Semaine Marocaine

Semaine Marocaine,

Pour mon anniversaire, mon mari nous offre une semaine de « repos » au Maroc. Agadir est une ville nouvelle, ornée de beaux hôtels, d’une plage à perte de vue, de taxis par centaines et de belles avenues bordées de palmiers.
Benji a fixé les conditions avant de prendre l’avion, des valises oui mais peu d’habits et surtout mes sous vêtements sexy, chemisiers suggestifs, jupettes courtes et virevoltantes, bas noir pour les soirées un peu fraiches.

Nous atterrissons vers 20h00 sur le sol Africain, un panneau tenu à bout de bras par un indigène sans saveur nous interpelle, c’est le 4x4 taxi réservé depuis la France qui nous attends. Omar, le chauffeur, prends en charge nos quelques bagages, lorsque celui-ci charge la voiture je me prends à regarder le postérieur de notre guide du soir, la nuit claires et les quelques lampadaires laisse tout loisir à mon imagination pour rêver, m’évader, penser à ce que pourrai être le corps du chauffeur, mais j’arrête de rêvasser et je m’avance pour prendre place sur le siège arrière. Le convoi démarre, la voiture se dirige vers l’entrée de la ville distante de quelques dizaines de kms, ma jupe plissée est bien remontée sur mes cuisses, aucune importance, les faveurs de la nuits sont pour moi et je me prends à la remonter encore un peu, mon micro-string est une bien faible barrière pour mon majeur qui s’insinue déjà dessous, ce n’est pas une masturbation, juste une caresse, comme un revers de main sur la joue d’un , sur la peau lisse de mon mont de venus. Je suis installée bien au milieu pour ne rien rater du paysage nouveau pour moi, je n’avais pas remarqué que le rétroviseur du chauffeur est étonnamment bas, je ne vois pas ses yeux dans le reflet, d’un seul coup l’idée que celui-ci puisse apercevoir mon manège me fait monter en température, m’excite presque,
un deuxième doigt vient inconsciemment appuyer le premier et décalotte mon clitoris, je mouille.

Je me ressaisi d’un seul coup, en me traitant de salope, mais cela m’a réellement excitée. Nous arrivons dans le quartier résidentiel où se situe le Riad qu’a loué mon chéri.
Nous descendons du taxi, et je vois, dans les yeux de notre chauffeur, comme une flamme, mon instinct de femelle me mets en éveil, je baisse les yeux, ceux-ci tombent sur la braguette du conducteur, elle est toute déformée, gonflée, comme si un animal y était caché, nous déchargeons les bagages et lorsque j’att un sac ayant roulé vers l’avant, je sens le regard d’Omar sur mes fesses légèrement découvertes, j’accentue le mouvement et ma jupe remonte beaucoup plus haut que la lisière de mes bas et même sur le bas de mes fesses, découvrant la naissance du sillon culier, je me sens me liquéfier et j’adore ça. Après une entente pour le lendemain nous échangeons un au revoir interminable, je n’en peut plus, je me colle à Benji à l’entrée de la villa et commence à faire glisser mes mains sur ses fesses, il ne reste pas inactif, glisse 2 doigts sous ma courte jupe et vient les coller au fin rempart de lycra, il les ressort lubrifié par mes sécrétions et porte ses doigts à ma bouche, ce simple geste fini de m’enflammer, la porte s’ouvre, nous tombons nez à nez avec Nadia, la bonne qui s’occupe de la maison à l’année, qui fait le ménage, la lessive, prépare les repas.
Nadia est avenante et effacée comme une bonne musulmane, cela nous gène par manque d’habitude, elle nous montre le bel espace qui nous est réservée, séjours, salle de bain, chambre, et nous laisse défaire nos valises et nous mettre à l’aise en nous précisant que le repas peut être servir dés que l’on veut. Je décide de prendre un bain, fais couler l’eau et me déshabille, je suis nue lorsque mon male vient se coller à moi dans mon dos, je sens comme un pieu, une barre de fer contre mes fesses, il se déculotte et s’enfonce en moi sans ménagement, j’adore ça, je frissonne, me mords les lèvres, j’att le robinet et men sert comme point d’appui, c’est à ce moment là que la jouissance me scie les jambes, le sexe de Benjamin est comme éjecté de ma chatte brulante et se retrouve naturellement en phase avec mon œillet plissé, sa bite lubrifiée par ma mouille s’appuie doucement mais fermement sur mon petit trou et c’est moi qui le force à m’enculer, mes fesses reculent jusqu’au contact de ses bourses, celle-ci viennent taper avec force contre mes lèvres et ce rythme m’arrache une deuxième jouissance sauvage ce qui fait décoller mon homme, je sens les jets brulants dans mon cul de salope.

Je reprends mes esprits et saute dans le bain bien rempli maintenant, Benji me rejoint.
Nous décidons de passer à table, je m’habille simplement d’un shorty de nuit et d’un haut assorti, Nadia nous accueille dans la salle à manger et nous offre l’apéritif, tout en nous servant je vois les yeux de la marocaine aller de nos verres à mon entre-jambe, tout doucement tout en continuant à vider mon verre, j’écarte lentement, très lentement les genoux, sachant que le bâillement de mon short ne pouvais que laisser voir mes lèvres délicatement ourlées. Mon imagination s’emballe et mon esprit s’échauffe, je sens que mon con se lubrifie, mes lèvres s’écartent, comme douées d’une vie propre, mes seins durcissent et les bouts tendus tentent de percer le rempart de mon t-shirt, les yeux de Nadia s’embuent, il me semble que ma tenue ne laisse pas celle-ci de marbre, les yeux sombres de notre hôtesse essaient d’exprimer quelque chose, mais les délices de la table m’appellent. Tout au long du repas, Nadia, innocemment, vient servir de mon coté, m’effleure, jusqu’au moment ou un couvert saute du plat et vient choir sur mes cuisses nues tout prés de mon minou, l’indélicate serveuse plonge sa main entre la table et mon ventre pour saisir la cuillère et ses doigts agiles s’insinuent sous le large shorty, caressant au passage mes lèvres charnues, mes jambes s’écartent comme mues par un ressort, mon antre se liquéfie instantanément, j’adore.
Nadia retire sa main, non sans avoir profité de l’opportunité pour griffer mon clito tendu et m’avoir arraché un feulement, mon homme a tout vu et esquisse un léger sourire complice.
Après ce bon repas, Benjamin me propose une ballade digestive sur la plage, je refuse car épuisée par cette journée déjà bien remplis et nous allons nous coucher. Arrassés, le sommeil vient rapidement, vers 5 heure du matin, le chant du Muezzin me tire du sommeil, je suis la seule à être réveillée, je me lève sans bruit et descend à la cuisine pour boire, arrivant au rez de chaussée, j’arrive dans le dos de Nadia, à genou, en train de prier, je m’assois sur l’escalier pour ne pas la déranger, les prières expédiées, celle-ci se lève et me vois, nous nous mettons à discuter, surtout de l’incident « cuillère », elle m’avoue l’avoir fait exprès et avoir pris du plaisir a m’énerver de la sorte, elle me raconte s’être donnée du plaisir à la cuisine pendant la fin du repas et nous savoir à coté l’avais survolté.

Mon attirance pour les femmes est assez récentes, et je n’ai eu que des plaisirs, je m’approche de la servante et lui remonte sa robe, je lui fait prendre appui sur la table, lui écarte les jambes et la pénètre de mes doigts, elle est toute lisse, bien épilée, je la masturbe et lui arrache un soupir rauque, je pince son clito, elle se mords les lèvres, mon pouce s’appui délicatement sur son petit trou, elle se cambre davantage appréciant la caresse, j’insiste et mon doigt se perd entièrement dans ses fesses, je le retire pour lui mettre trois doigts et je comprends qu’elle prends son pied, ses jambes se plient elle s’effondre au sol pliée par la jouissance. Se retrouvant à hauteur de ma minette qui suinte de mouille, elle écarte mon short et vient lécher ma fontaine, c’est à mon tour de gémir avec force, elle insiste, je jouis. Benji ayant tout entendu, est descendu et son sexe est au garde à vous, impossible de le laisser comme ça, nous nous jetons dessus bouches ouvertes, Nadia à de l’expérience et mon homme apprécie énormément au point de tenir la tête de celle-ci afin de lui faire avaler sa semence, non seulement elle avale mais en plus elle lèche goulument les quelques gouttes ayant échappées à sa langue. Nous sommes comblés dés le matin, mais nous sommes là pour faire du tourisme et pas pour forniquer à la maison.

Fin du premier volet

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