Rusée Coquine
Je suis un homme de 45 ans, brun, plutôt sportif et bien conservé. Je suis marié mais j'aime beaucoup les femmes et il m'arrive de faire quelques accrocs au contrat de mariage.
Professionnellement, je suis cadre commercial dans une SSII.
Voici quelques semaines, j'ai commencé à collaborer avec un nouveau client.
Mon interlocuteur est une femme d'environ 35-37 ans, Caroline.
Un jour, après une longue journée de réunion de travail, je lui ai proposé d'aller prendre un verre, histoire de faire mieux connaissance.
Au bout d'une heure, nous nous étions fait pas mal de confidences.
En particulier, elle me dit qu'elle préférait être célibataire, ce qui lui laissait toute liberté pour rencontrer des hommes.
Et elle ajouta : "je me demande parfois si je ne suis pas nympho. Quand un homme me plaît, il me le faut à tout prix. C'est d'ailleurs votre cas : j'ai envie de terminer la soirée avec vous".
Je fus très surpris d'un ton aussi direct. En réfléchissant, il m'apparut aussitôt que j'aurais meilleur compte à me servir de mon cerveau que de mes couilles même si certains prétendent que c'est pareil ...).
J'entrepris de lui expliquer avec le plus de tact possible que ce n'était une bonne idée ni pour elle ni pour moi car, professionnellement, cela pouvait nous faire grand tort.
J'ajoutais à quel point je la trouvais séduisante et qu'il me fallait faire preuve de beaucoup de volonté pour réussir à lui refuser.
Elle ne montra pas son éventuelle déception.
- tu n'as donc pas envie de savoir comment je peux te sucer ?
Ma réponse fut un peu confuse...
- quoiqu'il en soit, ton refus n'est pas un problème. Quand je veux un homme dans mon lit, je finis toujours par l'avoir. Mais dans l'immédiat, restons bons amis, dans l'intérêt de notre travail.
Et c'est ce qui se passa. Nous devînmes très amis, mais sur un mode platonique. Nous déjeunions souvent ensemble et échangions des confidences.
La mission dura plusieurs mois et fut épuisante.
Lorsqu'elle toucha à son terme, j'étais épuisé et avais plutôt mauvaise mine.
Caroline m'invita à déjeuner pour me remercier de mon implication et au dessert, elle me remit une enveloppe.
- tu as l'air épuisé, dit-elle. C'est un bon-cadeau pour un institut d'esthétique. Va passer une heure là-bas, tu retrouveras figure humaine.
Après tout, pourquoi pas ?
Je n'avais jamais mis les pieds dans un tel établissement mais seuls les idiots ne changent pas d'avis.
Le lendemain, je téléphonais. La femme au téléphone m'indiqua un créneau libre à 19 h le lendemain.
J'arrivais sur place comme prévu.
Une jolie femme brune de 30 ans m'ouvrit la porte. Elle avait une bouche bien dessinée et un sourire fort charmant. Elle portait une légère blouse blanche.
- soyez le bienvenu.
Elle me fit passer dans une petite salle d'eau toute blanche, m'enjoignit de prendre une douche, de passer un peignoir et de la rejoindre.
Après la douche, jenfilais le peignoir, tout en gardant mon caleçon et allai la rejoindre.
Elle me fit installer dans un grand fauteuil et commença à m'appliquer un masque de beauté.
C'était très agréable après tout ce stress et je me détendais.
Nous bavardions agréablement.
Mon visage était maintenant couvert d'un masque.
- pendant que ça sèche, on peut s'occuper d'autre chose ...
- quoi donc ?
- je peux vous faire le maillot si vous voulez, dit-elle avec un léger sourire
Je ne pus m'empêcher de rougir.
- euh ... ce n'est pas tout à fait mon genre ...
- laisser moi voir si ça ne vous embête pas. Je vous dirai ce que j'en pense
Ecartant le peignoir, elle entreprit de baisser mon caleçon.
J'étais plus que confus
- oh la la, c'est touffu dîtes-donc ! Mais effectivement, je ne vous vois pas épilé.
Cependant, un petit débroussaillage ferait plus net.
- bon ...
Enlevant complètement le caleçon, elle écarta mes cuisses et prit une petite tondeuse électrique qu'elle commença à faire passer sur ma toison pubienne
- oh mais, il se passe quelque chose, on dirait !
Entre mes jambes, mon pénis se redressait à vive allure. J'étais très gêné
- excusez-moi ... C'est involontaire
- je peux arranger cela. J'ai été infirmière. Lorsque cela arrivait, la procédure était de prendre une compresse imbibée d'éther et d'en badigeonner le gland du patient. L'érection est stoppée net
- vous n'allez pas me faire ça, s'il vous plaît, ça doit être désagréable.
La conversation prenait un tour surréaliste
- ne vous inquiétez pas. Je pense que pour vous, qui ne manquez pas de charme, je peux déroger à la procédure ...
- comment ça ?
Sans me répondre, elle s'agenouilla entre mes cuisses et prit mon sexe directement en bouche. J'étais au comble de la confusion. Les pensées s'entrechoquaient dans ma tête, hésitant sur la conduite à tenir lorsque je sentis sa langue qui, doucement, tournait autour de mon méat, repoussant impitoyablement le prépuce en arrière.
Je sentis bientôt mon gland entièrement décalotté. Elle tenait fermement ma tige entre ses petits doigts. Elle salivait abondamment et mon gland était merveilleusement gobé.
Elle s'interrompit un court instant pour observer son uvre.
- joli gland, bien gonflé et turgescent ... et maintenant, ma séquence préférée ...
Ré-engoulant ma bite, elle se mit à la téter à la fois doucement et avec autorité.
Je sentis venir les picotements du plaisir.
Elle ne me lâcha plus, accentuant même sa caresse au début de mon éjaculation. Je m'entendis hurler. Je déchargeais à grandes saccades qu'elle avalait sans broncher avec
des petits bruits de chatte qui lape son écuelle de lait.
Elle me garda encore de longues minutes.
Elle me réveilla d'une douce caresse sur le visage.
- voilà, vous voyez, il n'y a pas que l'éther pour calmer un pénis en pleine forme. On devrait être tranquille pour un moment. Vous avez apprécié ?
- c'était fantastique. Je crois que j'ai crié. A la fin, c'était presque intenable ...
- vous le saurez, en tout cas, j'adore les bites. Et la votre, je sentais qu'elle allait m'inspirer qu'elle chose de spécial. Dès que vous vous ai vu, j'ai pensé à la pipe.
Bon, mais ce n'est pas tout, on va reprendre notre débroussaillage
Ma bite était maintenant toute recroquevillée et ma fellatrice n'eut aucun mal à jouer de la tondeuse.
- voilà, dit-elle, une coupe courte, il n'y a rien de tel.
Pendent que le masque achevait de sécher, elle m'offrit un coca. Nous buvions agréablement.
Détendu, je finis par lui dire que j'adorerais lui rendre la pareille.
Elle me regarda longuement, sans rien dire, semblant hésiter.
Puis, elle ouvrit sa blouse. Dessous, elle portait un soutien-gorge, rien d'autre. Elle monta sur le fauteuil, mit ses cuisses de part et d'autre de mon visage et m'appliqua sa vulve, soigneusement épilée, sur la bouche.
J'entrepris de la lécher aussitôt. Elle avait une chatte de brune, au goût un peu épicé, merveilleusement excitant pour moi.
A l'oreille, elle me chuchotait de brèves instructions, très précises, que je suivais à la lettre.
Au bout de quelques minutes, son bassin fut secoué par une sorte de mini-séisme qui dura une vingtaine de secondes.
Après plusieurs minutes où elle sembla sans vie, elle quitta sa position et réajusta sa blouse.
Elle me dévisagea avec douceur puis son regard se porta sur mon entrejambe.
- oh mais, quelle érection ! On dirait que ça t'a excité dis donc ...
Sans un mot de plus, elle s'empala sur ma tige et me chevaucha longuement. Je la sentis jouir à nouveau, puis elle se dégagea.
- c'était génial, mais toi, je vois que tu es toujours dur comme du bois.
Je sais comment je vais te soulager.
Joignant le geste à la parole, elle empoigna ma tige et la décapuchonna complètement. De la main gauche, elle m'appliqua une sorte de gel. C'était délicieux. Mon gland était fermement maintenu dans une main tandis que l'autre main l'astiquait avec fermeté.
Elle murmurait en même temps quelques mots obscènes.
Rapidement, j'explosais. Toujours prisonnier de ses mains, j'avais l'impression qu'elle me trayait avec douceur et détermination.
- cette fois-ci, tes couilles sont vraiment vides. J'espère que ton épouse ne va pas avoir envie de faire l'amour ce soir, dit-elle. Tu risques une grosse défaillance, ajouta-t-elle avec un sourire
Je pris une douche et me rhabillais.
Elle se frotta tendrement contre moi.
Reviens quand tu veux, dit-elle.
Je le lui promis et nous nous quittâmes après avoir échangé nos coordonnées respectives.
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