Suite De Mon Éducation
Après mavoir offerte à notre ami Thierry et à son copain Alain, mon mari souhaitait continuer mon éducation de femme à hommes. Jusque là, mon mari mavait offerte à un autre homme en même temps que lui. Maintenant il voulait que je me donne à deux hommes en même temps pendant quil me regarderait pénétrée par deux membres masculins.
Mais mon mari ne voulait pas que ce soit deux inconnus tout de suite. Il mavait déjà imposé un inconnu une fois et il pensait quil fallait que je mhabitue, aussi le mieux ce serait avec deux amis. Evidemment lun deux serait Thierry qui avait été mon premier amant.
Ce que je raconte là, cest ce que jai su quil sétait passé avant la soirée dont je vous parle. Et veuillez mexcuser pour les mots un peu crus mais cest ainsi que cela me fut rapporté.
Mon mari réfléchît à qui serait le second et il pensa immédiatement à Jean-Luc, un de nos amis communs avec Thierry. Il en parla à celui-ci qui était tout à fait daccord. Il avait vraiment apprécié de me baiser et mon mari se rendit compte quil avait vraiment envie de recommencer.
Mon mari lui demanda den parler à Jean-Luc et il lui confia des photos de moi en tenues sexy y compris celles plus pornographiques pour lesquelles Christian mavait faite poser avec Alain. Ce que je sais des commentaires cest à peu près cela :
Thierry aurait dit:
Si avec ça, il na pas envie de la sauter. Dis-donc, elle sest faite bien mettre. Cest une bonne idée ces photos. On voit bien quelle aime la bite. Une vraie salope.
Ce nest quun début. Ce que je voudrais, cest pouvoir loffrir en tenue sexy à des groupes dhommes quelle ne connaît pas et qui utiliseraient tous ses trous pour se vider les couilles.
Si tu as besoin de volontaires, nhésite pas.
Cest bien pour cela que je te demande de venir la baiser avec Jean-Luc pour sa fête. Vous lui offrirez une tenue très sexy quelle essaiera devant vous avant que vous ne la preniez tous les deux.
Jétais prévenue de la venue de nos deux amis et mon mari me demanda de mhabiller légèrement sexy. En fait, je portais une mini-jupe plissée pas trop courte qui cachait mes jarretelles et un chemisier un peu serré sous lequel pointaient mes seins seulement soutenus par soutien-gorge quart de seins. Comme mon mari le voulait, je ne portais pas de culotte lorsque jétais à la maison et jessayais de faire de même lorsque nous sortions tous les deux. Mon mari voulait que je mhabitue à être nue sous ma jupe avec lidée dans le futur de pouvoir moffrir au premier venu.
Lorsquils arrivèrent, mon mari les fit sinstaller dans le canapé, moi-même assise devant eux dans un fauteuil. Mon mari mavait appris une façon très particulière de sasseoir pour une femme. Je navais pas le droit de masseoir sur ma jupe, lorsquelle nétait pas trop étroite et devais létaler autour de mes jambes en mettant directement mes fesses nues sur le siège. Inutile de dire quainsi, ceux qui étaient assis en face ou à côté de moi avaient une vue imprenable sur mes jambes et mes cuisses gainées de bas. Ils voyaient même le haut de mes cuisses nues au dessus de la lisière des bas. Jétais ainsi assise, jambes croisées. Jean-Luc avait le regard rivé sur mes jambes et les pointes de mes seins quon devinait sous le chemisier. Thierry avait avoué à mon mari que Jean-Luc avait particulièrement apprécié les photos et quil sétait même branlé plusieurs fois en les regardant. Il était ravi à lidée de pouvoir profiter de mes charmes. Il navait quune envie : me baiser par tous les trous.
Mon mari me demanda de servir lapéritif. Le fis-je inconsciemment, je ne sais, mais toujours est-il que je devais avoir oublié que je ne portais pas de culotte car pour prendre les verres sur la table basse, je se penchais en avant, dévoilant mes cuisses jusquà la naissance de mes fesses quon voyait sans le moindre voile.
Après lapéritif, nous dînâmes rapidement. Puis vint le moment des cadeaux. Thierry posa un paquet devant moi :
Pour ta fête
Mon mari avait lui-même un cadeau mais il me dit :
Cela va avec mais tu dois ouvrir le premier après on verra.
Jentrepris alors douvrir mon paquet pour découvrir un ensemble porte-jarretelles et soutien gorge seins nus assorti, une paire de bas noirs couture et un déshabillé assorti.
Lensemble était rouge décoré de dentelle noire. Je fus un peu surprise mais remerciais nos amis. Mon mari me suggéra alors dessayer cet ensemble. Je partis dans la chambre. Je lessayais : il mallait très bien. Mon mari leur avait certainement donné mes mensurations. Puis je lôtais et revins habillée comme jétais partie.
Mon mari mapostropha :
Non, non ; ce nest pas ça. Viens avec moi.
Dans la chambre, il me demanda de remettre lensemble et de venir comme cela montrer à nos copains que cela mallait bien.
Mais, Thierry, je veux bien, il me connaît bien mais Jean-Luc.
Jean-Luc, il est là pour te faire la même chose que Thierry. Il te trouve très bandante.
Comment le sait-il ?
Et bien, Thierry lui a montré des photos de toi
Ah ! Tu donnes mes photos à tout le monde
Pas tout le monde. Thierry et puis Jean-Luc. Ils ont même eu celles que javais prises quand tu étais avec Alain.
Quoi ? Tu montres ces photos là. A nimporte qui ?
Pas nimporte qui. Thierry. Bon, cest vrai, Jean-Luc les a vues aussi. Mais cest un bon copain. Et puis, je te le répète, il est aussi là pour te faire lamour.
Donc tu veux que je fasse lamour avec vous trois ?
Pas nous trois. Eux deux.
Et tu feras quoi ?
Moi ? Je regarderai et je ferai de nouvelles photos surtout quand ils te prendront tous les deux en sandwich.
Et tu en feras quoi ? Tu les montreras à qui ? A des inconnus que tu amèneras et à qui tu me donneras.
Peut-être, je ne sais pas encore. De toute façon, avoues que tu as bien aimé cela avec Thierry ou avec Alain. Cest toi-même qui en as redemandé à chaque fois. Même avec Alain, tu as accepté de prendre plusieurs poses avec lui pour que je te photographie. Au bout du compte, tu adores te faire prendre par deux bites.
Cest vrai. Jaime bien cela mais tu pourrais me prévenir.
Surtout pas, je veux que ce soit une surprise à chaque fois.
Et ce sera quoi la prochaine fois : à trois avec des inconnus ?
On verra bien. Mais maintenant viens, ils tattendent.
Bon daccord, jarrive.
A nouveau, il avait gagné. Il savait très bien que jadorais que des hommes me désirent. Il fallait seulement que jaccepte lidée que mon mari puisse moffrir à nimporte qui, nimporte où et nimporte quand.
Je dois avouer que mon mari fit cela ensuite progressivement dabord à la maison puis dehors ou chez quelquun dautre à qui mon mari mamenait pour que je serve à satisfaire les désirs dinconnus. Il réussit même une fois à me faire tourner un film X avec des acteurs spécialisés. Je vous expliquerai comment cela est arrivé.
Mon mari retourna au salon.
Elle vient comme prévu.
Jarrivais quelque temps après, vêtue de lensemble mais jy avais quand même ajouté un string.
Non, ton ensemble, rien que ton ensemble.
Mon mari se tourna vers Jean-Luc :
Je crois que tu devrais lui enlever sa culotte.
Avec plaisir
Jean-Luc se mît à genoux devant moi et ouvrant mon déshabillé, attrapa les bords du string quil descendît lentement, dévoilant petit à petit ma toison quil avait sous le nez. Pour ne pas perdre léquilibre, je mappuyais sur sa tête et levais lune après lautre mes jambes pour dégager le mince triangle de tissu, exhibant de ce fait mon intimité au regard de
Jean-Luc. Finalement, jaimais cette exhibition.
Maintenant, tu peux ouvrir ton deuxième paquet.
Ce que je fis, découvrant avec surprise que cétait un godemichet de bonne taille, une bonne trentaine de centimètres, de couleur noire.
Javais déjà des sex toys comme lon dit maintenant, mais aucun noir aussi étais-je un peu étonnée. En fait, mon mari pensait quun jour ou lautre, on me proposerait que je me fasse prendre par un black. Aussi, mon mari voulait se rendre compte de ce que serait de voir mon sexe de blanche perforée par un mandrin noir.
Je crois que tu devrais aussi lessayer.
Quoi ? Maintenant ? Devant eux ?
Eh bien, oui. Ca fera une entrée en matière, si je peux dire.
Bon, jy vais
Je pris le gode dans ma bouche pour le lubrifier puis celui-ci ayant une ventouse, je le fixais sur la table basse devant le canapé où étaient assis nos amis. Puis les regardant dans les yeux, je massis sur le gode en maintenant celui-ci. Ensuite, je pris appui sur la table et me mis à monter et descendre, faisant entrer et sortir la colonne noire dans mon vagin. Thierry et Jean-
Luc avaient sorti leurs sexes et se masturbaient en me regardant magiter sur le gode. Jean-Luc avait une très belle queue, plus longue et plus grosse que celle de Thierry.
Au bout dun moment, je commençais à être sérieusement excitée de me masturber avec ce gode. Je me redressais, laissant sortir la colonne noire de mon entrejambe :
Venez. Je préfère de vraies bites. Venez me prendre.
Voilà que je prenais linitiative. Petit à petit, je me comportais de plus en plus comme une «salope» qui aimait faire lamour avec dautres hommes que mon mari et plusieurs ensembles.
Mais, cest lui qui lavait voulu
Ils ne se firent pas prier, étant déjà dans un état dexcitation
visible. Ils se levèrent et se déshabillèrent rapidement. Je vins vers eux et tâtant leurs membres érigés :
Dis donc, tu en as une grosse bite.
Dis-je en branlant Jean-Luc.
Hmm, ça va être bon. Venez.
Je les entraînai alors vers la table sur laquelle je me couchai, jambes écartées.
Mon mari avait commencé à prendre des photos.
Thierry vînt sinstaller devant moi, pointa son gland devant la fente de mon sexe et se poussa en moi. Pendant ce temps,
Jean-Luc sétait mis sur le côté, présentant son sexe devant ma bouche que jouvris largement, le gland quon me proposait étant particulièrement gros. Thierry avait entrepris de longs va-et-vient dans ma chatte mais mes gémissements étaient étouffés par la bite que je suçais et branlais.
Puis ils changèrent de place, Jean-Luc venant mettre sa queue dans mon sexe. Jeus un petit cri quand il me pénétra car il était et gros et long. Mais il rentra toute sa queue ce qui me surprît. 22 cm ! (appris je plus tard) Et tout rentrait. Quant à Thierry, il avait pris place entre mes lèvres.
Je me mis à gémir encore plus fort mais toujours bâillonnée par une bite qui menvahissait la bouche. Mon mari continuait à prendre des photos avec en particulier des gros plans où lon voyait le sexe qui me pénétrait entièrement sorti ou rentré dans ma chatte. Puis, mon mari fit plusieurs plans où on me voyait écartelée, deux bites en moi. Jean-Luc faisait de longs va-et-vient en moi et me faisait tressauter à chaque fois quil venait au fond de mon sexe, faisant trembler mes seins lourds. Mon mari leur suggéra alors de me prendre en double.
Elle a un autre trou où elle aime aussi sentir une bonne queue.
Cest vrai
Répondit Thierry
Viens Jean-Luc on va lui faire un bon sandwich
Tous deux sortirent leurs sexes, lun de ma bouche, lautre de ma chatte. Ils maidèrent à me relever et môtèrent mon déshabillé avant de me pousser vers le canapé. Je me mis à quatre pattes et me retrouvais rapidement avec la bite de Thierry dans la bouche et prise en levrette par Jean-Luc. Celui-ci faisait claquer son ventre sur mes fesses me bousculant à chaque fois quil senfonçait en moi. Puis ils inversèrent leurs positions avant que Jean-Luc ne se couche pour que je vienne mempaler sur lui. Thierry prit alors le tube de lubrifiant que mon mari lui donnait pour men enduire le petit trou quil massa pour lentrouvrir. Jattendis un peu, embrochée sur la queue de Jean-Luc pour que Thierry puisse venir me sodomiser. Celui-ci pointa son gland contre ma rondelle et tenant sa bite bien raide dune main senfonça en moi dun coup. Jeus un tressaillement et petit gloussement pendant quil sintroduisait dans mon rectum. Thierry se mit alors à faire coulisser sa bite en moi et jentamais également des va-et-vient pour faire entrer en moi la queue de Jean-Luc. Je poussais des petits cris à chaque fois que les deux membres qui me perforaient étaient au fond de mes orifices.
Allez-y. Baisez moi. Plus fort. Prenez-moi comme une chienne. Venez.
Ils sactivaient sérieusement et au bout de peu de temps, mon mari les vit se planter au fond de moi, tous deux accrochés à mes hanches. Ils étaient partis ensemble et je me mis à crier :
Donnez-moi tout. Tout votre foutre. AAHH.
Mes deux amants sétaient extraits de mes orifices et je mécroulais vaincue et épuisée. Au bout dun moment, comme je sentais le foutre sécouler sur mes jambes, je décidai daller me nettoyer. Je disparus vers la salle de bains.
Jentendis alors Thierry demander à mon mari sil était possible que je mhabille en soubrette comme quand il mavait baisé pour la première fois.
Jai même un peu mieux.
Lorsque je revins, mon mari me dit :
Thierry voudrait te revoir en boniche. Tu veux bien ? Mais, cette fois, tu mettras aussi la jupette noire que je tai trouvée.
Il sagissait dune mini-jupe très très courte et évasée qui marrivait juste sous les fesses et au ras du sexe, qui laissait apparaître mes jarretelles. Le moindre geste que je faisais laissait voir mes fesses ou ma toison.
Je retournai donc dans la chambre pour me changer et revins peu de temps après. Javais troqué mon ensemble rouge et noir pour un ensemble porte-jarretelles soutien gorge seins nus blanc, des bas noirs résille avec une couture, ma mini-jupe et un petit tablier de dentelle blanche. Ma jupe était si courte que les jarretelles en dépassaient et lon voyait une bande de chair entre la lisière des bas et le bas de ma jupette.
Je me mis à marcher devant eux, ce qui dévoilait mes fesses, mes cuisses et même un peu ma toison brune. Puis, libérée, je me mis à prendre des poses sans équivoque. Je leur montrais ma chatte et mes fesses pour les exciter. Je mallongeai sur la table et prenant le gode en main me lintroduisis dans la chatte où je le fis aller et venir. Puis je me mis à quatre pattes pour menfoncer la bite noire dans les fesses. Je me tournai alors vers eux :
Venez me les remettre, vos deux queues. Jai envie que vous me repreniez.
Nos deux amis qui sétaient branlés en me regardant moffrir à eux, présentaient à nouveau de belles érections. Aussi ne tardèrent-ils pas. Ils me mirent à quatre pattes sur le canapé,
Jean-Luc dans ma bouche et Thierry me prenant en levrette.
Mais ce nétait pas ce que jattendais. Rapidement je leur dis :
Pas comme ça. Prenez-moi tous les deux.
Thierry dit alors :
Daccord, mais cest lui qui lencules cette fois.
Avec plaisir.
Répondit Jean-Luc
Mais tu es très gros.
Ne tinquiètes pas, ça va passer
Ainsi, je me suis retrouvée en train de chevaucher Thierry tandis que Jean-Luc me pistonnait lanus, la pénétration sétant finalement passée sans encombre bien quun peu douloureuse au début. Jean-Luc avait pris soin de me pénétrer à fond avant de bouger. Là encore, il avait rentré toute sa bite. Je me rendais compte que javais des capacités dintroduction intéressantes. Enfin, au bout dun long moment au cours duquel jeus plusieurs orgasmes puissants, ils vinrent à nouveau en moi, memplissant à nouveau de leur semence.
Après cela, jallais me coucher, usée, fatiguée, non sans quils maient longuement remerciée. Mon mari aussi mexprima sa satisfaction et je croyais savoir pourquoi : il navait pas lâché son appareil photo de la soirée et je savais quil avait réalisé de nombreux clichés où lon me voyait en train de moffrir à deux hommes en même temps.
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