Une Aimable Invitation

Vous admirant belle et gente dame, je pense au délicat bijou qui se cache sous vos jupons. Je l’aime à la folie cette jolie fente verticale et sans doute êtes-vous comme moi.
Souvent, vous la câlinez, la caressez, l’ouvrez et la fermez de vos longs doigts. Vous débarrassez ce sourire vertical de son ombreuse et inutile fourrure pour mieux en apprécier la beauté.
Laissez-vous faire. Offrez-moi la possibilité de vous montrer mes talents de caresseur. J’ai la main douce et les doigts agiles.
Approchez de mon fauteuil, jolie dame, venez, debout entre mes jambes écartées, que je vous trousse.
- Oh, mon dieu, vous portez encore une de ces horribles culottes épaisses et opaques couvrants totalement ventres et fesses ! Otez de suite et pour toujours cet objet détestable. Il est indigne de vos charmes.
- Merci, ma charmante. Vous voici prête à juger mes talents d’éveilleur des sens. En voici le programme.
Dans un premier temps, après vous avoir aidé à quitter jupe et jupons, je vais longuement admirer votre ventre lisse et parfaitement nu, au mont de Venus doucement bombé, et votre petit nombril qui attirera la pointe de ma langue.
Prolongeant sa visite, ma langue descendra jusqu’à votre bouton d’amour qu’elle stimulera avec toute la délicatesse qu’il mérite, tandis que mes doigts crochés sur vos douces fesses en écarteront légèrement l’enivrante vallée pour permettre à l’un d’entre eux d’aller caresser d’un mouvement circulaire l’anneau de chair qu’elles dissimulent.
Après cet avant goût, je vous inviterai à vous allonger en travers du lit et à écarter vos jambes dans un geste d’offrande et d’abandon.
La bouche grande ouverte, je m’approcherai de la fourche de vos belles cuisses. Je les parcourrai de baisers légers en m’attardant sur leur face interne, là où la peau est si douce. Vous en frémirez de plaisir.
Enfin, répondant à votre attente, je glisserai mon nez entre les nymphes délicates de votre sexe pour les écarter et humer le parfum unique qu’elles retiennent.

Je le ferai entrer le plus loin possible. Vous sentirez votre bouche verticale s’ouvrir pour accueillir ma langue active et me donner à goûter la liqueur qu’elle sécrète. Après m’en être abreuvé un long moment, je vous inviterai à vous retourner et, à plat ventre sur la couche, à m’offrir vos fesses adorables.
Je les écarterai, les malaxerai, débusquerai le divin anneau que je violerai de mes deux pouces pour l’ouvrir à ma langue fouilleuse. Vous ondulerez des reins sous le plaisir venant. Vous ne pourrez échapper à l’évocation d’une pénétration plus importante, quelque peu redoutée sans doute mais cependant espérée. Mes doigts réunis en fuseau s’y emploieront bientôt.
La jouissance montera en vous. Vous froisserez le drap entre vos doigts crispés. Vous creuserez les reins pour relever votre croupe et vous donner plus encore. Vous mordrez vos lèvres pour ne pas crier votre plaisir et vos désirs.
Je vous laisserai, enfin, vous remettre sur le dos et vibrer, jambes au grand écart, dans cet orgasme incontrôlable qui vous emportera.
Bouche ouverte, je me jetterai sur votre sexe et j’y boirai votre plaisir humide.
Voila, belle dame, ce que je vous promets puisque vous venez, entre mes jambes écartées, vous prêter à mes caresses.

Valpierre