Dépucelépar Un Homme À La Piscine
Il y a quelques semaines je me suis fait dépuceler! Et où ? A la piscine! C'est plutôt curieux comme endroit pour faire cela je vous l'accorde ! J'ai 18 ans, je suis étudiant et je vais à la piscine très régulièrement, histoire de faire un peu de sport. Donc ce jour la, comme d'habitude je me change en cabine, enfile mon petit maillot de bain noir et passe par les douches. Je me lave rapidement le corps. En face de moi ce trouve un homme assez âgé, il doit avoir plus de 50 ans, son corps porte les marques de l'âge : cheveux et barbe grises, un ventre bedonnant. Il mesure à peu près ma taille mais a quelques kilos en trop ! Je ne sais pas pourquoi mais je n'ai pas lâché mon regard de cet homme, jétais subjugué. A un moment nos regards se sont croisés, il ma détaillé de haut en bas, tout en se caressant le corps. On était seul sous les douches, il continua à caresser son gros ventre et me fit un clin d'il lorsqu il passa sa main sous son maillot. Il passa à cote de moi et me glissa au creux de l'oreille: "je fais quelques longueurs et dans 10 minutes je suis dans la cabine de douche pour handicapé la bas, si tu veux me rejoindre tape 3 fois." Et il partit nager. Je réfléchis un long instant puis je pris ma décision de le rejoindre, au pire je pourrai toujours partir si je me sens mal à laise. A peine le temps de faire quelques plongeons que je le voie se diriger vers les douches. Je prends mon courage à deux mains et le rejoints. Comme il me la dit je toc 3 fois. Il m'ouvre et referme la porte derrière moi.
"On sait bien compris j'espère, tu sais pourquoi tu es là ?"
Je lui réponds avec un petit oui timide.
"Tu as déjà eu une relation avec un homme ?"
"Non jamais, mais je fantasme dessus depuis plusieurs mois !"
"Un petit vierge rien que pour moi, hum!"
Sur le banc je vois qu'il a dépose un préservatif.
"C est quoi ton petit nom?"
"Julien."
"Daccord Julie, je veux que tu te retournes et que tu te cambres vers moi"
Je me mis en position, les mains sur la porte et mon cul vers lui.
" Quel cul tu as Julie ! J'en ai de la chance ! Tes fesses sont à moi désormais, tu dois être d'accord avec ça"
"Oui, d'accord"
Il mit sa tête entre mes fesses et me lécha à travers le maillot! Il commençait à gémir, moi cette position me fessait rire pour le moment.
"Bon maintenant je veux que tu tasseyes par terre et que tu poses ta tête sur le banc"
Je me mis en place.
" Tu es bien obéissante Julie, c'est bien ça !"
"Je veux qu'avec tes dents tu fasses descendre mon maillot de bain"
Je mordis en haut de son maillot et le tira jusqu'à ses pieds !
"Petite coquine !"
J'avais maintenant son service trois pièces au dessus du visage.
"Regarde comme elle est recroquevillé sur elle même, faut dire que l'eau était pas très chaude ! Tu vas prendre mon zizi en bouche pour le réchauffer, attention je veux juste que tu la réchauffe en la gardant dans ta jolie bouche."
Je fis oui de la tête.
Il mit son pénis dans ma bouche, c'est vrai qu'il était petit. Je refermais mes lèvres à la base de son engin, j'avais ses poils pubiens dans le visage. Je fis de mon mieux avec ma langue.
" Hum c'est bon ! Continu Julie, tu es doué avec ta langue"
Je fis ce qu'il me demandait.
"Maintenant je veux que tu me lèches les couilles, donc tu vas sortir ta langue et venir me les titiller."
Ces couilles étaient poilues, mais je fis de mon mieux, je donnais des petits coups de langues et jalternais avec des grandes léchouilles.
"Bon on vas pouvoir passer au choses sérieuses maintenant."
"Comment ça ?"
"A genoux ! Et suce-moi ! Et tas intérêt à faire ça bien salope."
Il devenait de plus en plus violent et autoritaire. Il me tira les cheveux et me fis mettre à genoux à hauteur de sa bite.
"Allez petite chienne au boulot, branle moi un peu avant"
Je pris sa bite dans ma main droite et fis quelques mouvements de va et vient.
"Décalotte moi et embrasse mon gland dun doux baiser, comme si tu ne vivais que pour lui."
Je décalotte doucement son sexe, son gland turgescent apparait, je lembrasse et le lèche.
Seulement jeu un moment de panique, jétais un train de sucer un homme plus âgé que mon père !!
"Désolé je souhaite partir, je n'ai plus envie."
"Tes conne ou quoi ? Maintenant que tu m'as excité avec ton cul de pute tu ne vas pas partir comme ça !"
Malheureusement cet homme musclé me dominait complètement, faut dire qu'avec mes 60 kilos tout mouillé je ne fais pas le poids !
Il m'agrippa la tête et voulu mettre son sexe dans ma bouche, mais je fermais mes lèvres.
"Ouvre ta bouche! Ouvre ta bouche j'ai dit !"
Je restais là sans bouger, je ne voulais pas le sucer.
Il mattrapa fermement et me mis la tête sur le banc, il me boucha le nez. Je fus, pour respirer, bien obligé d'ouvrir la bouche. Il profita de cet instant pour glisser sa pine entre mes lèvres.
"Aller suce moi maintenant, je sais que tu en as envi."
Il commença des mouvements de vas et viens du bassin, il était en train de me baiser la bouche quoi ! De temps en temps il me bouchait les narines et enfonçait sa bite au plus profond qu'il pouvait, ça me donnait des hauts le cur. Il continua se traitement plusieurs minutes. Puis il sentit que je nexerçais plus aucune résistance. Il se retira, un gros filet de lave suivi. Je crachais beaucoup j'avais limpression que jallais vomir, là à quatre pattes par terre.
"Bon on va laisser ta petite bouche retrouver ses esprits, vient là sur le ventre, allongé sur mes genoux."
Je fis ce qu'il me demandait. Il baisa mon maillot et commença à me mettre la fessée.
"Et oui Julie, tu n'as pas été très sage... Mais ne tinquiète pas avec le bruit des douches et les cris de la piscine personne nentendra rien. Je veux tentendre me remercier à chaque fessée."
Il me claqua les fesses très fort.
"Aie."
Tu n'as rien compris chienne!"
CLAC!
"Merci." CLAC! "Merci."
"Voila!"
Et il continua à me fesser de toutes ses forces. J'avais les fesses en feu ! Après une cinquantaine de fessées il me dit :
"Tu as les fesses toutes rouge chérie, passe les sous leau si tu veux"
Je me relevais et allais sous la douche.
"Tu as un corps magnifique, une salope de 18 ans rien que pour moi, la chance."
L'eau glissait sur mon corps.
"Bon tu as compris que tu devais mobéir maintenant j'espère."
"Oui."
"On dit oui maître !"
"Oui maître..."
"Suce moi la queue salope."
Et là je me plis à ses attentes. A genoux je pris son sexe dans mes mains et le lécha doucement, jembrassais son gland, aspirais ses couilles. Je faisais glisser mes lèvres le long de son sexe. J essayais de faire de mon mieux.
"Hum c'est bon, continu ma salope! Julie la salope, ahaha !"
Je continuais et je commençais à y prendre goût, sa bite était grosse, au moins 18cm, son gland bien gros.
"Tu suces vraiment bien, ça doit être de famille, je paris que ta mère est une suceuse d'enfer !
Je ne répondis pas, sa bite occupant toute mon attention
"Mais Julie, tu bandes ! Ca me montre que tu aimes me sucer ! Ça me plait, mais dun coté tu es une fille pour moi, et les filles n'ont pas de kikounette. Je veux que tu te branles tout en me suçant et que tu éjacules le plus vite possible."
Accroupi par terre, la bouche occupée avec sa bite, ma main avec la mienne...
Je ne tardais pas à jouir. De grandes giclées se répandirent sur le sol.
Après plusieurs minutes il me fit signe de me relever.
"On passe au choses sérieuses maintenant ma petite salope ?"
"Oui maître."
"Je veux que tu me le demandes."
"Voulez vous vous occuper de mon cul ?"
"Tu es une salope, tu peux faire beaucoup mieux que ça!"
"Maitre, je vous en prie, déflorez-moi mon ptit cul."
"Avec grand plaisir chienne ! Appuie toi sur le banc et tend ton cul vers moi.
Il enfila une capote et je me mis en levrette.
Je sentis quelques choses de froid, et voilà, il allait me sodomiser. J'allais me faire enculer dans une cabine de douche à la piscine, comme une salope.
Il sagrippa à moi et commença à s'enfoncer en moi. J'avais horriblement mal, il commençait déjà des vas et vient pour rentrer au plus profond de mon cul.
"Aie, aie, j'ai trop mal arrêté svp."
"Cest trop tard, on a fait le plus dur Julie, n'ai pas peur, bientôt tu me demanderas d'y aller plus fort, plus vite !"
Après plusieurs minutes de calvaire il arriva au fond de mon cul, je sentais ses couilles et son ventre derrière moi.
Il me lima de plus en plus vite, alors que moi j'avais mal !
"Tu l'aimes ma grosse bite putain.
Je te baise bien là, c'est trop bon prend ça. Tient tient, ma bite dans ton cul espèce de salope. Tu ne mérites que ça. Tu es là pour te faire baiser!"
Et il me baisa, me baisa. Ses couilles claquaient sur mes fesses tellement il y allait fort.
"Prend la bien pute !"
"Sil vous plait! J'ai mal !"
Il ne disait rien et continuait à me dépuceler.
A un moment il sortit complètement sa bite, j'ai cru que mon calvaire était fini: "Merci".
Et là il me pénétra entièrement. Dun grand coup sec. Il marracha un cri de douleur, je pleurais à moitié. Ça ne larrêta pas, au contraire il me mit la tête au sol et les fesses en l'air, et il me baisa de plus belle.
A cet instant une femme vient toquer à la porte :
"Est ce que ça va ? J'ai entendue crier."
"Oui oui je me suis juste cogné le pied, merci ma ptite dame."
"Okay."
Et elle partit, lui ne s'arrêtait pas. Après plusieurs minutes interminables il se retira. J'avais le cul en feu, il jeta la capote dans un coin de la douche et se rapprocha de mon visage. Il me tourna la tête et me maintenait dune main.
"Ouvre ta jolie bouche."
Il se branla et joui de grosses giclées dans ma bouche et sur le visage.
"Avale pédale !"
Avec difficulté javalais son sperme, jeu envi de vomir.
" Nettoie la moi !"
Il glissa sa bite encore dure dans ma bouche et je léchais le sperme qui restait.
Là, il me regarda, j'avais les yeux en larme, son sexe entre les lèvres, et il se marra.
Il était en rut, il suait.
"Sale pute, tu mas bien fait jouir, j'ai jamais autant pris mon pied."
Il se releva, j'ai cru qu'il allait partir, que s'en était fini, mais non, il me mît à genoux.
"Ouvre la bouche et ferme les yeux."
J attendis plusieurs secondes dans cette position.
Puis je sentis un liquide chaud me remplir la gorge et dégouliner sur mon visage. Il me pissait dessus. J'avais plus de force, jétais là, les bras ballant, à servir durinoir à cet homme.
Quand il eu fini il remit son maillot et s'en alla.
J'ai pris une douche, je suis resté au moins dix minutes là à me laver de tout ce qu'il sétait passé. En ressortant de la cabine j'avais mal aux fesses, je me suis rhabillé et je suis sorti.
Je pris mon vélo et me mis en route vers chez moi.
En arrivant je remarquais qu'une voiture était derrière moi.
Elle savança et la vitre se baissa: "A bientôt Julie."
La suite dans une prochaine histoire.
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