Syrielle Pas De Chance
Bonjour je me présente, je suis une fille qui vient tout juste d'avoir ses 19 ans, je suis Syrielle, blonde, cheveux long et de taille moyenne, j'habite Paris.
Je ne prétends pas être une vraie libertine mais je connais ma préférence pour les filles, je connais mon rapport avec le sexe masculin et je le trouve brut, bestial et il me laisse pour la seule et unique fois où je m'y suis laissé prendre, déchirée.
J'ai été témoin d'une scène qui m'oblige à, au moins, vous prévenir, ou peut être vous avertir.
Il existe des gens qui, oui, ne voyaient pas dans le sexe la perdition dans laquelle vous vous vautrez, et le terme n'est pas si fort, mais la chose à laquelle vous vous adonnez ne représentait pour moi que la pire des horreurs et c'est avec complaisance que je vous regardais comme "bête", et "animal".
Faut il entrer dans une église, un jour ou le seigneur nous donna le repos, dans un lieu censé représenté la morale sous sa plus haute forme, pour entendre dans le silence de cathédrale un gémissement bien caché ?
Fallait-il laisser la curiosité me diriger vers la source de ce bruit, un peu plus loin dans un coin à l'ombre, émanant d'un confessionnal ?
Un des pans de rideau, normalement occupé par le prêtre oscillait doucement et les gémissements transformés en râlements une fois plus prés, me laissent juste entendre une phrase claire et distincte :
"Défonce-moi le cul !"
Une voix de femme, une voix de femme qui implore la pire des déchéances aux yeux du Seigneur, n'y a t-il pas plus misérable pour ce que de tout temps on a appele le sexe faible, que de se voir celui ci être renié pour la voie du mal.
Et de surprise en surprise, je suis adossée, haletante, derrière un des piliers, et elle pousse son cri encore plus fort, jusqu'a faire résonner un beuglement dans l'église, témoin de sa douce exaltation annale. Je sens des larmes couler sur mes joues et pourtant même si ma foi en mon Seigneur me crie de fuir ce temple dorénavant de luxure, je suis empreinte de la présence environnante de ce démon et je ne peux que me rapprocher, jusqu'à avoir l'audace d'entrer dans le confessionnal, coté Pêcheuse.
Mes yeux sont mi-clos et embrouillés de larmes. Je les entends comme si je forniquais avec eux. Je me sens sale plus j'écoute toutes les horreurs que cette femme peut glisser aux oreilles de ce satyre.
" Elle est si grosse..."
" Jveux passer ma vie à te la gober... "
" ca te plairait de m'inonder ma petite face de pute ... "
" Va y fort, te pose pas de questions pour moi! Défonce .. "
" si t'as un peu de merde sur toi, je te la nettoierai comme un petit chien.. "
J'étais au bord de l'évanouissement, je suffoquais, mes mains portées à ma bouche tentaient vainement de réfréner le cri qui tentait de s'échapper de moi. Je suis couverte de honte. Comment une femme peut elle à se point s'offrir, se prêter à tout pour assouvir ce qui a asservit la femme pendant des siècles ? Je réfrène mes tremblements, et tente de glisser un il à travers la fine grille de bois qui me sépare des enfers.
Je la vois cette femme qui assise sur un homme dont le visage restera dans l'ombre jusqu'a la fin, jusqu'a ce qu'à genoux cette femme lui flatte un membre à la taille gargantuesque, et que son flot d'injure la recouvre presque totalement. Je les vois sortir un par un, d'abord la femme, souriante et visiblement de bonne humeur, tandis que lui, d'un mouvement bref et lourd, il disparut du coté opposé pris par la femme. Le rideau retombe et me laisse dans la pénombre. Une de mes mains est callée entre mes cuisses et tient hermétiquement fermé l'endroit où je sens concentré mon malaise.
Je rentre chez moi, étourdie, la brume dans l'âme, je rentre et je me retrouve accueillie par ma tendre amie qui su tout de suite qu'un mal me rongeait. Ses caresses parviennent à me calmer, ses baisers sont sucrés sur mes lèvres, et ses mains qui ondulent le long de mes reins et sur le haut de mes fesses m'étreignent dans la plus grande délicatesse. Je me laisse étendre sur le dos et sans résistance ma jupe glisse le long de mes jambes et je sens sa langue débuter sa folle course.
Puis plus tard, je navigue sur internet et trouve tous ces sites ou chacun vante son exhibitionnisme, ses prouesses sexuelles dans l'extérieur, chacun se vante d'être allé un peu plus loin dans sa frénésie sexuelle. Et nul ne se doute que quelques victimes collatérales subissent les assauts outrageux que vous livrer aux yeux de la morale.
Je suis devenu, aujourd'hui, addict au libertinage. Si dans mon sang se déchaine les passions, moi même ne sait où je m'arrêterais, je n'ai qu'en mémoire la délicieuse, aujourd'hui, sensation d'abandon de cette femme d'église.
Je suis devenu une autre femme, celle qui avait des principes moraux, celle d'autre fois, d'il y a à peine six mois, ne savait pas ce que signifiait la liberté d'une femme de ce monde moderne, de cette société dont on ne m'avait donné que des anciennes coutumes de femme. Si aujourd'hui j'apprécie ma transformation, c'est que dans mes choix et dans ma façon d'aborder la vie, je suis devenue une femme indépendante et épanouie. Je me suis découverte, jusqu'aux bouts des ongles mon corps m'appartient et nul seigneur ne peut venir à bout de mon bonheur, celui que j'ai choisi.
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