Mon Homme Et Moi Faisons L'Amour À Fond

Il a commencé à me lécher l’anus. J’étais allongé sur le dos, les jambes relevées, les mollets sur ses adorables épaules de mâle. Je voyais son visage s’enfouir entre mes fesses. Je sentais sa langue darder et titiller ma zone sensible. Je faisais tout mon possible pour ne pas perdre contrôle et ne pas exiger qu’il me prenne là, à la minute. Je retenais à grand peine mes gémissements. C’était dur parce que c’était si bon. D’autres hommes m’ont chatouillé l’anus de la langue mais personne ne l’avait jamais fait avec une telle maestria.

Il poursuivit, heureux de mon bonheur muet. Il me fit mettre à quatre pattes, pour mieux m’écarter les fesses. Là encore, il se mit à me besogner. Je subissais avec délice de puissants coups de langue. Je sentais son visage balloter sur mon anus. Pas besoin de miroir pour m’exciter: je l’avais vu faire par le passé sur d’autres et je savais combien il aimait me faire partir ainsi dans mes délires sexuels les plus fous. Je sentais et je me remémorai son visage qui disparaît entre les fesses offertes de nos amants de passage.

Son index se joignit à sa langue. Ma respiration se fit plus rauque. Il n’entra pas en moi. Tout doucement, il s’essayait sur le seuil si l’on peut dire, évitant à tout prix de forcer mon anus qui se relâchait sous sa douce insistance. Il attendait que je me donne de moi-même, que je ne puisse plus faire autre chose que le supplier d’entrer sur le champ.

Je le voulais en moi, j’avais tellement faim de sa jouissance, de voir son corps en sueur sur le mien et d’entendre ses râles incontrôlables lorsqu’il s’abandonnait enfin. Sans même que je le veuille mes hanches commencèrent une danse lascive où mon derrière montait et descendait et cédait très légèrement à la pression tendre mais toujours présente de son doigt.

Un dernier coup de langue et enfin son index s’introduisit. Ma danse devint plus intense, mes râles devinrent audibles. Comprenant mon impatience, il apposa son gland gonflé et le retenant et le pressant à tour de rôle d’une main experte, il finit de détendre mon anus qui attendait impatient de se soumettre à sa loi.



Un baiser encore. Sa langue fouillait ma bouche. De ses lèvres, il emprisonna ma lèvre inférieure et le tira gentiment. J’exultais. Il en profita pour donner un bon coup de rein et en douceur acheva de rentrer en moi.

Je le recevais avec frénésie et dévotion. Mon homme. Voilà plus de deux ans que personne d’autre que lui ne m’avait sodomisé. Même au cours de nos plans à trois, cette part de moi se fermait d’elle-même. J’avais fait de ce privilège que je ne donnais avec parcimonie son usage exclusif et personnel, son puits de jouissance qui était désormais plus à lui qu’à moi.

Je me retournais. Allongé sur le dos, je relevais de nouveau mes jambes. Je voulais voir son visage pendant qu’il me sodomisait. Ses yeux se vrillaient dans les mien comme son sexe dur et exigeant qui entrait et sortait en moi. Il me rendait fou de plaisir. Sans prévenir, il passa à un autre jeu sensuel. Il sortait presque de moi et se contentait de faire de tout petits va et vient à l’entrée de mon anus, m’arrachant des gémissements que je ne cachais même plus. Il insista un moment, se donnant au passage un plaisir que je voyais dans ses yeux. Puis il ponctua par une ruade puissante, s’enfonça lentement en moi.

J’étais prêt…

Il me retourna et je me mis à quatre pattes, la tête sur le lit et le cul bien ouvert dressé vers le ciel. Il se mit à genoux et entra en moi, me pilonnant sans merci mais avec douceur, insistant alors que sa sueur se mélangeait à la mienne. Je n’étais plus seul à râler maintenant. Il gémissait aussi fort que moi.

Enfin, il se mit à califourchon sur mon cul et m’embrocha de son membre tendu. Nous allions atteindre ensemble le paroxysme du plaisir homosexuel. Il me pilonna avec force, oubliant tout. Ses cris montaient plus haut que les miens mais nous nous en moquions l’un comme l’autre. Mes fesses claquaient sous ses vives poussées répétées. Il me maintenait par les hanches et allait et venait, plaquant avec bruyance ses hanches sur mon derrière qu’il malmenait pour mon plus grand plaisir.


Il y allait à fond, ne retenant plus rien. Sa main malaxait mon sexe dur, prêt à cracher sa blanche semence. Un dernier cri s’échappa de lui et il cracha en moi, avant que je le rejoigne, jouissant des mes fesses écartelées par son sexe que j’adore, qui me donne tant de plaisir.

Perché sur sa poitrine dans une dernière pose, je jouissais sur lui, savourant de maculer son torse imberbe et finement musclé de mon jus d’amour. Enfin rassasiés l’un de l’autre, nous nous allongeâmes tranquillement en nous murmurant des je t’aime. Il me prit dans ses bras et me caressa les cheveux alors que j’oubliais le reste du monde pour mieux goûter mon bonheur d’être à lui.

J’espère que vous avez aimé ce récit. N’hésiter pas à me contacter pour me faire part de vous impressions. JeanClaude

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