Ma Femme M'A Trompé
Nous avons tous les deux 53 ans. Si nous ne sommes plus de prime jeunesse, nous sommes tous les deux « bien conservés ». Nous prenons soin de nous-mêmes et menons une vie à peu près saine.
Côté cul, si la fougue de notre prime jeunesse sest un peu estompée, nous faisons encore lamour assez souvent, après 30 ans de mariage.
Souvent, nous nous installons côte à côte, serrés lun contre lautre, enlacés. Jeanne Marie tient une revue dhistoires érotiques que nous lisons ensemble. Je profite davoir mes deux mains libres pour lui caresser les seins, glisser un peu partout sur son corps, explorer son sexe,
Elle se glisse sur moi, calant bien ma queue dans sa raie culière, où elle ne tarde généralement pas à se développer. Quand je sens que son sexe est bien humide et que sa chatte est prête à accueillir ma queue, je lenfourne sans faire plus de manière, gardant à mes mains leur entière liberté pour caresser ma chérie, exciter ses seins si sensibles. Elle me dit dailleurs bien souvent que cest sa position préférée, tous deux couchés sur le dos, elle sur moi, ma queue en elle, que je fais coulisser précautionneusement pour entretenir notre excitation, en faisant bien attention à ne pas jouir trop vite.
Quand elle me dit ça je lui fais remarquer que ça serait la position idéale pour permettre les caresses dune tierce personne, homme ou femme, puisque sa bouche, ses seins, son ventre,
sont ainsi aisément accessibles, mais elle détourne la question, me disant quelle me veut moi, et moi seul.
Quand nos lectures nous apportent le récit de trios fort excitants cela me plait énormément, et je sens bien que ça ne la laisse pas indifférente non plus, mais là encore, si je lui demande :
- « Ca texciterait davoir un autre homme en train de te sucer un sein pendant que je suce lautre, de te caresser pendant que je te pénètre, davoir deux queues rien que pour toi »,
Je sens bien son excitation, mais, toujours, cest son éducation judéo-chrétienne qui prend le dessus.
Dans ces conditions on comprendra aisément quil métait difficile dimaginer lhistoire que je vais vous raconter.
Cétait un samedi. Comme cela lui arrive plusieurs fois par mois, elle était allée à la permanence de son association et, ce jour-là, elle avait décidé de faire quelques courses en rentrant. Par ce temps pluvieux je bricolais dans la maison, ayant quelques finitions à réaliser dans la cuisine que je venais daménager. Quand elle ma téléphoné jai été un peu surpris, me demandant si elle avait un problème.
- «Non, mon chéri, mais je me demandais seulement si tu avais besoin de moi cet après-midi ou si je pouvais rentrer un peu plus tard. »
Je lui répondis que ce que javais à faire ne nécessitait pas sa présence et lui demandai vers quelle heure elle pensait rentrer.
- « Oh, dans deux ou trois heures, peut-être, je ne sais pas »
Je lui souhaitai un bon après-midi et, juste comme jallais raccrocher, elle me demanda comme ça, sur le ton le plus banal :
-« Dis-moi, mon chéri, tu aimerais toujours me voir baisée par un autre ? »
Jen restai baba, ne mattendant vraiment pas à ça. Je lui demandai alors :
-« Pourquoi me demandes-tu ça ? Tu as quelque chose derrière la tête ? »
-« Non, je demandais ça comme ça, puisque tu en parles souvent, je voulais juste savoir si tu pensais réellement ce que tu disais en me le proposant ou si cétait juste un truc pour sexciter en faisant lamour ».
-« A ce soir, mon chéri » et elle raccrocha.
Je restai un moment à me demander ce quelle avait voulu dire puis, comme, jusquà présent, rien ne me permettait dimaginer autre chose que nos cabrioles à deux, je me remis à bricoler.
Pourtant, je navais pas la tête à ce que je faisais. Elle mavait intrigué et, il faut bien le dire, excité. Je trouvai finalement laprès-midi un peu long, lattendant avec impatience, espérant sans trop y croire quelle aurait envie de faire lamour en rentrant.
Elle est arrivée un peu avant 18h00. Je lai aidée à vider le coffre de la voiture et à ranger les courses puis nous avons pris une tisane et je lui ai demandé si elle avait passé un bonne journée. Elle ma répondu que oui mais avec un drôle de ton, du moins en ai-je eu limpression, puis elle sest mise à préparer le repas du soir.
Comme souvent, après dîner, nous nous sommes affalés devant la télé. Elle tricotait et je faisais distraitement un mot croisé. A la fin du film, nous sommes allés pour nous coucher.
Jai toujours aimé la regarder se déshabiller, aussi, tout en ôtant mon pantalon, je la lorgnais qui passait sa robe par dessus sa tête. Jai alors été attiré par ses fesses nues avant dapercevoir le filin mauve qui la ceinturait. Tiens, je ne lui connaissais pas ce string. Cest alors que jai remarqué le porte-jarretelles (à ma connaissance, elle nen possédait pas), soutenant des bas résille qui mettaient bien en valeur ses jambes fuselées. Je me suis approché delle tout doucement et lai enlacée, appuyant mon vit contre la raie de ses fesses et glissant mes mains dans un soutien-gorge pigeonnant, nouveau, lui aussi. Elle glissa une main dans son dos pour le dégrafer et le laisser choir, me libérant laccès à ses seins. En lembrassant, jai laissé lune de mes mains dériver sur son corps en direction de sa toison quelle a plutôt abondante, ne mattendant vraiment pas à trouver encore une autre surprise : Plus de poils. Ma main, surprise, cherchait encore les poils et finissait par atteindre sa chatte en glissant sur une peau douce et glabre avec, pour seul obstacle, le triangle de son minuscule string. Je la fis tourner, tout en restant plaqué contre son dos, ma bite entre ses fesses prenait déjà une fermeté de bon aloi, mais je voulais voir aussi. Je la mis donc face à la glace. Limage de ce ventre glabre, mis en valeur par le minuscule string mauve, mexcitait et me surprenait tout à la fois car jamais ni lun ni lautre navions émis lidée qu'elle puisse ainsi se faire épiler.
- « Comment me trouves-tu ? »
- « Superbe ! »
- « Cétait donc cela, le ton bizarre que tu as eu quand tu mas appelé cet après-midi ? »
Elle ne répondit pas mais se décolla de moi en disant : Allons nous coucher !
Moi ça m'allait et je pensais bien pouvoir continuer cette joute dans le confort de notre lit.
Nous avons fini de nous déshabiller puis nous sommes couchés côte à côte. Mais, quand jai voulu la caresser, elle a retenu ma main et sest mise à pleurer. Je ne comprenais plus rien. Elle commençait par mexciter avec son épilation et sa lingerie affriolante et ensuite elle me repoussait.
Je lai donc interrogée et elle ma répondu entre deux hoquets.
- « Tu ne vas plus maimer, tu ne voudras plus de moi ! »
Ny comprenant rien je lui ai demandé ce qui lui arrivait. Elle ma répondu :
- « Je tai trompé. Je suis vraiment une salope, je ne mérite plus que tu maimes ! »
Je ne savais plus quoi penser. Jai subitement débandé et lui ai demandé de sexpliquer :
- « Tu as un amant ? »
- « Non, je te jure que je navais rien prémédité, seulement jaurais dû refuser, penser un peu plus fort à toi, ne pas laisser cet homme profiter ce corps qui tappartient à toi seul. Tu te rends compte, en 30 ans de mariage je ne tavais jamais trompé et ça marrive aujourdhui ! »
Mon esprit tournait dans tous les sens. Dire que jétais content quelle me trompe, sûrement pas, cependant, combien de fois lui avais-je suggéré de faire lamour à trois ? Jétais à la fois furieux et excité. De toute façon, nous ne pouvions pas en rester là, aussi lai-je sommée de me raconter son aventure en détail, quau moins jen profite un peu aussi.
Elle a donc commencé, en hoquetant encore un peu de temps en temps.
- « Je te jure, je ne pensais vraiment pas à ça. Je flânais un peu dans lhypermarché, regardant un peu les fringues, ne trouvant rien à mon goût.
- « Excusez-moi, madame, puis-je vous demander un petit service ? »
Je sursautai et le regardai, interdite. Il tenait à la main un peignoir bleu en laine des Pyrénées, ravissant. Il me dit alors :
- « Vous semblez avoir à peu près la même corpulence que ma femme. Pourriez-vous lenfiler pour me permettre de mieux me rendre compte de sa coupe. »
Je me mis à rire puis, voyant sa mine ahurie et la coupe sage du vêtement, je me dis que ça ne me coûtait vraiment rien de lui rendre ce service, surtout si, en plus, cela pouvait faire plaisir à sa femme. Je lui ai pris le peignoir des mains et me suis dirigée vers une cabine. Otant mon manteau, jai enfilé le peignoir à la place. Jai ensuite ouvert le rideau pour lui permettre dobserver.
- « Ravissant ! Cependant, jhésite entre ce modèle et un ou deux autres que jai vus auparavant. Serait-ce trop vous demander de les passer aussi pour me permettre de les comparer ? »
Je commençais à me dire quil abusait mais javais mon temps et, sans réfléchir d'avantage, je me suis entendue lui répondre :
- « Pourquoi pas ? »
Il ma donc rapporté un autre modèle, un peu plus ouvert, mais encore très sage, puis un troisième et un quatrième, chacun un peu plus léger que le précédent. Pour le troisième, déjà, je vis nettement que ma robe dépassait au-dessous et lempêchait de bien tomber. Il sen rendit compte et me dit :
- « Là, franchement, vous devriez ôter votre robe, ça serait beaucoup mieux. »
Je lui ai rétorqué quil se foutait de moi, que javais déjà été bien gentille de jouer les mannequins jusquà présent, mais que sil devenait trop exigeant il navait quà aller se faire foutre. Son air contrit et sa gentillesse mont fait craquer et je lui ai donné satisfaction. Le dernier peignoir était vraiment très suggestif. Je voyais dans ses yeux que limage quil avait devant lui, de mon corps tout juste voilé de ce peignoir lui plaisait. Je me suis alors prise au jeu et lui ai demandé de mapporter lensemble des dessous qui allaient avec. Cest alors quil est revenu avec tous les sous-vêtements que tu viens de découvrir. Je les ai passés, ai remis le peignoir et jai ouvert le rideau. Évidemment, il demanda à voir ce qui était en dessous. Jétais prise au piège et nai pas su comment men sortir. Jai regardé autour de moi : Personne. La vendeuse était au comptoir en train dencaisser la vente dun article. Jai doucement ouvert le peignoir pour lui permettre dadmirer mon corps paré des sous-vêtements. Je me tenais sur mes gardes, bien décidée à ne pas le laisser profiter de la situation pour me toucher. Y pensa-t-il ? Sans doute, mais il nen fit rien.
A ce stade du récit ma queue était bien bandée. Jenlaçais ma femme et lui malaxais ces seins quun autre avait admirés cet après-midi. Je la caressais furieusement, avec hargne, pour ce quelle mavait fait, mais aussi pour lexcitation que me procurait son récit.
Elle poursuivit :
- « Absolument ravissant ! Je ne vois quun petit problème. »
- « Quoi encore, rugis-je, excédée »
En me retenant toutefois délever la voix pour ne pas intriguer la vendeuse ?
- « Le string ne vous va pas vraiment ! «
- « Dis-donc, je suis trop sympa de faire le mannequin, tu reluques mon cul et ensuite, tu critiques. Ca suffit! »
Sans y prêter attention j'étais passée au tutoiement. Jai alors tiré le rideau pour retirer tous ces machins, me rhabiller et rentrer à la maison.
- « Ténerve pas, ça nest pas toi qui nes pas bien, cest juste que je me disais quun string pareil, ça ne va pas avec une touffe comme la tienne, superbe, dailleurs. Cependant, su tu veux porter des strings convenablement, il te faudra la sacrifier. Cest lun ou lautre. »
- « Dis donc, je mhabille comme je veux et je garde mes poils comme je veux. Ça ne te regarde pas. »
- « Exact, tu es entièrement libre, mais, si cela te faisait envie, je pourrais tarranger ça. »
- « Dis-donc, tu crois mattirer chez toi pour me baiser avec cette histoire de me raser la chatte, non mais, quest-ce que tu crois ? »
Il me jeta un regard, amusé par mon énervement, et me dit:
- « Tu sais, jallais juste te proposer les services dune amie esthéticienne qui pourrait tarranger ça, et puis, tu nes pas obligée de passer tout de suite au définitif, tu peux essayer et, si ça ne te convient pas, laisser tout repousser. »
Il commençait sérieusement à magacer et je mapprêtais à le rembarrer. Cependant, jai senti ma chatte mouiller et, au fond de moi, une voix qui disait : Pourquoi pas !
- « Et elle est où, ton esthéticienne ? »
Il a eu lair surpris, a hésité un instant avant de me dire :
- « Tout près, dans la galerie. »
- « Alors, cest maintenant », que je lui ai dit en le poussant hors de la cabine pour me rhabiller. Il a pris lensemble des sous-vêtements et est allé payer pendant que je mexécutais. Quand je lai rejoint il ma demandé :
- « Cest vraiment sûr que tu es décidée ? »
Je lui ai répondu sèchement que cétait maintenant ou pas.
Nous avons traversé la galerie et il ma ouvert la porte de la boutique. Visiblement, il semblait bien connaître lesthéticienne. Il la appelée Sabine et elle la appelé François. Ils se sont tutoyés et fait la bise. Il lui a dit :
- »Je tamène une amie pour une épilation. »
Elle na pas posé de question, a dit :
- « Ça tombe bien, jai juste une heure de libre »
Elle ma guidée dans un petit salon attenant. Il nous a suivies discrètement et est allé sasseoir dans un fauteuil pendant que je me déshabillais et minstallais sur la table. Sabine a commencé à soccuper de moi, presque sans parler. Je ne me souviens plus vraiment de ce moment là. Javais presque oublié François et je la laissais uvrer en essayant de me concentrer sur la douce musique dambiance. Quand elle a eu fini, elle ma enduit la motte dune lotion apaisante en passant doucement la main jusquà effleurer mon sexe. Je me suis remise à mouiller et jétais gênée. Elle a alors dit quelle devait sabsenter un moment pour aller soccuper dune autre cliente. François est venu près de moi, admirer le travail de son amie. Timidement, il a avancé la main pour toucher, lui aussi. Puis, voyant que je ne le rabrouais pas, il est venu entre mes jambes que je navais pas songé à resserrer, ma caressée encore un peu avant de se mettre à lécher la peau fraîchement dégagée. A ce moment là je ne me contrôlais plus. Jai écarté encore un peu plus les jambes et, de mes mains, jai guidé sa tête pour quil soccupe enfin de ma chatte. Il ma léchée longuement, avec une grande douceur, caressant mes lèvres de ses doigts. Je mouillais de plus en plus et lui ai joui dans la bouche. Il a semblé apprécier, comme toi. Jai eu envie de goûter moi aussi à ma jute et je lui ai demandé de venir membrasser pour déguster ma mouille dans sa bouche. Jai alors dit :
- « Viens, prends-moi, jai envie de ta queue. »
Il sest dégagé, sest déshabillé, a enfilé un préservatif. Quand il est venu sur moi je lui ai dit:
- « Vite, mets-la-moi. »
Il semblait aussi très excité. Jai saisi sa queue pour la présenter à lentrée de ma chatte et il ma pénétrée dune poussée. Vas-y, je veux que tu jouisses aussi. Il ne sest pas fait prier et sest mis à me ramoner dun bon rythme. A un moment, jai senti sa queue gonfler encore et il sest libéré, mentraînant dans une ultime jouissance.
Nous sommes restés quelques instants ainsi, lui sur moi. Il sest ensuite dégagé. Quand jai voulu me rhabiller, il a sorti les sous-vêtements quil avait achetés et me les a tendus.
- « Je croyais que cétait pour ta femme ! »
« Tu as raison, le peignoir cétait pour elle. Ca, cest pour toi, pour te remercier du plaisir que tu mas donné, et aussi, il faut bien que je voie si le string te va réellement mieux maintenant que ta chatte est nue. »
Je me suis exécutée et, pendant que je madmirais dans la glace, il est venu derrière moi pour membrasser et me caresser les seins en regardant par dessus mon épaule notre reflet dans le miroir. Nous nous sommes rhabillés. Il ma offert un verre au café et, quand nous nous sommes quittés, il ma juste fait un discret bisou sur la joue en me disant merci. Jai rougi jusquaux oreilles et me suis hâtée vers ma voiture. Javais les jambes qui tremblaient et ne savais plus où jen étais. Javais vraiment pris beaucoup de plaisir avec lui, mais aussi je pensais à toi, à notre relation basée sur la confiance. Je tavais trompé et ça je ne pourrais plus leffacer.
Je suis rentrée à la maison.
Maintenant que tu sais tout, tu dois men vouloir, te dire que je suis vraiment une salope.
A ce moment là, jétais, moi aussi désarçonné, je ne savais plus où jen étais. Je laimais toujours, sa confession mavait vraiment excité et javais une trique denfer. Dun autre côté, je la traitais mentalement de salope, de sale pute qui mavait trompé. Je lui en voulais vraiment. Je lai prise sans ménagement. Je lai bourrée, voulant seulement jouir, comme avec une pute, sans rechercher son plaisir. Pendant ce temps, elle pleurait, non que je lui fasse mal, mais parce quelle sentait ma rage, à cause de ce quelle mavait fait.
Quand nous avons été un peu calmés, elle ma dit quil fallait quelle sache si je laimais encore, si je pouvais lui pardonner ou si, après 30 ans de bonheur, tout allait sarrêter là.
Je nai pas répondu tout de suite. Elle restait tendue, ayant peur de ma réponse.
Jai hésité. Cest vrai, je lui en voulais, mais moi, si je voulais être honnête, si javais réellement eu une bonne occasion, naurais-je pas fait de même ? Et puis, cest vrai, je laimais, nous nous aimions. Je le lui ai dit.
Elle a commencé à paraître un peu soulagée, même si elle savait que rien neffacerait jamais ce quelle avait fait. Nous nous sommes embrassés tendrement, puis sauvagement, comme sil fallait absolument retenir notre amour qui était devenu subitement si fragile.
Jai recommencé à la caresser, dabord doucement, puis de plus en plus fort. Ma queue à nouveau bandée me faisait mal. Jai voulu sucer sa chatte baveuse. Elle était décidée à me laisser faire tout ce que je voulais. Jai léché ses grandes lèvres, comme elle aime, puis jai insinué ma langue dans sa grotte et jai agacé son clito. Je lai léchée longtemps. Cest vrai que labsence de poils est un plus pour cette caresse. Je voyais mieux son sexe qui nétait plus caché dans sa toison, Ma langue nétait plus agacée par des poils. Il me vint à lidée quun autre lavait léchée avant moi cet après-midi, avait glissé sa queue juste là où je mettais ma langue. Cela me fit mal de limaginer puis, subitement, cela fit place à lexcitation et, brusquement, jai eu envie de voir ça de mes propres yeux, que nous le fassions ensemble. Encore mon fantasme de trio ! Je me suis couché sur elle pour lembrasser et frotter ma queue sur sa chatte. Cest alors que je lui ai demandé :
- « Dis-moi, François, il te léchait mieux que moi ? »
- « Non, ne pense plus à ça, cétait différent, mais cest toi que jaime, cest ta langue que je veux, cest ta queue à toi. François na été quun accident, mais cest toi que jaime. »
Je lui ai dit que, bien sûr, les choses ne pourraient plus être comme avant, que nous ne pourrions jamais faire que les choses naient pas eu lieu, mais que, malgré tout, je laimais et que je voulais continuer à vivre avec elle.
- « Oui, pour ce soir, je te crois, mais demain, après demain,
- « Demain est un autre jour. Bien sûr, certaines choses de notre vie changeront peut-être, mais je ne n'imagine pas cesser de taimer. »
- « Quentends-tu par là, quest-ce qui va changer ? »
- « Je ne sais pas, je disais ça comme ça. Maintenant, je taime, et je ne veux rien savoir dautre. »
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