Après Avoir Baisé Ma Femme Avec Moi François M'Offre La Sienne
Depuis ce fameux après-midi où nous avions découvert le triolisme avec François nous avons souvent évoqué avec Jeanne Marie ces instants et le plaisir que nous en avions retiré. A chaque fois que nous en parlions elle ne pouvait nier lexcitation que lui procurait cette simple évocation ni lenvie de recommencer. Cependant, cette fois encore, son éducation judéochrétienne reprenait le dessus. Elle ne niait pas son envie mais refusait dy goûter à nouveau, disant craindre pour lavenir de notre couple. Quant à moi, jaurais volontiers remis ça, avec François ou avec un autre. Jaurais même été tenté de varier les plaisirs. Je considérais cette étape comme un amuse gueule et javais maintenant envie de goûter à tous les plaisirs quhommes et femmes peuvent partager dans la douceur et le respect mutuel.
Cest dans cet état desprit que je suis parti, un après-midi faire des courses et me suis retrouvé, sans lavoir voulu délibérément, dans la galerie commerciale où travaille François. Pourtant, je navais aucune envie daller le voir, puisque mon épouse avait opposé une fin de non-recevoir à toutes mes propositions de le revoir.
Jerrais donc dans la galerie, me dirigeant vers lespace bricolage quand une main me tapa sur lépaule.
- « François ! Comment vas-tu ? »
- «Bien, et toi ? »
Nous avons continué notre dialogue de sourds en débitant des platitudes innommables. Je lui ai bien sûr exposé les réticences de Jeanne-Marie et mes regrets de voir se refermer aussi vite la porte du libertinage alors que je navais fait quentrevoir les plaisirs quil pouvait apporter. A un moment il sest décidé et ma demandé : Accepterais-tu de me rendre un petit service. Ça dépend du service. Peut-être naurai-je pas les compétences nécessaires ? Pour ça je ne minquiète pas. Je tai déjà vu à luvre. Je comprenais de moins en moins. La seule fois où javais vu François nous avions seulement fait lamour avec ma femme.
- « En clair, tu voudrais que je baise ta femme ? »
- « Voilà, ça nest pas plus compliqué que ça, sauf que . . . elle souhaiterait que je participe aussi. »
- « Cest tout ? Tu as bien baisé ma femme, je pense pouvoir aussi accepter que tu baises la tienne. Et tu vois ça pour quand ? »
- « Ça dépend de toi. Cependant, tu maccorderas quil vaut mieux battre le fer tant qu' il est chaud. Je termine dans une heure et elle vient me chercher. Si tu étais disponible, nous pourrions peut-être lenvisager. »
Je me dis que je navais encore jamais trompé ma femme mais que, considérant les faits qui mavaient amenés à apprendre lexistence de François, ces scrupules nétaient pas de nature à marrêter. Jai donc acquiescé et nous avons convenu de nous retrouver au café une heure plus tard.
Jai erré un long moment au rayon bricolage en me demandant à quoi pouvait bien ressembler la femme de François. Sur le coup de la surprise je navais même pas songé à lui demander de me montrer sa photo et me demandais comment je réagirais si elle savérait énorme, pourquoi pas moustachue et acariâtre. Je me suis installé au bar à une table qui moffrait une vue sur les gens qui arrivaient et partaient. Je me surpris à observer toutes les nanas en me demandant laquelle pouvait bien être la femme de François et javais résolu, en cas de mauvais feeling, de prétexter un rendez-vous urgent que javais oublié.
Jen étais là de mes réflexions quand jai entendu la voix de François qui me disait : Alors, Jean-Paul, tu rêves ? Jai sursauté et il a enchaîné : Je te présente Martine, ma femme. Je levai avec appréhension les yeux sur la nouvelle venue pour apercevoir une femme plutôt jolie, qui semblait avoir tout ce quil faut là où il faut, mais avec une taille fine, fort éloignée du bibendum que javais craint.
Je me suis levé pour lui serrer la main en lui disant
- « Enchanté ! »
Elle sest tournée vers son mari pour lui demander dans quel cadre nous nous connaissions. Il a semblé hésiter quelque peu puis il a lâché :
- « Martine, le monsieur qui est devant toi est lépoux de Jeanne-Marie dont je tai parlé lautre jour, celui qui ma permis de lui faire lamour tout en maidant à la faire jouir. »
Elle a paru interloquée, ma observé un moment avant de me demander
- « Vous nêtes donc pas jaloux, pour accepter ainsi quun autre fasse jouir votre femme devant vous ? »
Je lui ai expliqué que javais été très jaloux quand Jeanne-Marie mavait avoué mavoir trompé mais que javais pris grand plaisir à la voir jouir ensuite du sexe de François avec ma participation.
Après une légère hésitation elle a ajouté :
- « Moi aussi, quand François m'a avoué m'avoir trompé, j'ai été très en colère et j'ai même menacé de le quitter. Depuis, j'avoue que ma colère et ma jalousie font de plus en plus souvent place à la curiosité et à l'envie de baiser avec d'autres hommes, Franchement, je ne m'attendais pas à ce que cela soit François qui me le propose, mais je demande à voir, et tant mieux si, à son tour, il est jaloux de me voir jouir avec un autre, ça lui apprendra ! »
Nous lavons regardé un moment sans savoir quoi répliquer, réalisant à peine quelle venait daccepter lidée de jouer entre François et moi le rôle quavait tenu Jeanne-Marie quelques semaines plus tôt.
François na pas hésité longtemps. Il nous a proposé de concrétiser sans délai et nous lavons suivi jusquà lhôtel. Là-bas je me suis tenu un peu à lécart, pour leur permettre de séchauffer un peu à deux.
Je ne résiste pas longtemps à une situation aussi érotique, aussi je me suis approché pour quémander ma part du gâteau. Cest vrai quelle était vraiment excitante, dans une lingerie prune, avec des basses résilles soutenues par un porte-jarretelles. Je me suis plaqué contre son dos, ma queue bien calé entre ses fesses encore séparées par la ficelle du string. Jai caressé sa joue et approché ma bouche. Elle a compris linvite et a laissé la bouche de son mari pour prendre la mienne. Elle a continué de nous embrasser alternativement jusquà ce que je décide dexplorer dautres parties de son corps. Jai descendu progressivement le long de son dos avant de marrêter sur ses fesses somptueuses. Jai descendu son string pour laisser le champ libre à ma langue pour titiller son anus. François, de son côté, sétait aussi accroupi et soccupait de sa chatte avec sa bouche, tout en continuant de caresser ses seins. Nous avons fini par trouver la posture inconfortable et me suis redressé. Jai à nouveau pris sa bouche avant dembrasser ses seins que François avait délaissés pour se déshabiller à son tour.
Il sest allongé sur le lit, la bite au garde à vous. Jeanne-Marie ma lancé un coup dil complice. Elle sest agenouillée sur le lit, la tête à hauteur du membre de François, minvitant à minstaller de lautre côté de son époux. Je lai regardé caresser amoureusement cette belle queue, envelopper de sa langue le gland circoncis tout en soupesant les couilles de lautre main. Elle ma demandé dapprocher davantage. Jobservais la scène en gros plan. Mon visage était si près quà un moment elle a sorti la bite de François de sa bouche et la présentée devant mes lèvres. (Décidément, François lui avait tout raconté en détail) Cette fois, je n'ai guère hésité puisque j'avais déjà eu le plaisir d'avoir la queue de François dans la bouche.
Jai effectué quelques va et vient dans sa chatte mais javais envie de me faire sucer à mon tour. Je me suis donc retiré. Martine qui, décidément, avait vraiment envie dune queue dans sa chatte, sest positionnée sur son homme et sest empalée sur lui. Jen ai profité pour leur présenter ma queue quils ont gobée tour à tour.
Pendant ce temps, François remuait en cadence dans la chatte de son épouse et tous deux semblaient bien partis. Martine ma alors dit : Encule-moi, Jean-Paul, jai envie de ta queue dans mon cul. Je nen croyais pas mes oreilles, mais laubaine était trop bonne. Le temps denfiler un préservatif et je me suis positionné derrière elle.
Je me suis dabord appliqué à bien lui lécher lanus, à y faire entrer ma langue pour mieux le dilater. Jy ai laissé un maximum de salive pour bien lubrifier et jai présenté mon vit devant son anus. Jai poussé doucement, sentant une résistance. Je ne voulais pas lui faire mal et je commençais à me dire que, comme avec Jeanne-Marie, je ny arriverais pas, que mon gland était trop gros pour pénétrer un anus. A ce moment là elle a donné un grand coup de cul et sest empalée delle-même sur mon paf. Je me sentais bien, un peu serré, dans le boyau culier.
La sensation était vraiment nouvelle pour moi et je savourais linstant en lui laissant le temps de shabi à la présence de mon membre dans son cul. François a recommencé à bouger. Je sentais le frottement de son engin sur le mien à travers la mince cloison qui nous séparait. Ny tenant plus, je me suis aussi mis à la ramoner en essayant de régler ma cadence sur celle de François.
Très vite, Jeanne-Marie sest mise à haleter avant de se tendre dans une jouissance que François a de suite accompagnée. Je sentais les tressauts de sa pine de lautre côté de la paroi. Déjà bien excité, je nai pas tenu longtemps et me suis écroulé sur le dos de Martine, dans une jouissance peu commune.
Nous nous sommes désemboités et avons devisé quelque temps, Martine entre François et moi, nous caressant mutuellement. Ils auraient bien continué la fête, mais, à mon plus grand regret, je devais rentrer. Je les ai donc laissé continuer à se caresser et me suis rhabillé. Visiblement, Martine avait pris son pied et ne semblait plus en colère après François.
Quand jai voulu les embrasser, avant de partir, François ma demandé : Dis donc, ça te tenterait un petit weekend sur la côte ? Jétais tenté mais que dirait Jeanne-Marie ? Ils mont dit quils avaient une petite maison du côté de Crozon et que, si nous en étions daccord, nous pourrions prévoir, au pont du huit mai, une petite escapade là-bas.
Je leur ai dit que jétais bien tenté mais que je ne pouvais rien promettre, devant dabord en parler à ma femme, et que la partie semblait loin dêtre gagnée.
Ils mont dit : Débouille-toi pour la décider. Nous comptons sur vous.
Martine a ajouté : En plus, je nai jamais fait lamour avec une femme et jai hâte dessayer.
Je lui ai conseillé de ne pas rêver, laccord de Jeanne-Marie pour un week end étant loin dêtre gagné et surtout, pour le gouinage, elle avait toujours repoussé cette idée avec tant de force que je voyais la chose mal engagée.
Ils mont fait promettre de tout faire pour les retrouver à Crozon. Nous nous sommes embrassés et je les ai quittés, sentant bien quils avaient hâte de remettre le couvert et ne pouvant pas me permettre de traîner davantage.
Il me restait deux tâches difficiles : annoncer à Jeanne-Marie que javais baisé avec François et son épouse et, après ça, la décider pour le weekend projeté. A la réflexion je me suis dit que je ne lui dirais rien de ma rencontre avec Martine et François et que j'organiserais plutôt un weekend surprise (surprise pour la seule Jeanne-Marie, bien évidemment, puisque tout serait organisé avec Martine et François pour que nous nous rencontrions . . . comme par hasard).
Pourvu que ça marche !
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