Trio Avec L'Amant De Ma Femme
Résumé de l'épisode précédent : Ma femme m'a trompé avec un mec rencontré par hasard dans un centre commercial. Elle m'a avoué son forfait, ce qui m'a donné des idées d'ouverture, (voir l'histoire intitulée « Ma femme m'a trompé » publiée par Histoires de sexe dans la zone rouge.
Un mois a passé depuis ce jour où mon épouse mavait avoué mavoir trompé avec François, un mec rencontré alors quelle regardait la vitrine dune boutique de lingerie.
Je pense souvent à ça. Selon les moments, je suis excédé car cest la jalousie qui prend le dessus ou excité en repensant au récit quelle ma fait de leurs ébats. Et, honnêtement, cest la dernière situation qui domine le plus souvent.
Jai beaucoup plus souvent envie de lui faire lamour quauparavant, tant la routine planait sur notre vie sexuelle et jai aussi limpression quelle aussi a plus souvent envie et me donne limpression de jouir bien mieux, mais peut-être nest quune idée.
Souvent, quand nous faisons lamour, je lui demande à quoi elle pense. En labsence de réponse, je précise ma question :
- « Tu penses parfois à François quand nous faisons lamour ? Tu imagines la langue de François à la place de la mienne, ses mains sur ton corps, sa grosse queue dans ta bouche ou au fond de ta chatte ? Au fait, a-t-il vraiment une queue plus grosse que la mienne ? »
- « Arrête, mon chéri, ne pense plus à ça, tu te fais du mal. Je te répète que cétait un accident, que je nai jamais cherché à le revoir, que cest toi que jaime, avec toi que je veux faire lamour »
- « Mais tu ne mas pas répondu : Sa queue est-elle vraiment plus grosse que la mienne ? »
- « Mais non, mon chéri, elle est belle, ta queue, et je laime. Tu nas rien à envier à François. Cest vrai quil a une belle queue mais la sienne nest ni plus grosse ni plus belle que la tienne et je te répète que cest la tienne que je veux »
- « Tu est sûre de ne pas avoir encore envie de la queue de François, dans ta bouche, par exemple, pendant que je te ramone la chatte ou le contraire ? »
- « Tu es fou, mon chéri, je tai déjà dit que cest toi que jaime et seulement toi que je veux ».
Pour clore la discussion, elle membrasse. Nos bouches sont trop occupées pour pouvoir encore parler. Dautres fois, elle embouche ma queue. Bien évidemment, elle a un bon prétexte pour ne pas répondre et, quand elle veut aussi me faire taire, elle me chevauche en même temps et appuie sa chatte sur ma bouche. Elle sait combien jaime glisser ma langue entre ses lèvres, agacer son clito, enfoncer ma langue dans son fourreau gluant. Je naime rien tant que quand elle me jouit dans la bouche.
Peut-être est-ce une idée mais, malgré ses dénis, jai vraiment limpression que lévocation de ses ébats avec François lexcite tout particulièrement.
Bref, cette affaire de tromperie na pas brisé notre couple, mais elle a changé ma perception.
Javais déjà eu envie dautres expériences, de triolisme mais, me heurtant au refus de mon épouse, je restais sur ma faim sans être vraiment obsédé par la question, lessentiel étant toujours pour moi ma relation avec mon épouse.
Mais, depuis que ma femme mavait avoué avoir joui avec un autre je me disais souvent « Pourquoi pas moi ? ». De plus en plus souvent cette idée de baiser avec quelquun dautre me revenait.
Un jour que nous allions faire des courses, Jeanne-Marie mayant avoué quelle savait que François travaillait dans un magasin de fringues de la galerie commerciale où elle lavait rencontré, jai prétexté le besoin de voir quelque chose dans un magasin qui nexistait que là pour ly entraîner. Nous avons parcouru la galerie, avons effectivement visité le magasin en question sans, bien évidemment, y trouver quoi que ce soit dintéressant. Nous nous sommes ensuite installés à un bar et là jai dit à Jeanne-Marie :
- « Maintenant, vas chercher François ! »
- « Non, je ne veux pas ! Je te répète que je nai rien à voir avec ce mec, que notre rencontre na été quun accident. De plus, tu pourrais lagresser et je ne veux pas de scandale, ninsiste pas ! »
- « Eh bien si, justement, jinsiste.
Elle a continué de tergiverser pendant un moment, puis, comprenant que je ne cèderais pas, elle a fini par sen aller pour revenir quelques minutes après accompagnée dun mec bien sapé, pas mal de sa personne quelle ma présenté comme étant François.
Je me suis levé et, avec un sourire, lui ai tendu la main quil a saisie après une brève hésitation avant de lancer :
- « Alors, cest toi qui baises ma femme ! »
Jeanne-Marie, furieuse, ma fusillé du regard en me disant :
- « Tu mavais promis de ne pas faire de scandale ! »
- « Tu appelles-ça du scandale ? Ai-je lair agressif ? Je nai fait quénoncer une vérité, nest-ce pas, François ? »
Il ma regardé, mal à laise, se demandant ce qui pourrait se passer et sest finalement décidé à acquiescer.
- « Cest vrai, jai rencontré votre femme par inadvertance. Le fait quelle est plutôt jolie et un concours de circonstance ont fait le reste. Cest tout. Jai la faiblesse de croire quelle a partagé mon plaisir, mais il était aussi très clair que nous en resterions là. »
- « Ne ten fais-pas, je ne te fais pas de reproche, tout comme je nen ai pas fait à Jeanne-Marie. Je veux seulement que tu me dises si tu as aimé lui faire lamour et si, les circonstances le permettaient, si tu la baiserais encore volontiers »
- « Pour ça, pas de problème, jy ai vraiment pris plaisir et, dans les mêmes circonstances, je nhésiterais pas, mais cela me semble hors de propos »
- « Pas tant que ça ! Puisquelle te plait et que vous y avez pris plaisir tous les deux je veux que tu la baises encore, mais, cette fois, je veux être de la fête »
François ma regardé, interloqué, semblant se demander, comme on dit, si cétait du lard ou du cochon et Jeanne-Marie a aussitôt réagi :
- « Dis-donc, jai le sentiment dêtre concernée par ce que tu viens de dire et il me semble tavoir toujours dit que je ne voulais pas et que cette histoire avec François était close »
Mais, cette fois, je nallais pas me laisser mener et, puisquelle en avait déjà profité, il ny avait aucune raison pour quelle me refuse ce plaisir.
François avait conservé un mutisme prudent, observant lévolution des événements mais, à lénoncé de la conclusion, il na pas fait la fine bouche, semblant ravi à lidée de baiser à nouveau Jeanne-Marie, même avec ma participation.
Pour ne pas perdre mon avantage, jai aussitôt demandé à François quand il pourrait être disponible.
- « Dici un petit quart dheure je suis à vous, le temps que la relève arrive. Sur ce, je file au magasin car on doit se demander où je suis »
Quand il a été parti Jeanne-Marie ma demandé :
- « Es-tu sûr de ce que tu fais ? Nas-tu pas peur de me perdre en me jetant ainsi dans les bras de François ? »
- « Pour ce qui est de ty jeter je te rappelle que tu as bien su le faire sans moi et je tai toujours dit que je préférais que nous partagions nos fantasmes et nos plaisirs plutôt que de nous tromper mutuellement. Je ne te cache pas que, après que tu maies trompé je suis fermement décidé à en profiter moi aussi mais, comme je tiens à notre couple, je veux le faire en toute franchise, si possible avec toi plutôt quen cachette. La tromperie me semble la pire des choses pour lavenir de notre couple »
- « Tu as peut-être raison
Après tout, cest moi qui ai commencé et cela menlève le droit de te faire des reproches. Dailleurs, je dois bien tavouer que lidée davoir deux hommes pour moi toute seule, quatre mains, deux queues, ça mexcite déjà, mais, je ten prie, mon chéri, ne me laisse pas. Aime-moi toujours et dis-moi si, parfois, tu me trouves trop salope. Je veux que tu maimes toujours. »
- « Moi aussi je taime. Je veux te voir jouir toujours plus, être complice de ta jouissance.
Sur ces entrefaites François est arrivé. Nous lavons emmené à lhôtel voisin. Arrivés dans la chambre, jai enlacé mon épouse et lai embrassé. François se tenait à lécart. Je lai donc invité à nous rejoindre. Il ses approché doucement, sest plaqué contre le dos de mon épouse et sest mis à lembrasser dans le cou. Jeanne-Marie a tourné la tête pour lui offrir ses lèvres et, pendant un moment, elle nous a embrassés tour à tour.
Je me suis décollé delle, la laissant continuer à embrasser François et me suis attaqué aux boutons de son chemisier que jai eu tôt fait de faire glisser au sol, laissant apparaître son torse bien mis en valeur par le soutien-gorge pigeonnant offert par François.
Je me suis ensuite attaqué à la jupe qui a illico rejoint le chemisier. François, pendant ce temps, lui pelotait les seins, glissant les mains dans le soutien-gorge pour mieux en palper la douceur.
Je ne pouvais pas détacher mes yeux des mains de François sur les seins de ma femme, Cette vision me fascinait, m'obsédait, Il me fallait passer à autre chose si je ne voulais pas me laisser déborder par la jalousie.
J'ai baissé les yeux vers sa chatte encore masquée par le string mauve que j'ai aussitôt entrepris de lui ôter. Le visage à quelques centimètres de sa chatte, j'ai été gagné par les effluves enivrantes qui trahissaient son excitation.
J'ai approché ma bouche pour lui lécher la chatte mais la position était vraiment inconfortable et je n'arrivais pas à la lécher comme je l'aurais voulu. Je me suis donc relevé, me suis débarrassé de mes vêtements et me suis approché du couple qui n'avait pas bougé. François était toujours plaqué contre le dos de Jeanne-Marie et lui pelotait les seins pendant qu'ils s'embrassaient. J'ai collé mon corps nu contre celui de mon épouse qui a aussitôt abandonné la bouche de François pour la mienne. François en a profité pour se dévêtir, J'ai enlacé un peu plus ma femme, glissé mes mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge, dernier rempart vestimentaire encore présent. Mes mains parcouraient son corps.
J'ai alors entraîné Jeanne-Marie vers le lit où elle s'est couchée sur le dos. J'ai eu envie de m'allonge sur elle, de couvrir son corps, le masquant ainsi provisoirement à notre partenaire que je ressentais par moments comme un rival. Je l'ai embrassée en me vautrant sur elle, frottant ma queue sur sa chatte en feu. Petit à petit j'ai glissé vers le bas pour embrasser ses seins. François s'est approché. Il nous a regardés un moment puis approché ses lèvres pour gober son téton gauche pendant que je tétais le droit. Je regardais la bouche de François s'affairer sur le sein de ma femme, une image dont j'avais si souvent rêvé : une bouche sur chacun des seins de ma femme.
J'ai à nouveau descendu petit à petit vers l'antre du plaisir. J'ai enfin pu glisser ma langue sur et entre ses lèvres. Sa chatte dégoulinait littéralement. L'odeur et le goût m'enivraient et je crois que j'aurais continué longtemps à lécher si Jeanne-Marie ne m'avait tiré par les épaules en me disant :
- « Je n'en peux plus, mon chéri, j'ai trop envie de sentir ta queue dans ma chatte. »
Je ne me suis pas fait prier. Je me suis positionné, ma queue juste à la bonne hauteur. Elle s'en est emparée et l'a présentée elle-même à l'entrée de sa grotte. Elle était tellement trempée que mon vit n'a eu aucune difficulté à s'enfoncer jusqu'à la garde.
François nous observait. Il regardait ma queue entrer et sortir, les seins de Jeanne-Marie danser au rythme de mes coups de boutoir. Jeanne-Marie lui a dit :
- « Viens, François, j'ai aussi envie de ta queue. Donne-la-moi ! »
François ne s'est pas fait prier. Il a approché sa queue de la bouche de ma femme qui l'a aussitôt embouchée. Je regardais, fasciné, les lèvres de ma femme parcourir la queue de son amant, ses mains la branler avidement, et tout ça à quelques centimètres de mon visage. Elle m'a regardé bien en face en me disant :
- « Alors, ça te plat de me voir sucer François, c'est ça que tu voulais ? »
- « Ou ma chérie, continue. J'aime te voir sucer François pendant que je te baise. »
Elle continuait de sucer avidement en me regardant d'un air vicieux et provoquant mais je suis resté interloqué quand elle a recraché le morceau et, le dirigeant vers moi, elle m'a dit :
- « Tu veux goûter ? »
J'ai hésité un instant puis j'ai avancé mes lèvres vers l'engin qu'elle me tendait. J'ai passé ma langue sous la hampe et tout autour du gland avant de me décider à l'emboucher. Jai découvert le parfum, la texture, le goût de ce sexe dhomme. Cétait la première fois de ma vie que jen touchais un autre que le mien et je dois dire que, la première surprise passée, jai trouvé ça agréable. Jai joué quelque temps avec ma langue sur toute la longueur du membre avant de me décider à lemboucher. Je serrais mes lèvres tout autour en faisant attention à écarter les dents suffisamment. Tout dabord je me suis contenté du gland puis, pensant à ce que jaimais quon me fasse, jai avancé les lèvres pour en gober le plus possible, mais la queue de François était de bonne taille et jarrivais pas à tout rentrer. Jai entamé un va et vient qui a semblé plaire à François puisque jai senti son membre gonfler encore.
A un moment il ma saisi aux épaules en me demandant darrêter, se disant au bord de la jouissance. Il voulait faire retomber la pression avant dhonorer dignement Jeanne-Marie
Jai donc recraché cette queue que javais pris plaisir à sucer et Jeanne-Marie sest jetée sur ma bouche pour membrasser goulûment tout en flattant ma queue de la main. Visiblement, la situation lavait excitée. Elle ma demandé de mallonger sur le dos avant de sallonger sur moi, le dos contre ma poitrine, dans cette position que nous aimons tant, puisquelle me permet de voir son corps et libère mes mains pour me permettre de moccuper de ses seins.
Elle ma supplié de lui mettre ma queue sans attendre, ce que jai fait sans me faire prier.
François nous a regardés un moment avant de sapprocher, tout dabord pour lui sucer un sein pendant que je concentrais mes caresses sur lautre. Il ses ensuite glissé entre nos jambes pour regarder de plus près ma queue qui coulissait, entrant et ressortant de la chatte trempée de Jeanne-Marie, dégageant des effluves enivrantes. Il a approché sa bouche pour lécher les lèvres de sa chatte, exciter son clito gonflé, léchant au passage ma hampe. Je dois avouer avoir bien aimé, surtout quand jai senti Jeanne-Marie se cabrer et que je lai senti jouir, ce qui a déclenché illico lexplosion de ma jouissance.
Il sest délecté quelque temps du jus de chatte de Jeanne-Marie mélangé à mon foutre avant de venir lui faire partager ses saveurs dans un baiser passionné à quelques centimètres de mon visage. Il était le seul à navoir pas encore joui. Jeanne-Marie qui commençait à émerger après la jouissance qui lavait terrassée sest retirée laissant ma queue flasque déconner mollement et sest dégagée de mon corps pour sallonger directement sur le lit avant décarter à nouveau les jambes et de dire à François :
- « Viens, tu es le seul à navoir pas encore joui, mets-moi ta queue et profites-en à ton tour »
Il ne sest pas fait prier et, le temps denfiler un préservatif, il est venu entre ses jambes avant de la pénétrer. Sa queue bien raide sest enfoncée sans peine dans lantre chaud qui débordait encore de mon foutre. Il a commencé à limer. Je les ai regardés un moment sans bouger, regardant la queue de François labourer la chatte de ma femme, mais la situation était trop excitante. Je me suis agenouillé à leurs côtés et jai laissé ma main errer sur leurs corps soudés dans la recherche de plaisir. Jai cueilli la pointe dun sein de Jeanne-Marie entre mes lèvres et me suis mis à la téter activement. Ne sachant pas trop où poser ma main pendant ce temps je lai laissé se poser sur la fesse de François que je me suis mis à caresser, laissant peu à peu mon doigt inquisiteur sapprocher de son anus. Je lai massé doucement, testant sa souplesse puis jai descendu la main pour cueillir un peu de lubrifiant qui séchappait de la chatte de Jeanne-Marie lubrifiant ainsi mon doigt avant de la planter dans lanus de François qui sest ouvert sans difficulté, comme sil était déjà coutumier de ce type de traitement.
Dès que mon doigt a eu disparu tout entier dans son anus, François sest cabré de jouissance et sest effondré sur Jeanne-Marie qui lenlaçait en le remerciant.
Nous avions vraiment bien joui tous les trois et, lheure avançant, il fallait nous séparer. Nous nous sommes quittés sans promettre de nous revoir. Il ne fallait pas créer dhabitude. François est parti de son côté et nous du nôtre.
Jeanne-Marie était visiblement heureuse de notre après-midi et je ne l'étais pas moins, J'avais réalisé un fantasme qui me taraudait depuis longtemps et nous avions passé le cap en toute complicité, même si j'avais un peu la main au début,
Nous avons dîné tranquillement dans un restau en commentant ces instants de plaisir partagé. Même si Jeanne-Marie laissait à nouveau le doute l'envahir sur l'opportunité de renouveler semblable expérience, mais je restais confiant, me disant que le premier pas est toujours le plus difficile à franchir.
Nous sommes ensuite rentrés à la maison, pressés de faire à nouveau l'amour, tous les deux, tendrement, comme pour fêter ces bons moments partagés.
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