Fin De Colocation & Début D'Une Expérience

Après deux années d’études et notre diplôme en poche, mon colocataire et moi avions décidé de fêter ça. Ainsi, nous sommes allés à une petite soirée chez un ami. Nous avions beaucoup bu et la distance qui nous séparait de notre appartement nous a permis de prendre un peu l’air frais. Pourtant, en rentrant on avait tous les deux très chaud et nous avions enlevés nos tee-shirts. On avait pour habitude de fumer cigarette avant d’aller se coucher et pendant ce petit rituel mon colocataire m’avoua qu’il était vraiment trop soul. Nous nous sommes alors dits bonne nuit après s’être brossé les dents et chacun dans sa chambre, on alla se coucher.

Tout à coup, dix minutes plus tard, j’entends toquer à ma porte, étant dans mon premier sommeil je dis « entre »… Mes yeux commençaient tout juste à se décoller lorsque je vis la lumière du couloir et j’entrevu mon colocataire en boxer rentré dans ma chambre. Et là il me dit : « écoute, on a passé deux ans ensemble, ce soir c’est la dernière nuit et je m’en voudrais toute ma vie de ne pas avoir profité du fait qu’on était tout le temps tous les deux ». Ne comprenant absolument pas où il voulait en venir, je luis répondis : « je ne comprends pas qu’est ce que tu vas regretter ? »… Et là, ma surprise fut énorme, mon colocataire vient m’embrasser sur la bouche ! J’étais aux anges, bien qu’allonger dans une mauvaise position pour recevoir son baiser. J’ai donc mis un terme à cela et j’ai relevé le drap en lui faisant signe de venir dessous. Nous nous sommes enlacés et embrassés pendant quelques minutes, jusqu’au moment où je me suis dit, quitte à tout gâcher c’est le moment mais il faut que je lui dise ce que j’ai sur le cœur… « J’ai rêvé de ça pendant des années […], je fantasmais tous les jours sur toi […], je t’ai toujours trouvé très beau […], si je devais avoir une expérience homo ça n’aurait pu être qu’avec toi… » J’ai vraiment déballé tout ce que j’avais à dire. Il resserra son étreinte et commença à m’expliquer qu’il n’était pas bête et qu’il avait pu le comprendre par lui-même pendant ces deux ans mais qu’il ne voulait pas ment l’admettre.


Nos corps était l’un contre l’autre depuis quelques minutes maintenant et nos baisers nous rendaient très excités, je pouvais sentir son sexe contre mon ventre qui ne manquait pas de me faire frémir. J’adorais son sexe, j’avais pu le voir et l’entrevoir quelques fois dans ma vie et le fait qu’aujourd’hui il soit contre moi m’avait profondément rendu hystérique : je voulais le sucer.
Nous avions peut être un peu peur, chacun ne sachant pas qu’elles étaient les intentions de l’autre et c’est lui qui a fait le premier pas, il glissa sa main dans mon boxer pour me toucher la raie. Il me dit : « tu t’épiles le cul ? », je lui répondis que oui car je préférais et qu’aujourd’hui cela allait bien nous servir. Il acquiesça et continua de me toucher la raie en insistant de plus en plus sur mon anus qui était un peu rétracté au début.
Je lui touchai le ventre, le torse, son dos magnifique et ses fesses par-dessus le boxer. Puis, je me suis décidé à me glisser sous la couette pour lui lécher les tétons et le ventre ; je descendais petit à petit pour arriver vers son boxer. Là je commençais à lécher le tissu et à mordre avec mes lèvres son pénis en érection. Il enleva un peu la couette pour regarder comment je m’occupais de son engin. J’enlevai donc son boxer jusqu’à ses pieds, j’en profitais pour lécher et baiser toutes les parties de son corps, puis je remontais jusqu’à son pénis. Je commençais par lécher ses testicules jusqu’au gland et il eût un petit frissonnement. J’engloutis son gland en entier puis je le retirais vite comme une sucette. La pression que cela provoquait le faisait gémir. Ensuite, je ne l’ai pas laissé souffler, j’ai engloutis au maximum son pénis qui doit faire dans les 19-20 cm et il me félicitât, m’encouragea à aller plus loin. Il imposait son rythme en mettant sa main derrière ma tête, je le branlais de temps en temps, puis je retournais engloutir ses boules… Mes mains caressaient son corps d’ange, il était tout tendu, ainsi tous les muscles de son corps étaient contractés.
Nous avons changé de position et il se retrouva assis. J’avais alors pleine vu sur son anus que j’allai directement embrasser. Il me dit qu’il ne voulait pas que je lèche là, mais j’ai continué de lui faire des bisous sur les fesses. Je suçai encore sa bite et cette fois une goutte de sperme était sur son gland, je vins alors la prendre dans ma bouche et lui montrais. Il m’embrassa aussitôt comme s’il en voulait aussi.

Il prit dans mon tiroir une capote qu’il enfila rapidement et j’allais chercher mon lubrifiant dans mon armoire. Il était étonné que j’ai du lubrifiant mais se mit directement au travail en commençant par m’écarter les fesses, à les embrasser puis à poser un petit baiser à côté de mon anus. Il mit un peu de lubrifiant sur mon anus et pu directement enfilé deux doigts dans celui-ci. Je le poussais à aller un peu plus loin avec ses doigts. Cela me faisait gémir ! Quelques secondes plus tard, il se rallongea et je vins m’empaler sur son pieu qui commençait à être un tout petit peu moins dur. L’entrée se fît en douceur, mais il alla rapidement jusqu’au plus profond de mon anus. Etant au dessus, je pouvais gérer l’entrée puis gérer le rythme. Au début nous allions doucement car je n’avais pas envie qu’il m’arrache le cul. Puis il me tint les fesses et commença à imposer un rythme plus rapide. Sa bite sortie de mon anus, il en profita pour caresser ma raie épilée de bas en haut, puis re-rentre. J’étais stimulé au maximum et je ne pu m’empêcher de pousser des petits gémissements de plaisir, quand à lui il me lançait des « c’est bon », « je vais jouir ». Dès qu’il disait, je vais jouir, je l’invitais à aller plus doucement pour que l’on puisse faire durer le plaisir.
Je lui proposai de changer de position, il accepta, je me suis alors mis en levrette avec le cul bien cambré, j’étais d’abord accroché à ma structure de lit mais je me suis vite mis sur le torse pour mieux sentir sa bite. Il me touchait encore le corps, il aimait mon dos et il aimait me baiser le cou.
Il fini par jouir dans la capote au moment où j’étais au summum de l’extase. Il tomba littéralement sur moi. Je me suis alors retourné pour qu’il soit sur mon ventre. Je mis ma main dans ses cheveux et il commença à me branler et à me dire qu’il ne savait pas s’il voulait me sucer, ayant peur d’être maladroit. Je lui dis que le mieux c’était d’essayer. Il m’a alors sucé comme un dieu mais pendant très peu de temps car j’ai très vite éjaculé dans sa bouche, au même moment il essayait de me sucer au plus loin possible. Il avala presque tout et m’embrassa directement. Nous sommes restés comme ça pendant un moment puis nous avons décidé de nous doucher tous les deux.
Dans la douche nous étions collés serrés et nos sexes se sont très vite remis au garde à vous. J’ai touché le sien et j’ai commencé à le branler, il m’a dit qu’il était épuisé. Je suis alors descendu pour lui faire un bisou sur le gland. Nous nous sommes séché et je lui ai demandé s’il comptait dormir avec moi. Il m’a répondu que oui si on dormait dans sa chambre, j’acquiesçais d’un signe de tête.

Le lendemain, nous nous sommes réveillé vers midi, nous étions tous les deux nus et nous avions tous les deux une belle érection. Il devait être réveillé depuis longtemps. Il m’a alors sucé, ce qui a empêché que je me rendorme. Je le caressais, il m’envoutait, je lui ai dit qu’il suçait très bien. Il m’a répondu que je suçai très bien aussi. Nous avons alors fait un 69 et nous avons éjaculé presqu’en même temps dans la bouche de l’autre.
Plus tard dans la journée, il me ré-encula et je l’ai re-sucé comme un fou. Et encore une petite fellation sur le trajet du retour.
Nous nous revoyons de temps en temps, mais ce n’est pas pour faire l’amour. Je ne pense pas que c’est parce qu’il n’a pas aimé, bien au contraire, mais ses valeurs et sa vie d’hétéro le pousse à voir cet acte comme quelque chose d’unique et qui ne se reproduira plus. J’en ai reparlé il y a peu de temps avec lui et il m’a dit de ne pas trop penser que nous pourrions recommencer, c’est possible car lui aussi en a envie, mais il ne sent pas près à le faire dans un autre contexte que celui de la colocation qui selon lui était plus simple.
Cela n’a en aucun cas affecté notre amitié car je l’aime trop pour ça, il est tout pour moi, le perdre serait horrible, déjà qu’il me manque terriblement quand je ne le vois pas pendant trois semaines d’affilées… J’aimerai tellement que nous recommencions…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!