La Toison De La Voisine (2)
En partant de mon bureau, Maryse refusa daller au resto, elle me dit : jai un endroit pas loin dici quune amie me prête, allons y, cest la maison de ses parents, cest une grande maison quelle loue aux grandes vacances, on y sera tranquille. Elle mindiqua la route tout en me montrant sa chatte poilue, je bandais comme un fou. Juste avant darriver, Maryse me fait : je nen peux plus, arrête, je veux te sucer ! Je me gare et elle ouvre mon pantalon et sort ma verge. Elle suçait avec rapidité, je passe ma main dans ses cheveux et lui dit : ralentis. Maryse releva la tète et me dit en enlevant un poil de sa langue : elle sent bon !
Juste avant de décharger je passe un doigt dans son anus. Maryse soulève sa cuisse avec ses mains pour me faciliter laccès de son cul. Elle me dit : tu es bien là ? Je répondis : je sens tes poils sur mon doigt, je bande comme jamais ! Elle répond : hum je le vois
Au bout de dix minutes, je jouis dans sa bouche. De toutes mes copines, Maryse, est la seule à avaler tout mon sperme, elle se relève après avoir bien nettoyée ma queue avec sa langue. Elle me dit en me caressant la joue : javais peur que tu éjacules dans ton slip et je naurais pas eu beaucoup de semence, jadore le jus dhomme. Je réponds : Robert ne connait pas son bonheur
Maryse me fit : à chaque fois que je lui fais une pipe, il reste indifférent, aucunes réactions, jai tout acceptée au début, les vingt premières années de notre mariage on baisait partout : sur un coin de table, dans une écurie ou dans une cage descalier, il adorait me passer la main au cul sous ma robe, il me suppliait de ne pas mettre de culotte et avec les années nos rapports ont changés, il a du mal à bander et ne veut pas voir de médecin. Il se retranche dans ses loisirs : sa pêche
Il part souvent avec des amis la nuit ou le week-end.
Une fois arrivé à la propriété, Maryse ouvre la porte avec une télécommande, je rentre la voiture et nous rentrons dans la cuisine.
« Continu, oh oui, défonce ta voisine
»
Je retourne Maryse et saisie ses fesses et me réintroduis dans ses lèvres pleines de cyprine. Plus je limais, plus elle criait, je mis ma main sur sa bouche pour atténuer son orgasme, Maryse me mordit ma main plus fort, elle me poussa avec ses mains, je ne compris pas et me retirais, Maryse me souffla : bouffe moi la chatte, vite
Au moment où ma bouche fut à son vagin elle me lâcha deux jets de sa mouille et finis par jouir. Nous avons passés un sacré après midi, je vous raconterai plus tard nos autres moments torrides
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