Nouvelle Vie À La Campagne 1

Et voila nous déménageons, finit la vie en ville, moi qui suis plutôt casanière, la vie en ville m’allait très bien, le fait d’être anonyme dans la foule, de plus j’avais quelque amis et mes habitudes, je suis plutôt timide, le genre de fille que l’on ne remarque pas dans une soirée, ni moche ni belle pour mes 19 ans, et je porte des lunettes qui n’arrangent rien, enfin dans la moyenne donc enfin j’espère !

Mais comme dit mon père « c’est le retour à la nature, une nouvelle vie commence » il ne peut pas se rendre compte à quel point elle va être nouvelle, et puis quelle nature, même pas un village, un hameau de quinze vingt maisons avec les granges, entourées de champs et de forets, moi je suis obligée de suivre mes parents, pas de travail et en plus j’ai planté mes études.

Cela fait maintenant un mois que nous sommes là, notre maison est plutôt agréable entourée d’une très grand pelouse avec quel arbustes et un peu à l’écart du hameau, à droite et au bout de notre pelouse une forêt, rien de passionnent, je sens que je vais m’ennuyé ferme, je n’ai vu aucune personne de mon âge.
Mes parents reprennent le boulot, ils prennent la voiture car la gare est à 40 km de notre maison.
Tous les matins à 6 heures, je me retrouve donc seule dans cette maison, et je dois avouer que je ne suis pas très tranquille de rester isolée dans cette maison que je ne connais pas, en pleine nature, je suis un peu peureuse.
Mon père me laisse toujours une liste de chose à faire, ménage et autre, il trouve que je me la coule douce et qu’il faut m’occuper, sympa !

Ce matin, en plus, je dois recevoir un type qui devrait passer pour le devis pour s’occuper du jardin, et lui transmettre ce que veulent mes parents.
Je vais encore devoir faire un effort, car depuis mon déménagement je deviens de plus en plus casanière, et comme je n’ai presque plus de nouvelles de mes amies d’avant, et que je ne peux pas me déplacer car je n’ai pas le permis de conduire, je vais devoir faire bonne figure pour recevoir ce jardinier.




Vers 7 h30 on sonne, je suis habillée d’un tee-shirt et d’un pantalon de jogging une culotte et pas de soutien-gorge, j’ouvre et sur le pas de la porte, je vois un homme la trentaine d’ années, cheveux courts genre militaire, les yeux bleu, une barbe de deux jours, plus grand que moi, assez baraqué , un visage carré, un pantalon de travail bleu avec bretelles, et chemise les manches remontées.

- bonjour jeune fille, je viens pour le jardin
Je suis un peu étonnée d’être en face de cet homme, je m’attendais à un bouseux et vieux, je bafouille
- euh, oui bonjour
- je peux rentrer et il avance vers moi
Je m’écarte très intimidée par lui, je suis impressionnée par cette homme je ne sais pas pourquoi.
La porte refermée, il s’avance très libre et décontracté, vers la salle à manger comme si il était chez lui.
- je m’appelle Gilles et toi ?
Je suis totalement surpris par son tutoiement, je réponds automatiquement
- Claire
- pas mal la maison, tu ne t’emmerde pas trop dans ce trou
- si
Il me fait face, et ses grands yeux bleus s’insinuent en moi, je suis tétanisée
- tu fais quoi de tes journées ?
- pas grand chose
- tu as petit copain ?
Je sens que je rougie, j’aurais du réagir, je le savais au fond de moi et lui répondre que cela ne le regardait pas, mais j’étais totalement paralysée et cette homme me m’était sans dessus dessous, il me déstabilisait rien quand me regardant.
- non
- ce n’est pas vrai une minette comme toi, pas de petit copain pour s’occuper de toi, tu as quel âge ma belle ?
- 19 ans
Il avance sa main et la pose sur mon épaule gauche.
- tu ne me ferais pas un café, hein ma puce ?
En silence je me dirige vers la cuisine, il me suit et il s’assoir sur une chaise près de la table, je lui tourne le dos et je sens son regard sur moi, je me concentre sur la cafetière.
Quand le café est chaud, je me retourne et m’approche de lui, il me sourit et fait voir ses dents de carnassier, cela n’arrange pas vraiment ma sérénité, au moment ou je vais verser le café, il pose sa main sur mon ventre.


- tu as l’air d’être une gentille fille, à qui lui manque un peu de folie dans la vie, je me trompe ?
Je restais figer, sans répondre
- de plus tu es très mignonne
Il passe sans vergogne, sa main sous mon tee-shirt, je la sens sur mon ventre qui monte et se referme sur mon sein gauche
- je suis sur que cela te plais
J’ouvre ma bouche aucun son ne sort, il referme sa main sur mon sein un peu plus.
- ton silence veux dire beaucoup, je suis sur que tu aime le sexe ?
Mes joues sont en feu, ma tête tourne
- tu réponds, tu aime le sexe
Je réponds très craintive
- oui
Il retire sa main de dessous mon tee-shirt, me prend par la gorge et attire ma tête vers la sienne
- je suis sure que tu es une petite salope dans ta tête, qui voudrais passer à l’acte
Je sens sa respiration sur mon visage, et il dit plus fort
- répond moi
- oui
- non, cela ne marche pas comme ça avec moi, tu me dis que tu es une petite salope, tout suite, et je veux l’entendre
J’ai du mal à respirer et dans un souffle je dis
- je suis une petite salope
- plus fort bordel
- je suis une petite salope
Sur un ton plus élevé
- c’est bien, maintenant, tu me dis, je suis une petite salope et je veux devenir une grosse salope pour toi, et je veux t’entendre
Je suis pris dans tourbillon, je lui récite
- je suis une petite salope et je veux devenir une grosse salope pour toi
Qu’est ce qu’il m’arrive, c’est toi qui dit ça, tu es folle
- et bien voila ce n’est pas dure, aller sert moi le café,
Ce que je fis, et reposais la cafetière
Je me retournais et regardais cet homme entrain de sucrer et de tourner sa cuillère dans la tasse comme dans un rêve, il leva la tasse à sa bouche, et arrêta son geste, et me dit
- enlève ton tee-shirt
Cet ordre a claqué trop fort à mes oreilles
Sans vraiment m’en rendre compte, je passais mon tee-shirt au dessus de ma tête, et laissait le bout de chiffon tomber au sol, les bras pendants le long de mon corps, le torse nu, je n’ai même pas le réflexe de cacher mes petits seins à sa vue, il écarta sa chaise de la table un coup et me dit
- maintenant tu vas faire connaissance avec ma queue, aller mets toi à genoux entre mes jambes
Malgré mon appréhension de ce qu’il allait arriver, je sentais malgré moi une chaleur monter en moi, que je connaissais bien
Je me m’approchais de lui et me mis à genoux comme il le voulait
- aller ouvre ma braguette et sort-la
Je descendais la fermeture éclair et sortir son engin, il était assez long mais surtout très large de diamètre, je n’avais jamais à l’époque vue un sexe d’homme aussi large.

Je me mis à approcher ma bouche de son sexe, il me dit
- doucement mademoiselle Claire, lèche-moi avec ta langue sur mon gland
Je m’appliquais à faire ce qu’il voulait, à passer ma langue sur son gland et long de son sexe
- tu as souvent sucé des mecs avant
- non pas souvent
- je vois ça, aller fait moi voir comment tu pompes, et fait ça comme il faut, et caresse moi les couilles en même temps.
Il défit sa ceinture et ouvrir en grand son pantalon, il fouilla dans sa poche pour prendre quelque chose, je ne sais quoi, j’étais concentrée a le sucer au mieux que je puisse faire.
- attention à tes dents ma chérie et puis regarde moi quand tu me suces
Relevant mes yeux je me rendis compte qu’il était entrain de me filmé avec son téléphone portable, je relevais la tête, et lui dit
- je ne veux pas que …....
Il m’att les cheveux et m’oblige à reprendre son sexe dans ma bouche
- tu n’as rien à dire ma salope, de plus cela me fera un souvenir
Je continue à le sucer, mais dans ma tête cela tournait à toute vitesse, j’avais entendu plein d’histoires quand j’étais en ville, sur des filles qui avaient été filmées comme ça, je suis sure qu’ il va faire voir à ses copains, voir à tout le monde dans hameau et je vais passer pour une pute et mes parents mon dieu, mais de l’autre coté, je prends de plus en plus plaisir à avoir ce membre dans la bouche dans la cuisine ou mes parents ont prit leur petit déjeuner.
Au bout de quelques minutes, il m’att par les bras et m’entraine vers la salle à manger, il me colle contre la grand table, et me dit
- allez enlève le reste
Je descends mon jogging et puis ma culotte, il m’att sous les cuises et il me fait asseoir sur la table, il me prend par derrière les mollets et lève mes jambes a niveau de sa tête, de ce fait je me retrouve couchée sur dos sur la table, il écarte mes jambes pour profiter de mon intimité
- jolie petite chatte, j’espère que tu n’es pas vierge ma salope
- non
- combien de mecs te sont passés dessus
- deux
- que deux t’on baisé ?
- oui
Il avait posé mes mollets sur ses épaules, et il commence à fouiller avec deux doigts ma chatte
- pourtant tu aime ça les bites
- oui
Il enfonce brutalement ses deux doigts dans ma chatte
- qu’est ce que je t’ai dit salope, recommence
- oui, j’aime les bites
- bien, et bientôt tu seras ma pute et tu feras tout ce que veux
Il me fouillait la chatte de plus en plus et introduis un troisième puis un quatrième doigt en faisant un mouvement de va et vient, qui me procure un plaisir fou
- je serais votre pute et je ferrais ce que vous voulez
- c’est bien, tu apprends vite, et ton cul tu t’es fais enculer déjà ?
- non, je n’aimerai pas trop
- une pute se fait prendre par ses trois trous, tu veux être ma pute ?
- oui je veux être votre pute
- alors ?
Je n’en pouvais plus, je voulais qu’il me prenne là toute suite
- oui, vous pourrez m’enculer comme vous voulez, je ferais ce que vous voulez n’ importe où et quand vous voulez, mais prenez moi, je vous en supplie
D’un coup il rentra sa queue dans ma chatte et me remplie totalement, j’eu un orgasme violant de suite, en hurlant de plaisir, lui se mit à me limer tranquillement à son rythme
- alors t’aime ça
- oui j’aime, baisez moi
- regarde-moi en le disant
J’ouvris les yeux, il avait encore son portable et me filmait en me baisant
- j’ai le film maintenant je veux le son, tu me disais, tu aimes quoi ?
Je répondis de suite
- j’aime quand vous me baisez
- tu es quoi
- votre petite salope
- et tu veux devenir ?
- votre grosse salope
- tu veux quoi ?
- je veux avoir votre grosse bite dans tous mes trous
- tu veux que je t’encule, c’est çà ?
- oui prenez moi comme vous voulez
Il écarta mes fesses et entra un doigt dans mon petit trou, cela me fit curieux mais pas désagréable, puis il en mit deux, la je commençais à avoir une douleur puis quand il mit trois doigts la douleur fut plus importante mais comme il continuait a me baiser la douleur ce mélangeait avec le plaisir.

D’un coup il se retira de ma chatte et enleva ses doigts de mon cul, il me fit me relever et m’entraina vers le canapé.
Il me fit mettre a genoux sur le canapé la tête vers le dossier, il me fit écarter les jambes et me creuser les reins au maximum, puis il m’écarta les fesses et présenta son gland à l’entrée de mon petit trou, et il poussa d’un coup sec ce qui me fit hurler, il était entré dans mon cul
- oui, j’aime quand tu hurles salope, tu vas voir après la douleur le plaisir viendra

Il me pistonnait le cul, et chaque entrée de sa queue, je criais et puis mes cris se sont transformés en feulements de plaisir, je suis une chienne, sa chienne et je ferai ce qu’il veut, au bout d’un certain temps, il se retira et me fit me mettre à genoux devant lui sur le tapis, il se branlait d’une main et de l’autre il tenait son portable
- tu as aimé te faire défoncer le cul ?
- oh, oui j’aime me faire enculer
- tu en veux plein d’autres queues dans ton cul ?
- oui toutes les queues que vous voudrez m’enculeront, je suis votre chienne, votre pute
- oui bien, tu es ma chienne et tu vas ouvrir la gueule et tirer ta langue pour recevoir ta récompense…
Je m’exécutais et quelques secondes après, je recevais son sperme dans la bouche, mais aussi sur les joues, le nez, mes lunettes étaient couvertes de sperme, et sur les cheveux et aussi sur ma poitrine.
- allez ma salope, tu vas m’avaler tout ça de suite, récupère mon foutre avec tes doigts, et tu lèches aussi tes lunettes, pendant que je te filme.
Ce que je fis, c’étais la première fois que je goutais du sperme et en plus je l’avalais, c’était salé et un peu poisseux, quand j’eu terminé sous sa directive, il me fit lécher les endroits sur tapis ou des gouttes de sperme étaient tombées, puis :
- aller tu vas me nettoyer la queue après ça.
Je crus, qu’il voulait que je lui lave et je m’apprêtais à me lever pour l’emmener vers la salle d’eau, il me poussa d’un coup.
- cela ne va pas, tu me la laves avec ta langue et ta bouche, mets moi ta salive sur la queue
Il voulait que je lui lave la queue qui sortait de mon cul, depuis que j’avais ouvert cette porte ce matin à cet homme tout avait changé, et maintenant je n’étais plus la même personne, et j’allais le faire, je déglutie et crachais ma salive sur son sexe et me mis en devoir de lui nettoyer, malgré l’odeur et le gout.
Apres ça il se rhabilla, moi j’étais écroulée au sol, épuisée
- bon ma grosse salope, tu vas prendre une douche et vas te coucher, je fermerai la porte en partant et je te laisserai un mot pour tes parents pour le jardin sur la table de cuisine.
Je me relevais difficilement, mes jambes étaient endolories, je me dirigeais vers l’escalier qui donne a ma chambre et à la salle de bain du premier étage, il m’interpella, il avait ouvert la porte fenêtre
- hein, ma salope, je pense que l’on va se revoir très vite…
Il fit un clin d’œil, en me faisant voir son portable !

A suivre bisous de cpchatonrose88@gmail.com

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