Histoire Vraie D'Un Trio Au Chili
San Pedro de Atacama au Chili, Mars 2009;
Petite sieste en attendant lheure du départ en 4*4. On frappe à la porte. Jouvre à un bel éphèbe qui se présente comme notre guide, nous partirons à 16h30. Ne serait-il pas homo ? Il est très beau franchement, une gueule de mannequin, dans la petite trentaine.
On roule depuis 2 heures au moins dans le décor de laltiplano chilien. Roches et volcans, lamas et vigognes. La piste est bruyante on a juste eu le temps de se présenter, depuis, plus beaucoup de parole, le paysage nous captive. 4500m on passe devant le refuge, et le champ de geysers du Tatio se dévoile.
Les fumerolles, quelques bouillons deau sortent de la terre, la piste traverse des geysers sous les roues du 4*4. Une étendue fume autour de nous,, au loin le soleil se couche en éclairant les montagnes proches, il ne fait guère plus de10°. A pied on se rapproche pour voir et entendre ces trous dans la terre doù sortent fumées et eaux bouillonnantes. Une sorte de piscine naturelle se rempli en permanence, et maintient, une eau a 30° environ couverte de vapeur balayée lentement par le vent. Notre guide, Gabriel, propose que lon se baigne si le cur nous en dit ou plutôt si le froid ne nous retient pas.
JF y est le premier, vite nu, leau est tellement agréable le visage juste enveloppé des volutes de vapeur. Gabriel sy plonge aussi. JF me demande de les rejoindre. A peine dhésitation, je me dévêts devant ces messieurs qui font semblant de ne pas regarder. Nous voici à trois dans ce paysage féerique
moment magique, sensuel, un brin dérotisme : le lieu, la solitude a trois, les fumées, le vent, le froid dehors qui dressent les seins nus devant deux hommes qui font semblant de détourner les yeux tout en regardant malgré tout. Quelle scène irréelle ! Je suis troublée et tellement bien dans ce bain deau chaude légèrement salée lourde des particules quelle contient. Alentour les geysers fument en volutes irrégulières dautres grondent des entrailles de la terre ou jaillissent par intervalles.
Gabriel le premier retrouve son vêtement, jen profite pour détailler son corps dathlète mince, son dos souple, fesses rebondies et musclées, sexe masculin sans hésitation. Bel athlète ! Il nous prend en photo, JF sort à son tour et je reste, quelques instants seule, avant de sortir nue devant les deux hommes déjà rhabillés. Sans gène ni pudeur ils mobservent, me déshabilleraient du regard si jétais habillée
Gabriel se dirige vers la voiture nous laissant dans lintimité de notre couple. Retour vers le refuge, dans cet univers irréel, tous trois dans nos pensées, emportés par lextraordinaire situation que nous venons de vivre. Je sais les pensées de JF et son rêve de moffrir une nuit de caresses à quatre mains
la beauté de
Gabriel ma troublée, et lui qua-t-il ressenti? Au moins, le corps des femmes ne le repousse pas.
Nous préparons notre soirée ; le diner pour Gabriel, le dortoir pour JF. Je découvre le refuge et fais un peu plus connaissance avec notre guide. Il me confie que se sétait son premier bain avec des touristes, quen principe il se contente de suivre de la berge
mais que ce soir il avait eu envie de passer un peu de temps avec nous
et quil a apprécié
JF, a, pendant ce temps, arrangé les lits du dortoir. Deux cote a cote, un autre a 50cm. Le lieu est spartiate. Une seule fenêtre sur laltiplano. Lumière blafarde qui de toute façon coupe a
22h30
, limite du groupe électrogène.
Diner hors du commun pour ce lieu et dans ce lieu, préparé avec minutie et attention.
Finalement direction le dortoir avec JF, Gabriel doit ranger quelques affaires pour demain matin. Il sait nous laisser seul.
Ablutions rapide, tenue de coton fin en haut, petite culotte de coton aussi
il fait froid malgré tout ! Je me glisse dans mon duvet tout contre celui de JF. Cinq minutes et Gabriel se glisse dans son sac de couchage, en boxer, a 50cm de moi. Beau gosse ! Vraiment !...
Trois minutes encore et la lumière séteint avec larrêt du groupe, ouf
Sans davantage perdre de temps, fébrile, JF passe un bras dans mon duvet. Il explore mes formes et le bruit du frottement sur létoffe ne peut passer inaperçu. Les ombres bougent à peine mais certainement perceptible depuis le lit de mon guide.
La main de JF passe sous lélastique de ma culotte, je frémis et peine à garder silence. Mon souffle va bientôt me trahir.
Le frottement du duvet devient alternatif personne ne peut ignorer ce qui se déroule, surtout pas Gabriel. Je guette sa respiration, il vient de se retourner sur le ventre. Mon Souffle est court ainsi que celui de JF, je prends plaisir aux caresses sur mon clito et aux baisers silencieux sur mes tétons. Il me semble que le souffle de Gabriel aussi a changé. Les envies de
JF et les miennes sont évidentes
que va-t-il se passer
moment de stress, de désir, dexcitation a vif. JF se redresse et me lie les poignets aux liens quil avait préparés sans me dire.
Je le laisse faire avec une part dinquiétude de crainte et denvie. Il reprend ses douceurs. Je me mords les lèvres pour retenir mes gémissements. Gabriel semble avoir les yeux ouverts. Aucun des trois protagonistes ne peux maintenant ignorer ce qui se déroule.
Je frémis denvie et de crainte aussi...Sil refusait quel affront !
Il na pas répondu mais sest glissé contre moi. Corps doux ferme et chaud, une main sur mon épaule, une jambe contre la mienne. Jétais entre deux hommes, protégée par mon duvet, la main de mon mari sur mon sexe pouvait ressentir toutes mes émotions déjà
Je nai plus froid et laisse libre court a mes expressions, jose respirer geindre gémir trembler. La main de Gabriel descend en douceur sur mon sein et le dessine lentement en cercles concentriques jusque sur le centre si tendu. Mon cri est vif. Je voudrais serrer les deux hommes contre moi. JF ouvre les duvets, me voici offerte à leurs quatre mains. Gabriel remonte mon petit coton déjà bien éparpillé pendant que JF fait glisser ma culotte hors du lit. Ils retirent lun et lautre leur boxer. JF tend un préservatif à Gabriel et vite nous retrouvons nos positions. Je me laisse porter par les caresses, dans léclairage dun discret clair de lune, juste pour percevoir les hombres des corps qui commencent à se mélanger. Je suis maintenant certaine que Gabriel est un gentleman qui ira dans le sens de nos plaisirs.
Les caresses vont durer longtemps, longtemps,
leurs doigts vont me faire jouir a plusieurs reprisent leur langue aussi. Je suis anéantie de plaisir, jambes ouvertes cuisses écartées et trempées de mes liquides, tantôt cambrée sur les fesses tantôt recroquevillée sur ma poitrine. Mes cris retentissent sur laltiplano, les peaux sont électrisées, les odeurs du sexe envahissent la pièce pour accroitre encore les désirs.
Jembrasse les sexes, les lèvres, les peaux qui passent sur mon visage, je ne peux prodiguer de caresses. JF boit à ma fontaine, jai limpression de ne plus maitriser les mains qui me fouillent, mes seins écrasés, pelotés, embrassés. Les mains de Gabriel prennent le relais de JF autour de mon entre cuisse, ses doigts entrent en moi a leur tour, puis sa langue, douce et méticuleuse. Il boit lèche et senfonce en alternatives rapides.
Ils ne me laisseront reprendre mon souffle qua la limite de mon épuisement, tellement je suis déchainée dans mon comportement. Les deux hommes se retiennent, si fort, si longtemps
bouche ouverte langue sortie jimplore, je souffle, tremble et frémis sans cesse, je voudrais être prise
ils me laissent espérer, avant dentamer dautres caresses, je suis comme folle de désir ! Je demande, je cris viens ! Sans même savoir au quel des deux je madresse. Je perds pied dans ces orgasmes répétés ! Mes mains crispent le matelas, je ne sais plus rien retenir, je moffre sans retenue et je sais que mon attitude renforce les envies quils contiennent. Je demande grâce et lobtient en meffondrant assouvie, épuisée, molle et aplatie sur le lit, ou ce quil en reste. Ils mont fait jouir tellement, comme jamais avant de ma vie, sans jouir eux-mêmes ni même me pénétrer
.encore
.
Mon cur a besoin de calme, ma respiration aussi, ces messieurs semblent toujours frais et dispos. Ils ont trouvé le moyen de me combler et de se retenir pour continuer la soirée
quelques gouttes de sueurs quand même perlent sur leur peau. Les sexes sont bien dressés et humides. On se sourit dans cette pénombre, silencieux maintenant, plus de râle. Je donne quelques baisers. JF et Gabriel me délie.
Doucement les caresses reprennent comme si de rien nétait.
Discrètes, sur le ventre les épaules le visage le cou les hanches les jambes les pieds, quatre mains simultanées. Je reprends vie et espère à nouveau
lentement. Je me tourne vers Gabriel laissant mon dos et mes fesses au contact de JF.
Je sens son sexe, entre mes fesses, glisser en lentes alternances. Il tient mes hanches, Gabriel gobe mes seins. Je sens sont sexe gonflé sur ma cuisse se raidir plus fort et se tendre encore. Je les caresse maintenant. Jai un sexe dans chaque main, lents mouvements alternés et simultanés, le pouce serre un peu plus leurs extrémités humides Ils râlent légèrement à leur tour. Je continue et amplifie la cadence et la fermeté de mes paumes. Je sens le désir qui monte, leurs caresses moins contrôlées ou même interrompues. Je me retourne pour changer les règles du jeu. Jai maintenant le sexe de Gabriel au creux des reins. Il se tend à intervalles réguliers, puis glisse entre mes fesses, long dur et chaud. Il enserre dune main ferme et douce, ma croupe rebondie que je pousse vers lui pour mieux ressentir le désir, quil retient. Quelle excitation, désirs envies et voluptés. JF membrasse du haut en bas, les seins, le ventre, ma bouche entre ouverte. Il se redresse et caresse mon visage de son sexe que jembrasse et masturbe.
Nos regards se croisent pour un échange vertigineux.
Je ne suis plus quoffrande aux plaisirs des hommes.
Je soulève la jambe pour ouvrir le chemin de ma caverne au sexe de Gabriel. Il y glisse son envie et reprend ses mouvements le long de mon sillon, jusqu'à mon clito gonflé.
Ses mains pétrissent mes fesses, jondule et roucoule de plaisir. Les râles et gémissements se croisent, pour accroitre encore plus nos envies ! Le gland protégé de Gabriel trouve le chemin entre les lèvres de mon sexe et me pénètre lentement puis sy enfonce avec vigueur me tirant un cri bestial que je contiens en serrant les lèvres sur le sexe de mon JF. Le long pénis raide de Gabriel lime mon antre sur le devant de mon vagin là, juste, ou les sensations sont si intenses. Je ne retiens aucun cri, aucun gémissement, aucun encore. JF membrasse et mobserve alors que je suis sous les plaisirs de Gabriel, que mon visage reflète mes envies de jouissance, que je suis abandonnée au sexe dun autre dont il entend comme moi quil prend plaisir à menfoncer. Son regard se grave dans ma mémoire, intense partage damour, extase du partage de mes plaisirs, je vois quil est excité des stigmates de mes jouissances offertes par Gabriel, qui râle dans mon dos en me pénétrant si fort, si profond ! Jembrasse mon mari pendant que notre ami semploie sur mon derrière et mon sexe trempé. Je tremble, je crois, je magite avec la même cadence que mon amant. Je ressens son désir atteindre son paroxysme dans une ultime tension où il se libère, avec des « han, han
», à chacun des coups de boutoir de sa queue au fond de mon sexe serré. Je bave de plaisir, bouche ouverte, en hurlant aussi « oui, oui, encore
» Nous nous relâchons dans lassouvissement
Ce spectacle a semble t il réjoui mon mari qui me regarde avec un tendre sourire, sexe dressé non loin de mon visage. Je retire la main qui serrait la fesse ferme de Gabriel pendant notre coït et la tend à JF pour quil se rapproche et membrasse goulument. Gabriel embrasse mon dos se retire de mon corps et séloigne.
Vivre et imaginer ce que qui vient de se passer a un effet impensable, inimaginable sur ma libido. Que mon mari me regarde jouir dun si bel amant ! Quel délire !
Je me couche sur le ventre, jambes entre ouvertes, et laisse à
JF le soin des caresses. Il pose ses lèvres tout le long de ma colonne, puis sur toute la longueur de ma fente pour descendre le long de ma jambe jusquau bout du pied. Il remonte lentement, et, cette fois, plonge entre mes cuisses, à peine relevées, pour boire les liqueurs damour, de mon sexe trempé des plaisirs juste reçus. Sa langue fait le tour de mes lèvres et des bords de mon vagin encore gonflé des frottements et de la jouissance de Gabriel. Ses mains écartent mes fesses, il suce mon petit trou et plonge dun coup sa queue en moi. Je me redresse pour laccueillir. Le désir dêtre prise revient, je veux mon mari si fort ! Va et vient en moi. Les plaisirs de la chair ont repris, violents, je mabandonne à nouveau. Je sens que JF ne pourra pas se contenir longtemps. Nos envies si fortes, lintensité du désir, mes cris à nouveau jaillissent. Je suis au bord de lorgasme aussi, je veux faire patienter. Pas facile de tenter de maitriser
Toutes les sensations, les émotions sont revenues si rapidement. Je suis déjà hors de mes retenues, de mes contrôles. Hanches enserrées dans les mains de mon mari qui me besogne avec tellement de vigueur, sans retenir ses râles de male en rut. Jaime ! Je demande encore ; je le veux en moi, je veux le sentir jouir et couler son sperme en giclées chaudes. Notre libido débridée revit les moments de partage avec Gabriel, qui vient de me prendre sous le regard de mon mari. Cest, JF à son tour, qui va mamener à une nouvelle jouissance, je le veux tellement ! Gabriel, revenu, nous observe, ce qui accroit encore notre excitation devenue bestiale. Je serre les poings et mord les draps quand je joui à lunissons de mon mari qui gicle en moi en défonçant mon sexe de brusques et si violentes saccades.
Assouvie, jai été, par mon mari et notre guide chilien.
Au matin, nous repartons, les yeux cernés
. Que ce fut bon !!
Que de souvenirs !
On me dit que jai été marquée par cette rencontre. Oui ! bien sur !
Dabord le lieu extraordinaire des paysages de laltiplano.
Par la beauté et la jeunesse de mon amant, plutôt flatteur pour mon égo. Débarrassée aussi des craintes de la première fois, encouragée par la réaction de notre couple.
Mais surtout par sa capacité à se contenir, à être tourné vers la recherche de mes plaisirs comme sil connaissait mon corps, mes réactions, mes attentes, mes envies.
Ses doigts longs doux et fins qui ont su parcourir mon corps avec les pressions ou les douceurs, là, où et quand, il fallait. Sa bouche, sa langue, qui ont à peine pressionné mon petit trou devinant mes envies et mes craintes et, linterdit quil avait anticipé.
Lorsquencore, ses doigts en moi, évoluaient sur ce quon appelle le point G et quil maîtrisait mes plaisirs ou les débordaient. Sa bouche, sa langue, qui dégageaient mon clito gonflé pour me faire ressentir le désir à son extrême.
Enfin lorsque nos désirs ont abouti, que son membre arqué, tendu, long, rigide, au tréfonds de mon corps ma transpercée de son jet chaud et puissant, que jai ressenti malgré la protection. Ses mains crispaient mes fesses et mes hanches, sont bas ventre écrasait mon sexe béat.
Mon mari ma dit avoir failli jouir, avec nous, lorsquil a vu nos corps arque bouté lun dans lautre, nos visages grimacés du même plaisir de la jouissance intense, accompagné par nos cris du coït partagé, et les tremblements de lassouvissement.
Cest à ce moment quil ma embrassée, alors que je venais de croiser les étoiles du septième ciel.
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