Ma Femme Et Mon Pote Complices (3)
Résumé. Chantal, exhibée, pelotée en public dans un restaurant, est amenée dans lappartement de mon pote pour être livrée au japonais repreneur de mon entreprise. Après avoir tout dabord refusé de se faire baiser, elle participe au jeu une partie de la nuit, prise entre deux obsédés, humiliée, elle jouit plusieurs fois, complètement libérée.
Dans lascenseur, Chantal se love contre moi la tête sur mon épaule. Le gros, collé dans son dos lui caresse les cheveux, tendrement. Son regard est ambigu. Il la couve comme son objet fragile avec lequel il se prépare à jouer, en se ménageant et se préparant pour le meilleur.
Rêne habite un grand appartement. A peine entrés, il soccupe à nous servir à boire. Encore. Son manteau encore sur elle, Chantal soudain se jette dans mes bras et me souffle :
- « Je veux rentrer. Je nen peux plus. Tu as eu ce que tu voulais, mais maintenant rentrons ». Je ne peux me résoudre à arrêter là cette soirée. Jen veux encore plus.
- « Sois sympa. On est bien ici. On ne va pas te faire nimporte quoi. Laisse-le encore te mater et jarrête quand tu le demandes. Tu avais lair contente quand René tembrassait dans la rue. Cest super ». Et je continue de la convaincre, en lui enlevant son manteau. Elle se laisse faire.
- « On boit un dernier verre, ajoute René qui a compris ce qui se passait ». Il nous sert trois whisky bien tassés puis saffale sur un grand canapé et regarde. Le géant sest approché doucement derrière Chantal, à la toucher. Comme dans lascenseur il lui caresse tendrement les cheveux. Il a deux têtes de plus que ma fragile bonne femme qui paraît bien fluette.
- « Je ne veux pas quil me touche. Il me dégoute tout en sueur, il sent mauvais ».
- « Mais il ne fait que regarder, te mater. Allons, laisse toi faire encore un petit peu ». Elle résiste un petit peu quand elle me sent lui dégrafer sa jupe qui tombe à ses pieds. Elle me laisse maintenant dégager son chemisier de ses épaules.
Quand le japonais, approche ses mains pour lui saisir les seins, je la pousse vers lui et je lui dis en anglais :
- « Tiens, prends là, tu peux la caresser, la peloter, elle est daccord. Même plus si tu en as envie. Elle est à toi ».
Je vois alors ses grosses mains passer sur le devant et se saisir de seins quil samuse à faire ballotter entre ses doigts. Chantal se laisse faire, les yeux fermés. Puis une main descend sur le ventre puis le triangle noir et sempare du sexe. Chantal se raidit, puis je la vois qui se détend acceptant la caresse. Il se met à la doigter sans plus aucune tendresse maintenant. Il est tout rouge et des gouttes de sueur perlent sur son front. Il est vraiment répugnant !
Sur son canapé, René a sorti sa bite et se contente de se caresser lentement. Quand il en a assez de la caresser, le géant la retourne vers lui, la prend dans ses bras et la porte sur le canapé. René lui laisse la place. Il lallonge sur le dos et avec cérémonie, commence à lui caresser tout le corps : le ventre, les cuisses, les mollets, les chevilles. Il remonte vers la poitrine, le cou, les lèvres le front, les cheveux. On dirait quil veut la toucher de partout.
Puis il la retourne et lui caresse le dos et tout le reste du corps en sattardant sur les fesses. Chantal sa laisse aller à la caresse et commence respirer un peu plus vite, montrant des signes évidents de plaisir. Je bande.
Abandonnant quelques instants sa proie, il se déshabille. Il a un bide énorme et un sexe très long mais pas très large. Chantal reste allongée, immobile attendant la suite. Elle sest laissé caresser nous offrant des petits gémissements de plaisir. Je sens quelle a accepté de se livrer sans retenue.
Lhomme nu se caresse lentement. Son sexe très long se dresse contre son ventre. Quand il découvre son gland rouge foncé, des sécrétions apparaissent par son méat.
Soudain, le géant pousse des râles pour indiquer quil va jouir et Chantal accélère son mouvement des hanches et alors quil déverse en elle sa semence elle se met à crier comme jamais je ne lai entendue. Il la remplit de plusieurs jets de sperme, en restant bloqué au fond du ventre offert. Sans me toucher, je jouis à mon tour devant cette image de ma femme souillée par le sperme dun autre homme. Repus, ils saffalent dans le canapé. René na rien manqué du spectacle. Il est au bord de la jouissance. La bite du sumo débande et sort du sexe encore béant de mon épouse. Une coulée de sperme séchappe des petites lèvres et coulent le long des cuisses encore écartées. Lhomme qui vient de baiser ma femme se lève, récolte le sperme qui coule sur les cuisses avec deux doigts et les introduit dans le ventre comme pour la baiser une autre fois avec ses doigts. Une autre fois, il senduit de sperme, mais cette fois il les donne à sucer à Chantal qui sans hésiter lèche les doigts et avale la semence mêlée à sa propre sécrétion sortie de son ventre.
René se lève et sapproche du couple. A son tour il veut profiter de la femelle. Il la retourne sur le ventre, lui replie les jambes pour faire ressortir ses fesses.
Il senduit un doigt de salive et le place sur la rondelle. Chantal na pas été enculée ; elle est encore, à ma connaissance, vierge du cul. Il présente son majeur à lentrée de lorifice et lentement le fait pénétrer. Chantal se crispe.
- « Détend-toi ma jolie. Tu vas moffrir ton petit cul. Je vais te sodomiser et te dépuceler en même temps. Tu mas bien dit que ton mari ne tavait jamais prise par là ! Et bien cest pour ce soir ».
A ces mots je comprends quelle ne ma pas tout dit de leur première rencontre. La jalousie me submerge. Mais limage de ce doigt qui la branle maintenant au cul est plus forte. En même temps quil la doigte, René se met à donner des petites claques sur les fesses rebondies devant lui. Il appuie de plus en plus ses coups et bientôt les fesses deviennent rouges sous les coups répétés. Maintenant il lui branle le cul de deux doigts. De son autre main, entre deux claques, il se masturbe et très vite sa queue prend une dimension impressionnante. Quand elle est bien bandée, il la présente entre les deux fesses et doucement il appuie pour la faire pénétrer. Chantal fait la grimace, elle a mal et lui demande darrêter. Il insiste et doucement le gland pénètre entre les fesses écartelées. Elle crie et lui demande encore darrêter. Il pousse et bientôt toute la bite disparaît dun seul coup dans le ventre de ma bien aimée. Il reste un instant planté en elle pour finir de la dilater. Chantal ne se plaint plus et comme il commence à la baiser dans le cul, elle montre des signes de plaisirs qui font suite à la douleur. Bientôt, la bite a fait son passage et lhomme accélère ses va et vient et maintenant elle se met à pousser des cris de jouissance en remuant ses fesses pour augmenter son plaisir. Soudain, René se met à crier, et il déverse à son tour son jus dans le ventre de mon épouse. Chantal jouit aussi.
Quand il se relève, un jet de sperme séchappe du petit trou dilaté. A son tour il le recueille avec ses doigts pour lintroduire dans le sexe encore tout tâché du sperme de lautre homme. Une autre manière de la baiser.
Cette fois Chantal en a assez. Elle se lève pour aller dans la salle de bain doù bientôt nous parvient le bruit de la douche. Entre hommes on boit le dernier verre. Quand elle nous rejoint, elle est souriante, comme contente de ce qui vient de lui arriver.
Elle se rhabille lentement devant nous, satisfaite de leffet quelle dégage. Elle enfile son manteau et me demande de rentrer. On part.
Un taxi nous ramène chez nous. Je lembrasse comme un fou tant je laime pour le plaisir quelle ma donné ce soir.
Mon japonais ma apporté les finances attendues, avec la demande expresse que cet investissement saccompagnait dintérêts autres que financiers dont Chantal était le centre et laboutissement. En un mot il viendrait la baiser à la moindre occasion de son passage à Paris. Il me restait à connaître la vérité sur les véritables relations entre mon épouse et mon pote René. Mais cest une autre histoire.
Si vous avez aimé, nhésitez pas à le dire pour en savoir et voir plus.
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