Le Cycliste

Ce jour là, j’allais travailler en prenant la petite route des Milles, à côté d'Aix en Provence. J’arrive au croisement du passage à niveau quant je vois un cycliste uriner, debout sur le bord de la route en train de se secouer la nouille, la purifiant des dernières gouttes qu’il envoyait gicler dans tous les sens. Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais j'ai ralenti afin de mieux profiter de la scène, essayant peut être d'apercevoir ce qu'il se tripotait…
En passant derrière lui en voiture, je l'observai en détail. Il serrait son petit cul, les jambes bien écartées, dans une position semi érotique. Il était vraiment bien foutu : hanches fines, épaules carrées, mince et athlétique, tout ce que j'aime chez un homme.
Aussitôt, je m’arrête, et, prise de folie, je m'entends lui dire : « vous me montreriez ce que vous agitez entre vos doigts ? »

Le jeune homme sursaute et tourne la tête vers moi. Il me regarde un instant et se retourne doucement en laissant pendre un instrument dont la taille me laissa pantoise : une vraie saucisse de Toulouse, grosse et épaisse avec un gland rougeoyant et luisant dépassant de son prépuce... "Waouh !" me dis-je, "j'en ferai bien mon quatre heure !"
« C'est ce que vous vouliez voir ?, dit-il d'un ton naturel
- Approchez, je vois mal d’ici. ». "Je dois devenir folle" pensai-je, " Je ne le connais même pas ce type". Mais une autre petite voix dans ma tête me lança "Vas y ma fille, tu en meurs d'envie"
A ma décharge, je préciserai que j'étais célibataire depuis plusieurs semaines et qu'une bonne partie de jambes en l'air me trottait par la tête depuis un bon moment.
Le beau jeune homme regarda autour de lui, comme pour être sûr qu'il n'était pas observé par d'autres personnes que moi, puis il s’approcha à hauteur de ma voiture et se posta d’un air triomphant, les jambes écartées, son gros sexe à quelques cm de mon visage. Je le scrutai un instant et constatai que la situation devait l’exciter car je vis sa verge grossir et se redresser à vue d’œil jusqu’à arriver à un garde à vous en règle.


Le gland violacé se dressait agressivement vers moi. Une goutte humide trônait sur le bout du gland gonflé, tel un diamant sur un écrin de velours rubicond.
Je levai les yeux vers mon cycliste, le regardant en face pour la première fois. Il portait des lunettes noires. Il avait un beau visage mince, aux mâchoires carrées et les cheveux bruns coupés courts. Sûr de lui. Il me sourit d'un air triomphant.

« Il reste une goutte, me dit-il.
- approchez que je la nettoie » répondis-je du tac au tac.
Je ne me reconnais plus en disant cela. Moi qui était si prude en tant normal. Après coup, je mettrai tout ça sur le compte d'un désir de situation soudain et incontrôlable…
Il s’approcha et je lui passai un coup de langue sur le gland, le purifiant de toute trace de liquide... Il se cambra, la bite bien en avant. Cà lui avait plu semblait-il.

« Il y en a encore, me dit il, tendant bien son sexe vers moi.
- Effectivement ! » Et joignant le geste à la parole, j’ouvris grand la bouche et posais mes lèvres autour de son gland brûlant. Le cycliste soupira tandis que ma bouche s’activait sur le bout de sa verge. Je commençais ainsi une fellation sur le bord de la route ! Le truc de ouf qui ne m'était jamais arrivé et que je n'aurai jamais crû être capable de faire !
Tout en le suçant, je me disais que j’étais folle de pomper ce bel inconnu, mais le désir était trop fort sur l’instant. Je sentis ma petite culotte se tremper...
Des voitures passaient, ne semblant pas remarquer notre petit manège. Mon cycliste s’était appuyé des deux mains sur le toit de la voiture, comme s’il me causait, tandis que j’étais passée à la vitesse supérieure, suçant royalement et sans pudeur cette grosse verge en érection.
N'en pouvant plus, je glissais une main dans ma petite culotte, commençant à me doigter allègrement. Par bonheur, nous étions en juin et je portais une jupe courte, ce qui me facilita le travail. Mon clitoris était gonflé et humide à souhait.
Mes doigts glissèrent avec délice sur mes lèvres et tournèrent autour de mon bouton d'amour frémissant de désir. L'instant était délicieux.

« On bouge" m’ordonna-t-il au bout d’un moment et il se retira de ma bouche à mon grand dépit.
Il attrapa son vélo et ouvrit le coffre de ma voiture afin de le mettre dedans. Puis, il s’assit à côté de moi à la place du passager avant. J'ai alors détaillé son corps d'un regard. Il avait un ventre plat sous son maillot de corps coloré, de belles cuisses musclées et légèrement velues et surtout, il avait rangé son instrument d'amour dans un short cycliste hyper moulant ce qui le rendait encore plus excitant.

J’ai démarré sans me poser de question, à la recherche d'un coin tranquille dans la campagne aixoise. Au carrefour suivant j'ai tourné à droite en direction de l'aqueduc de Roquefavour et je me suis enfoncée dans les petits chemins de campagne,
«- je ne serai pas à l’heure au boulot » me dis-je.

Tandis que je conduisais, il glissa une de ses mains sur ma cuisse et la remonta vers mon intimité. Sa main chaude glissa sous ma jupe et termina sa course entre mes jambes que j'écartai tant bien que mal afin de lui faciliter la tâche. Il me caressa à travers ma petite culotte qui était à présent trempée de désir. Chacun de ses effleurements augmentait mon envie de baise sauvage dans les bois avec ce bel inconnu ! Le salopard faisait durer le plaisir… Il glissa alors sa main dans mon sous vêtement et passa un index doux dans la fente brûlante de mon entrecuisse. Je me senti défaillir de bonheur sous ses caresses.
Je lâchai alors le levier de vitesse et, gardant une vitesse lente et prudente, je posai ma main sur la bosse remarquable de son sexe qui semblait dans son petit short moulant. Il était brûlant. Sa bite était très dure et remuait par à coups sous mes cajoleries. Je l'entendis soupirer de plaisir.
Je lui baissai alors le short afin de libérer le fauve et saisi directement son membre entre mes doigts.
Nous étions en folie dans ma voiture.
Après quelques Km, nous n’avions toujours pas ouvert la bouche, mais nous continuions à nous chauffer mutuellement. Ses doigts s'étaient aventurés avec bonheur dans mon intimité à plusieurs reprises et moi je le branlais tout en conduisant. Son sexe était très humide à présent, le liquide séminal s'évacuant abondamment de son gland. Il avait tombé son short à ses pieds.

Nous avons enfin tourné dans un petit chemin forestier proche de l’aqueduc et nous nous sommes arrêtés près d'une petite clairière isolée. J'arrêtai le moteur de la voiture. Nous nous sommes observés un instant en silence. Sa queue se dressait entre ses cuisses musclées. Il me saisit alors la tête et me la baissa vers son membre dressé. Je me laissai diriger avec émotion. Il me caressa les cheveux tandis que je commençai à lui tailler une pipe qu’il sembla apprécier.
Sa bite gonflée entrait et sortait langoureusement de ma bouche, répandant sa liqueur séminale dans ma gorge. Je m’attardai sur le gland, léchant avec ferveur sa hampe en feu.
Au bout d’un moment, il retira totalement son short cycliste. Je constatai qu'il ne portait pas de slip dessous ce qui m'excita encore plus. Il se retrouva cul nu dans la voiture. Je pouvais ainsi mieux le sucer tout en lui caressant les bourses. Il souffla tandis que ma langue passait sur ses testicules pleins à craquer. J’en absorbai un puis l'autre, et je remontai le long de sa colonne de chair. Je sentis sa verge vibrer sous les assauts de ma langue.
« Tu aimes ? » lui demandai- je d'un air coquin.
- Tu suces comme une reine » me répondit-il.
En temps normal, le type qui m'aurait dit ça se serait pris une gifle, mais là, ça me stimula encore plus. Je continuais donc à lécher son gros membre raide et chaud, l'avalant entièrement malgré sa taille. La liqueur séminale formait des amas blanchâtres dans la commissure de mes lèvres que je retrouvais autour de son sexe.
Au bout d’un instant, il râla de plaisir « Vas plus vite, ça vient » grogna-t-il en haletant.

"Déjà ?" pensai-je mais je m’activais tandis qu’il secoua son bassin et qu’une grosse giclée de sperme incandescent et épais se répandit dans ma bouche. Il en cracha un flot qui semblait ne jamais s'interrompre et ce doux salopard m'appuyait sur la tête afin de bien être sûr que je ne rate rien… J'avoue que ce petit côté dominateur me rendit folle d'excitation. Sa verge était entièrement en moi et jouissait dans le fond de ma gorge.
Je tentais de tout avaler sans me poser de question en gémissant de plaisir… Mais il y en avait trop, du coup j'en recrachai une partie qui coula sur mon menton. Il se calma alors et se retira de ma bouche. Il décida alors d'étaler sa semence sur mon visage avec sa verge encore raide. Je fermais les yeux en souriant.
Puis, nos regards se croisèrent et il passa ses doigts sur mes joues et mon menton, récoltant son sperme. Il me fit ouvrir la bouche et récupérer sa semence encore chaude que je me fis fors d'avaler en lui léchant les doigts.
J'étais tombée sur un petit cochon ce qui n'était pas fait pour me déplaire…

Autant vous dire de suite que je ne suis pas allée travailler cet après midi là. On a baisé jusqu'au soir dans ce petit bois et je peux vous avouer qu'en quelques heures j'ai rattrapé les semaines précédentes d'abstinence…

Je vous donnerai des détails une prochaine fois, si je parviens à me souvenir de tout ce qu'on fait :).

Le plus fou dans cette histoire, c'est que je n'ai jamais revu mon coquin de cycliste et surtout que je ne sais même pas comment il s'appelle…

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