Je Saute Un Garçon Au Camping
Je suis marié et j'ai une fille. Avec ma famille, on fait souvent du camping l'été : on aime bien la liberté que ça donne, et ça nous permet de faire des vacances plus longues avec le même budget.
Depuis quelques jours, on était dans un magnifique camping tout au bord d'une plage splendide en Espagne. C'était tout début juillet, il y avait encore très peu de monde. Ce jour-là après déjeuner, je navais pas trop envie de retourner tout de suite sur la plage mais plutôt de faire une sieste pour profiter du calme du camping à cette heure et de la fraîcheur de l'ombre d'un pin parasol. Ma femme et ma fille qui ne sont pas du genre à roupiller pendant les vacances m'ont donc laissé seul et sont parties à la plage pour l'après-midi comme d'hab.
En réalité, je n'avais pas du tout envie de dormir non plus, mais depuis 2 jours s'était installée près de notre tente dans ce coin un peu reculé du camping une caravane de hollandais : un couple avec trois s, dont l'aîné avait très largement passé l'âge de ce type de vacances avec ses parents. C'était un jeune homme d'environ 20 ans. Il avait l'air indifférent aux vacances, et passait presque tout son temps à lire dans un hamac tendu entre deux pins : il semblait étudier ou réviser je ne sais quoi.
Surtout : il se foutait toujours très nonchalamment sur son hamac, torse nu et en caleçon de bain, laissant pendre une jambe couverte d'adorables poils blonds. La plupart ne l'auraient sans doute pas trouvé beau, mais moi, je ne sais pourquoi, avec sa grande chevelure frisée et son visage un peu allongé, je le trouvais étourdissant à un point totalement inouï !
Bien qu'hétéro, je ne cache pas que pour une aventure sans lendemain, ça m'excite bien davantage avec un mec qu'avec une gonzesse. Et donc, ce type, j'avais vraiment envie de me le faire.
Chez les hollandais aussi, tout le monde était parti à la plage, sauf la mère et bien sûr le garçon, toujours vautré sur son hamac.
Allongé sous l'arbre dans ma fausse sieste, les mains sous la tête appuyée sur une racine, je reluque mon copain sans aucune retenue. Il me jette un coup d'il puis reprend sa lecture. Je suis super excité : je m'imagine le torse collé à son dos, et ça commence à me faire bander. Il me regarde de nouveau : peut-être remarque-t-il que je bande dans mon short ; en tout cas, il replonge dans son livre avec une espèce de sourire tranquille.
Je laisse encore passé quelques minutes pour savourer l'excitation qui me tétanise, puis, je me lève avec maladresse et approche de lui, de façon sereine malgré mes jambes en coton. Arrivé à côté du hamac, je ne dis rien mais pose doucement la main sur son sein. Il ferme les yeux. Je commence à le caresser avec une lenteur infinie : il ouvre la bouche et je vois que dans son caleçon il se met à bander.
Je m'agenouille et commence à couvrir son torse, son ventre et son cou de petits baisers silencieux. On entend toujours le son étouffé du feuilleton dans la caravane. Par la petite fenêtre, je vois la mère assise de dos, totalement absorbée par sa télé. Je crois que j'aurais pu sauter son fils là, contre la caravane, sans qu'elle ne remarque rien !
Je passe la main sous son cou et par un geste, je l'invite à se lever. Tout en lui caressant le dos, je le mène vers un petit recoin du camping pas loin où le grillage d'enceinte du camp fait un angle. L'endroit est désert car le sol n'y est plus plat : c'est de la dune de sable parsemée de buissons. Dans quelques semaines, les petits recoins sablonneux que ces buissons ménagent seront sans doute squattés par les tentes igloo des jeunes backpackers, mais pour le moment, il n'y a personne.
C'est là, sur le sable, caché par les buissons, que je pose mon drap de bain et que j'invite mon copain à s'allonger. Je me mets à genoux à ses côtés, lui enlève son short de bain bariolé, et continue de le caresser partout, de l'embrasser, et de respirer son odeur dans chacun des plis de son corps.
En caressant son cul magnifique, je ne peux m'empêcher de laisser mon pouce appuyer sur son petit trou. Quand ma main passe ensuite sur ses joues, il ouvre la bouche et m'att tendrement le pouce avec ses dents, puis le suce en salivant beaucoup. Je retire ma main et, la reposant sur son cul, j'y fais pénétrer mon pouce mouillé de sa salive.
Il se met alors à soupirer : il est en pur mode « salope ». Il bande à fond : sa queue est de très grande taille, sûrement plus de 20 cm ! Un véritable palmier, totalement obscène ! Je lui la laisse : je préfère de loin une bite de taille moyenne (comme la mienne) !
Passant le bras sous son ventre, je le fais se mettre à 4 pattes, et, ayant sorti de ma poche le préservatif et le tube de gel dont je m'étais bien sûr muni, je me déshabille et me prépare à pénétrer son cul joliment orné de quelques poils blonds frisottés.
J'y enfonce ma bite sans plus du tout me soucier de ses réactions. J'en suis sûr : son cul a déjà accueilli d'autres bites, et sûrement quelques unes bien plus grosses que la mienne. Aussi je le laisse vivre la chose comme il le veut, et je me lâche complètement, ne m'occupant plus que de mon propre plaisir.
Sa nuque me fait chavirer et chaque coup d'il que j'y jette me met au bord de l'orgasme. Son dos magnifique aussi : parfois je me penche en avant pour y coller mon torse et le sentir tout entier contre moi. J'embrasse alors ses épaules et les petites bouclettes tendres en haut de son cou. Je colle mes cuisses aux siennes, cramponne mes pieds nus sur les siens et chaque coup de queue que je donne m'étourdit de volupté.
Je grogne et je souffle sans complexe, je le bouscule et le serre sans égard.
Je finis par jouir de façon inouïe : ça dure pendant plusieurs coups de boutoir, et mes éjaculations semblent se succéder sans plus vouloir s'arrêter. Je râle sans retenue, je me bave sur le menton.
Quand je me laisse finalement retomber lourdement sur lui, on s'effondre sur le côté. Je me rends compte qu'il est tout en sueur et en voyant le fil de sperme qui pend de sa queue encore bandée, je vois que lui aussi a abondamment éjaculé sur la serviette.
Le soir même, en revenant des douches après dîner, j'ai voulu repasser par l'endroit. En arrivant, dans la semi-obscurité, j'ai vu qu'il y avait quelqu'un. Je me suis approché discrètement : c'était lui, et il était en train de sauter une gonzesse à l'endroit même où nous avions baisé quelques heures plus tôt, exactement dans la même position que celle dans laquelle je l'avais baisé lui ! En voyant ses pieds s'appuyer sur ceux de la fille, ses tendons d'Achille tendus, poussant pour la pénétrer au plus profond, j'ai été totalement excité et, alors que je croyais ne pas pouvoir baiser encore une fois ce soir, de retour à la tente j'ai sauté ma femme avec avidité.
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