Comment Je Suis Devenu Travesti Soumis (Partie 2)

Arrivé au salon j'aperçus son matériel de domination. Il y avait le choix, godes et plugs de diverses formes, tailles et même gonflables, cordes menottes, baillons, cagoules, cravaches, paddle... J'étais impressionné, toujours entre l'envie d'essayer et une grande inquiétude, me sentant toujours excité mais aussi inquiet.
Debout salope me dit-il en tirant sur la laisse.
Je m'exécutais craintif, il me regarda de façon perverse, il tourna autour de moi et m'attrapa les mains qu'il passa derrière mon dos, pour accrocher les mousquetons de mes bracelets. J'essayais de résister, mais bien plus fort que moi, il me courba sur la table me bloquant de tout son poids.
Pas la peine de résister, de toute façon je sais que tu n’attends que ca, il me fixa les mains derrière le dos.
Tu es mon esclave, et aujourd'hui tu vas vivre tes phantasmes et peut-être même plus, plus tard c'est toi qui me suppliera de t'enculer, mais d'abord on va faire plus connaissance et je vais d'abord te punir pour cette minable rébellionn me chuchota t'il à l'oreille tout en me la léchant.
Il se releva, et je reste plié en deux sur la table. Ecarte plus les jambes, montre que tu m'es soumis. J'écartais plus
Bien, ouvre ta petite gueule, et il me mit un bâillon boule, qu'il attacha.
Tu restes comme cela jusqu'à ce que je revienne on va s'amuser, dit-il en me claquant les fesses, puis il passa dans une autre pièce.
Je restais dans ma position humiliante quelques minutes, pleins de pensées me traversant la tête. Mais maintenant j'étais totalement piégé. Je savais que j'allais passer aujourd'hui à la casserole.
Il revient, s'étant changé, il était en cuir avec un gilet, un pantalon ouvert comme porte les cowboys et un string aussi en cuir. Il me tira par la laisse et se dirigea vers le canapé, il s'assit puis me bascula en travers de ces genoux. Tend bien ton petit cul, je vais le rougir pour t'apprendre à obéir. Et il commença à m'administrer une bonne fessée, je criais et bavais en travers mon bâillon et me débattais mais il me maintenait fermement.

Plus tu cries et plus tu te débats et plus ca m'excite, j'arrêterai quand tu seras immobile et silencieux, bref docile et soumis. Alors à toi de choisir… chien.
J'essayais de me calmer, les yeux larmoyants, je restais donc immobile sursautant et gémissant le plus discrètement possible à chaque coups.
Bien voilà, tu commences à comprendre, en plus ton petit cul et superbe, il rougit très facilement, il est assortit à ton plug.
Puis il arrêta sa fessée, me malaxant les fesses et jouant avec le plug quelques instants. Je pleurais plus ou moins, totalement avili.
Alors, t'as bobo sur tes fesses, attend d'avoir goûté à la cravache et à la bougie, là tu connaitras la souffrance. Mais on le fera plus tard quand tu seras plus endurci. A moins que tu ne sois pas très sage, dans ce cas j'accélérerai ta formation. Compris mon esclave ?
Je hochais la tête pour dire oui.
Il me releva, m'ordonnant de rester jambes biens écartées, il constata alors que m'a queue bandait un peu.
Tu vois tu aimes, mais tu n'as pas à prendre de plaisir sans mon ordre. On va régler ça.
Il poussa la table basse pour faire de la place, puis alla fouiller dans ses affaires. Il revint avec une barre d'écartement qu'il fixa à mes chevilles, puis reparti, il revint de nouveau avec une chaîne et une cage de chasteté en plastique très dur, une cb3000 je crois.
Avec ça tu ne banderas pas sans mon autorisation, il fixa alors les anneaux puis la cage et le cadenas.
Puis il m'aida à m'agenouiller et fixa mais poignets toujours attacher dans le dos à la barre de cheville.
Parfait, complètement soumis, tu te rends compte que ta queue, ton cul, ta bouche et tout ton corps m'appartiennent.
Je hochais la tête pour répondre oui. Il m'enleva le bâillon boule, alla se servir à boire et s'assit dans le canapé en face de moi.
On va faire connaissance, tu vas répondre à mes questions que je connaisse ton ancienne vie. Tu finiras tes phrases par Maître. Compris ?
Oui Maître, dis-je étant totalement sous sa coupe….