Ma Seule Expérience Lesbienne

Je vais vous raconter l'histoire qui m'est arrivée il y a quelques mois.
Je suis une jeune femme, visiteuse médicale et je me trouvais dans la ville de ma tante. Le soir j'allais la visiter. Elle me retenait pour le repas et la nuit. Le seul ennui est que la seule chambre offerte est celle de ma cousine. Au fond j'aime bien Georgette et je m'accommodais de la situation. Au moins avant de dormir, nous pourrions bavarder un peu. L'heure d'aller se coucher arrive : Georgette vient avec moi et m'invite à aller prendre une douche.
Habituellement je me douche plutôt le matin. J'aime me masturber sous le jet d'eau chaude. Mais aujourd'hui je changerais. Je passe à la salle d'eau de la chambre et une fois nue, je commence à me caresser le bas ventre. Sans prévenir ma cousine entre et me voit en train de me donner du plaisir. Elle se déshabille pour me rejoindre sous l'eau. Je regarde son corps: il est magnifique avec des seins qui doivent faire basculer plus d'un homme. Son bas ventre n'est pas rasé, comme le mien. Ses fesses me donnent envie d'y poser la main, et pourtant je ne suis pas du tout portée vers les femmes. De son coté Georgette inspecte mon physique pour finir par me dire que je lui plais beaucoup. Elle joint le geste à la parole et pose directement sa main sur mon bas ventre. J'étais encore excitée par ce que je me faisais et qu'elle avait interrompu. Je ne résistais pas quand elle trouvait mon clitoris et qu'elle me branlait lentement pour faire durer mon plaisir. Je ne pouvais me retenir et je jouissais sous cette caresse féminine.
Elle ne me demandait rien en échange. Elle me faisait sortir de la douche, m'essuyait en me pelotant. Ensuite elle me donnait un léger baiser sur la joue: rien de bien grave donc. C'est nues que nous allions au lit. Pour ma part c'était ma tenue habituelle. Nous commencions à bavarder de ..... sexe, bien sur. Je lui disais que j'avais un ami qui me satisfaisait totalement et que j'avais l'habitude de me masturber souvent, même devant lui.

Sans trop m'en rentre compte ma main droite était posée sur mon sexe et je me doigtais.
De son coté Georgette me disait préférer les filles, surtout celles qui étaient physiquement comme moi. Petit à petit elle se rapprochait de moi jusqu'à ce que je sente son corps contre me mien. Elle murmurait plus qu'elle parlait: j'ai envie de te faire l'amour. Je devenait de plus en plus excitée et quand un main venait me caresser un sein, je la laissais faire. Comme je ne la repoussais pas, elle s'enhardissait pour poser ses lèvres sur ma bouche. Sa langue cherchait la mienne et je la lui donnais avec envie. Elle savait très bien embrasser: nos langues s'entendaient à merveille pour ce premier baiser avec une autre fille. Elle prenait un téton entre ses lèvres et me suçait à me faire crier d'aller plus loin. Elle savait fort bien se qu'elle faisait. Ses lèvres descendaient jusqu'au nombril et allait encore plus bas. J'écartais les jambes et la laisser poser sa langue sur mon clitoris. J'aime particulièrement le cunnilingus et elle savait bien le faire: elle me faisait jouir. Sa bouche ne quittait pas mon bouton et elle recommençait à me sucer, cette fois en mettant un doigt là bas, tout en bas. J'écartais encore plus les cuisses et elle me léchait l'anus que j'ai extrêmement sensible. J'en jouissais encore. Elle s'arrêtait pour m'embrasser et me demandait de lui rendre la politesse. Je ne savais pas trop comment faire: je sais me branler, mais je ne savais pas comment branler une autre. D'abord je lui embrassais un sein, ce qui était facile. Tout en lui embrassant la poitrine je descendais ma main vers son con. J’étais presque gênée d'avoir à chercher un bouton sous les poils. Pourtant j'arrivais sans difficulté. Je la branlais comme je le faisais pour moi. Elle gémissait en disant que c'était bon. Je continuais jusqu'à ce qu'elle se contracte un peu au moment de l'orgasme. je venais de faire jouir une autre fille. Elle retenait ma main pour que je ne lâche pas son bouton.
Elle désirait encore être masturbée. Je ne la décevais pas: j'arrivais à la faire partir une autre fois. Nous nous embrasions pendant toute la masturbation et je sentais le goût de mon sexe dans sa bouche. Lassée ( ?) des masturbations elle me demandait de lui lécher le con. Je craignais cette familiarité, pourtant je lui faisais plaisir en mettant ma tête entre ses jambes à la recherche du point sensible.
Je trouvais son clitoris et ma langue s'enroulait autour. Je le prenais dans ma bouche et léchais tout simplement. Au début j'étais un peu gênée, presque dégoutée de la cyprine de ce con. Je continuais et finalement j'appréciais cette nouveauté. Elle gémissait toujours et répétait sans arrêt encore, encore.
Dès cette jouissance, elle me mettait sur le dos, m'enjambait et se préparait pour un 69. J'adore procéder ainsi avec mon ami, surtout quand il jouit et que j'avale son sperme. Mais avec une autre fille la différence n'était que je n'avais pas de bite dans la bouche, mais le con d'une autre. Elle m'avait mis un coussin sus la tête pour que je sois pile à la hauteur de son sexe. Je sentais sur mon abdomen ses seins comme je sentais son ventre sur les miens. Elle écartait les jambes et je pouvais bien voir toute sa fente. Mes jambes ouvertes aussi lui permettaient d'entamer le bal de jouissances réciproques. Elle prenait mon clito dans sa bouche et le suçais comme jamais. Je lui en faisais autant. J'osais lui mettre un doigt sur l'anus, sans l'enfoncer. Elle m'en faisait autant mais en y rentrant deux ou trois doigts. Je lui en faisais autant. Je ne sais combien de fois j'ai joui. Nous nous sommes endormies toujours ne position de 69. Ce n'est qu'au petit matin que je voulais me mettre normalement: mes mouvements la réveillaient et aussitôt elle voulait jouir encore. J'étais trop crevée. Sans pudeur, son sexe juste sous mes yeux elle se branlait et jouissait.
Je me levais et aller prendre ma douche quand elle venait me branler encore une dernière fois en m'embrassant tendrement sur la bouche.
Nous nous sommes dits à bientôt.
Rentrée chez moi j'en parlais à mon ami: je préférais lui avouer tout plutôt que lui cacher une chose aussi importante: je l’avais trompé avec une femme. Sa seule réaction n'était pas de me baiser en pensant à ce que j'avais fait. Au contraire, il m'a prise dans ses bras et embrassée longuement avant de me dire merci de lui avoir avoué ma tromperie.
Plus tard je retournais chez ma tante et Georgette. Celle-ci pensait que nous allions baiser. Je la détrompais : décidément je préfère une bite à une chatte.

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