O Belle Demoiselle 5
- Oh oui! J'en ai bien... l'intention, princesse...
- J'aime... J'aime tes mains sur mes petits... seins !
- Ils sont si mignons...
- Tu sais pas à quel point tes mots me touchent, David. Je suis heureuse que ma toute petite poitrine te plaise autant que ça. J'aurais pas pu trouver un meilleur amant que toi...
Mes mains doucement et tendrement maintenues sur sa belle poitrine menue, je laissais Cécilia me chevaucher et aller et venir sur moi. Je me maintenais, je m'arrimais à ses seins minuscules qui pointaient et je constatais qu'elle était de plus en plus en sueur du fait des efforts qu'elle produisait en faisant l'amour avec moi.
Elle, elle jouait de son corps, plus particulièrement de son bassin pour me faire aller et venir en elle. Ainsi... elle variait les plaisirs et elle me faisait la pénétrer tantôt superficiellement dans les premiers centimètres de son vagin, tantôt profondément. Tantôt lentement, tantôt frénétiquement. Tantôt c'était limite si elle éjectait mon sexe du sien, tantôt elle me faisait la pénétrer loin dans son vagin. Je bandais tellement que j'étais stupéfait de l'ampleur et de la grosseur de mon érection. C'était moi ou bien...? J'avais l'impression que dans ces moments-là, Cécilia me faisait la pénétrer si profondément que... j'abordais les rivages inconnus de l'entrée de son col de l'utérus. N'avait-elle pas mal? Cécilia gémissait tellement, si bruyamment, à la limite de crier voire même de hurler.
- Mon a... mour!
- Cécilia... Cécilia...
- J'ai pas mal, mon joli David, si c'est la question que tu te poses... Je te rassure. Je gémis... Je crie... Mais tu me donnes tellement de plaisir... C'est si... bon... C'est... bon quand c'est profond en moi... Continue... Continue... T'arrêtes pas...
- Cécilia... Oui...
- Tu sens comme c'est bon à l'intérieur de moi?
- Tout... chaud...
- J'aime être.
- T'es bonne... Qu'est-ce que t'es bonne...
- Da... vid! Mmmh...
​​​​​Si elle continuait de pousser ces soupirs, ces gémissements, ces cris alors qu'elle me tournait le dos, qu'elle me chevauchait et qu'on faisait l'amour, je ne répondrais de rien au moment où je jouirais dans son vagin. Et... à l'allure à laquelle elle allait et venait, mon plaisir, lui aussi, augmentait, croisissait. Il était de plus en plus délicieux, de plus en plus intense. De plus en plus inexorable, de plus en plus irrépressible. Le mouvements de Cécilia sur ma queue étaient de plus en plus rapides, de plus en plus frénétiques. De plus en plus francs, de plus en plus profonds.
Elle me montait à merveille, si l'on pouvait dire. Elle avait dû être Andromaque ou une Amazone dans une autre vie, ce n'était pas possible ! Elle avait les bras légèrement portés vers l'arrière et c'était ainsi qu'elle parvenait à trouver un équilibre, certes précaire et instable, mais un équilibre où elle se cramponnait à moi, et ça lui permettait de me toucher par la même occasion. Moi... mes mains étaient tantôt sur la chute de ses reins, tantôt elles lui modelaient ses petits seins tout mignons et les lui caressaient. C'était... bon. C'était parfait. On entendait les oiseaux chanter. On était caressés à la fois par le soleil et par le vent tout léger qu'il y avait cet après-midi là. On entendait les branches du saule auprès duquel nous étions. On entendait se balancer tout doucement, remuer. Nous faisions l'amour et nous nous sentions seuls au monde. Le reste n'avait pas, plus d'importance. Nous étions bien, si bien, elle et moi, à faire l'amour.
Da
vid
Elle venait en
core de soupirer. Cécilia ne pouvait décidément pas s'en empêcher, de soupirer. Mais il fallait la comprendre. Le plaisir était en elle. Le plaisir faisait partie intégrante d'elle, c'était aussi simple que ça. Faire l'amour avec Cécilia, ce n'était que pour pur plaisir.
Da
vid
Ma belle Cécilia
Libère-toi, mon cur
Libère-toi à présent
C'est ce que je te demande. Tu me fais l'amour, et j'a
dore
Mais
moi aussi
je veux que tu prennes
ton pied
Pilonne-moi
Défonce-moi
Je veux tout ça
Je
veux
Cécilia
Je
veux
Mais
toi ? Et toi ?
Je le prends déjà
mon pied
C'est
chaud
Chaud
bouillant, comme de la lave en fusion
dans mon corps
dans mes veines
dans mon sexe
J'en ai même le feu au cul, si tu veux tout savoir
Tu peux pas t'imaginer
à quel
point
Hmmmm
J'ai entendu ces mots, et alors
ça a été plus fort que moi. Elle avait dit qu'elle avait carrément le feu au cul. Très bien. J'avais reçu le message cinq sur cinq. Tout en restant précautionneux, j'empoignais davantage fermement ses petits seins. Le bout de mes doigts sur ses tétons
je me suis mis à les pincer tout doucement, ses tétons.
Da
vid !
Ché
rie !
J'aime
J'aime tes ca
resses ! Pu
tain !
C'est tout chaud en toi
Tout
bon
Et
toi
tu es bien
dans mon minou
Je
le
sais
Céci
lia
Continue de me chevaucher
de me baiser...Je vais t'y aider, à jouir
Je te le promets.
Oh oui, trésor ! Je veux ! Je veux !
Ma belle
Tes tout petits seins pointent
Tes tétons sont tout durs
Et quand tu me chevauches et et que tu vas et que tu viens sur moi, je le sens, ton corps tout chaud. Tu es en chaleur
Et tu ne demandes que ça
Tu ne demandes qu'elle
Ma
queue dans ta chatte
Avoue ! Avoue que tu es venue vers moi pour ça
Tu voulais te prendre des coups de queue aujourd'hui
A
voue-le
A
mour
Oui
Je me suis arrimé plus fermement à elle, et dès lors, mes mains se sont posées sur la chute de ses reins. Je l'ai faite aller et venir sur moi plus franchement. Elle, elle s'est mise à gémir, et à crier plus bruyamment.
Putain, Cécilia ! Caresse-toi !
Chéri
Je la sens, ta queue en moi
Elle me défonce
Elle est grosse
Elle est
bonne
AH !
Elle venait de crier une fois de plus de manière bruyante. Elle ne contrôlait plus rien et elle se laissait aller. Il faut dire que je la ménageais plus depuis qu'elle m'avait carrément demandé de la pilonner, de la défoncer. Je la prenais avec force, avec ardeur, franchement. Je la faisais aller et venir sur mon sexe. Nos sexes s'entrechoquaient à mesure que notre partie de jambes en l'air devenaient de plus en plus bestiale. C'était baiser, il n'y avait pas d'autre qualificatif pour décrire ça à ce moment-là, ce que nous vivions, Cécilia et moi.
Ses chairs étaient mouillées. Humides. Trempées. Détrempées. Elles enserraient à merveille mon sexe pendant mes va-et-vient en elle. C'était agréable. C'était parfait.
Da
vid !
Miss
Ce n'est que pur délice d'être en toi et de te baiser comme tu en as envie...
Ce n'est que pur délice de me prendre tes coups de queue dans la chatte, joli garçon
À mesure que l'on baisait et qu'elle mouillait , un bruit de clapotis se faisait entendre, et ce, de plus en plus.
Da
vid ! David ! David !
Elle haletait. Elle soupirait. Elle gémissait. Et soudain, elle s'est mise à crier mon prénom. C'était comme si sa vie en dépendait.
David ! David ! David ! David ! T'arrêtes pas
Surtout pas
Ça, il en est pas question, miss
Je plaisante pas. C'est trop bon
T'arrêtes pas
T'arrêtes pas
Je vais
je vais jouir !
Elle allait et elle venait sur moi sans arrêt. C'était frénétique. C'était fou. C'était dingue. C'était intense.
Je coulissais à la perfection en elle.
Mes mains sur le corps moite de Cécilia
C'était trop bon de la sentir aller et venir sur moi, sur mon sexe.
David
Soupir de Cécilia.
Ca
resse-toi
Cé
ci
lia
Oui, mon coeur
Nouveau soupir de Cécilia.
Sur ces mots, je sentais mon sexe particulièrement plus enserré par le sien. Elle portait ses doigts sur son minou et elle se caressait. Elle en soupirait. Cécilia m'excitait grave, c'était aussi simple que ça. Ce n'était que pur plaisir de lui faire l'amour, de la baiser.
David
Tu aimes qu'une fille te caresse tes couilles ?
Comment tu as
deviné, ma belle ?
On est sur la même longueur d'onde, joli garçon. Moi aussi, je veux
ton plaisir
Ton sperme
en moi
Tu n'as pas oublié ? Je veux pas que tu m'oublies, tu m'entends, David ? Je veux pas.
Pas question de ça, mon coeur. Même pas en rêve.
Bien. À présent, tu te laisses aller et tu me laisses te caresser
J'en ai gémi de plaisir quand elle a passé sa main qu'elle avait léché au préalable et qu'elle avait donc imprégné de sa salive, et ce sur la tige de mon sexe. La réaction
Ma réaction a été immédiate :mes mains ont légèrement remonté sur son corps et s'arrimaient à elle avec fermeté. Elle, le plat de sa main me caressait. La stimulation due à ses caresses en était
pfiou
délicieuse. Sa main est descendue et a maintenu la caresse sur mes testicules. Elle les massait. Avec le plat de sa main, elle les palpait délicatement. C'est délicat, les bijoux de famille, c'est vrai.
A
mour
Tu la sens, ma main ? Tu la sens ?
J'en ai gémi de plaisir.
Mon a
mour
Baise
moi !
Baise
moi, David ! Baise-moi ! Je VEUX que tu me pilonnes et que tu me défonces
. Maintenant !
Princesse
David
Mon David
Je demande que ça
Que tu me baises
Parce que ta queue en moi
C'est trop bon
Je suis une créature sexuelle insatiable
T'aimes... ça, te prendre un bon coup de queue ! T'aimes ça
J'aime ça, David
Et mes mains sur tes tout petits seins
Tu
aimes ?
Mes seins
Ils sont si sensibles
Et pourtant si petits
Mais le truc
C'est qu'il faut être délicat
très délicat
avec ces deux toutes petites merveilles
Elles sont si belles, tes deux toutes petites merveilles
Et quand elles pointent
Rhoo
!
Tu t'en occupes si bien, joli garçon
On a beau avoir des petits seins comme moi, nous les filles, ça n'enlève en rien au plaisir qu'on prend quand on nous les caresse
J'aime
tes tout petits seins
J'aime
les petites poitrines
David
Je comprends mieux alors
J'ai un faible pour les petits seins, Cécilia. Depuis toujours. Je ne plaisante pas avec ça.
Joli garçon
Ils sont si beaux, les tiens. Tout mignons, princesse
Ils me plaisent beau
coup
Sur ces mots, je les ai pincés tout doucement, ses mamelons. Du fait qu'elle prenait du plaisir alors que je continuais de stimuler et de caresser ses seins, ses tétons étaient durs et ils continuaient de s'allonger. Cécilia a eu comme un tremblement, comme si elle avait la chair de poule, alors que j'osais cette caresse de ses seins.
Elle poussait des gémissements de plus en plus rapides, de plus en plus rapprochés les uns des autres. C'était la même chose quand elle soupirait. Elle était au comble du plaisir, à son paroxysme, et elle se sentait bien.
Mmmh
David
Soupir.
Je
savais
! Je
savais
qu'ils étaient
sensibles, mes
seins
. Mais
là
À ton
contact, c'est
plus
Bien
plus
Elle haletait et elle avait de plus en plus de difficultés à s'exprimer à présent. Elle avait clairement le souffle court. Il faut dire que je ne la ménageais plus avec mes coups de butoir particulièrement francs et
audibles. Je la baisais. Je la pilonnais. Je la défonçais. Mes testicules claquaient contre les chairs de sa porte du plaisir. On entendait tout aussi bien le clapotis qui se produisait en elle du fait de sa cyprine ruisselante qui s'écoulait et que je sentais couler hors de son sexe et qui se déversait abondamment sur mon membre.
David
David
C'est trop
bon ! Pu
tain ! Je suis toute proche
Toute
proche
Ça vient
Je sens que ça
vient
T'arrêtes pas
T'arrêtes pas
Et là, comme de par hasard si l'on pouvait dire, elle s'est remise à bouger sur moi et à me prendre en Andromaque inversée. Son sexe absorbait le mien si fluidement, si agréablement.
Tu sens comme c'est
mouillé, comme c'est
chaud et
doux en moi ? C'est
si
bon
entre nous, ché
ri
Continue, ma belle
Pour moi
Je veux, bébé
Je veux !
Vas-y, ma belle
Lâche-toi
Jouis.
Da
vid ! S'il te plaît. Continue
Continue de me faire aller et venir sur toi
Continue de me baiser comme ça
T'arrêtes pas
Chérie
Même pas en rêve
Oublie pas ce que je t'ai dit pendant nos préliminaires
«Les petites salopes dans ton genre, elles doivent jouir.»
Je n'ai pas oublié.
C'est si
bon d'être en toi
de te baiser...
Joli garçon
C'est si
bon de t'avoir en moi
C'était comme une partie de ping-pong entre nous. On ne calculait rien. On se laissait juste guider et
emporter par le courant du plaisir. On vivait l'instant présent. On savait qu'il n'y avait que très peu de chances pour que l'on remette ça un jour. Cet après-midi, ce parc.
David
Je les aime, tes coups de queue
Ils sont si bons
Je prends que du plaisir avec toi cet aprèm'. C'est trop
bon !
Et
toi ! Ta
cha
tte ! Elle est toute mouillée ! C'est tout
doux et si
agréable
à l'intér
ieur !
David
Tu me donnes en
vie de me caresser encore là, quand tu me parles comme ça !
Cécilia ! Pu
tain ! Caresse-toi, alors !
Joli garçon
T'aimes
ça
quand je me touche
Hein, t'aimes ça !
T'assumes complètement ton plaisir quand tu fais ça
Parce que ça me plaît de me masturber
Je me masturbe depuis que je suis ado, et j'a
dore ça
Je kiffe ! Quand je me caresse, je me passe mes fantasmes dans ma tête
et ça m'excite grave
Et quand je me branle le clito et quand je me mets des doigts dans la chatte
dans mon cul
je suis toute dévergondée
J'aime
ça
Ça me fait jouir. Et là...
Et là
Je suis en train de te prendre en plein air et t'aimes ça
Ça t'ex
cite
Qu'un beau gosse comme
toi me fasse l'amour
me baise
Mmmh
Oui
Ça m'ex
cite
Ta chatte est si bonne
Je la sens vibrer
Je VIBRE, Da
vid !
Toi
Tu vas jou
ir
Da
vid ! Je veux ! Je VEUX !
Vas-y, ma belle. Lâche-toi. JOUIS !
J'étreignais fermement Cécilia et je la faisais aller et venir sur ma queue. Cécilia n'en finissait plus de haleter. Son corps était moite. Du fait que son corps était couvert, recouvert de sueur, il me devenait de moins en moins aisé de maintenir mon étreinte ferme sans que mes mains ne glissent. Mais c'était agréable de l'étreindre, son corps, à Cécilia. De le toucher. De le caresser. Je voulais qu'elle se sente bien, jusqu'au bout.
Je sentais que mon sexe coulissait avec aisance dans le sien. C'était si fluide, et ça, plus particulièrement quand elle se caressait. Elle haletait. Elle gémissait. Et à présent
elle hoquetait de plaisir. Je ne sais pas pourquoi
mais j'avais comme l'impression
qu'elle était sur le point de jouir...
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