 10h du matin, jai ouvert un il. Il était temps de prendre congé si je ne veux pas avoir affaire à un homme jaloux. Je ramasse mes affaires en silence, je récupère des capotes leurs emballages que je prends bien soin de ne pas mettre dans la poubelle, je range la bouteille des Perrier et mets au lave vaisselle les deux verres. Très méthodiquement, jefface les traces de mon passage. Je laisse Marie endormie.
11h00 : David vient chercher Marie, elle se réveille.
- « Tu as bien dormi ?
- Oui.
- Habille-toi vite, nous sommes attendus à Aubagne. »
Le soir, je reçois un e-mail qui dit à peu prêt ceci : « Merci pour hier soir, tu tes largement rattrapé de la première fois. Merci pour avoir tout ramassé avant ton départ. Jai passé une super soirée avec toi et une excellente journée avec David. Je laime bien
. »
Et puis peu à peu nous nous sommes éloignés. Nous nous sommes recroisés à la faveur dun passage shopping en ville par hasard.
Nous avons échangé quelque e-mails.
Marie sest marié avec David, ils ont eu 2 petites filles.
Il y a quelques mois, nous avons un peu échangé par mail. Nous sommes restés très intimes. A la fois curieux de se revoir et décidés à vivre pleinement nos vies, chacun de son coté.
Un jour, Marie était de sortie programmée entre filles. Elle me fait savoir quelle va boire lapéro sur la place aux huiles, que je naurais quà passer par là, par hasard, laborder en lui disant que ça me fait super plaisir de la voir.
- « Alors que deviens-tu ?
- Et bien tout roule, je bosse toujours à Marseille. Ça fait super plaisir de te voir.
- Tu bois un coup avec nous ?
- Oui, avec plaisir, mais je ne vais rester longtemps.
- Tu es attendu ?
- Non, mais je ne voudrais pas vous déranger, cest une soirée filles ?
- Oui, mais tu es le bienvenu ; Alors donne moi de tes nouvelles.
- Bof, ça ne va pas trop mal
. Jai une petite copine avec qui je me pose pas mal de question. Je ne sais pas si nous avons un avenir ensemble. Elle habite Dijon et moi
Marseille
. En plus cest une ancienne amie, je ne sais pas si nous pourrons aller plus loin. Et puis tu sais, on cur nest pas tout à fait cicatrisé de mon ancienne histoire
patati, patata
»
Nous avons enchainé ensuite sur un restaurant de la rue Sainte, une petite ruelle qui surplombe le port de Marseille, avant de finir dans une boite ou des corses jouent de la guitare en live.
Jai passé la soirée avec ces quatre filles, la plupart Maman en quartier libre. Cétait un moment sympas, nous navons pas flirté car toute les amies de Marie connaissent et apprécient son époux. Elles la connaissent en tant que maman. Nous sommes restés discrets. Je ne suis en fait même pas sur quelle laurait souhaité.
Le lendemain, nous avons un peu débriefé par messagerie. Apparemment, les filles avaient un peu senti le coup monté. Mais chacune est restée muette.
Dans les années qui ont suivi, nous nous sommes donné des nouvelles par e-mail.
Un jour, nous avons tchaté à nouveau sur msn. Nous étions tous les deux contents de nous retrouver, un peu excités. « Tu veux faire lamour au tel ? » Nous lavons refait et passé un excellent moment.
Le lendemain, elle me fait savoir que cette « mise en bouche » lui a donné un coup de fouet. Que le soir venu, elle a sauté sur son mari et lui a fait « la totale avec grosse fellation et sodomie ». Je lai un peu titillé pour la revoir, avec le secret espoir de coucher à nouveau avec elle (je lavoue). Mais elle résiste : « je suis une maman maintenant. Tu imagines si mon mari le sait. Ce serait trop grave
» Elle a raison. Ce serait grave pour moi aussi dailleurs.
Récemment, je lai retrouvée sur « facebook », je lui ai demandé son amitié. La réponse est toujours en attente de confirmation
.
Si elle lit cette histoire, et quelle se reconnaît, je voudrais quelle sache que je lui garde une place bien particulière dans mon jardin secret.
Fin
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