Ma Découverte Du Plaisir Anal À 18 Ans.

Bonjour, je m'appelle A. mais je me fais appeler Vena et j'ai 23 ans, j'ai vécu il y a quelques années une expérience troublante, que je me suis enfin décidée à relater par écrit.

Tout d'abord je dois me décrire physiquement, pour que vous puissiez bien remettre la scène. Je fais 1m68 et je fais du 85B, j'ai la taille très fine mais les hanches très larges, ce qui justifie mon 42.
J'ai le dos cambré qui donne sur des fesses rebondies et musclées dont je suis très fière, mes cheveux bruns, ondulés et soyeux tombent gracieusement jusqu'au creux de mes reins. Je suis aussi assez fière de mon grain de peau qui suggère très largement mes origines latines. J'ai de grands yeux noirs, un visage fin et régulier et une bouche très fine avec un charmant défaut aux dents.

A l'époque j'avais 18 ans et déjà une bonne expérience sexuelle mais malheureusement aucun homme n'avait su me faire atteindre la jouissance parfaite, le summum du plaisir féminin... Je parle de l'orgasme ...
J'avais eu de nombreux amants, que je finissais toujours par quitter car je restais sur ma faim après chaque relation sexuelle, malgré beaucoup de plaisir.
C'était les vacances d'été et cela faisait longtemps qu'aucun homme ne m'avait procuré le moindre plaisir, effectivement, après tous mes échecs successifs, j'étais triste, frustrée et je n'essayais même plus de faire fonctionner mon charme sur les hommes.

Ce soir là j'étais seule, dans un bar et je m'ennuyais à mourir, un ami ayant annulé le rendez-vous, nous devions passer la soirée ensemble. Un homme vint donc m'aborder, ce qui me surprit largement étant donné le peu de soins que je donnais à ma tenue, aucun homme ne m'avait draguée depuis près de 6 mois. Cet homme était charmant et j'étais sensible à son charme. Il était grand et mince, il avait de grand yeux bleus, les cheveux bruns et avait beaucoup d'aisance dans sa manière de s'adresser à moi, c'était un dom juan, ça se voyait et ça m'excitait terriblement.

Je sentais déjà des vagues chaudes dans mon bas ventre au fur et à mesure de son discours et de son aisance grandissante. Il commençait à se sentir à l'aise, certainement avait-il compris qu'il me plaisait. Il me proposa un verre que j'acceptais, et de fil en aiguille je me retrouvais légèrement ivre et très désinhibée. Fanch (c'était son prénom) me proposa de me raccompagner en voiture avec un sourire coquin, effectivement, lui n'avait pas bu et était donc maitre de la situation. Ça proposition m'excita de plus belle, et mon « Oui » fut peut être un peu trop vif. Nous savions donc tous les deux qu'il ne me raccompagnerait pas de si tôt. Il m'emmena à sa voiture en m'empoignant vigoureusement par la hanche, ce contact autoritaire et brusque me tira un soupir de désir, qu'il ne manqua pas de remarquer. Je m’installais donc près de lui sur la place passagère...
Il me proposa de faire un petit détour dans un dernier bar « très sympa », j'acceptais toujours; avec trop d'empressement.
C'était un bar hôtel! A l'accueil, il prit directement une chambre, sans me demander mon avis, et les clefs en main, m'attrapa vigoureusement par les fesses, faisant glisser ses doigts sur ma raie, et s'arrêtant sensuellement à l'endroit ou mon anus se cachait. Nous arrivâmes devant la chambre 206 « notre chambre » me dit-il d'une voie sensuelle, je ne disais plus rien, l'excitation m’avait fait perdre mes moyens, je n'étais plus capable d'articuler le moindre mot. Il me jeta fermement sur le lit, sans hésitation, mais sans violence. Il sortit un petit couteau de sa poche, je pris peur, j'allais crier mais il me fit taire, et fit une grande entaille dans ma robe qui la fit immédiatement lâcher.
Je ne portais jamais de soutien-gorge et uniquement des strings, je vis qu'il avait une érection. Me tenant toujours les poignets, il m'embrassa, tout en commençant à passer sa main sur mon sexe. Malgré mon abstinence sexuelle, mon épilation était très propre, rien sur les lèvres et épilation sur les cotés du pubis, il restait une touffe bien nette au milieu.
Cela parut l'allécher. Il coupa le fil de mon string noir avec son petit couteau et, ni une, ni deux, me lécha. Il commença par caresser avec le bout de sa langue mes grandes lèvres, ce qui était terriblement frustrant et me faisait gesticuler dans tous les sens. Mes lèvres s'ouvrirent d'elles mêmes sous cette terrible caresse et il commença à tourner autour de mon clitoris avec le bout de sa langue, sans jamais le toucher, je gémissais, j'étais terriblement frustrée, il m'avait eue, j'en voulais plus, je voulais jouir. Il arrêta net.
Alors comme ça on en veut plus ? Mens pas je te sens te trémousser à la recherche de ma langue!
Je ne répondais rien, il me mettait très mal à l'aise, j'étais gênée, frustrée et je voulais sa langue et ses doigts. Tout en me fixant dans les yeux et en attendant une réponse, il appuyait sur mon sexe avec la paume de sa main, en faisait bien attention à ne pas ouvrir mes lèvres pour que ce ne touche pas mon clitoris, il me rendait folle, complètement folle.
Si tu en veux plus, petite cochonne il va falloir me le demander, et très gentiment !!
Oui... Oui... J'en veux plus, j'en peux plus... S'il vous plait...
S'il vous plait quoi !!! Me dit-il, toujours en souriant.
S'il vous plait, léchez moi, doigtez moi, faites moi jouir, prenez moi fort !!!
Pendant que je lui parlais de cette manière il avait inséré son majeur dans mon vagin et appuyait à une vitesse folle et avec une agilité extraordinaire sur mon point G. Je n'avais jamais connue ça, je criais très fort et je lui en demandais plus :
Plus fort, plus fort!!! Ouiiiii Ouiiii, Prenez moi !!
Alors c'est ça que tu veux, tu veux ma bite dans ta chatte, tu veux que je te défonce, que je te fasse crier comme une petite pute que tu es !? Espèce de chaudasse, tu vas avoir ce que tu mérites!
Il me retourna violemment, mais sans me faire mal, sur le ventre, passa son bras sous mon ventre et releva mes fesses vers lui. J'étais là, dans un hôtel avec un inconnu, la tête écrasée sur le lit et les fesses en l'air, le sexe complètement trempé et palpitant, attendant de me faire pénétrer.

Il mit son gland à l'entrée de mon vagin et le fit lentement tourner, sans me pénétrer. J'essayais de le faire rentrer par un violent coup de hanche, mais il me retenais d'un coup en posant une main entre mes deux fesses au niveau de mes reins. Je reçu une énorme fessée, qui me fit crier, et j'avais toujours son gland qui tourmentait l'entrée de mon vagin.
Alors comme ça la petite salope n'est pas obéissante, elle croit que c'est elle qui se fait baiser quand elle le décide ?
Non... Non...
Il m'attrapa violemment par les cheveux comme on att les reines d'un cheval et me fit relever la tête d'un coup, j'avais la gorge tendue par ce geste et ma respiration devint rauque.
Et bien tu vas avoir ce que tu veux!!!
D'un coup je sentis un énorme objet rentrer jusque dans les profondeurs de mon sexe... Un objet qui se mit un vibrer. Je gémissais et gesticulais, mais il avait repris mes cheveux et remis une main entre mes reins et me maintenait fermement immobile.
Ce petit objet va s'occuper de ton trou trempé, moi ce que je veux, c'est ton cul de chienne, remue tes fesses!!!


Je reçu une deuxième fessée encore plus violente que la première et je ne fis pas d'histoire, je bougeais mon cul de droite à gauche, en même temps je jouissais de sentir cet objet fouiller mon intimité, vibrer, remuer... Et je sentis son pouce se poser sur mon anus
Non...non... Je n'ai jamais...
Il ne me contredit même pas, il continua tout simplement, il prenait de ma mouille pour humidifier mon petit trou que je sentais s'ouvrir doucement, tout en criant de me sentir possédée dans le vagin. Il glissa directement deux doigts dans mes fesses, ce qui m'arracha un cri de surprise, mais accentua étrangement pourtant mille fois mon plaisir, je sentais maintenant mon anus s'ouvrir très vite et d'un coup sans me prévenir, il enfonça sa bite dedans... Et au bout de deux ou trois vas et vient... J'eus un orgasme phénoménal, je ne crois pas en avoir eu un autre pareil depuis.
Je me sentais entièrement possédée, prise, soumise au plaisir. Je ne tenais plus, je lui criais des choses que jamais je ne me serrais crue capable de dire.
Oui, vas-y, prends-moi, encule moi... Ahhhh!! Je jouis, je jouis, PLUS FORT!!!

Tous mes cris salaces le firent très vite venir, je l'entendis crier, agripper mes cheveux encore plus violemment, griffer mes fesses et s'agripper à mes hanches ce qui me fit remonter la tête d'un coup et je le sentis jouir partout sur mon dos...
Il me donna une dernière fessée, plus douce cette fois et s'allongea près de moi, tout deux épuisés.
Nous nous endormirent dans cet hôtel, et je partis le lendemain matin avant qu'il ne se réveille, avec ses vêtements sur le dos, en taxi. Je n’eus plus jamais de nouvelle, mais grâce à lui, je sais aujourd'hui que seul le plaisir anal peut me faire atteindre la jouissance, ce que je n'hésite jamais à mettre en application depuis.

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