Trois Ouvriers À L'Hôtel
Je gérais alors un petit hôtel bon marché de 12 chambres. Les clients étaient pour la plupart sympathiques. Je travaillais seul à la réception et aux petits déjeuners. Une femme de chambre avait en charge le ménage.
Une chambre triple avait été réservée par 3 ouvriers pour quinze jours. Ce genre de réservation était courante car elle permettait de diminuer les frais de déplacement.
Le lundi soir vers 17h30, ils se sont donc présentés à la réception muni de leurs sacs. Ils étaient 3 : un grand rouquin avec une barbe de trois jours visiblement musclé vu les formes qui tendaient son tee-shirt et notamment les tétons proéminents. Je ne suis habituellement pas fan des roux mais celui-ci dégageait une sacré virilité. Le second était d'origine espagnole ou portugaise, trapu et velu à en juger par ses avant-bras et les poils noirs qui dépassaient de son col. Le troisième était d'origine maghrébine, assez jeune (25 ans peut être) bien fait de sa personne.
Je décidais de les accompagner à leur chambre (chose que je ne faisais habituellement pas) en leur expliquant les modalités du séjour. Ceci étant fait, je pris congé par cette petite phrase empreinte d'humour : "je loge dans l'appartement à l'étage au dessus, si vous avez besoin de quelque chose ou s'il vous manque un quatrième larron pour une partie.... - temps d'arrêt - de cartes n'hésitez pas je suis votre homme !".
J'essayais d'être le plus jovial avec eux afin d'attirer leur sympathie. En général, ils rentraient à l'hôtel vers 18h30. Deux restaient sur la terrasse avec une boisson pendant que le troisième se douchait puis se relayaient. Ensuite ils sortaient dîner. Le jeudi soir, seul Thierry (le roux) et Miguel (l'espagnol) sont partis au restaurant. Nabil est resté pour économiser a-t-il dit. J'ai sauté sur l'occasion et lui ai proposer de partager mon repas. Il a refusé. J'ai insisté en lui précisant que ça ne me dérangeait pas et même que ça me ferait plaisir car ça briserait ma monotonie d'avoir un peu de compagnie.
je me délectais mais lui aussi, soyez-en certain ! Sans me prévenir il a joui dans ma bouche.
Le lendemain matin au petit déjeuner, rien ne transparaissait dans ses réactions.
Ils sont tous repartis pour le week end en me confirmant leur retour la semaine suivante.
Cette semaine s'est écoulée rapidement. Le dernier jour, je leur proposais de venir prendre un apéritif dans mon logement. Ils ont acceptés. Nous avons un peu exagéré sur la boisson mais j'avais une idée derrière la tête suite à mon aventure avec Nabil.
Alors que la discussion se lâchait et que nous entamions le registre des blagues salaces je me levais et mis un film X dans le lecteur de DVD. Nous étions tous échauffés. Le film eut l'effet escompté et l'excitation de tous était visible. Miguel accompagnait de ses remarques lubriques l'actrice qui se faisait mettre par deux étalons. Il a même sortit son sexe noueux et gonflé pour se masturber. Sans hésiter, je me mis à genoux, il a d'abord cru à une plaisanterie mais je me suis mis à le pomper et la tension était alors perceptible. Il ne savait pas comment réagir. Finalement il s'est laissé faire. Thierry et Nabil regardaient le spectacle, ahuris.
Nabil et Miguel dans l'autre pièce, je m'installais alors sur le lit et levai les jambes, offert à Thierry. Je voulais le regarder me baiser. Il avait un corps superbe, les muscles bien dessinés sous une peau claire. Grand avec une belle carrure, c'était réellement un beau mec. Il a mis ses mains sur mes cuisses et entra doucement en moi. Il me toisait de ses yeux clairs. J'étais écartelé, son sexe énorme s'insérait en moi, mes chairs s'écartaient à son passage. Que c'était bon ! Entré à fond, il se retira pour me pénétrer de nouveau. Il me pistonna ainsi longuement en gérant son plaisir et le mien. L'extase que j'éprouvais alors je l'ai rarement connue depuis.
J'étais épuisé, courbaturé d'avoir été l'esclave sexuel de ses trois ouvriers. Mais j'étais ravi. Ils se sont rhabillés et sont retournés à leur chambre. le lendemain matin, au petit déjeuner, Miguel m'a taquiné et m'a même mis la main aux fesses. Nabil semblait gêné. Thierry, quant à lui, était égal à lui même, posé. Ils ont réglé leur note et sont partis. Je ne les ai jamais revu. Au fait, Thierry et Miguel portaient l'alliance...
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