Couple Magrebin À Paris (Chapitre 1 Et 2)

L’époux de Nadia
Chapitre 1
J'étais bien naïf quand j'étais jeune. Alors que ma future femme me refusait tout rapport sexuel avant le mariage, je supposais que c'était normal, et que c'était là une attitude tout à fait respectable de sa part, la réaction naturelle d'une gentille fille bien élevée et fidèle à son éducation.
Ce ne fut que plus tard que je découvris que Nadia n'était pas si "respectable" que ça !
Mais pour le moment j'étais aveuglé par les courbes douces de ses larges seins, fermement tenues par de fins soutiens-gorge, ou par les merveilleuses rondeurs de ses fesses attirantes.
Nadia adorait que je joue avec ses seins, et m'y encourageait même. Elle riait devant mes nerveuses et tremblantes tentatives de toucher ses tétons, dignes d'un adolescent, mais elle permettait presque toujours à mes mains baladeuses de trouver leur chemin sous son pull de laine. Comme c'était agréable de sentir le poids de ses globes dans la paume de mes mains ! Toucher et caresser le nylon tendu de son soutien-gorge me mettaient l'estomac sans dessus dessous !
Même maintenant cela me fait de l'effet de repenser à ces moments où mes doigts en mouvement approchaient petit à petit de ses petits tétons compressés sous le tissu soyeux. Nadia appréciait lorsque je les malaxais, les faisant rouler entre mes doigts. Bien sûr, tout ceci me donnait une érection terrible, mais je n'étais jamais autorisé à me soulager devant elle, de quelque manière que ce soit : alors évidemment, cela ne me venait même pas à l'esprit que je puisse la baiser...
"Attends que nous soyons mariés, chéri, et tu verras je te rendrai heureux", me répétait-elle régulièrement.
Elle me laissait faire ainsi des heures, lui caressant ses superbes seins, mes testicules comprimés par le désir, et mes débuts d'éjaculation tâchant régulièrement mes sous-vêtements : cependant je n'osais jamais prendre le risque de déplaire à cette déesse en tentant de lui suggérer d'aller plus loin.


Chaque nuit dans mon lit je me masturbais comme un fou, en pensant à elle. Le simple fait de m'imaginer être autorisé à sucer ses énormes tétons était suffisant pour me faire éjaculer à grands coups de sperme inutile dans ma main.
Enfin vint le jour où Nadia consentit à se marier avec moi. Je marchais vers l'autel avec un pénis dur comme du bois dans mon pantalon, pensant au moment où je me retrouverai enfin au lit avec Nadia pendant notre nuit de noces : heureusement j'arrivais à arranger mon allure pour que mon érection ne se remarque pas trop.
De toute manière, tout le monde avait les yeux fixés sur Nadia, resplendissante dans sa tenue blanche, plutôt que sur moi.
La première nuit de notre lune de miel ne se passa pas trop mal : bien sûr je jouis trop vite, en fait avant même que je réussisse à déshabiller entièrement Nadia. Hé oui, le seul fait de sucer ses merveilleux seins m'avait amené à l'éjaculation ! Heureusement Nadia fut compréhensive, et en peu de temps elle fit en sorte que mon érection revienne : bientôt notre mariage fut consommé avec succès.
Ce qui, même à l'époque, me sembla plutôt inhabituel, était que pendant tout le reste de notre lune de miel je ne fus pas autorisé à rééditer les ébats de cette première nuit. Nadia me maintenait éloigné avec ses bras, déclarant qu'il n'était pas normal qu'un mari veuille importuner sa femme trop souvent, en tout cas pas s'il la respectait réellement.
Du respect, j'en avais certainement pour elle, et elle le savait bien. Avoir eu ma première nuit d'amour avec elle m'avait rendu complètement dingue d'elle. Elle était devenue ma déesse, j'étais tombé fou amoureux d'elle. J'aurais fait n'importe quoi pour elle. Bien sûr, elle était toujours douce et gentille avec moi, et à chaque fois que l'on se retrouvait seul, elle baissait la fermeture éclair de mon pantalon, glissant sa main à l'intérieur pour me caresser et me mettait ainsi dans un état d'excitation intense...
Mais pour me laisser tomber ensuite, frustré, en allant chercher un verre ou prendre un bain dans la piscine.
Je la suivais partout comme un chien obéissant, à l'écoute de chacun de ses désirs, hypnotisé pas les courbes sveltes de ses hanches et les doux globes de ses irrésistibles seins.
Avant longtemps je me retrouvai à me masturber moi-même pour soulager cette tension sexuelle. Je ne pouvais y croire : c'était mon voyage de noces avec la plus magnifique des femmes, et pourtant je devais me masturber comme un adolescent pour m'empêcher de devenir fou de désir.
Incapable de posséder Nadia, j'en étais réduit à lui dérober ses petites culottes sexy en soie. Je gâchai ainsi des quantités incalculables de sperme dans ses culottes satinées, m'imaginant poussant mon sexe en elle, comme la première et unique fois où elle me l'avait permis.
Ensuite je cachais les slips tâchés dans la pile de linge sale, espérant que personne n'irait y regarder de trop près !

Chapitre 2
Quand Nadia m'expliqua un soir qu'elle voulait, après le dîner, danser avec moi mais également avec d'autres hommes, je le pris très calmement. J'avais confiance en elle, et j'étais décidé à afficher une attitude ouverte et libérale face à son désir.
Ainsi elle se mit à danser à côté d'autres touristes, mais sans aucun contact physique avec ses autres partenaires. Mais alors que les deux semaines de notre lune de miel s'écoulaient, et qu'il était devenu évident que je n'insisterai plus, ni sur mes "droits" conjugaux, ni sur son envie de danser avec d'autres hommes, Nadia commença à rester sur la piste de danse même durant les séries de slows.
Cela me bouleversa complètement. J'étais obligé de regarder ma nouvelle femme se frotter à d'autres hommes souvent plus beaux que moi, et qui de plus semblaient être plus confiants et expérimentés. Je m'assis à une table, surveillant le verre de Nadia, pendant qu'elle se blottissait contre d'autres types. Je regardais avec horreur les mains de ces hommes qui se posaient sur son dos pour attirer son corps doux contre eux.
C'était maintenant l'avant-dernière nuit avant la fin de notre séjour.

Comme chaque soir je m'assis à ma table pendant que ma femme dansait et remarquai alors qu'un nouvel étranger, de type latin (et qui, je dois le reconnaître, était vraiment beau, grand et sombre), était avec elle et lui caressait son dos dénudé, pressant ses divins seins contre sa large poitrine.
Puis je m'aperçus qu'il s'arrangeait pour entraîner petit à petit Nadia vers la partie la moins éclairée de la boîte de nuit. Je plissai mes yeux pour mieux suivre leurs mouvements. J'avais du mal à les distinguer à travers la foule des danseurs, mais je crus les apercevoir avec horreur s'embrasser sur la bouche.
J'étais au désespoir. Je n'étais pas sûr de ce que j'avais vu, et j'essayai de me persuader que j'avais tout imaginé, ou bien que Nadia était complètement saoule. Je pensai un instant me battre avec cet homme...
Mais décidai que ce n'était pas possible. Il avait l'air grand et musclé, et si je tentais de m'interposer entre lui et "sa conquête", il aurait peut-être été capable de sortir un couteau ou pire encore. J'étais terrifié par la tournure que prenait notre mariage, et effrayé par une éventuelle confrontation.
Enfin je décidai de m'avancer seul vers la piste de danse, et me mis à me trémousser de façon pathétique au rythme de la musique, en essayant de me diriger dans leur direction, avec des gestes nerveux et saccadés.
Mes pires craintes furent confirmées. J'étais tout proche d'eux maintenant, et même dans la demi-obscurité je pouvais voir la main droite de l'homme se faufiler à l'intérieur de la mini jupe de Nadia, caressant les merveilleux globes de ses fesses. En frottant le derrière de Nadia il attira ses hanches contre les siennes, et avec une horreur croissante je vis soudain la bosse de ce qui ne pouvait être qu'un énorme phallus sous son pantalon.
Bientôt l'entrejambes de Nadia se frotta contre son pénis maintenant clairement excité, alors qu'ils ondulaient au rythme de la musique. Elle devait bien être capable de sentir le sexe de cet homme se frotter contre elle ! Alors que diable était-elle en train de faire ? Pourquoi ne s'arrêtait-elle pas là ? Comment devais-je réagir ?
J'étais comme pétrifié par l'indécision.
Puis le visage de l'homme puissant s'approcha de celui de Nadia à nouveau, et ils commencèrent à échanger long et profond baiser. Oh mon dieu, pensai-je, il lui met la langue dans sa bouche ! Si c'est ce qu'il faisait, il était évident que Nadia ne lui cherchait pas lui résister. Ce baiser passionné dura encore et encore.
Je pouvais clairement maintenant voir l'homme passant sa main à l'intérieur de la culotte de Nadia, et avec une tension grandissante je réalisai qu'il poussait ses doigts entre ses jambes de l'arrière vers l'avant, pressant la motte de ma femme contre son sexe congestionné, tout en gardant sa bouche rivée à celle de Nadia.
Ma femme était en train de se faire prendre par une espèce d'italien sous mes propres yeux ! Je sentis mon corps se contracter sous le choc, mais en même temps je notai que mon sexe était en train de grossir...
Je regardais sans réagir Nadia se faire pratiquement baiser sur la piste de danse, mais je pensai à mon propre désir de lui faire l'amour. C'en était trop.
J'étais déboussolé. Je voulais désespérément baiser ma femme, mais si je ne pouvais le faire, la voir se faire prendre par un autre m'apparaissait presque comme une compensation. L'idée de ma femme ouvrant ses jambes pour cet homme, pour être ensuite remplie de sa puissante semence après l'avoir transformée en femme soumise et "baisable" donnait lieu à des sentiments tellement contradictoires en moi qu'ils devenaient presque impossibles à supporter.
Nadia ne m'avait pas encore vu, mais soudain son partenaire m'aperçut. Il me regarda sans paraître troublé, et sa seule réaction fut de dire, avec une voix forte, à ma femme : "Je vais te mettre maintenant un doigt dans ton cul, et ensuite tu me suivras dans ma chambre !"
Je vis dans la pénombre son index faire de lents mouvements dans sa culotte. Nadia émit un gémissement profond, lourd de désir sexuel. Il attira le corps de ma femme vers lui alors qu'elle remuait ses fesses, empalée sur son doigt.
Les lèvres de Nadia dessinèrent un rond, épais et sensuel, comme elle projetait sa tête en arrière, en pleine extase.
Qu'elle soit en train de jouir ou non n'était pas sûr, par contre à ma grande honte *moi* je me mis à jouir !
Je sentais que je venais d'avoir la plus belle érection de ma vie, avec une impression très sensuelle procurée par le contact du bout de mon sexe contre le haut de mon pantalon. Puis je me mis à éjaculer inutilement.
Mon sperme jaillissait, tâchant mon pantalon, tombant sur la piste de danse. Je me sentais bien, j'avais presque perdu conscience avec le plaisir de la jouissance. Même après mon éjaculation, alors que mon sexe reprenait doucement sa taille à travers mon sperme répandu dans le pantalon, je me sentais satisfait.
Cependant, c'était la tempête sous mon crâne. Ma femme se dirigeait maintenant vers la chambre de son amant, n'ayant même pas remarqué ma présence. J'étais en lutte avec des sentiments de jalousie, mais je ressentais également une plénitude sexuelle et physique après cette scène. Si c'était ce qu'on ressentait lorsque l'on était trompé...
Alors j'étais intéressé d'en savoir plus !

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