Mon Amie Nicole
« Allo ? Nicole ? Cest Maryline. Ca te dirais que lon aille prendre un verre quelque part ?»
Cette phrase, je ne pensais pas la prononcer un jour.
Nicole est une amie, très bonne amie.
Femme extravertie et libertine, nous avions tenté il y a quelque temps, avec mon mari, de pimenter un peu notre vie de couple en linvitant pour ce que nous appelions une expérience.
Se fut un désastre. Jai pris peur et nous avons arrêté avant même de commencer.
Je plaisais beaucoup à Nicole, elle ne se privait pas de me le dire, puis refus après refus, de guerre lasse, elle a cessé de me contacter. A lépoque, je naurais su dire si cela mavais vexé ou soulagée.
« Bonne nuit. Jai une journée de dingue demain. Tu me réveille à six heures, sil te plaît ? »
Ca, cest mon mari, Michel. Je laime, ou du moins je crois le penser.
Il travail beaucoup et je dois dire quil moubli un peu, parfois
trop. Comme ce soir, où il me laisse seule comme une truffe devant un téléfilm merdique. Moi, jaurais plutôt penché pour un petit câlin sur le canapé.
Il parait que le cap à passer cest sept ans de vie commune. Nous lavons passé, mais en voilà dix et lennui et la routine commence à me peser, lourd, très lourd, trop lourdement.
Jéteins la télé et me plante devant lordi.
Je navigue une petite heure et de sites en sites, je me chauffe en regardant des photos pornos.
Je ne pense pas que se soit ce genre de chose qui calmera ma libido du moment.
Allons voir sur MSN si je trouve un contact sympa. Jen ai très peu. La plupart ne désire quune chose, ou voir des photos ou me voir en Cam. Ce nest pas mon truc. Des contacts féminins, jen ai quelques un, mais sans grand intérêt non plus.
Sinon, Nicole. Son petit bonhomme est toujours allumé vert. Combien de fois ais je eu la tentation de lui lancer un « coucou ». Mais je recule sans cesse.
Je mamuse à lire les petites phrases que mettent les contacts près de leurs pseudos.
Il y en a une qui retient mon attention.
« La femme infidèle a des remords, la femme fidèle a des regrets. »
Japproche de la quarantaine, ma vie est triste et monotone. Oui, je crois bien avoir quelques regrets. Finalement il ne sest pas passé grand chose dans ma vie.
Peut être faut il mieux avoir des remords et de bon souvenirs ?
« Salut Nicole. Cest Maryline. Ca te dirais que lon aille prendre un verre quelque part ?»
Ca y est. Le message est parti, je ne peux plus faire marche arrière.
Lattente me semble interminable. Puis
« Nicole est en train décrire. »
Mon cur se met à battre plus vite dans ma poitrine.
Enfin, un texte saffiche.
« Tiens, une revenante ! Bonjour ma chérie. Comment vas-tu. »
« Bien, merci. Que pense tu de ma proposition, je suis dispo toute la journée de demain et je serais très heureuse de te revoir. »
Mon message à peine envoyé que jai la sensation de linviter directement dans mon lit. Les mots « proposition », « dispo », « journée », « heureuse », résonnent dans ma tête comme si je venais de moffrir à cette femme.
La réponse ne se fait pas attendre.
« Avec plaisir. Que dirais tu de 11h30 au petit restaurant, je tinvite, daccord ? »
Mes doigts tremblent et lémotion me gagne. Péniblement, je tape « ok ».
La peur dune trop longue conversation meffraie tellement que je me déconnecte tout de suite.
Je rejoins Michel dans le lit conjugal. Il dort à poings fermés. Je lui tourne le dos et presque sans le vouloir, je passe ma main sur ma vulve. Je suis inondée. Jen rougie.
Comment une invitation au restaurant peut elle me mettre dans un tel état. Je me détends et me caresse lentement. Mon bouton est gonflé de désirs. Il ne me faudra pas cinq minutes pour jouir, genoux serrés et lèvres pincées pour un cri de bien être.
Six heures.
Le réveil sonne.
Jai passé la nuit à fantasmer et jai très mal dormie.
« Salut chérie, à ce soir ! »
« Oui cest ca ! »
La porte claque.
« Et surtout te déplace pas pour
membrasser ! »
Je ferme les yeux et visionne Nicole. Humm ! Cette belle rousse qui me tente tant. Ais je bien fais de lui donner rendez vous, alors que je ne suis même pas certaine daller jusquau bout, du moins si elle me fait une proposition.
Je me caresse un peu, presque sans le vouloir. Immédiatement le plaisir prend possession de mon ventre. Dune main je frotte mon clito gonflé, de lautre je titille la pointe de mes seins. Ma jouissance est rapide tant les images que je minvente sont chaudes. Je me surprends à dire « Nicole ! » au moment de jouir.
10h30
Je tourne en rond, panique un peu. Comment mhabiller. Je ne veux pas faire la provocatrice. Pantalon ? Hum ! Pas très pratique. Mini jupe ? Hors de question se serrait avouer mon désir. Alors se serrât une robe légère fermée sur le devant par des boutons, pas de soutien gorge, pour une fois ma poitrine peut sen passer et enfin, une petite ceinture pour dessiner ma taille. Dehors il fait froid, je passe des bas tops et un petit string presque assorti à la robe. Une belle paire de bottes, mon long manteau en veau retourné et me voilà prête, belle, jespère.
11h15
Jarrive au petit restaurant ou nous avons souvent mangé avec Nicole et mon mari.
Je suis la première. Je préfère. Je choisie une table discrète dans la salle du fond et commande un « baby », histoire de tenter de me calmer. Je suis glacée, mes jambes tremblent et jai le rouge aux joues.
Mon petit cur semballe lorsque je la vois franchir la porte. Tous les yeux se retournent vers elle
et pour cause.
Elle est vêtue dun petit blouson de cuir noir, ouvert sur un bustier rouge à lacets qui serre sa poitrine et dune mini jupe de la même couleur.
« Houuuu ! Bonjour ma chérie ! Quest ce que je suis contente de te voir ! Ta vus tout ses beaux males au comptoir ? Jen ferrais bien mon quatre heures. »
« Chutttt ! Arrête enfin ! Ils pourraient tentendre ! »
« Ho ! Mince ta raison. Alors quoi de neuf raconte moi ? »
Finalement, ma vie trépidante et passionnante ne me donne guère de sujets de discutions. Heureusement, il nen est pas de même pour elle et elle meuble le repas à me conter ses conquêtes et ses aventures.
Arrivé au café, elle se lève et viens sasseoir près de moi sur la banquette. Elle passe son bras autour de mes épaules et me presse légèrement contre elle.
« Aller ! Dis-moi tout. Ca vas pas bien toi, hein ?! »
« Si, ca vas. Enfin ca pourrait aller mieux. Tu sais ce que cest, mon boulot, la fatigue, le boulot de Michel qui laccapare beaucoup trop, voilà quoi, toutes ses choses. »
« Il te baise au moins ? »
« Nicoleee !! »
« Ben quoi ? Cest important pour lharmonie dun couple et pour ta santé psychologique aussi, dailleurs moi, je
»
« Nicole ! Stop ! Nicole ! Tout va bien, il me
baise. Il ny a pas de soucis, ok ? »
« Bon, daccord, je taccorde le bénéfice du doute. Regarde le type là-bas, il narrête pas de nous mâter depuis tout à lheure. Fais comme moi, écarte un peu tes jambes. »
« Nicole arrête tes conneries, tu sais que jaime pas ca ! »
« Ben quoi, je lui donne ce quil veut, en plus je nai pas de culotte ! Hihihi ! »
« NICOLE, merde ! »
« Non, cest bon ! Calme toi, je déconne, aller viens, on sen va. »
Nous arrivons chez elle et mes jambes tremblent plus que jamais. Je lui donne mon manteau.
« Installe toi, je vais faire un café. »
Je minstalle dans le canapé, ou plus précisément, je pose mes fesses sur le bord du canapé. My enfoncer de trop pourrait sembler provocateur.
Elle revient avec deux tasses bouillantes, puis elle sassoie près de moi, bien au fond du canapé.
Un frisson me parcoure lorsque sa main caresse mon dos. Surprise, je manque de m et je dois poser la tasse pour tousser.
« Laisse le refroidir et viens près de moi. »
Je menfonce dans le cuir et elle se rapproche de moi. Comme au restaurant, elle passe son bras autour de mes épaules. De son autre main, elle caresse délicatement ma joue.
Moi, figée, frigorifiée par la peur, la timidité et surement une part de honte, je fixe mes genoux, mes mains biens croisées sur mes cuisses.
« Alors, ma chérie ! Il semble que la chose te fasse toujours aussi peur, non ? Je me trompe ? »
Putain, quelle gourde, je narrive même pas à répondre.
« Tu sais, ce nest pas très compliqué, mais il te faut te détendre, regarde, tu es raide comme un bâton. »
Pour paraitre détendue, je lisse mes cheveux de mes mains.
« Laisse dont tes cheveux, ils sont parfait. »
Elle prend ma main et la pose sur sa cuisse. Sa jupe est si courte quelle la pose sur son bas.
Sous mes doigts je sens la résille qui gratte un peu.
A son tour, elle pose sa main sur mon genou et remonte très lentement, en petites caresses, sur ma cuisse. Elle passe sous ma robe.
Je suis pétrifiée et terriblement excitée à la fois. Je suis entre le feu et la glace.
Je pense quelle le sent et redescend sa main jusqu'à mon genou.
« Tu a peur ? Peur de ce qui peut se passer ? Regarde moi et répond moi. »
Je tourne la tête timidement et je plonge dans ses yeux. Cest ce que je redoutais. Son regard est envoutant, captivant. De nouveaux frissons me parcourent. Je suis perdue
jai envie delle
je la veux.
Il me semble perdre la raison, perdre pied et je me jette à corps et à cris dans ce plaisir nouveau.
« Tais-toi Nicole ! Embrasse-moi ! »
Elle ne se le fait pas dire deux fois et se penche vers moi.
Ses lèvres touchent délicatement les miennes, puis sa langue se fait présente et cest tout naturellement que jentrouvre ma bouche et titille son organe musculaire du bout du mien. Très vite nos baisers deviennent fougueux et je me surprends à glisser mes doigts dans sa crinière rousse.
Encouragée par ma fougue soudaine, je sens ses doigts qui dégrafent fébrilement les boutons de ma robe. Le tissu qui sécarte doucement laisse pénétrer un air plus frais. Je sens la pointe de mes seins se durcir et grossir en un rien de temps.
Ses petits doigts agiles descendent encore faisant sauter un à un les petits boutons.
Elle sarrête à la barrière de la ceinture et pose doucement la paume de sa main sur mon ventre. Celui-ci se rétracte de plaisir. Puis tout en membrassant elle remonte cette même main vers ma poitrine en demande damour. Elle prend un de mes seins et lécrase et le malaxe gentiment dans sa main.
Sa bouche quitte la mienne et lèche mon menton, mon cou, arrive aux seins et titille de sa langue un des deux tétons. Quelle douce sensation.
Je sens ses cheveux parfumés encore de lodeur de shampoing. Dans cette position, son dos mest offert et jy passe ma main. Une à une je fais sauter les agrafes de son bustier qui bientôt tombe au bout de ses bras. Agilement, elle sen dégage et le fait voler au milieu de la pièce. Désormais je caresse la peau douce de son dos, alors que délicatement, tout en léchant et aspirant mes seins, elle dénoue ma ceinture et fait sauter les quelques boutons qui restent. Doucement, elle écarte les deux pans de ma robe et me voilà nue ou presque, offerte à cette magnifique libertine.
Elle se redresse et me contemple.
« Mon dieu ! Que tu es belle ! »
Son bras est resté derrière mes épaules et de sa main ballante elle me caresse un sein. De son autre main elle caresse mon corps de bas en haut. Ni trop fort ni trop doucement. Sa main est douce et ses doigts épousent toutes les courbes de mon anatomie, du genou jusqu'à la joue. Elle glisse entre mes cuisses, appuyant peut être un peu plus sur le fin tissu qui sépare ses doigts de ma fente que je sens dégoulinante de plaisir et denvie.
Son visage sapproche du mien et une fois de plus nous partageons un délicieux baiser, nous mordant légèrement les lèvres, fouillant notre palais en faisant tourner nos langues dans une danse frénétique et savoureuse. Nos corps se sont rapprochés et ses seins frôlent les miens. Je me redresse, je me tends vers cette femme, afin que nos mamelons se frottent avec forces et vigueur. Je sens ses tétons dressés, durs et fiers rouler sur ma poitrine comme elle doit sentir les miens, prêts à exploser de bonheur.
Sa bouche une fois de plus quitte la mienne et descend, descend toujours. Elle glisse jusqu'à se retrouver à genoux entre mes cuisses. Je suis vaincue et me laisse guider par cette experte du plaisir.
Sa langue coure et frétille sur lintérieur de mes cuisses me provoquant des sensations encore inconnues de mon corps.
Un doigt malin écarte le petit triangle de mon string et sa langue chaude touche directement mon clito gonflé. Cest comme une décharge électrique, un feu dartifice. Mes mains agrippent sa chevelure et poussent son visage vers mon intimité. Je ne me sens plus moi-même. Je ne me sens plus femme ou être humain. Je ne suis que bonheur pur et plaisir intense. Je voudrais en mourir.
« Ho oui ! Nicole ! Continue, je ten supplie, continue ! »
Ce matin en me levant, jétais à cent lieux de penser prononcer cette phrase.
Mes yeux mi clos, observent malgré tout mon bassin qui ondule vers la bouche gourmande. Elle me fouille avec application, et savoir faire.
Je me laisse glisser sur le cuir jusqu'à la renverser au sol et masseoir sur sa bouche. Mon corps est cambré et je pétris mes seins comme une folle, tête en arrière en poussant des râles de plaisirs.
Mais cela ne me suffis plus, je veux donner aussi. Alors plus vite que de le dire, je me retourne et plonge moi aussi entre ses cuisse, sous sa petite jupe rouge, quelle porte toujours.
La salope ! Elle navait pas mentie et ne porte rien.
Jécarte ses grandes lèvres de mes doigts. Je vois son intimité humide palpiter aux grés de mes caresses. Je plonge mon visage et tombe très vite en extase en dégustant ce doux nectar féminin.
Nous nous engageons dans un soixante neuf digne des plus grands pornos hollywoodiens.
Nous frottons nos corps, nos mains courent, fouillent. Cest ainsi que je ne me suis aperçue quaprès plusieurs minutes quelle fouillait mon anus de son index.
Nous roulons, nous nous cambrons et finalement elle se retrouve sur moi, en membrassant et en frottant sa vulve dégoulinante contre la mienne.
Mon cur bat la chamade comme jamais. Je suis bien, heureuse, libérée dun poids. En aucun cas je ne me sens fautive en quoi que se soit.
Une pause simpose après se démarrage en trombe.
Je transpire, jai très chaud. Je pense que le stress du début sort et dégouline de tous les pores de ma peau.
Elle, semble radieuse, détendue et en pleine forme.
Elle se lève, quitte sa jupe qui sans doute la gêne et dune voix guillerette me propose un verre de champagne, que jaccepte bien volontiers.
Je reste assise au sol, jambes repliées tenues par mes bras et je pose mon menton sur mes genoux, rêveuse.
Quelle idiote jai été dattendre si longtemps, de laisser passer tant dannées pour toucher à ce bonheur particulier du sexe.
Je minterroge.
Jai souvent douté des dires de Nicole concernant ses nombreuses expériences en tout genre. Exhibition dans la nature, soffrir à des inconnus aux bois ou dans des cinémas ou encore dans des saunas, participer les yeux bandés à de mini orgies.
Jaime lécouter et jen rie beaucoup. Mais aujourdhui, je me dis
et si cétait elle qui détenait la vraie clef du bonheur ?
« Houhou !! Je te dérange ? Hihihi ! »
« Ho ! Excuse moi Nicole, jétais perdue dans mes pensés. »
« Ne pense pas trop ma chérie, prend la vie comme elle vient et au jour le jour. Crois en une vieille aventurière ! »
A genoux, face à face nous buvons une coupe de champagne en croisant nos bras. Puis, elle les prend et les posent sur la table basse. Elle se tourne vers moi, prend mon visage dans ses mains et plonge ses yeux au plus profond des miens.
Jai un frisson.
« Je nen ai pas fini avec toi ma mignonne. Regarde ! »
Elle prend la bouteille de champagne, la déshabille de sa collerette daluminium, puis la pose par terre.
Moi, hypnotisée par cette femme, je reste sans réaction à lobserver.
Elle se soulève et se place au dessus du goulot. Lentement elle sempale sur la bouteille, jusqu'à mi encolure, là ou le verre prend de lampleur.
Elle pose ses mains sur mes épaules pour se servir dappuis, ferme les yeux et remonte avant de se rassoir de nouveaux sur ce gode improvisé.
La voir ainsi faire lamour avec une bouteille mexcite. Je me rapproche delle et mets mon corps au contact du sien. Je le sens se frotter à moi au fur et à mesure quelle se baise. Ses seins passent successivement dessous et au dessus des miens. Son ventre bouillant frotte le mien transmettant sa chaleur. Je prends sa bouche et lenlace tendrement pour un doux et long baiser humide.
Jaurais du men douter, Nicole nest pas fille à prendre seule du plaisir.
Avec habileté, elle penche rapidement la bouteille et mappuis sur les épaules. Je sens le goulot bouillant de la jouissance de mon amie pénétrer mon vagin.
Dabord surprise, je me laisse posséder par le verre lisse. Et à mon tour je me laisse prendre par cet étrange objet que lon croirait dessiner pour la chose.
Je ferme les yeux et me surprend à enchainer plusieurs petites jouissances à la suite.
Je suis tellement bien dans mon trip que je ne me suis même pas rendue compte que Nicole ne me touchait plus.
Quand jouvre les yeux, un sexe dhomme énorme est planté devant mon nez.
« Fais-moi une pipe ! »
Nicole est debout et flanqué dune ceinture gode.
Amusée, continuant à me faire pénétrer par le gros flacon, je prends le sexe de plastique entre mes lèvres et commence à le sucer.
« Hummm ! Ca te plais ca ! Hein, salope ? Tu voudrais bien que se soit un vrais male en rut que tu suce, hein ? »
Sa façon de me parler mexcite et je magite de plus en plus fort sur ma bouteille et avale la queue presque à en vomir. Nicole mexcite et elle le sait bien.
Soudain, elle change de ton et passe derrière moi. Tout va très vite
« Bouge pas, belle putain ! Je vais te baiser comme une reine ! »
Arrivée derrière moi, elle retire la bouteille quelle pose sur la table, mappuie fortement dans le dos pour me faire mettre à quatre pate et avant même que je ne puisse réagir je suis prise en levrette par le sexe plastifié de mon amie.
Elle a agrippée mes hanches et donne de longs et puissants coups de reins.
Lobjet senfonce en moi de toute sa longueur atteignant lutérus.
Nicole semble transcendée par cet état de chose.
Je nai même pas eu le temps dêtre surprise. Le plaisir est immédiat et je pars dans une série dorgasmes dune amplitude que je ne connaissais pas.
« Tiens salope, prends ca et ca ! Tu aime, hein putain ? Tu aime te faire baiser ! Avoue !! »
Et là je fais une chose dont je ne me serrais jamais crus capable, je réponds.
« Ho oui Nicole ! Baise-moi fort ! Cest bon ! Ne tarrête pas ! Baise-moi encore ! »
« Tinquiète mon ange tu vas en avoir pour ton déplacement. »
Je sens alors une ou deux gouttes froides tomber sur mon anus, quelle étale et fait pénétrer aussitôt.
« Tu aimes la sodomie ? »
Devant la taille de lengin je serrais plus enclin à dire non, mais je ne réponds rien et respire lentement pour me préparer.
Le gland se pose sur ma rondelle brune et plus doucement que le ferrait un homme, Nicole mencule à fond en deux temps trois mouvements.
Le mastodonte coulisse en moi, doucement dabord et prend de la vitesse aux grés des coups de reins de « miss libertine ».
Je me fais défoncer comme une reine, suivit de variante ou elle quitte mon fondement pour replonger dans ma chatte bouillante et dégoulinante.
Je perds la tête et pousse des cris de jouissance. Je tremble, jai chaud, jai froid, je ne sais plus si elle est devant ou derrière, je ne suis plus quun sexe géant. Je perds les pédales et mes muscles se relâchent. Je me sens comme uriner sans pouvoir le retenir daucune façon quil ne soit. Puis dun coup plus rien. Le trou noir.
De leau fraiche coule sur mon front dun linge mouillé.
« Là ! Ca va aller, respire doucement. »
Je suis sur le dos, Nicole est penchée sur moi. Je ne trouve à dire quune chose.
« Cétait si bon
»
« Ben oui, jai vus ca ! Tu tes transformée en fontaine et tes tombée dans les pommes. Tu as disjonctée ma belle. Tu sais que cest très rare ca ? Tu peux te dire que tu as beaucoup de chance. Jen serrais presque jalouse, hihihi ! »
Elle sallonge près de moi, menlace et membrasse tendrement.
« Bonjour chérie tu vas bien ? Tu a passé une bonne journée ? Moi ca été lenfer ! Tu sais Lambert ? Je tai déjà parlé de Lambert ? Ben ce con veut
»
« Oui ! ca vas. Ma journée a été très bonne, merci de ten inquiéter
.Chéri ! »
Claude Lamour
claudelamour@hotmail.fr
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