Suite De L'Humiliation

Bref rappel pour ceux qui n'ont pas lu les 2 premiers épisodes. Je suis un jeune gars blond imberbe et plutôt sportif qui s'est fait choppé par les flics alors que je montrais mon cul à des ouvriers sur un chantier un matin très tôt. Je suis emmené au commissariat et après un interrogatoire je me retrouve en cellule maté par un flic dans la trentaine, pas très joli (il a le visage constellé de petits trous) et plutôt massif. Ce dernier a manifestement envie de s'amuser en ce début de journée ! Il exige que je lui montre dans le détail ce que je faisais devant les ouvriers. Il se montre très autoritaire et menace de me garder la journée si je ne m'exécute pas instamment. Je me lève, me retourne et commence alors à remonter mon short entre mes fesses. Le flic respire fort et la main dans la poche de son pantalon s'astique le sexe. Son souffle augmente mais il est interrompu par du bruit dans le couloir et la porte de ma cellule se claque soudain. Je me retrouve comme un nigaud le short totalement rentré entre mes fesses bien rebondies et lisses comme la peau de bébé. Je ne sais quoi penser. Tout ce qui m'arrive est tellement surréaliste que je pense cauchemarder. Je vais me réveiller. Ce n'est pas possible. Encore sous le choc de l'émotion, je me rassois sur le banc. Dans le trouble, j'ai laissé mon short bien échancré rentrer entre mes fesses. Assis, les fesses nues sur ce bancs, j'ai à nouveau un peu froid et pour cause. Je remonte le col de mon polar et me prends la tête entre les mains. Tout ceci doit se terminer. J'essaie de penser à autre chose. Il y a pas mal d'activité dans le sas où se trouve mon cachot. Je tends l'oreille. Des voix slaves agressives font échos à celles de plusieurs flics. Deux mecs viennent de se faire arrêter. Je ne saisi pas l'objet de leur arrestation mais ils semblent violents. Je me dis alors que c'est peut être ma chance. Il n'y a que deux cellules. Celle que j'occupe et une seconde sans verrou dans laquelle on avait voulu me placer avant de se rendre compte de l'absence de fermeture correcte.

Et de fait, j'entends mon gardien dire à ces collègues: 'pas cette cellule, elle n'a plus de verrou, mettez ces deux lascars avec l'autre'. Je déglutis ... Ils ne vont pas me laisser avec ces deux racailles. Merde, je suis un jeune homme de bonne famille qui a eu le tord de montrer ses fesses à des ouvriers goguenards un matin pendant son jogging ! Je ne suis pas un délinquant. La porte de mon cachot s'ouvre, je me lève (toujours les fesses à l'air). Je ne pense à rien d'autre qu'à l'idée qu'on me fasse sortir et que mon calvaire s'achève ... Les deux gars sont poussés dans la cellule et la porte refermée. Je n'ai pas le temps d'ouvrir la bouche. Je regarde les deux nouveaux arrivants. Look gitans, un petit gros à moustache épaisse d'une cinquantaine d'année et un jeune plus grand assez mince, pas vilain en d'autres circonstances, cheveux noirs et vraisemblablement très poilu au vu de la touffe de poils qui dépasse de sa chemise au niveau du col. Leurs regards haineux, se transforment en regards de surprise en me voyant. De mon côté, je n'ai toujours pas réalisé que j'ai toujours les fesses à l'air. Mon regard est plutôt celui d'un jeune chiot apeuré. Je baisse les yeux et me dirige vers la porte en logeant le mur à l'opposé des deux individus. Arrivé à la porte je frappe, et essaie d'attirer l'attention de mon gardien pour le supplier qu'il m'ouvre. Je dois offrir un bien étrange spectacle aux deux nouveaux venus qui chuchotent dans une langue qui m'est inconnue. Leur vision est celle d'un jeune gars les fesses à l'air, en chaussette avec un polar. Mon gardien se retourne enfin, et il me sourit de son air bien sadique. Je le supplie de me laisser sortir. 'Tu n'aimes pas la compagnies ? Toi qui aimes les mecs bien mecs tu es servi. Tu devrais me remercier. Passe un bon moment ....' Et il se remet à sa lecture. A ce moment, je sens une main qui effleure mes fesses. Je me retourne effrayé. Le vieux me regarde avec son sourire aux dents d'or, il a empoigné un de mes lobes de fesses qu'il malaxe sans ménagement.
Le plus jeune me fait au même moment signe de me taire ou ... et d'un signe de la main devant son cou, il me montre qu'il me fera la peau si je parle. Je suis terrifié, j'ai envie de pleurer, les larmes commencent à couler sur mes joues, je tremble. Le vieux a maintenant baissé mon short et s'est positionné à genoux derrière moi. Il ouvre mes fesses, les caresse violemment, incère un doigt dans mon anus, puis écarte avec 4 doigts mon anus en tirant bien vers l'extérieur. Il a l'air en transe. Je sens son souffle sur ma rondelle. Il interpelle le jeune pour lui montrer. Ses propos que je ne comprends pas ont l'air admiratifs. Il encourage le plus jeune à sortir sa queue. Il se remet de bout me tire vers le banc au fond de la cellule. Il baisse son pantalon et se frotte maintenant à mon cul. Il doit avoir une petite bite car je sens juste un petit dard bien dur contre mes fesses. Le plus jeune a maintenant la queue à l'air. Il se positionne devant moi et d'un air menaçant me fait comprendre de le sucer. Que faire ? Appeler à l'aide ce salopard de flic qui se massait les couilles ? Il se foutra bien de ma gueule. Je ne peux qu'obtempérer. Je me baisse et commence à sucer le jeune gitan. Sa queue pue l'urine. J'ai des hauts le cœur mais je m'exécute tout en pleurant. Son sexe qui était de belle taille gonfle encore dans ma bouche et très vite je reçois une décharge de foutre chaud dans le fond de la gorge. Le vieux d'une main se masturbe sur mon cul et de l'autre continue son doigtage en profondeur. Une giclée coule à présent sur mes fesses. Les deux gars s'écartent de moi, rentrent leur matériels dans leurs pantalons. Les larmes plein les yeux, je me rassied et regarde vers la porte de sortie. Le flic est derrière la petite vitre il a maté toute la scène. Quelques minutes plus tard, il ouvrira la porte pour me faire sortir. Il ne dira que le stricte nécessaire. Me rendra mes chaussures, et me fera remplir un document sur lequel, je dois indiquer mon nom, adresse et téléphone.
Il m'annonce alors que je peux partir. J'aurai des nouvelles de la justice plus tard si elle le juge nécessaire. Je rentre chez moi défait. J'appelle le bureau pour m'excuser et prétexte un malaise très important. Je me suis douché toute la journée. Et à chaque fois que je me lavais le cul, je bandais. Je craignis alors d'être devenu une de ces salopes soumises qui ne trouve du plaisir que dans ce type de rapport de force. J'avais en une matinée perdu mes idéaux de beauté et de tendresse.... J'allais très vite en avoir la confirmation.

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