Ah Ces Jeunes! (1)
Mon fils de 18 ans, tombé malade, voulut malgré tout perdre le moins de temps possible, me demanda si je pouvais contacter quelques uns de ses copains pour récupérer les quelques uns de ses cours les plus importants. Il me donna les coordonnées des bars où ils avaient leurs habitudes.
Je me préparais donc, me pomponnais et m'habillais de façon à ce que mon fils n'ait pas honte de sa mère devant ses copains. La quarantaine éclatante, brune aux cheveux courts, je m'admirais devant la glace de ma chambre : des seins en pomme, bien fermes, des hanches étroites mais au galbe marqué, de très jolies fesses bien fendues sous une cambrure de reins très prononcée, que la pratique du sport maintenaient au top de leur forme. Mmmmm ! Je me plaisais bien ma foi ! A mon mari aussi qui me le prouvait encore très souvent !
Je retrouvais donc ses copains au deuxième bar que je fis. Un petit groupe de cinq, trois garçons et deux filles. Je me présentais et sympas, ils m'offrirent un café. Les banalités d'usage échangées, je leur expliquais la raison de ma présence. Un des trois garçons se proposa aussitôt de me procurer les cours manquants. Il s'appelait Olivier, beau garçon blond aux cheveux mi-longs et bouclés, des yeux malicieux d'un très joli vert, 18 ans comme mon fils, bâti en athlète. Seulement, n'ayant pas les cours sur lui, il me proposa de venir chez lui les récupérer, sous l'il envieux de ses deux copains qui n'avaient pas arrêté de mater mes formes d'un air gourmand et appréciateur.
Je pris donc congé, et accompagnais Olivier vers la sortie. Sa démarche féline, ses fesses fermes dans son jean, ses épaules larges, commençaient à m'émouvoir.
Arrivés chez lui, un tout petit studio sous les toits, très bien entretenu et bien rangé, il me proposa de prendre un autre café. J'acceptais avec plaisir ce moment supplémentaire que j'allais passer en sa présence. Pendant qu'il s'affairait, je laissais errer mon regarde sur ce logement : quelques poufs profonds et moelleux, une moquette beige à poils longs, un lit large et confortable, et à côté, un grand miroir accroché au mur, une mini chaîne musicale.
Une musique douce et un peu lancinante s'éleva dans la pièce, et il vint s'installer tout à côté de moi. Je me mis à frissonner quand sa peau toucha la mienne, par inadvertance?
Il me décrivait sa vie d'étudiant avec beaucoup d'humour, avec toujours cet air malicieux dans ses magnifiques yeux verts qui commençaient à m'émouvoir.
Pas de doutes ce jeune garçon me faisait beaucoup d'effet, et ma chair commençait à s'émouvoir, ma chatte se liquéfiait.
Un silence se fit, il me regarda droit dans les yeux, il passa son bras sur mes épaules, et il attira mon visage vers le sien. Sa bouche s'empara de la mienne, sa langue alla chercher la mienne. Je m'abandonnais complètement à ce baiser profond. Il m'étendit doucement sur la moquette et m'y suivit:
- Que tu es belle! Quand tu es arrivée dans le bar et que tu es venue vers nous, j'ai eu immédiatement envie de toi, de te caresser, de t'embrasser, de te baiser. Tu avais un port et une démarche de reine ! Qui pouvait te résister ?
Ses quelques mots, chuchotés d'une belle voix de basse, me chamboulèrent : j'avais la chair de poule, des tremblements légers me secouèrent, et entre mes cuisses je sentais ma chatte tremper ma petite culotte.
Il reprit mes lèvres pour m'embrasser goulument. Ses mains partirent à la découverte de mon corps. Il empauma mes seins dans une caresse lente mais curieuse d'en apprécier la rondeur et la fermeté. Sous l'assaut, mes seins durcirent, mes tétons doublèrent de volume, et firent mine de vouloir percer mon débardeur. Sa main passa dessous, et ne trouvant pas de soutien-gorge, s'emballa sur mes deux seins, triturant et pinçant les tétons. Un petit cri de jouissance m'échappa.
Il prit ma main et la posa sur son sexe. Bon sang, je faillis jouir sur le coup lorsque je sentis sous mes doigts une énorme barre bien gonflée, longue au point de vouloir sortir du jean.
Toute à ma découverte, je réalisais qu'Olivier avait glissé une main dans ma culotte et s'était emparé de ma motte. Il découvrit un petit buisson de poils au milieu desquels trônaient les grandes lèvres de ma chatte qui baignait dans une flaque de cyprine. Ses doigts s'engouffrèrent dans mon abricot, pénétrant la grotte pour mieux la fouiller.
- Hum! Dis donc, on dirait que tu as sacrément envie de baiser ! J'ai sacrément envie de te mettre ma bite entre les cuisses et de te faire jouir ! Dès que vous les femmes, vous avez un beau mec entre les mains, il vous le faut illico entre les cuisses ! Vous êtes finalement, toutes, de sacrées coquines!
Ces quelques mots me firent éclater dans un orgasme ravageur qui m'ôta le souffle.
Olivier m'enleva mon débardeur, ma jupe. Il crocheta ma petite culotte, la retira lentement en se repaissant de ce qu'il voyait. Puis il retira très vite sa chemise, son jean, son slip. En se détendant, sa queue vint frapper son abdomen. Quel dard ! Dire que j'allais me prendre tout ça dans le ventre.
Mais Olivier en avait décidé autrement : il s'allongea contre moi, tête bêche, mit sa tête entre mes cuisses et commença à me bouffer la chatte d'une langue travailleuse et agile. Il me fallait lui rendre la pareille: j'attrapai sa pine et l'amenai dans ma bouche. Son gros gland décalotté était magnifique, la peau tendue était nappée de son liquide lubrifiant. D'un coup de bassin qu'il ne put retenir, Olivier enfonça une bonne partie de sa queue dans ma bouche. Je le suçai à grands coups de langue, le branlant de la main. Il gémit de plaisir. Sa bouche sur mon sexe m'amena au bord de l'extase. Nous nous retrouvâmes l'un sur l'autre, lui sur moi, la tête s'agitant entre mes cuisses et lapant à grands coups de langue ma motte et mon trou du cul.
Il revint vers moi pour me câliner tendrement:
- Merci pour ce moment de plaisir ! Tu viens de me faire jouir comme je n'avais joui depuis longtemps. Tu es hyper excitante. Tout chez toi est magnifique : tu as des seins qui appellent les caresses, des fesses fermes et galbées qu'on a envie de peloter, d'écarter pour en voir le fond, un sexe accueillant qui réagit bien sous les caresses d'une langue, et qui doit mourir d'envie de se prendre une grosse bite, ajouta t'il avec son air malicieux.
- Mon chéri, tu m'as superbement faite jouir toi aussi. Et tes mots n'y sont pas pour rien. Tout ce que tu me dis m'excite comme une folle, et si je mouille autant, c'est bien à cause de ça.
Pendant que nous parlions, nos caresses n'avaient pas cessées, sa bite avait retrouvé toute son ampleur, déjà gorgée de sang et prête à un nouvel assaut. Deux de ses doigts me fouillaient la chatte, un autre me pénétrait l'anus pour assouplir le sphincter et la corolle brune.
Cinq minutes de mots doux, de caresses précises, suffirent pour donner une envie folle de baiser. Il me tira sur le lit, m'écarta les cuisses en remontant mes genoux vers mes épaules. J'étais là, devant lui, dans une position indécente avec mon con que je sentais bailler d'envie d'être enfoncé.
Olivier s'installa à genoux entre mes cuisses, la queue tendue, et s'attarda du regard sur ma moule:
- Si tu pouvais voir ce que moi je vois, tu coulerais encore plus que tu ne le fais. Ta chatte baille, elle est ouverte et me laisse voir l'intérieur des grandes lèvres; C'est superbe. Et elle est agitée de spasme, comme si elle voulait avaler ma pine jusqu'à la racine.
Je redressais la tête pour essayer de voir ce qu'il me décrivait, mais je ne vis que les poils de mon pubis, et cette queue énorme, turgescente, qui semblait battre la mesure de son désir de m'enfiler:
- Oh oui, allez viens, dépêches toi, mets moi ta queue dans le con, tringles moi, enfonces toi dans mon ventre et barattes moi. J'ai envie de sentir ta pine me défoncer la moule, me ramoner les entrailles.
Olivier, dans un râle, s'abattit sur moi, et me pénétra d'un grand coup, jusqu'aux couilles qui vinrent battre mes fesses.
J'envoyai mon bassin et ma chatte au devant de sa pine. J'en sentais toute la grosseur et toute la longueur me fouiller. Il s'arc-bouta sur ses avant-bras et me donna de grands coups de reins, ne quittant pas des yeux sa queue en train d'entrer et de sortir de mon con. Il ahanait, accompagnant chacun de ses coups de pine, et je sentais venir le moment où il allait me remplir de son foutre. Je me laissai aller au plaisir. Un orgasme violent me saisit et je me mis à crier. Cela déclencha le sien. Il se tétanisa au fond de moi, fesses serrées, et je sentis ses jets de foutre frapper mon utérus. Il éjacula longtemps, ses réserves semblaient inépuisables. Dans un dernier cri, il enfonça sa queue encore plus loin, et s'abattit sur moi.
Dévastée de plaisir, je suis restée allongée, les cuisses grandes ouvertes, pour reprendre ma respiration sans quil se fût retiré
Je sentais son jus sécouler de ma crevasse bouillante en une petite rivière chaude qui coulait le long du périnée pour sinuer entre ms fesses avant de tremper le drap sous moi.
Surprise, Olivier pouvait remettre le couvert à la demande, il était resté gonflé dans mon ventre, il me lima de nouveau pendant de longues minutes, sa pine coulissant dans son foutre. J'eus encore deux orgasmes, gémissements de femelle comblée et bruits mouillés de vulve en plein spasme, avant qu'il ne décharge encore une fois. Incroyable, il était capable de fabriquer du sperme à la demande.
Il sortit enfin sa pine de ma moule et s'abattit à mes côtés. Fier de lui, il me dit en rigolant:
- Pfffiou! On peut dire que tu m'inspires ! Et je n'en ai pas fini avec toi ! Je sens que je vais encore te tirer quelques fois avant que tu ne m'abandonnes à mon désormais triste sort !
Ce bougre de môme m'avait toute démontée, et il parlait déjà de remettre ça ! Je me levais pour aller devant le grand miroir.
Je me recoiffais tant bien que mal. D'avoir si bien été baisée me donnait un petit air fatigué qui m'allait bien.
Soudain, dans un peu élégant bruit de clapot, je sentis s'ouvrir ma chatte, et du foutre s'écouler sur mes cuisses. J'y mis la main pour tenter d'endiguer le flot.
Olivier, à genoux sur le lit derrière moi, la queue en érection dressée vers son nombril, me regardait avec envie.
- Bon sang Clothilde, tu es magnifique ! Tu as un cul d'enfer, bien galbé et des fesses bien rondes ! C'est beau ! J'ai encore envie de toi tu sais ! J'ai envie de ton cul à présent !
- Mon chéri, ta queue est trop grosse pour venir dans mon trou du cul ! Regarde un peu le morceau que tu as entre les jambes !
- Mais non, tu vas voir, ça va être facile! Passes toi la main sur la moule pour récupérer mon foutre! Oui, comme ça! Mets t'en dans l'anus! Oui, Enfonces bien ton doigt et remues le!
Dans la glace, je le vis attr un tube de lubrifiant et s'en enduire toute la hampe et le gland d'une bonne couche. Moi, sur ses conseils, je m'ouvrais le cul de deux doigts, et je me lubrifiais avec son sperme. Mon sphincter s'assouplissait.
Olivier vint derrière moi, posa ses mains sur mes hanches, sa bouche à la base de mon cou pour un baiser tendre. Ce bougre de môme m'affolait, j'avais de nouveau envie de sentir sa bite en moi.
Il colla son bassin à mes fesses, et je sentis sa queue se glisser dans mon sillon, où elle fit quelques va et vient bien jouissifs. En s'écartant un peu, il fit glisser son dard bandé entre mes cuisses, ouvrant au passage les lèvres de ma moule. Je vis dans le miroir pointer son gland, au milieu des poils de ma chatte.
Hummm! Il savait s'y prendre avec les femmes le bougre !
Il écarta mes jambes et dans le même temps m'obligea à cambrer les reins en m'écartant les fesses.
Il se recula un peu pour m'admirer.
- Si tu pouvais voir ton cul, bien ouvert, et si tu étais un mec, tu banderais comme un âne ! C'est vraiment très beau ! Je vais t'enculer, doucement, et je vais tout faire pour que tu jouisses. Ca me plairait bien que tu ne puisses plus te passer de ma queue, et que tu reviennes souvent te faire tirer !
Il avait à peine fini de me rendre folle par ses mots qui m'excitaient, que je sentis son gland dur et doux à la fois, peser sur la corolle de mon anus. Il se fit très tendre, et sa queue glissa lentement en moi. Toute la hampe y passa, bien lubrifiée par mes doigts pleins de son foutre et le lubrifiant dont il s'était enduit la pine. Je sentis ses couilles venir taper mes grandes lèvres, et il commença son branle. Aucune douleur malgré l'épaisseur de son vit. Un glissement progressif vers le plaisir au moment où il commença à accélérer ses coups de boutoir. Mon trou du cul s'était à présent bien dilaté, et je sentais les glissements de sa queue sur mes parois. Je m'envolais vers le plaisir, en poussant des cris de plus en plus rapprochés. Ses halètements à lui se faisaient plus rauques, il poussait sa bite de plus en plus loin dans mon cul. Nous avons joui bruyamment ensemble, dans un grand cri de libération. Il lâcha son foutre au fond de mon rectum. C'était vraiment trop fort, nous nous écroulâmes sur le lit. Sa pine, en sortant de mon cul, libéra sur les draps, le trop plein de semence.
Il était 20 heures, six heures que nous baisions comme des malades, et il me fallait rentrer. Après quelques câlins, je quittais Olivier après lui avoir promis de revenir très vite. Son corps puissant bien que juvénile, m'avait donné trop de plaisir pour qu'il en soit autrement. Son sourire heureux m'accompagna un bon moment.
Le surlendemain, sur un coup de tête, et une énorme envie de son corps sur moi, je me rendis dans le bar qu'il fréquentait avec ses copains. Je les vis de loin, arriver et aller s'installer au fond de la salle, dans un box aux parois un peu hautes. Par jeu, je me glissai dans le box voisin. Je les entendais parler.
- Allez Olivier, tu pourrais nous raconter ta nouvelle meuf !
- Ca ne vous regarde pas, c'est très personnel !
- Allez quoi, fais pas ta star! Dis-nous au moins si elle est bonne !
- Oui, elle est bonne, très bonne même ! Elle a un cul d'enfer. Je lui ai même mis ma bite dans ce cul ! Et je l'ai tirée un bon nombre de fois tellement elle est bandante ! Et question baise, elle en connaît un bout ! Elle aime vraiment ça !
- Tu vas la revoir ? Tu vas encore la niquer ?
- Je l'espère ! A présent, je n'ai plus rien à ajouter sur elle, sur nous ! Vous n'en aurez pas plus ! On passe à autre chose.
Je m'étais régalée de leur petite conversation, et plus encore des appréciations d'Olivier. J'en avais la chatte mouillée, et ma petite culotte était trempée.
Je me levai et allai les rejoindre, et je fis comme si je venais d'arriver. Je fis une bise à tous, et j'appuyai un peu mon baiser à Olivier, au ras des lèvres.
- Voilà les cours prêtés. Et si je peux avoir les derniers, ce serait extra.
Après un bon moment de conversations et de plaisanteries, Olivier se leva et m'emmena chez lui.
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