Damien (3) Ma Première Nuit Avec Patrick Et Marc

La semaine d'après je retrouvai les deux hommes et nous passâmes encore une super après-midi de baise où je jouis merveilleusement.
Ce jour là j'avais je ne devais pas rentrer chez moi et je dis donc aux deux compères "Aujourd'hui si vous voulez, vous pouvez rester plus tard.
- C'est à dire ?
- Je reste ici cette nuit alors si vous le voulez biens vous pouvez rester aussi et si il vous reste quelque force on pourra encore baiser.
- Mais ce n’est pas vrai, on vient de t'en mettre plein le cul et tu en demandes encore.
- je vous avais dit que j'étais très gourmande.
- Gourmande tu es une vraie pute oui.
- C'est vrai je suis une vraie pute, une vraie salope une chienne même, mais n'empêche que j'ai encore envie de bite.
- Moi je veux bien rester, je ne sais pas si je serais capable de faire quelque chose mais je veux bien essayer et toi Patrick.
- Pourquoi pas.
- Super, alors voilà ce qu'on va faire, on va commander des pizzas et après avoir mangés on verra.
- O.K.
- Bon j'ai une idée, il y quelque chose que j'aimerais essayer avec vous deux.
- C'est quoi ?
- J'aimerais essayer de me faire baiser par vous deux en même temps.
- Comment cela ?
- C'est simple, l'un de vous s'allonge sur le dos, je m'assois sur lui et je m'empale sur sa bite et je bascule vers lui, pendant le deuxième s'agenouille derrière moi et me mets sa pine dans le cul.
- Tu veux dire que tu veux essayer d'avoir les deux bites dans le cul en même temps.
- Oui, je ne sais pas si mon cul va pouvoir se dilater autant mais je veux essayer.
- C'est fou.
- Enfin si ça ne vous dégoûte pas que vos deux bites se frottent l'une et l'autre.
- Non du moment que c'est dans ton cul. Hein Patrick ?
- Pas du tout je ne te branlerais pas mais mettre ma queue dans un cul alors que tu y es déjà je m'en fous et ça peut être amusant.
- Bon comme je l'ai dit c'est un essai si ce n'est pas possible il ne faudra pas insister, si je dis d'arrêter il faudra le faire.


- Bien sur on ne veut pas te déchirer.
- D'accord mais d'abord il faudra me baiser pour me graisser et m'ouvrir le cul et après on fera ça.
- D'accord.
- Une dernière chose, il vaut mieux que ce soit Patrick qui rentre le dernier. Tu as le zob moins gros que Marc, il rentrera peut-être plus facilement.
- D'accord.
- Bon alors commandons les pizzas et prenons l'apéritif en attendant qu'elles arrivent".
Nous allâmes nous laver puis après avoir passé commande, nous restâmes nus pour boire l'apéritif.
Après nous être restaurés et avoir fait et rangés la vaisselle, je dis à mes deux amants "Maintenant passons aux choses sérieuses, enfin si vous vous sentez d'attaque.
- Avoir mangé m'a fait du bien.
- Moi aussi". dit Marc.
Tout en portant une main sur chacune des bites je dis "je vais vous sucer un peu pour vous faire bander et ensuite on y va".
Avant de m'agenouiller devant mes deux hommes je mis un doigt sur mon anus et constatai que si il était un peu refermé, il était encore tout mou.
Après avoir pratiqué une lente fellation sur mes deux amants ce qui eu pour effet de les faire bander, je dis à Marc "Allonge-toi".
Mon homme s'exécuta, je m'assis à califourchon sur lui, je pris son sexe dressé dans une main et le guidai en moi, quand je descendis sur la verge je fermai les yeux pour savourer le plaisir de sentir le phallus entrer dans mon canal bouillant en disant "Ah que c'est bon de sentir une grosse bite au fond de moi".
Comme d'habitude avec Marc j'avais la sensation d'être entièrement rempli.
Patrick me dit "mais tu avais dit qu'il fallait d'abord qu'on te baise avant d'essayer ça.
- C'est vrai mais comme mon cul est encore un peu ouvert et tout mou je pense que ça va pouvoir se faire comme ça.
- Tu ne doute vraiment de rien.
- Quand il s'agit de baise non, je vais monter et descendre un peu sur la pine de Marc pour assouplir ma pastille comme ça tu pourras essayer de me mettre.

- D'accord".
Au bout de quelques allées et venues, mon tunnel s'ouvrit de nouveau pleinement, je me penchai vers Marc et en profitai pour lui lécher le visage puis je dis à Patrick qui nous regardait tout en se masturbant lentement "Crache moi dans la raie et essaye de m'enfiler, fais doucement et écoute ce que je te dis.
- D'accord ma petite poulette".
Patrick s'agenouilla derrière moi, je me relevai afin de ne plus être totalement empalé sur la verge de Marc.
Je sentis de la salive couler le long de ma raie et le doigt de Patrick me badigeonner le haut du canal, il dit "Je ne sais pas si je vais pouvoir entrer.
- Essaye on verra bien, mais je t'en supplie va doucement.
- Bien sur ma chérie, je ne veux pas casser un si bel objet de plaisir".
Je sentis le gland de Patrick de poser à la naissance du sillon de mes fesses et descendre tout le long de ma raie et s'arrêter contre le pénis déjà fiché en moi.
Je tendis ma croupe et dis "vas-y essaye de me prendre".
Mon homme commença à peser sur mon ouverture ce qui me provoqua une douleur épouvantable, je poussai une plainte en disant à Patrick "Arête.
- Tu abandonnes ?
- Non mais arrête un moment que je me remettes".
Mon mec suspendit sa poussée et quand je sentis le mal disparaître je lui dis "recommence doucement"
Il fallut plusieurs minutes et beaucoup de pénibles tentatives pour qu'enfin mon anneau s'ouvre un peu plus, Patrick s'en aperçut et me dit 'Je crois que ton cul s'ouvre un peu.
- Oui mais fais tout doucement.
- Bien sur ma poulette, mais avant ça Marc baise la un peu pour lui faire oublier qu'elle a mal".
Marc me donna quelques coups de boutoir qui firent monter un peu de désir en moi, il s'arrêta et dit "vas-y Patrick mets
-lui".
Mon amant positionna son sexe contre ma corolle dévastée et commença à peser dessus, quand le bout durci déflora mes chairs enflammées je ressentis une brûlure aiguë qui me fit crier et dire à Patrick "Aiee !! Arrête.

- Tu veux que je me retire ?
- Non reste en place mais ne pousse plus, laisse mon trou s'habi".
Mon homme resta immobile et peu à peu la souffrance disparut, me tournant je dis à Patrick "Pousse tout doucement".
Peu à peu millimètre par millimètre mon mec enfonça son phallus érigé en moi, quand je sentis les poils follets de son pubis contre mon fessier bouillonnant je sus qu'il était en moi entièrement.
J'avais les larmes aux yeux et j'avais l'impression que mon trou du cul allait se fendre tant il était écartelé.
Patrick dit "Voilà tu as nos deux bites dans le cul, je n'aurais pas cru ça possible et toi Marc ?
- Moi non plus je n'aurais jamais pensé que ce cul était capable de se dilater autant.
- Je vous en supplie ne bougez pas encore, mon trou de balle est tellement tendu que je crois qu'il va se déchirer.
- veux-tu que l'un de nous se retire.
- Non je crois qu'après quelques instants mon sphincter va se détendre.
- Comme tu veux".
Malgré la douleur que j'éprouvais, le fait de sentir en moi les deux membres érigés palpiter faisait naître au creux de mes reins une douce chaleur.
Peu à peu le mal diminua et une tendre langueur commença à prendre possession de mon corps, je sentis mon anus céder et je dis à mes deux amants "Commencez à bouger mais très doucement".
Marc, de manière mesuré, commença à remuer, les mouvements de son sexe turgescent me faisait crier de douleur, chaque fois j'avais l'impression que mon tunnel se coupait et mon amant me dit "Tu as mal, tu veux que j'arrête et qu'on sorte ?
- Non je veux aller jusqu'au bout.
- C'est toi qui décide.
Le supplice ne dura pas longtemps car les frottements des deux priapes comprimés en moi firent jouir très vite mes deux mecs, dans un feulement communs les deux hommes éjaculèrent m'inondant le rectum de semence crémeuse.
Les deux phallus une fois vidés rétrécirent et sortirent de moi.
Cette expérience, à part le fait de savoir que mon cul était capable d'accepter deux membres de taille plus que respectables, ne me laissa aucun plaisir.

J'avais eu trop mal pour prendre le moindre bonheur et je leur dis "Qu'est ce que j'ai eu mal au cul, heureusement que c'est fini.
- Tu ne te rends pas compte de ce que tu as voulu qu'on te mette.
- Si Marc je m'en rends compte mais je ne le ferai plus.
- Tu as raison et même pour nous ça n'a pas été super.
- Je vous crois, la seule chose qu'on peut retirer de ça, c'est que je suis capable de prendre des bites plus grosses que les vôtres.
- Oui c'est sur que tu peux te faire enculer par un noir si tu veux car même très bien monté, jamais un mec n'aura une pine deux fois plus grosse que les nôtres.
- C'est vrai Patrick, et maintenant que faisons-nous ?
- Que veux-tu dire ?
- Eh bien tout simplement que cette petite séance m'a mis en appétit et que j'ai envie de vivre une vraie baise, sans compter que vous n'aurez aucune peine à me baiser tellement mon fion est ouvert.
- Ca tu peux le dire salope, bon puisque tu veux de la bite, mets toi à quatre pattes et tends ton cul qu'on te défonce un peu".
Durant une bonne partie de la soirée les deux hommes se succédèrent dans mon cul, comme il avait tiré pas mal de coups ils furent très long à jouir ce qui me fit avoir plusieurs orgasmes.
Quand ils m’abandonnèrent j'étais rempli de sperme de la tête aux pieds, j'avais l'anus complètement éclaté mais j'étais comblé.
Après m'être lavé, je sombrai dans un sommeil profond.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!