Comment Tourne Mon Exhibition Amateur
36 ans, au look classique bcbg et excellente éducation, rien ne me prédisposait à cette expérience ... même si mes tendances sont gay. Comme tous les jours, je partis à l'aube pour faire mon jogging avant une dure journée derrière un bureau. J'ai besoin de cette liberté et j'adore les matins frais en plein cur de la ville ... Tout est encore endormi, les seules personnes que l'on croise sont pour la plupart des ouvriers. Il y a peu de monde dans les rues sombres ... cela donne des idées ... Mon short ce matin là était très court. Un short sportif de coureur. Un short très échancré. Je ne vous l'ai pas dit mais à 36 ans je suis plutôt beau gosse. Le sport ça conserve bien ! Je suis blond et imberbe sur le torse et les fesses. LE reste de ma pilosité n'est guère fourni ... et certainement très voyant puisque blond. Il faisait frais ce matin là très frais, puisque le thermomètre ne dépassait pas 2°C ... et cela m'excitait ... Mes jambes et mes fesses étaient encore plus fermes. Légèrement rosée par ce froid matinal ... je courrais et me sentais libre comme le vent. A l'approche d'un chantier sur lequel des ouvriers encore un peu endormis et frigorifiés arrivaient, je me senti tout chose ... C'est dingue mais un feu en moi couvait ... Ils étaient enveloppé dans de gros pulls et frottaient leurs mains et moi bien que bien couvert sur le torse grâce à mon polar et une casquette, je courrais les jambes nues en mini short ... Les regards des ouvriers surpris ne pouvaient que me suivre et quelques réflexions salaces se firent entendre sur mon passage ... cela ne manqua pas de me faire de l'effet. Je fis alors le tour du bloc et décidai lors de mon second passage de rentrer mon short entre mes fesses, ma bite sortait par devant et mon arrière train était totalement offert. Le tissu du short ne se voyait plus ... J'étais comme nu et continuais de courir nonchalamment ... au coin de la rue je fus repérer immédiatement et accueilli par des sifflets, des gestes et même une claque sur les fesses.
Je ne comprenais pas tout car pour la plupart les ouvriers étaient des gens du sud ou de l'est ... mais leurs regards et les mots de pute, de salope, accroissaient de manière incroyable mon excitation ... Je décidais alors de continuer jusqu'à un bois en bordure de cette avenue de prestige ... Il était à peine 6H15. En ce jour hivernal, le soleil n'allait se lever que vers 9H, et je pouvais trouver une excuse pour le boulot ... Et puis je savais qu'un autre chantier était en bordure de ce bois. Là je pourrais peut être jouer un peu plus sans prendre des risques ... En effet, sur l'avenue, des véhicules commençaient à passer de plus en plus régulièrement et je ne pouvais pas prendre le risque de continuer cette exhibition. Cependant, j'avais besoin de plus ... Je n'allais pas être déçu ! 15 minutes plus tard, j'étais à l'orée du bois et une camionnette d'ouvriers s'arrêtait devant ce chantier que je connaissais ... La ruelle était vide ... Pris de folie, j'ôtai mon short discrètement et me mis à courir vers la camionnette. Mon cur battait la chamade. J'étais en pleine forme ... Je n'avais pas froid bien au contraire ! Je mapprochais de la camionnette en trottant gentiment. Il ne me fallait pas courir trop vite ni trop lentement ... Je pensais au risque que je prenais ... Combien d'ouvriers y avait-il dans la camionnette ? En effet, j'approchais par l'arrière ... arrivé à la hauteur, je ne fis semblant de rien et ne jetai aucun regard à l'intérieur du véhicule. Je devais être le plus naturel possible ...Ce ne fut pas long pour qu'un appel de phare m'éclaire comme en plein jour ! La vue que ces gars devaient avoir ! En plein hiver, un gars à poil, fesses nues, et emmitouflé pour le haut du corps. Toujours le cur battant, je m'arrête, étire le bras vers le haut et fait quelques mouvement de gym et là les phares restent allumés sur moi. Je décide d'aller jusqu'au bout ... L'excitation est trop forte. Je me penche vers l'avant, je me dandine du cul, j'écarte les jambes, une porte s'ouvre.
J'ai chaud ! J'écarte encore les jambes et avec les mains j'écarte mes fesses offrant ma rondelle au vue de ces gars médusés qui maintenant m'interpellent avec de forts accents. 'Et salope, t'es en chaleur ? Tu veux de la bite ? ' Une deuxième porte claque, je me retourne. Ils sont 4 mecs très virils. Ils font des gestes. Ils posent la main sur leur bite et font balancer leur bassin ... Ils sifflent et continuent de me traiter de bonne pute à baiser ... Ils me demandent de revenir vers eux pour les sucer ... Le risque est trop grand ... Je recommence à courir et rentre à la maison. Sous ma douche je me branle .. Deux mouvements et je jouis ! Je vais au bureau ... La matinée est longue ... Je regrette de ne pas avoir été plus loin ... J'ai hâte d'être le lendemain matin ... et cette nouvelle aurore arrive ! LE froid est toujours aussi intense. Ma tenue est la même que la veille ... Je me dirige directement vers le chantier en bordure du bois, Là je retire immédiatement mon short et je me dirige vers le chantier. La camionnette n'est pas en vue ... Je suis un peu déçu mais pas pour longtemps car en fait elle est dans l'allée de la propriété et les ouvriers sont déjà actifs au travail. Dès mon arrivée à la hauteur, l'un des gars me repèrent et appelle les autres ... très vite j'ai un public de 5 types. A bonne distance, je me dandine offre mon cul, me caresse, j'aime ... Les gars sont hyper chauds mais sont rappelés à l'ordre ! Un stupide type vraisemblablement le chef de chantier vient d'arriver ! Je m'éclipse ... mais l'excitation reste trop grande et très vite je reviens ... Les gars sont occupés sur le chantier et ne lèvent pas la tête ... merde ! C'est foutu pour ce jour ... Non pas tout à fait, le chef de chantier a l'air intéressé et je recommence mon manège. Je me caresse la bite raide dure devant lui. Il parle ... mais je ne vois pas à qui ... Je ne tarderai pas à comprendre ... car très vite 3 voitures de flics arrivent et sur place font crier leur sirène. Le salaud je suis pris au piège, je remets mon short.
Je n'ai pas de slip. J'ai brusquement froid à nouveau. Que faire ? Fuir ? Impossible? Nier ? Les flics sont déjà en dehors de leur voiture. Ils sont 12 ! 4 par bagnole ! J'ai l'impression d'être un terroriste criminel. J'ai envie de tomber dans le pommes mais je tremble bêtement de froid et de peur ! 4 flics sautent sur moi, me serrent et me mènent à la voiture Les autres discutent avec les gars du chantier. Ils rient haut et grassement ! Je me sens nulle. Je voudrais mourir ... Je suis mis mains sur le toit du véhicule. On me demande d'écarter les jambes. Un flic passe ses mains sur mon corps. Remonte de mes pieds à mes fesses .... Comme si je pouvais cacher quelques choses alors que je suis jambes nues ! Je n'ai plus de voix. L'on me questionne ... je n'ai plus de salive ! Un flic demande aux autres 'vous le reconnaissez ? ' Quelle n'est pas ma surprise d'entendre le chef de chantier répondre 'Pas vraiment, le type se baladait les fesses à l'air et celui là a un short ! Ceci dis je pourrais reconnaître ses fesses car cette salope s'est dandiné devant moi et j'ai pris des photos avec mon gsm. Mais oui Thomas ! (c'est mon nom) on est à l'heure du gsm et de la photo ! J'avais oublié. Voilà comment ce type avait prévenu la police. Je n'avais rien remarqué ! Quel con je fais ! Je ne suis pas au bout de mes surprises puisque celui qui semble être le chef de la police demande à son collègue de m'enlever mon short. Je proteste prudemment mais face à ces têtes sévères je ne peux que m'enfoncer encore dans le malaise. Les mecs bavardent avec les flics. Je n'entends plus rien. Je suis bouleversé ... Je veux que ce cauchemar cesse. Je sens maintenant des mains sur mon corps. Quelqu'un écarte mes fesses et j'entends 'oui c'est bien lui' je reconnais son anus épilé de salope' Je suis confondu. Jespère que tout est fini. L'humiliation est terminée ! Je demande si je peux remettre mon short ce qui est accepté. Ouf je demande pour repartir ... Et bien non ! Mon expérience doit continuer .
.. L'un des flics me met les menottes aux poignets. Je n'en reviens pas. Je leur demande s'ils ne pensent pas en faire trop. L'un d'eux me réponds de fermer ma gueule. Je suis emmené au commissariat .... Où d'autres aventures m'attendent ...
Cette histoire est véridique et si vous souhaitez connaître la suite, écrivez-moi à pourpleplaisir269@hotmail.com
admin
Jan. 31, 2023
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