Mes Premiers Pas Homo

Je suis en train de chercher dans mon portefeuille une carte de visite. Soudain je sens la présence de mon voisin. C’est un jeune noir. L’idée me vient tout de suite à l’esprit. Feignant toujours de chercher, je laisse les volets de mon portefeuille se déplier, ceux qui contiennent les photos de ma femme Chantal. A poil ! Il ne peut pas ne pas les voir, tournées vers lui, les photos pendent et s’étalent à quelques centimètres de ses yeux, de son côté.
Du coin de l’œil, je sens son regard : il mate, c’est sûr.
Sur ces photos Chantal ne montre que ses seins, dans un body noir dont une bretelle est tombée. Elles sont bien sages ces images.
- Tu la trouves belle ? Je m’entends soudain dire ces mots sans réfléchir un instant. Je suis fou, excité comme une bête. Je bande même déjà.
Il ne répond pas. Je sens qu’il n’ose pas.
- C’est ma femme. Elle est très belle ! J’aime bien la montrer. Ne te gêne pas. Je peux t’en montrer plus si tu veux ». On passe à mon bureau.
- Super ! J’ai un pote qui m’attend à la gare. Il peut venir ?
Il sait déjà que je suis d’accord, il a tout compris !
- Pourquoi pas. J’ai plein de photos d’elle et même des films.
Ces mots crus m’excitent encore plus.
- Elle doit avoir de belles cuisses.
Je suis en train d’emmener avec moi deux inconnus mater les fesses de ma tendre épouse, elle si avare de se montrer. Je fonce !
A la gare, son pote nous rejoint. Il lui explique en deux mots la situation. Il est d’accord.
- Montre lui les deux photos que tu m’as montrées.
Il me prend mon portefeuille et montre les photos. Les yeux de son pote s’éclairent :
- Putain, quel canon !
Et nous voici partis tous les trois vers mon bureau. Le trajet et court et ils me posent plein de questions.
- Elle est d’accord ?
- Non malheureusement ! Elle n’est pas beaucoup branchée cul.
- Mais les photos ?
- J’ai un mal de chien à la faire poser.

Elle le fait pour me faire plaisir et me fait promettre de ne les montrer à personne. Cela les fait rire tous les deux.
Le plus âgé commente :
- Ouais, c’est encore plus bandant de voir son cul alors qu’elle ne veut pas. Ses seins, elle ne veut les garder que pour elle, Et bien nous, on va les mater dit-il en éclatant de rire. Tout cela est bon , ils sont sympas, sans méchanceté.
- Elle fait quoi ta femme ?
- Elle est prof.
- Non ? Pas vrai mec ? C’est trop ! Mater les fesses d’une prof, quelle aubaine ! Combien de fois j’ai rêvé de niquer ma prof, cette salope ! Excuse moi c’est trop fort. Je me suis même plusieurs fois branlé en l’imaginant à poil.
Je rigole à mon tour, cela est sans vulgarité, simple. On est tous les trois complices.
- Tu l’as souvent montrée, me demande le jeune black ?
- Non pas souvent, mais c’est mon truc. La montrer à poil, la faire désirer par d’autres me fait bander. Et j’ajoute sans plus aucune retenue :
- Moi aussi je me suis branlé en imaginant l’exhiber à d’autres. Comme elle ne veut pas se montrer, je fantasme. J’ai aussi des filmes et si cela vous branche...
- Bien sûr qu’on veut la mater ta meuf et sûr qu’on va prendre du plaisir. C’est une superbe femelle ta femme.
Quand on arrive au bureau on est tous les trois de vieilles connaissances avec une complicité toute neuve. Ils m’ont séduit avec leur franc parlé.
Tout de suite j’allume l’ordinateur et vais chercher les images de Chantal.
Je les passe en diaporama.
C’est Samir, le beur qui le premier sort sa bite et se caresse devant les images qui défilent. Il y va de tous les commentaires.
- Quel cul ! Putain et sa raie, tu as vu ces fesses !
Chantal a un cul terrible. Ses fesses sont bien rondes et sa raie culière remonte haut séparant harmonieusement ses deux globes charnus. Et les deux jeunes sont amateurs.
- Elle a une touffe de poils noirs, dit le black qui s’appelle Maurice. J’aime les femmes avec des poils à la chatte.
En disant cela, il a sorti à son tour sa bite et branle lentement les yeux fixés sur les images qui défilent. Et ils y vont tous les deux de leurs commentaires. Moi je suis au bord de me vider dans mon slip. Je n’ose pas encore sortir mon sexe et me branler devant eux. Pourtant je suis excité comme un fou.
- Putain la chatte ! On a envie d’la bouffer et la faire juter.
Je crois qu’ils ont compris que ces paroles m’excitent et sympa ils ne se privent pas commenter ce qu’ils voient. De plus en plus avec des mots crus et précis.
- Tu dois te régaler quand tu la baises, mon salaud.
- J’espère que tu la suces à la faire jouir pour boire son jus.
C’est Samir qui a les mots les plus crus. Il est plus aguerri avec sa sexualité.
- Elle mouille beaucoup ? Me demande-t-il.
- Une vraie fontaine certainement, surenchérit Maurice dans un rire nerveux.
Moi, je me tais, je passe les photos. Certaines sont softs d’autres montrent ma femme dans des positions très suggestives : jambes écartées de face, de derrière, la croupe en avant pour lieux l’ouvrir au regard de l’objectif. Je me souviens comment elle avait été réticente à me laisser photographier son intimité. J’avais du insister en lui promettant de garder ses photos pour moi seul. Et là j’avais l’impression de la faire violer par ces deux gamins et cela me troublait très fort.
- Regarde on voit ses lèvres toutes humides, dit Maurice. Elle doit mouiller ! Elle aime montrer son cul ta meuf mon pote.
- J’aimerais la monter, ajoute Samir, et la remplir de ma queue pour lui noyer le con de mon foutre ! Elle te suce ?
- Oui, elle aime bien ça. Ce sont mes premiers mots depuis le début du diaporama.
- Elle a aussi de beaux nibes. Je m’vois bien les badigeonner de mon foutre dit Samir qui se dévergonde petit à petit.
Il a une belle queue toute noire et longue. Son gland est maintenant tout luisant de ses sécrétions. Celle de Samir est plus grosse et il se branle lentement faisant durer son plaisir.
Elle coulisse doucement entre ses doigts tandis que de son autre main il se caresse les couilles. Car il a maintenant baissé slip et pantalon pour mieux se branler.
Soudain, il me regarde et me lance :
- Tu devrais nous montrer ta queue toi aussi. Fais nous voir si tu bandes.
Ces paroles me troublent. Il règne dans le bureau une telle atmosphère de sexe que je n’ai plus aucun repère. Et quand il s’approche de moi, je le laisse déboutonner ma braguette et sortir ma bite. Je me laisse faire et quand Maurice regarde ma queue, je suis sur le point de décharger tant je suis excité. Car maintenant c’est la situation qui m’excite. Ces deux jeunes qui regardent des photos de ma femme et se branlent.
- Tu bandes bien me dit Samir et ta bite est bien grosse. Elle doit être contente Chantal quand tu la bourres !
Je ne dis rien et ne fait rien quand il me baisse carrément le slip et le pantalon. Je suis mort de honte et en même temps sur le point de jouir.
Je ne fais rien non plus quand il la prend dans sa main et commence à la caresser lentement. C’est la première fois qu’un homme me touche et je me croyais loin de penser que je me laisserais faire !
La séance photos de Chantal prenait une autre tournure à laquelle je ne m‘étais pas attendu.
J’avais devant moi deux jeunes excités qui visiblement n’avaient aucun tabou sexuel.
Lâchant ma bite Samir me demande gentiment:
- Branle toi aussi. Nous montrer ta femme t’a excité, alors profites-en. Regarde combien ta meuf m’excite. Ses seins nus, ses fesses, son cul, ses cuisses...
Et il égraine des mots pour m’exciter.
- Je vais la bourrer en pensée, la labourer, la remplir de ma bite, la défoncer. Mon jus sortira de tous ses trous. Je suis sûr que tu ne l’as jamais enculée. Moi, je vais lui défoncer le cul, lui écarteler les fesses pour mieux la pénétrer. Je vais la faire jouir, crier. Je lui demanderais de me sucer la bite, le gland puis de me nettoyer quand je l’aurai baisée bien profond.

Décidemment, Samir était un vicieux qui entrait parfaitement dans mon jeu.
Et moi, je me mets à me caresser doucement car je me sens déjà sur le point d’exploser.
Maurice continue de se branler. Tour à tour son regard passe de l’écran à ma bite. Son gland est tout violet, prêt à exploser. Mais il se contient.
- Tu ne veux pas me branler me demande-t-il soudain ?
Les photos de Chantal, nue, qui défilent devant ces queues bandées me rendent fou. Je voudrais les voir s’enfoncer dans son ventre, défoncer sa chatte, son cul, sa bouche ! Je voudrais qu’ils la violent devant moi.
Alors haletant, j’avance ma main et me saisis de la colonne de chair. Elle est dure, mouillée toute brûlante, plein de sang. Ce premier contact avec la queue d’un autre me surprends mais m’excite. Je la prend d’abord entre deux doigts et doucement décalotte le gland. Maurice ferme les yeux. Puis je la fais disparaître entièrement dans ma main et maladroitement je commence un lent va et vient découvrant et cachant alternativement le gland turgescent et tout gluant de sécrétions. Quand je tire sur la peau, le méat s’ouvre, baille laissant sourdre une goutte de mouille. Puis Maurice ouvre les yeux et regarde les seins, les fesses, le cul de Chantal qui défilent sur l’écran.
La bite est toute chaude et douce entre mes doigts. Je ne la quitte pas des yeux. De ma main gauche, je me branle lentement au bord de la jouissance.
Samir s’est approché de moi et soudain je le sens qui vient se coller cotre mes fesses. Il me saisit à la taille et presse sa bite contre mes fesses. Puis je sens sa main qui glisse entre mes fesses et ses doigts caresser mon anus. Je suis surpris mais là encore, je me laisse faire. Même, je me laisse aller à lui faciliter la tâche en écartant mes jambes. Il a saisi mon consentement et je le sens qui glisse un doigt dans mon cul.
- Tu as l’air d’aimer cela, mon salaud ! dit-il en rompant le silence. Montrer ta bonne femme et l’idée de la faire monter t’ont tellement excité que tu te sens des envies de pédé.
Je suis en train de me faire doigter le cul pendant que je branle la bite d’un jeunot qui s’excite en regardant des clichés de ma femme à poil ! Surprenant.
Je sens soudain une autre main se glisser entre mes fesses, s’emparer de mes deux couilles et de les serrer fortement. Je vais jouir, mais au prix d’un effort surhumain, j’arrive à me contenir et les photos qui continuent de défiler en boucle !
Derrière moi, Samir se frotte le gland contre mes fesses. S’il me le demande je ne suis pas sûr de lui refuser mon cul. Je sens son gland tout gluant passer entre mes fesses et se coller à mon trou.
Mais c’est Maurice qui soudain se met à haleter plus fort et je sens sa bite qui est prise de soubresauts. Il se met à crier et soudain il éjacule dans ma main ; c’est le signal. Samir se met à gueuler à son tour et je sens son sperme chaud se projeter par saccades entre mes fesses qu’il tient écartées. C’en est trop pour moi aussi et sans retenue, j’explose à mon tour en longues giclées de sperme qui vont s’étaler sur le ventre de Maurice en face de moi.
Tous les trois, repus on se regarde avant de nous sourire alors que le diaporama se déroule toujours montrant l’anatomie intime de mon épouse.
On se sépare quelques instants plus tard en prenant rendez-vous pour une autre séance où ils espèrent bien mater en chair et en os ma femme même si cela doit se faire contre son gré.Je suis en train de chercher dans mon portefeuille une carte de visite. Soudain je sens la présence de mon voisin. C’est un jeune noir. L’idée me vient tout de suite à l’esprit. Feignant toujours de chercher, je laisse les volets de mon portefeuille se déplier, ceux qui contiennent les photos de ma femme Chantal. A poil ! Il ne peut pas ne pas les voir, tournées vers lui, les photos pendent et s’étalent à quelques centimètres de ses yeux, de son côté.
Du coin de l’œil, je sens son regard : il mate, c’est sûr.
Sur ces photos Chantal ne montre que ses seins, dans un body noir dont une bretelle est tombée. Elles sont bien sages ces images.
- Tu la trouves belle ? Je m’entends soudain dire ces mots sans réfléchir un instant. Je suis fou, excité comme une bête. Je bande même déjà.
Il ne répond pas. Je sens qu’il n’ose pas.
- C’est ma femme. Elle est très belle ! J’aime bien la montrer. Ne te gêne pas. Je peux t’en montrer plus si tu veux ». On passe à mon bureau.
- Super ! J’ai un pote qui m’attend à la gare. Il peut venir ?
Il sait déjà que je suis d’accord, il a tout compris !
- Pourquoi pas. J’ai plein de photos d’elle et même des films.
Ces mots crus m’excitent encore plus.
- Elle doit avoir de belles cuisses.
Je suis en train d’emmener avec moi deux inconnus mater les fesses de ma tendre épouse, elle si avare de se montrer. Je fonce !
A la gare, son pote nous rejoint. Il lui explique en deux mots la situation. Il est d’accord.
- Montre-lui les deux photos que tu m’as montrées.
Il me prend mon portefeuille et montre les photos. Les yeux de son pote s’éclairent :
- Putain, quel canon !
Et nous voici partis tous les trois vers mon bureau. Le trajet et court et ils me posent plein de questions.
- Elle est d’accord ?
- Non malheureusement ! Elle n’est pas beaucoup branchée cul.
- Mais les photos ?
- J’ai un mal de chien à la faire poser. Elle le fait pour me faire plaisir et me fait promettre de ne les montrer à personne. Cela les fait rire tous les deux.
Le plus âgé commente :
- Ouais, c’est encore plus bandant de voir son cul alors qu’elle ne veut pas. Ses seins, elle ne veut les garder que pour elle, Et bien nous, on va les mater dit-il en éclatant de rire. Tout cela est bon , ils sont sympas, sans méchanceté.
- Elle fait quoi ta femme ?
- Elle est prof.
- Non ? Pas vrai mec ? C’est trop ! Mater les fesses d’une prof, quelle aubaine ! Combien de fois j’ai rêvé de niquer ma prof, cette salope ! Excuse moi c’est trop fort. Je me suis même plusieurs fois branlé en l’imaginant à poil.
Je rigole à mon tour, cela est sans vulgarité, simple. On est tous les trois complices.
- Tu l’as souvent montrée, me demande le jeune black ?
- Non pas souvent, mais c’est mon truc. La montrer à poil, la faire désirer par d’autres me fait bander. Et j’ajoute sans plus aucune retenue :
- Moi aussi je me suis branlé en imaginant l’exhiber à d’autres. Comme elle ne veut pas se montrer, je fantasme. J’ai aussi des filmes et si cela vous branche...
- Bien sûr qu’on veut la mater ta meuf et sûr qu’on va prendre du plaisir. C’est une superbe femelle ta femme.
Quand on arrive au bureau on est tous les trois de vieilles connaissances avec une complicité toute neuve. Ils m’ont séduit avec leur franc parlé.
Tout de suite j’allume l’ordinateur et vais chercher les images de Chantal.
Je les passe en diaporama.
C’est Samir, le beur qui le premier sort sa bite et se caresse devant les images qui défilent. Il y va de tous les commentaires.
- Quel cul ! Putain et sa raie, tu as vu ces fesses !
Chantal a un cul terrible. Ses fesses sont bien rondes et sa raie culière remonte haut séparant harmonieusement ses deux globes charnus. Et les deux jeunes sont amateurs.
- Elle a une touffe de poils noirs, dit le black qui s’appelle Maurice. J’aime les femmes avec des poils à la chatte. En disant cela, il a sorti à son tour sa bite et branle lentement les yeux fixés sur les images qui défilent. Et ils y vont tous les deux de leurs commentaires. Moi je suis au bord de me vider dans mon slip. Je n’ose pas encore sortir mon sexe et me branler devant eux. Pourtant je suis excité comme un fou.
- Putain la chatte ! On a envie d’la bouffer et la faire juter.
Je crois qu’ils ont compris que ces paroles m’excitent et sympa ils ne se privent pas commenter ce qu’ils voient. De plus en plus avec des mots crus et précis.
- Tu dois te régaler quand tu la baises, mon salaud.
- J’espère que tu la suces à la faire jouir pour boire son jus.
C’est Samir qui a les mots les plus crus. Il est plus aguerri avec sa sexualité.
- Elle mouille beaucoup ? Me demande-t-il.
- Une vraie fontaine certainement, surenchérit Maurice dans un rire nerveux.
Moi, je me tais, je passe les photos. Certaines sont softs d’autres montrent ma femme dans des positions très suggestives : jambes écartées de face, de derrière, la croupe en avant pour lieux l’ouvrir au regard de l’objectif. Je me souviens comment elle avait été réticente à me laisser photographier son intimité. J’avais du insister en lui promettant de garder ses photos pour moi seul. Et là j’avais l’impression de la faire violer par ces deux gamins et cela me troublait très fort.
- Regarde on voit ses lèvres toutes humides, dit Maurice. Elle doit mouiller ! Elle aime montrer son cul ta meuf mon pote.
- J’aimerais la monter, ajoute Samir, et la remplir de ma queue pour lui noyer le con de mon foutre ! Elle te suce ?
- Oui, elle aime bien ça. Ce sont mes premiers mots depuis le début du diaporama.
- Elle a aussi de beaux nibes. Je m’vois bien les badigeonner de mon foutre dit Samir qui se dévergonde petit à petit.
Il a une belle queue toute noire et longue. Son gland est maintenant tout luisant de ses sécrétions. Celle de Samir est plus grosse et il se branle lentement faisant durer son plaisir. Elle coulisse doucement entre ses doigts tandis que de son autre main il se caresse les couilles. Car il a maintenant baissé slip et pantalon pour mieux se branler.
Soudain, il me regarde et me lance :
- Tu devrais nous montrer ta queue toi aussi. Fais nous voir si tu bandes.
Ces paroles me troublent. Il règne dans le bureau une telle atmosphère de sexe que je n’ai plus aucun repère. Et quand il s’approche de moi, je le laisse déboutonner ma braguette et sortir ma bite. Je me laisse faire et quand Maurice regarde ma queue, je suis sur le point de décharger tant je suis excité. Car maintenant c’est la situation qui m’excite. Ces deux jeunes qui regardent des photos de ma femme et se branlent.
- Tu bandes bien me dit Samir et ta bite est bien grosse. Elle doit être contente Chantal quand tu la bourres !
Je ne dis rien et ne fait rien quand il me baisse carrément le slip et le pantalon. Je suis mort de honte et en même temps sur le point de jouir.
Je ne fais rien non plus quand il la prend dans sa main et commence à la caresser lentement. C’est la première fois qu’un homme me touche et je me croyais loin de penser que je me laisserais faire !
La séance photos de Chantal prenait une autre tournure à laquelle je ne m‘étais pas attendu.
J’avais devant moi deux jeunes excités qui visiblement n’avaient aucun tabou sexuel.
Lâchant ma bite Samir me demande gentiment:
- Branle toi aussi. Nous montrer ta femme t’a excité, alors profites-en. Regarde combien ta meuf m’excite. Ses seins nus, ses fesses, son cul, ses cuisses...
Et il égraine des mots pour m’exciter.
- Je vais la bourrer en pensée, la labourer, la remplir de ma bite, la défoncer. Mon jus sortira de tous ses trous. Je suis sûr que tu ne l’as jamais enculée. Moi, je vais lui défoncer le cul, lui écarteler les fesses pour mieux la pénétrer. Je vais la faire jouir, crier. Je lui demanderais de me sucer la bite, le gland puis de me nettoyer quand je l’aurai baisée bien profond.
Décidemment, Samir était un vicieux qui entrait parfaitement dans mon jeu.
Et moi, je me mets à me caresser doucement car je me sens déjà sur le point d’exploser.
Maurice continue de se branler. Tour à tour son regard passe de l’écran à ma bite. Son gland est tout violet, prêt à exploser. Mais il se contient.
- Tu ne veux pas me branler me demande-t-il soudain ?
Les photos de Chantal, nue, qui défilent devant ces queues bandées me rendent fou. Je voudrais les voir s’enfoncer dans son ventre, défoncer sa chatte, son cul, sa bouche ! Je voudrais qu’ils la violent devant moi.
Alors haletant, j’avance ma main et me saisis de la colonne de chair. Elle est dure, mouillée toute brûlante, plein de sang. Ce premier contact avec la queue d’un autre me surprend mais m’excite. Je la prends d’abord entre deux doigts et doucement décalotte le gland. Maurice ferme les yeux. Puis je la fais disparaître entièrement dans ma main et maladroitement je commence un lent va et vient découvrant et cachant alternativement le gland turgescent et tout gluant de sécrétions. Quand je tire sur la peau, le méat s’ouvre, baille laissant sourdre une goutte de mouille. Puis Maurice ouvre les yeux et regarde les seins, les fesses, le cul de Chantal qui défilent sur l’écran.
La bite est toute chaude et douce entre mes doigts. Je ne la quitte pas des yeux. De ma main gauche, je me branle lentement au bord de la jouissance.
Samir s’est approché de moi et soudain je le sens qui vient se coller cotre mes fesses. Il me saisit à la taille et presse sa bite contre mes fesses. Puis je sens sa main qui glisse entre mes fesses et ses doigts caresser mon anus. Je suis surpris mais là encore, je me laisse faire. Même, je me laisse aller à lui faciliter la tâche en écartant mes jambes. Il a saisi mon consentement et je le sens qui glisse un doigt dans mon cul.
- Tu as l’air d’aimer cela, mon salaud ! dit-il en rompant le silence. Montrer ta bonne femme et l’idée de la faire monter t’ont tellement excité que tu te sens des envies de pédé.
Je suis en train de me faire doigter le cul pendant que je branle la bite d’un jeunot qui s’excite en regardant des clichés de ma femme à poil ! Surprenant.
Je sens soudain une autre main se glisser entre mes fesses, s’emparer de mes deux couilles et de les serrer fortement. Je vais jouir, mais au prix d’un effort surhumain, j’arrive à me contenir et les photos qui continuent de défiler en boucle !
Derrière moi, Samir se frotte le gland contre mes fesses. S’il me le demande je ne suis pas sûr de lui refuser mon cul. Je sens son gland tout gluant passer entre mes fesses et se coller à mon trou.
Mais c’est Maurice qui soudain se met à haleter plus fort et je sens sa bite qui est prise de soubresauts. Il se met à crier et soudain il éjacule dans ma main ; c’est le signal. Samir se met à gueuler à son tour et je sens son sperme chaud se projeter par saccades entre mes fesses qu’il tient écartées. C’en est trop pour moi aussi et sans retenue, j’explose à mon tour en longues giclées de sperme qui vont s’étaler sur le ventre de Maurice en face de moi.
Tous les trois, repus on se regarde avant de nous sourire alors que le diaporama se déroule toujours montrant l’anatomie intime de mon épouse.
On se sépare quelques instants plus tard en prenant rendez-vous pour une autre séance où ils espèrent bien mater en chair et en os ma femme...

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