Soumise À Un Algerien.
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Il est 6 heures, le réveil sonne, on est mardi il fait toujours noir par se mois de janvier. Je mappelle Amy, jai 35 ans.
Je me lève, Marc mon mari dort toujours. Il est écrivain mais avec nos tracas pour avoir des s il na pas beaucoup dinspiration, en effet suite à des tests il savère que son sperme nest pas très fertile, cest après plusieurs essais infructueux que nous avons consulté et le verdict est tombé. Marc a 37 ans il fait 1m 80 il est brun aux cheveux court, il est musclée comme je les aime.
Après avoir pris mon petit dej, je mattarde dans la salle de bain ou je coiffe mes longs cheveux blonds foncé, je mesure 1m 70 je suis assez mince, je pratique du sport régulièrement.
Comme tous les jours de travail, je mhabille avec un chemisier et un pantalon en toile distingués ainsi que des bottines à talons, les cheveux en queue de cheval.
Je travail au centre de Paris comme directrice de projet dans une société gazière, je me lève aussi tôt car je suis le seul revenu du couple pour linstant, malgré mon bon salaire nous somme obligés de vivre en périphérie.
Je retourne dans la chambre vers Marc pour lembrasser et lui souhaiter une bonne journée.
« Bonne journée mon chéri à ce soir. »
« Merci ma chérie, bonne journée. Je me remets sur mon roman aujourdhui. »
« OK sa me fait plaisir, à ce soir. »
« Je taime à ce soir. »
« Je taime. »
Je monte dans la voiture direction la gare pour un long et fastidieux trajet en train jusquà la capitale. Il fait froid et humide jai mit ma longue veste chaude qui me descend jusquaux chevilles.
Arrivé à la gare, je stationne la voiture et me précipite dans le train au chaud, je dois rester debout, il y a déjà beaucoup de monde. A mi trajet le train est bondé, comme tous les matins dailleurs.
Aujourdhui le trajet se passe bien, je descends du train pour rejoindre la ligne de métro direction La Défense, comme tous les matins de la semaine le métro est également bondé. Jarrive à la sortie du métro et le soleil pointe, sa réchauffe le visage.
Après avoir marché sur le parvis jentre dans la tour pour y rejoindre lascenseur. Me voila enfin dans mon bureau, je suis fatigué par le trajet mais la journée ne fait que commencer. Je retire ma veste et la suspend au porte manteau pendant que mon PC sallume. Assise devant mais mails je vois une réunion non programmée dans 15 min, pas le temps de soufflé, je me dirige vers le coin détente pour un bon café bien mérité, pour cela je dois traverser lopen space et comme toujours le bonjour de ces messieurs se suit dun regard sur mes fesses ou ma poitrine qui déborde et tend mon chemisier. Jai lhabitude maintenant et contrairement au transport en commun je prends cela avec une certaine fierté.
Je me rends dans la salle de réunion, les différents cadres dont je fais partis sont réunis, notre directeur prend la parole.
« Bonjour à tous, vous avez pu voir dans les médias lannonce concernant les restrictions commerciales avec la Russie. Nous sommes, nous, directement impacté et nous allons devoir faire des choix budgétaires difficiles. »
Nous avons tous compris le message du directeur. Moi, seul revenu du couple, jespère quils ne vont pas annoncer des licenciements. Le directeur nous a annoncé des entretiens pour chacun avant la fin de la semaine.
Quand je suis rentré à la maison il mattendait, jétais fatigué et anxieuse.
« Quallons nous devenir si je perd mon emploi !!???? »
« Ne tinquiète pas, vu ta place dans la société ils vont avoir une solution pour toi. »
Sur cest mots je partie triste prendre ma douche. Je sortie de la salle de bain en peignoir, dans la chambre Marc menlaça par derrière et membrassa dans le cou.
« Un peu de réconfort après cette dur journée que tu as eut. »
Il passa ses mains dans le peignoir et me malaxa mes gros seins, je senti lexcitation grandir en moi, une des ses mains descendit entre mes cuisses traversa ma courte toison châtain pour mintroduire un doigt entre mes lèvres en faisant des allers retours, mon peignoir tomba au sol et il se déshabilla. En mallongeant sur le lit jai vu son pénis denviron 15 cm tendu et décalotté.
Il sallongea à côté de moi passant sa main sur mon corps, son pénis posé sur ma cuisse, pelotant mes seins en faisant le tour de mes tétons avec un doigt sur lauréole ovale, jai pris son pénis en main pour le masturber. Sa main est descendue entre mes cuisses et il a inséré un doigt dans mon vagin humide, puis deux, sortant et entrant à sa guise. Il sest allongé sur moi et a présenté son gland tendu à lentrée de mon intimité, il ma pénétré jusquà ce que ses testicules touchent mes fesses. Je mouillai de plus en plus, cela a duré pendant 15 min, après une accélération ultime Marc sait figer en moi et a éjaculé.
Certes nos rapport sont basiques mais cela nous convient, il na jamais osé me demander une fellation, encore moins la sodomie, je crois que je refuserai.
Je me suis endormi dans cest bras. Tourmenté par le travail je nai pas passé une bonne nuit.
Le lendemain au bureau je fus convoqué suite à lannonce du directeur. Assise dans le bureau de mon supérieur jattendais le verdict.
« Bonjour madame »
« Bonjour monsieur »
« Cest en cette période difficile que je vous reçois, en effet nous allons devoir réduire leffectif de lentreprise. »
Voila ce qui devait arriver, je vais perdre mon emploi, que vas t on devenir avec Marc ?
« Ne vous iniquité pas madame » répliqua t il.
« Nous avons une proposition vous concernant, certain de nos collaborateurs vont perdre leurs emploi, mais pour vous, pour éviter le licenciement nous proposons une mutation en Algérie sur un de nos site dextraction. »
LAlgérie !!!!
Je refis surface quand jai su que je nétais pas licencier, mais une mutation en Afrique du nord, je ne mis attendait pas, que va dire Marc ?
« Voila madame , je vous demanderais de rendre réponse avant la fin de semaine prochaine, merci. Si vous souhaitez plus de détails, veuillez consulter ma secrétaire.»
La journée de travail terminée je rentrai à la maison avec une grande décision à prendre.
Suite à mes messages Marc eut le temps de réfléchir et il semblait emballé par ce nouveau défit (de nouveau paysage, une nouvelle culture, le soleil), ce qui après discussion me redonna le moral.
Jai rendu ma décision à ma hiérarchie dés la semaine suivante.
Mon entreprise ma stipulé que jintégrai lantenne dAlger à compter du 1 juin.
Nous avons eut cest quelques mois pour nous préparer. Marc a fini sont roman, il va paraitre bientôt, je suis contente pour lui. Nous avons réessayé à plusieurs reprises davoir un mais aucun résultat, cest peut-être pas plus mal vu le changement de vie qui nous attend.
Le jour J est arrivé nous sommes dans lavion direction Alger, nos affaires sont déjà arrivées sur place à notre nouveau logement. Nous avons gardé notre petite maison en région parisienne, nous lavons mise en location, cela nous fera une rentrée dargent supplémentaire.
Arrivé sur place nous sommes submergés par la chaleur, Marc porte un pantalon très léger avec une chemisette, il est beau avec son chapeau dété et ses lunettes de soleil et moi une robe très fine avec des sous vêtement à dentelle, des escarpins aérés à talon bas, jai également un chapeau large et des lunettes or et noir.
Le directeur de lagence doit venir nous chercher, nous récupérons nos bagages et nous nous dirigeons vers la sortie, japerçois un homme avec une pancarte avec notre nom dinscrit.
Cest Mr Barloux qui doit nous récupérer.
« Bonjour monsieur, je me présente madame Amy et voici mon mari Marc. »
« Bonjour madame, je me prénomme Hervé, Hervé Barloux directeur de lagence, bienvenue à Alger, jespère que vous avez fait bon vol, veuillez me suivre jusquà la voiture. »
Mr Barloux faisait à peut près ma taille, il devait avoir dans les 50 ans, bien bedonnant, sa chemise ne pouvait pas rentrer dans son pantalon en toile noir, il avait une petite moustache et un double menton bien marqué, les cheveux parsemés brillant plaqué vers larrière. Il était très galant, il a pris ma valise jusquà la voiture et la chargé dans le coffre.
Marc me demanda de monter à lavant avec Mr Barloux, car pendant le trajet il avait surement des points à mexpliquer concernant le travail.
« Nous avons environ 30 min de route jusquà votre nouveau logement »
« Il fait drôlement chaud » sexclama Marc.
« Jai pourtant mis la clim ???? »
Je ne voyais pourtant pas de voyant dallumé sur le tableau de bord, tant pis, il ny pas trop de route.
Rapidement je sentis les gouttes de sueurs coulées dans mon dos et entre mes seins, ma poitrine commença à apparaitre à travers le tissu imbibé de sueur mon soutient gorge bombé lui était offert, Mr Barloux nen perdait pas une miette, ses yeux oscillait entre la route et mes seins, je soulevai ma robe pour la décoller de mon corps.
« Quelle chaleur » jétais très gêné de la situation.
Mon bas ventre était également trempé et laissai apparaitre la dentelle de ma culotte.
Après 5 min à se rincer lil il tripota les boutons du tableau de bord et de lair frais me parvint, quel soulagement.
« Cest très gentil de votre part de vous être déplace pour venir nous chercher à laéroport »
« Mais ma chère Amy, je peux vous appeler par votre prénom ? »
« Oui bien sûr, cest plus conviviale »
« Voila, nous étions quatre à lagence, mais avec les problèmes que la société rencontre je suis tout seul depuis 2 mois et à partir de lundi ne seront que tout les deux et ceux pour un moment. »
« Très bien Mr Barloux, euuuux Hervé » il me sourit.
Ma robe a retrouvé son état normal, nous avons discuté dès divers taches que je vais avoir à effec dans mes nouvelles fonctions.
« Nous voila arrivé, voici votre nouveau chez vous »
Après avoir descendu les bagages, nous nous sommes approchés dune grande double porte en bois, Hervé a ouvert et nous avons découvert un splendide Riad avec des palmiers et cette superbe lumière. Avec Marc nous étions aux anges.
« Vous avez une piscine dans larrière court » souligna Hervé, « une voiture chacun ».
« Jai pris soins de faire remplir le frigo ».
« Cest très gentil de votre part Hervé ».
« Je vais vous laissez découvrir les lieux, Amy je vous dis à lundi à lagence. Marc au plaisir de vous revoir. »
Nous avons remercié Hervé.
Je navais quune envie, cest me détendre dans la piscine, nous navons même pas prit le temps de défaire nos bagages, nous avons extirpé nos maillots de bain de la valise et plongé directement. Marc était excité et est venu membrasser tendrement. Ses mains ont parcouru mon corps.
« Jai envie de toi, maintenant ma chérie »
« Quelquun pourrait nous voir »
« Tu as peur dun voyeur ? Le Riad est entièrement parqué ».
Je lui ai raconté lépisode dans la voiture avec ma robe transparente sous le regard dHervé.
« Cela ta fais quoi » ? me demanda-t-il.
« Rien idiot, jétais très gêné de me montrer ainsi, surtout pour une première rencontre. Tu as vraiment les idées déplacées ».
Jai senti sa raideur sur mes fesses pendant mon récit, il a écarté mon maillot de bain et ma pénétré. Nous avons fait lamour dans la piscine en étant le plus discret possible.
Nous avons passé le weekend à nous promener à pied autour du Riad et Marc a entamé un nouveau roman. Cest apaisé que nous commençons cette nouvelle vie.
Ce lundi je me rends au bureau, je suis habillé dun chemisier blanc ainsi quun pantalon crème et de chaussure ouverte très légère. Lagence est situé dans le centre dAlger dans un belle immeuble dépoque, il ny a pas dascenseur, pas grave cest au troisième, je monte le belle escalier en bois, arrivé à destination je sonne à la porte de lagence, jentends quelquun marché sur un parquet bois en destination de la porte.
« Bonjour Amy, soyez la bienvenue ».
« Bonjour Hervé, contente de vous revoir ».
Il ma fait découvrir lagence, il y a mon bureau et le siens ainsi quun endroit avec des canapés et une table basse avec un frigo rempli de boissons fraiches et une machine à café. Heureusement il y a la clim. Hervé est mon supérieur hiérarchique et son bureau est collé au mien avec une porte entre les deux.
« Demain nous allons nous rendre au site dexploitation, il y a environ 1h30 de route, las bas vous aller être soumise à une visite médicale, voici votre convocation ».
Je survole le document et me rencontre que trois personnes vont assister à la visite médicale.
« Hervé, pourquoi il y a trois personnes qui assiste à la visite ? »
« En effet il y a le médecin, madame Saadi. Le chef de la sécurité, Monsieur Benaissa et moi-même. »
« Mais pourquoi je ne suis pas seul avec le docteur ? »
« Pour les nouveaux arrivants cest obligatoire, surtout pour obtenir les accès au site. Ne vous inquiétez pas cest un contrôle succinct. »
Le lendemain nous nous sommes donnez rendez vous au bureau, de la nous avons pris la route en direction du site dexploitation, je me suis habillé avec une chemise et un pantalon de rando beige et une veste marron foncé, mes dessous son bleu en coton et des chaussures de marche, cest Hervé qui ma conseillé car le site est au bord du désert, cest un lieu rude.
Arrivé sur place, je descends de la voiture il y a du vent et je dois fermer les yeux à cause du sable, nous rentrons rapidement dans le gardiennage et je peux retirer le voile qui a protégé mes cheveux attachés.
Hervé se tient à cotés de moi, devant nous, derrière le comptoir se tient un Algérien denviron 60 ans avec un visage rude et peu attirant, il a une horrible barbe rousse, il est vêtu dune djellaba blanche et coiffé dun turban rouge et blanc.
Hervé salut lhomme.
« Bonjour Abib, comment allez-vous ? »
« Bien Mr Hervé »
« Abib je vous présente ma nouvelle collaboratrice, Mme . »
« Amy je vous présente Mr Benaissa responsable de la sécurité du site »
Cest ce personnage repoussant qui doit assister à ma visite médicale ? Je me sens mal à l'aise.
« Enchanté Mr Benaissa »
Il me regarda de la tête aux pieds avec un grand sourire.
« Madame vous allez avoir une formation sur la sécurité sur le site, après nous allons faire une visite des lieux ».
« Très bien Monsieur »
Je passai la fin de matinée en formation comme prévu, nous sommes ensuite allés déjeuner, jai hottée ma veste avant de massoir à table dévoilant ma chemise tendu par mes gros seins, Abib assis en face de moi apprécia sensiblement la vue, il pouvait entrevoir mon soutient gorge bleu à travers les plis de ma chemise. Le repas fut semble t il très agréable pour lui, pas pour moi je le trouvai hideux.
Le repas terminé nous avons effectué la visite du site et il me semble quils ont oublié la visite médicale, tant mieux.
Le téléphone de Benaissa sonna.
« Allo, oui docteur nous arrivons dans 10 min »
Et mince je vais devoir y passé.
« Nous allons maintenant rejoindre le docteur Saadi à son cabinet, nous avons un service médical car il y a beaucoup de salariés et lhôpital le plus proche est à 1h de route. »
Nous sommes rentrés dans les locaux du service médical, jai été présenté au docteur Saadi.
« Bonjour docteur, je suis madame Amy »
Cétait une femme denviron 50 ans, 1m60, des lunettes noire, la tête voilée avec un visage doux.
« Bonjour madame, veuillez entrer dans mon cabinet »
Elle me suivi ainsi que Hervé et Benaissa. Le cabinet était petit, avec son bureau, deux chaises en face et la table de consultation collé au mur et son petit tabouret pour y monter.
« Messieurs veuillez vous asseoir, madame retirer votre veste et vos chaussures et asseyez vous sur la table de consultation, je vais regarder votre dossier médical.»
Ouf !!! Jétais contente, je garde mes vêtements. Bizarrement Benaissa avait le sourire, jai eut le droit aux questions dusage : Vaccins, allergies, problème dans la famille
Le docteur se leva et prononça cette phrase :
« Je vais à présent vous examiner aussi voulez-vous bien commencer par vous déshabiller »
Je crois qu'à ce moment là je n'ai pas saisi et lui ai fait répéter.
« Oui, madame vous déshabiller pour que je puisse vous ausculter »
Dun coup je me suis levé.
« Vous plaisantez, pas question, dautant quil y a des hommes »
Le docteur répliqua sur un ton ferme avec le visage beaucoup moins doux.
« Je peux comprendre votre embarras, mes cest personnes sont tenus au secret médical ne vous inquiétez-pas. Les visites se font en culotte et soutien-gorge! »
« Mais il ne sagit pas de secret médical mais de dignité, de pudeur madame, de plus devant des hommes, il est tout à fait déplacé que je me déshabille même partiellement devant eux ! »
Le médecin me déclara que je nétais pas une exception et Benaissa minvita calmement à exécuter la demande du docteur.
« Madame si vous souhaiter obtenir votre accès à lentreprise vous devez vous plier à son règlement » minvoqua-t-il, toujours avec ce même sourire.
Jai commencé à paniquer, ne sachant que faire.
Que les larmes aux yeux presque inconsciemment je me mis à défaire le premier bouton de ma chemise, jai levé les yeux et je les ai vu tout les deux fixés sur les boutons que je défaisais un à un.
Jai ouvert ma chemise laissant apparaitre mon soutien-gorge bleu uni avec mes gros seins serrés dans leurs bonnets, jai retiré ma chemise et les posé sur le côté.
« Le pantalon maintenant, pressez-vous, je nai pas que vous en consultation aujourdhui »
Jai retiré mes chaussettes et je les ai laissé tombé au sol ensuite jai déboutonné mon pantalon et je les fais glissé le long de mes jambes. Ma culotte bleu assorti à mon soutien-gorge et mes fesses leurs étaient offerts, les deux spectateurs étaient aux anges. Jétais maintenant devant eux quasiment nu, Hervé avait la main dans la poche avec le coin des lèvres humides, Benaissa me regardai de haut en bas.
« Maintenant asseyiez vous »
Le docteur me passa le stéthoscope dans le dos et jai effectué les différents exercices de respiration.
« Tout va bien, allongez vous maintenant »
Je me suis exécuté, bizarrement Benaissa cest levé, il est venu se positionner derrière ma tête qui était relevé sur la table dexamen, il avait une vue plongeante sur mon corps, apparemment le médecin ne vit aucun problème à se positionnement.
Le docteur Saadi a commencé à me tapoter le ventre de droite à gauche, elle a commencé à mappuyer sur le bas ventre.
« Avez-vous mal »
« Non »
Après plusieurs palpation, elle a passé sa main sous ma culotte jusquà laine.
« Avez-vous mal »
« Non »
Benaissa avait une vue privilégiée sur ma toison châtain révélée par le docteur, se changement de place nétait pas anodin.
« Je vais maintenant prendre votre tension. Je ne pense pas que vous ayez subie une mammographie vu votre âge ? »
« Non, jamais »
Elle ne va quand même pas me faire retirer mon soutien-gorge ? Une boule mapparut au ventre.
La peur a dut apparaitre sur mon visage car elle ma dit :
« Ne vous inquiétez pas je vais juste passer ma main dans votre soutien-gorge »
Oouuuf quel soulagement, cela va calmer lardeur des deux mâles de la pièce, je suis déjà choqué quils maient vu dans cette tenue !!! Que va penser Marc de ce quil mest arrivé ???
La tension prise, elle est venue se positionner à côté de moi.
« Je vais mettre ma main dans votre bonnet droit »
Jai entendu Benaissa bougé derrière moi, Hervé qui ne voyait rien est resté sur sa chaise.
Le docteur a inséré sa main dans mon bonnet pour venir palper le dessous, pour cela elle a caressé mon seins sur toute sa longueur ce qui me provoqua un frisson.
« Amy du calme, tu ne vas quand même pas texciter, reprend tes esprits !!! » me dis-je.
« Je vais passer à lautre, pas contre nayant pas le même accès je vais devoir baisser votre bretelle » mindiqua le docteur.
« OK, allez-y »
Elle baissa ma bretelle jusque sous mon coude et leva mon bonnet pour passer sa main et je me rendis compte que Benaissa avait une vu complète sur mon sein, étais se voulu mais elle mit une dizaine de seconde avant de passer sa main.
« Cest OK, maintenant allez vous peser, ensuite vous pourrez vous rhabillez »
Quand je me suis levé pour rejoindre la balance, jai pu voir que Benaissa avait son portable à la main. Une fois sur la balance ils ont pu me reluqué une dernière fois avant que je me rhabille rapidement.
Ce dur moment terminé Benaissa nous a raccompagnés vers la sortie.
« Ce fut un plaisir de vous rencontrer Mme , je passerai à lagence pour vous donner votre badge daccès au site, je vous souhaite un bon retour. »
Il madressa cest derniers mots en fixant ma grosse poitrine une dernière fois et toujours avec ce sourire.
« Au revoir monsieur »
Je pris le chemin de la voiture tandis que Benaissa discutait avec Hervé.
Sur la route lambiance était froide, au bout de 10 min Hervé a pris la parole :
« Je suis désolé que vous ayez eut à subir ceci, mais on doit respecter le règlement du site et du pays. »
Il sest quand même bien rincé lil le cochon.
« Benaissa a beaucoup dinfluence dans lentreprise, cest un ancien au gradé de larmée Algérienne qui cest reconvertit dans la sécurité privé, il connait beaucoup de monde important, Il est également très basé religion. »
Jai pu comprendre dans ce récit quHervé nétait pas vraiment son supérieur hiérarchique, du moins que sur le papier.
Hervé ma déposé au Riad, je lai salué avec un sourire amicale pour quil comprenne que je ne lui en voulais pas.
Marc était au bord de la piscine sur son PC.
«Salut mon chéri, tu es dans ton roman passionnant? »
« Oui, ta journée ça été ? »
Je lui ai tout expliqué.
« Cette homme na pas lair davoir beaucoup de respect pour les femmes et encore moins occidentale on dirait » me dit-il.
Je croyais quil aurait été un peu plus en colère, mais non, comme la dernière fois jai limpression que mon récit la excité et nous avons fini dans la piscine ou il ma fait lamour. Je ne veux pas le blâmer cest moi qui les emmené dans cette nouvelle vie.
Les jours ont passé et la routine cest installé, jétais au bureau, quand Hervé a toqué à ma porte :
« Amy, je viens de recevoir un mail, Benaissa passe cette après midi vous donnez votre badge. »
« OK, merci Hervé. »
Vers 15h la sonnette de lagence à sonné, je me suis rendu ouvrir la porte.
« Bonjour Mr Benaissa »
« Bonjour Mme »
« Entrez je vous en prie »
Benaissa est rentré dans lagence en me regardant de haut en bas, jétais habillé avec un haut cache-cur avec nud et une jupe à fleurs descendant jusquaux genoux. Lui portait un pantalon et une chemise beige, toujours son turban et toujours cette horrible barbe rousse.
« Vous êtes tout en beauté ma chère, sa change des vêtements du désert »
« Merci, prenez place dans le canapé, souhaitez-vous boire quelques chose? »
« Un thé » dit-il tout en sasseyant.
« Vous êtes venu vivre en Algérie avec votre mari ? »
« Oui il est écrivain »
« Pas ds? »
« Non mon mari a quelque souci de santé »
Je lui servi son thé et je me suis assis dans le canapé en face de lui dos au bureau dHervé.
« Vous êtes donc venu me donner mon badge daccès ? »
« Oui en effet »
« Je vais avoir des documents à signer ? »
« Oui, mais jai un petit problème concernant lobtention de votre badge, il y a certain comportement de votre part qui ne sont pas admissible dans notre pays. »
« Mais de quoi parlez-vous Monsieur !!!??? »
Il me tandis son téléphone portable ou jétais en photo en sou vêtement et le sein à lair.
« Cela pourrait poser des problèmes pour lagence se genre de tenue. En tant que responsable de la sécurité et de limage de lentreprise je suis dans lembarra pour vous donner vos accès. »
« Mais cest vous qui avez pris ces photos !!! Et jai besoin de ce travail !!! Vous ne pouvez pas me faire ça. »
« On peut peut-être trouver une solution. »
« Je vous écoute. »
« Lautre jours vous mavez laissé sur ma fin, vous pouvez peut-être men montrer plus. »
« Je vois très bien de quoi vous parlez, Il en est hors de question !!!!!!! »
« Du coup vous êtes prêtes à perdre votre emploi et causer des problèmes à Marc.»
« Comment connaissez-vous le prénom de mon mari et quelles problèmes !!!??? »
« Mr Hervé à du vous parlez de moi et il serait dommage que lon retrouve des documents détat sur lordinateur de votre mari, cest passible de la prison. »
Je suis piégé. Les larmes me venaient aux yeux, sans aucune pitié il me montra du bout du doigt le nud de mon haut cache-cur.
« Mais Mr Barloux pourrait rentrer dans la pièce à tous moment » lui dis-je les yeux vitreux.
« Il a lair bien occupé au téléphone, ne vous inquiétez pas pour lui. »
Il me remontra du bout du doigt le nud. Jai pris le bout du nud et jai tiré dessus le faisant coulisser pour le défaire, ensuite jai ouvert le premier bâtant de mon haut, il avait les yeux rivés sur mes seins, ensuite le deuxième, maintenant il avait une vue totale sur mon soutien-gorge blanc en dentelle qui laissait entrevoir mes auréoles brunes, avec les bretelles tendues par le poids de mes seins.
Javais maintenant les mains sur les cuisses et la tête baissée.
« Nous voila au même stade que la dernière fois, il va falloir men montrer un peu plus »
« Non sil vous plait »
« Allez pas de simagrées, continuez » montrant du doigt mon soutien-gorge.
Jai passé mes mains dans mon dos et jai dégrafé mon soutien-gorge, doucement jai repassé mes mains devant, dé fois que Hervé rentrerai dans la pièce, mais non, jétais seul dans ce calvaire.
« Pressez-vous ma chère ! »
Jai pris le dessous de mon soutien-gorge et je lai levé laissant tomber mes deux gros seins blancs avec leurs auréoles brunes et leurs petits tétons.
« Madame vous avez un corps parfait » me dit-il en prenant une photo de moi dénudé.
Il sest levé et il est venu se positionner derrière moi, il a positionné cest main sur mes épaules et a commencé un petit massage des mes clavicules du bout des doigts, il a frotté à plusieurs reprise mes épaules et est descendu sur mes coudes, je frissonnai de sentir ses mains sur mon corps et dun coup il a empoigné mes seins jai sursauté et les larmes ont coulé sur ma joue. Tout en me malaxant la poitrine il sest rapproché jai ressenti les poiles roux piquer mon oreille et il ma dit :
« Cest la première fois que je touche une blanche et ma virilité en est toute émue »
Il a continué à me peloter la poitrine longuement, avec ses doigts il sest mit à faire le tour des mes auréoles et à pincer mes tétons ce qui provoqua un petit :
« A !!! » dexcitation.
« Vous aimez mes mains on dirait »
« Ça suffit » lui dis-je pleurnicharde.
« Avez-vous humidifié votre culotte ? »
« Arrêtez maintenant, sil vous plait. Sil vous plait »
Il a peloté mes seins avec vigueur ce qui était douloureux les a sous pesé et les a lâché.
« Merci, pour ce moment de détente, jespère que vous me donnerez dautre plaisir. »
Je nai rien répondu, il a posé le badge daccès sur la table basse et a fini son thé. En sapprochant de la porte dentrée il sest retourné et ma dit :
« Je serai contant de rencontrer votre mari, vous pourriez minviter à diner un de cest jour, autre chose, nous gardons nos petits secrets pour notre bien être à chacun, je vous salut ma chère, à bientôt, jattends avec impatience votre invitation. »
Une fois quil est parti je me suis rhabillé, passé de leau sur le visage et pris un grand verre deau. Jai fait signe à Hervé qui était toujours au téléphone que je rentrai.
Arrivé au Riad jai serré très fort Marc.
« Tout va bien ma chérie ? »
« Oui mon chéri, je taime »
Jai ouvert mon haut et mis sa main sur mon sein et pensé très fort ils sont à toi, ils sont à toi, ils sont à toi. Marc ma fait lamour ce qui ma permis doublier cette journée, brièvement.
Cela fait maintenant une semaine que Benaissa est passé au bureau, je suis à lagence a vaquer à mes occupations quotidiennes, Marc na pas touché grand-chose de son roman publié il y a un mois, le temps quil se fasse connaitre et les ventes seront meilleurs.
Un mail vient dapparaitre sur mon PC, oh non !!! Cest Benaissa.
« Chère Mme jattends votre invitation à diner avec impatience, il serait dommage que cest pièces jointes soient malencontreusement expédiés à Mr Barloux et votre mari. »
En pièces jointes il y avait des photos de moi les seins nus. Je suis bloqué.
Une fois rentré au Riad jai abordé le sujet avec Marc.
« Cela te dérangerait si jinvitai Benaissa et sa femme à dîner un soir ? »
« Non ??? Mais je croyais que tu nappréciais guère ce personnage ?? »
« En effet mais cela peut permettre de briser la glace, je me trompe peut-être sur la personne. »
« Et bien cest OK pour moi »
« Très bien, je vais lui soumettre jeudi soir dans deux jours.»
Le lendemain au travail jai envoyé le mail dinvitation à Benaissa et la réponse fut rapide :
« Je suis enchanté de recevoir cette invitation, je me présenterai chez vous avec ma femme jeudi soir à 19h. Cela va être long dattendre jusquà jeudi, pour patienter jaimerai que vous menvoyez dès maintenant une photo de votre entre jambe, sans culotte bien sur. »
« Il ne va pas me lâcher. Mais jusquoù ??? Je suis obligé de le faire, sinon il va diffuser les photos. » Me dis-je en serrant fort les accoudoirs de mon fauteuil.
Jétais habillé dune jupe, je lai donc légèrement remonté, jai passé mes mains dessous tout en guettant vers le bureau à Hervé, quil ne débarque pas. Jai saisi ma culotte blanche et lai descendu le long de mes jambes, je lai récupéré au sol et mise dans mon sac.
Le plus dur était à faire, après une certaine hésitation jai saisi mon téléphone, de lautre main jai remonté ma jupe et lai soulevé, tout en positionnant mon téléphone jai écarté les cuisses laissant apparaitre ma vulve ornée de sa toison châtain, tout en regardant vers le bureau dHervé jai pris la photo.
Je lui ai envoyé la photo de mon abricot tout de suite avant davoir une plainte.
Rapidement jai eut une réponse :
« Merci de me redonner autant de vigueur. »
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