Je L'Ai Bien Cherché (2)

J’étais là, à genoux dans le sable avec une belle verge dans la bouche que je m‘efforçais de sucer au mieux malgré mon inexpérience. Je la sentais coulisser et frémir dans ma bouche tandis que l’autre derrière moi continuait à me branler de sa main et se laisser aller parfois à quelques palpations plus appuyées sur mes fesses, voire quelques claques et parfois même aventurait un doigt entre ces dernières.

Je ne savais plus où j’étais, ce que je faisais, j’avais franchi les limites du raisonnable pour un homme marié, mais le désir était là et je sentais que ce dont j’avais rêvé maintes fois se réalisait enfin.

Pourquoi faire machine arrière, la nature m’avait faite ainsi, je devais assumer.
J’étais là, vulnérable, mais pas décidé à quitter les lieux.

C’est alors que derrière moi la présence du brun disparue. Que faisait-il ?
Je le vis farfouiller dans un sac de plage et en sortir un préservatif.

Pourquoi, il n’allait pas en plus de cette première pipe, s’occuper de moi plus profondément.

Mais il fallut me rendre à l’évidence et je compris très vite ce qu’il avait dans la tête (ou ailleurs) quand le bruit de l’étui qu’on déchire me confirma qu’il comptait bien l’utiliser.
Il enfila alors la capote sur sa verge en pleine forme et me regarda avec un regard moqueur en arborant son sexe fièrement équipé.

Pour ma première, ça risquait d’être la totale, et un moment de lucidité ou de peur me commanda d’arrêter, mais le pouvais-je encore ?
J’arrêtais momentanément la fellation que je pratiquais pour dire quelques mots ;
« Non, s’il vous plait, je ne pense pas être capable d’aller plus loin, je ne l’ai jamais fait ».

Seuls, quelques rires confirmèrent que la partie était perdue d’avance, et le blond me repris la tête avec véhémence afin de continuer mon ouvrage sur sa verge toujours tendue.

A nouveau le brun repris sa position derrière moi et me claqua les fesses avec plus de force que les fois précédentes.

Sous cette claque je me crispais et une seconde s’abattit dans la foulée, mais cette fois la main resta en place sur mes fesses, et je sentis alors un doigt fureteur s’insinuer entre mes fesses. Ecartant mes deux lobes, ce doigt commença à me caresser la pastille qui très sensible me produit de nombreux frissons de plaisir bien que la crainte de la suite ne se soit pas encore dissipée.
Ce doigt inquisiteur chercha doucement mon orifice et malgré moi je me détendis sous son contact et il m’appuya plus fermement sur l’anneau qui accepta sans peine la première phalange.

Le propriétaire de cet intrusion remua légèrement son doigt de manière à le faire progresser plus profondément jusqu’à me le mettre en entier. C’était agréable malgré ma gêne d’être là à leur merci, soumis, et je me laissais aller à cette intrusion.

Puis au bout de quelques instants de ce doux traitement le doigt sortit de mon anus et je sentis alors quelque chose couler entre mes fesses jusqu’à ma rondelle qui venait ainsi d’être graisser par de la salive. Je compris que le moment redouté mais dont je rêvais bien souvent ne pouvait qu’arriver sous peu.

J’avais vu sa verge épaisse au gros gland violacé et je savais que le pauvre doigt que j’avais reçu n’était rien à côté de ce qui m’attendait et j’en frémis un peu d’appréhension. Je ne dis rien compte tenu de ma bouche était pleinement occupée par l’autre membre qui donnait des signes d’excitation intense en gonflant de plus en plus et en générant chez son propriétaire de légers soupirs indicatifs d’une jouissance prochaine.

C’est alors que deux mains fermes me prirent les fesses et les écartèrent de manière à rendre plus accessible encore mon orifice. Quelque chose de tiède et de bonne consistance se posa alors sur mon trou et commença à exercer une pression.
Voilà j’allais y passer, devenir véritablement la femelle d’un mec, et malgré ma crainte j’en éprouvais aussi un certain plaisir.
Ce plaisir s’estompa rapidement quand le gland força mon anneau et commença à m’ouvrir l’anus.
La douleur que je ressentis lors de l’entrée de ce gros gland ne peut-être décrite avec précision, une douleur aigüe irradiait mon fondement et je me surpris à libérer quelques larmes liées à la douleur générée par cette effraction.
La progression du membre dans mon trou du cul s’arrêta et celui qui occupait ma bouche s’activait de plus en plus et me prit soudain fermement la tête pour se libérer en longs râles de plaisir, il inonda ma bouche, je sentais très nettement ces spasmes libérateurs m’arroser la gorge. J’avais la bouche pleine du sperme d’un homme, et des hauts le cœur me firent me libérer la bouche de ce sexe pour recracher cette semence qui m’avait inondé.

L’autre excité au plus haut point par ce qui venait d’advenir, repris sa progression dans mon anus, réactivant la déchirure de mes entrailles, me faisant pousser de forts gémissements. Bientôt la toison de mon bourreau toucha mes fesses et je compris alors que la totalité de sa verge occupé mon cul. J’avais l’anus en feu et me tenant fermement les hanches le brun commença à aller et venir dans mon trou en soupirant de plaisir. Mon anus novice et serré ne pouvait que satisfaire son gros membre qui y coulissait maintenant suivant un bon rythme.

Je poussais toujours des gémissements à chaque poussée de son membre, la douleur irradiait toujours mais se faisait moins violente, mon anus devait certainement se détendre et s’habi à ce visiteur. Ma verge qui avait perdue sa contenance lors de la rentrée du gland dans mon cul, reprenait doucement forme preuve que cela me procurait malgré tout un certain plaisir. Je ne pus m’empêcher alors de porter la main à ma verge et de me branler au rythme des coups de butoir qui remuaient mon corps.

Serrée comme elle l’était dans mon fourreau anal, je sentis sa bite se raidir encore, gonfler encore, et alors que ma verge se libérait de sa semence provoquant des contractions de mon anus, je sentis le membre m’investir à fond et se libérer par poussées successives générant de forts grognements à son propriétaire.


Satisfait et vidé, il sortit sa queue de mon cul, la capote pleine de sperme témoignant de son plaisir et me dit que j’avais voulus voir ce qu’était le plaisir entre hommes et qu’ils avaient du réussir à satisfaire ma curiosité et que je pouvais décamper maintenant.

Je réajustais le peu de vêtement que j’avais et quittait les lieux un peu sonné de ce qui venait de m’arriver.
De retour à notre location, ma femme me trouva bizarre, je prétendis un mal de tête certainement du au soleil. Je fis de mon mieux pour que l’on ne s’aperçoive pas à quel point j’avais du mal à rester assis, mon anus me faisant encore sérieusement souffrir et me rappelant sans cesse cette première expérience inoubliable.

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