Parcours Croisés (2)
Alain
Il fait chaud cet après-midi et jai promis de tondre la pelouse
galère.
Ma voisine a lair de jardiner aussi. Quelle tenue ! T-shirt informe. Elle la sûrement piqué à son mari, elle nage dedans. Lui, je lai déjà vu une ou deux fois, bonjour-bonjour, sans plus. Il a lair dun gros beauf. Je lai vu partir un matin avec son bahut. Jai rien contre les camionneurs, mais lui, cest une caricature : bide, moustache, gouailleur
Par contre elle, elle nest pas si mal, mais elle sarrange pas avec son t-shirt pourri. Euh
jai aussi un vieux short et un t-shirt plein de peinture, pas mieux. Je men fous et elle aussi sans doute. Allez, au boulot
et maintenant tailler les bordures des massifs, pas drôle non-plus
La voisine est toujours à genoux devant ses fleurs, elle na presque pas bougé depuis une heure. Deux trois fois quand jai regardé vers elle, il ma semblé quelle tournait brusquement la tête. Mes pectoraux te plaisent, ma poule ? Jai enlevé mon t-shirt, trop chaud, et elle mate en douce
moi aussi dailleurs ! A genoux, elle me tourne le dos et je vois son cul se balancer pendant quelle arrache ses herbes. On dirait que ça fait une heure quelle arrache les mêmes, dailleurs, se déplace pas beaucoup. Ah si !
oh ! Oh ! Penche-toi à peine plus et
et je vois ta culotte ! Petit bout de tissu noir
jolies cuisses ma voisine !
En ramassant ce que je viens de couper le long de la barrière, je surveille du coin de lil. Son t-shirt a bien gentiment remonté dun coté : sympa finalement ce truc. Un morceau de tissu noir, lélastique qui mord sur la fesse. Maillot de bain ou culotte ? Culotte, ça me plait de limaginer en culotte. Le coté qui a glissé laisse voir le pli entre la cuisse et la fesse, chair généreuse, tremblant de ses mouvements. Si elle tourne la tête je lui dirais bonjour
quoique non, autant continuer à profiter du spectacle ! Peut-être quelle se rend compte de ce quelle laisse entrevoir
Elle fait exprès ? Non, je me fais un film
En tout cas cest gentiment excitant ! Un joli petit cul qui se balance comme ça sous mes yeux !
Cinq heures, temps darrêter.
Mes outils rangés, je me déshabille dans la salle de bains, amusé de constater que le peu entrçu des fesses de ma voisine a laissé mon gland tout humide : un petit filet qui sétire, comme un fil de salive, quand jenlève mon slip
mais cest quelle ma excité ma voisine !
Jenjambe le rebord de la baignoire, tire le rideau de douche et me glisse sous le jet deau que je règle tiède, presque froid.
Les images continuent à défiler... ses cuisses à peine ouvertes, le pli de sa fesse
Je les étoffe :
des reins qui se creusent
des fesses qui se soulèvent
une main qui se glisse dans son dos, un doigt qui glisse sous lélastique de la culotte pour la remettre en place
et la laisse plus écartée encore
le t-shirt plus relevé quauparavant.
Ma main pleine de produit douche sattarde sur mon sexe quasiment dressé, retrousse la peau du prépuce et la remonte, mes doigts passent doucement à la base du gland déjà gonflé par un afflux de sang. De mon autre main, je rejoins pouce et index au-dessus de mes couilles durcies, je les empêche de remonter vers mon ventre. Faire durer, tout doucement, images défilant dans ma tête. Je me caresse dun lent va-et-vient sur la longueur du sexe, doigts légers, à peine serrés, remontant en griffant doucement, yeux clos et tête levée vers leau de la douche
Le rideau de douche qui sécarte :
- Eh ben ! Tu penses à moi jespère !
Martina !
Jouvre les yeux et lui tourne brusquement le dos en perdant presque léquilibre sur leau savonneuse.
- Tourne-toi ! Montre-moi ça !
Son ton est moqueur, demi-colère.
Je tourne seulement la tête :
- Tes déjà là ?
- Apparemment tu ne mattendais pas
oh, mais cest quil est tout rouge !
Lèvres pincées, bras croisés, elle ne me regarde pas, elle a le regard baissé sur mes fesses.
- Je ne tai pas entendue arriver
- Oui, je vois ça.
Son regard est toujours baissé, braqué sous la ceinture.
Je me retourne doucement, masquant mon sexe de ma main. Je bande moins, mon sexe est quasiment horizontal, difficile à cacher.
- Les mains dans le dos ! Je veux te voir,
allez
dépêche !
- Bon, ça va ! Laisse tomber
Je me sens très con, là, et je sais ni quoi faire, ni quoi dire, pas drôle !
Martina pose son index sur mon plexus, les yeux toujours baissés sur mon sexe, de son autre main
Elle écarte mon bras, sans vraiment me toucher, du dos de sa main.
Je sens son regard, le poids de ses yeux sur moi, plutôt glaçant, et en même temps, je sens que mon sexe se redresse. Je sens à des picotements sur mes joues, que bêtement, mon visage est toujours aussi rouge et je men veux. De bander, de rougir, dêtre surpris dans cette situation. Je la regarde toujours, vois ses lèvres serrées sétirer en un sourire narquois.
- Enlève tes mains !
Lentement, je baisse les bras.
Agacé, gêné,
et en même temps ça me plaît.
Les yeux rivés sur mon sexe, elle sassoit sur le rebord de la baignoire, se penche, tend le bras, prends un flacon de savon-douche :
- Tends ta main !
Jai les yeux rivés sur son visage : masque figé. On vit ensemble depuis trois mois, et je ne lui ai jamais vu ce visage-là.
Je tends la main droite. Elle débouche le flacon et me remplit la main de produit.
- Ce que tu étais en train de faire
continue
je veux voir !
Elle pose le flacon, croise les mains sur ses genoux. Elle na toujours pas levé les yeux vers moi, et je reste la main tendue, temps arrêté, conscient à lextrême de mon sexe tendu, je sens la peau du prépuce qui glisse doucement vers la base du gland, comme si ses yeux la tirait vers le bas, je sens mes couilles contractées, je sens la peau du scrotum durcie, tendue, provoquant la remontée des couilles vers mon ventre.
- Caresse-toi.
Je ferme les yeux. Je la vois encore, pourtant. Je sens le poids de son regard. Je sens toujours mes joues qui piquent, je veux arrêter et je sais que je vais le faire, je vais lui obéir, je sens mon sexe raidi à lextrême, je sens le sang palpiter dans mon gland, je sens mon scrotum qui se contracte, je vais le faire, pour ses yeux qui pèsent sur moi, pour elle et pour moi, en même temps envie dêtre ailleurs et envie que ça sarrête pas. Le temps sest arrêté depuis quelle est arrivée. Je ne sais pas trop si je rêve. Si, je sais, je ne rêve pas, ce nest pas le temps qui sest figé, cest moi qui le suis. Je ne sais pas trop où jen suis, excité comme jamais. Je ne me suis jamais branlé devant elle, je ny ai même jamais pensé.
et ma main commence à bouger, et je sens les yeux de Martina qui me brûle,
, et je sens mes couilles durcies, je les sens bouger quand ma main remonte sur mon sexe, je les sens se glisser sous la peau de part et dautre de ma queue, et ma main commence un lent va-et-vient, mécanique.
- Quand jsuis arrivée tu tenais tes couilles dans lautre main, fais pareil, fais pareil que tu faisais, je veux voir comment tu toccupes de toi quand je ne suis pas là. Serre-les dans ta main.
Sa voix a changé, toujours sèche, toujours la même autorité sous-jacente, mais plus voilée. Jouvre les yeux pour la regarder, une seconde
- Ferme les yeux ! Je tai dit de fermer les yeux ! Prends tes couilles dans ta main!
Je lâche mon sexe. Du pouce et de lindex de part et dautre de mon sexe je repousse mes couilles vers le bas, je plie les genoux en écartant un peu les cuisses, et je referme les doigts de la main gauche au-dessus des couilles en les repoussant, resserre jusquà ce que mon pouce et mon index se croisent.
- Dans lautre sens, mets ta main dessous, je veux les voir aussi.
Je les relâche, les prends dans ma main droite, passe ma main gauche dessous et referme le pouce au-dessus.
- Serre plus fort !
Je resserre mes doigts. Les couilles compressées et étirant la peau, exposées à sa vue. Je reprends mon sexe de la main droite et recommence à me branler.
- Tu te caresses souvent sous la douche ?
-
- Réponds-moi. Ta déjà fait cette semaine ?
- Non
- La semaine dernière ?
- Je sais plus
- Dis-moi
tous les gars se branlent
sois pas hypocrite !
- Des fois
- Et tu penses à quoi ?
-
(limage de la voisine arrive immédiatement !
rien dire !)
- Tu fais toujours pareil ? Pourquoi tu mas jamais demandé de te serrer les couilles si taimes ça ? Parce que taimes ça, hein ?
accélère
Jai toujours mes couilles serrées et tendues vers elle et tout à coup je sens ses ongles sur la peau tendue. Elle passe ses ongles, pince les couilles entre ses ongles, de temps en temps tire sur les poils. Douleur et plaisir en même temps.
- La dernière fois, je tai touché derrière, tas aimé ? Tu aimes quand je te touche derrière ?
-
- Tu aimes ou pas ?
- Oui
- Tu te touches comme ça des fois ?
-
- Tourne-toi, donne ta main ! Non, lautre
Elle se met du savon dans le creux de sa main, prends ma main gauche et menduit les doigts de savon. De ses mains sur mes hanches elle me fait tourner puis appuie dune main dans mon dos.
- Penche-toi ! Allez, penche-toi mieux
mets ton pied sur le bord de la baignoire, je veux te voir faire, penche plus
Elle prend ma main dans la sienne, tire mon bras dans mon dos, me pousse les doigts vers mon anus.
- Voilà
caresse bien
rentre un doigt
Elle a gardé sa main sur mon poignet, et donne le rythme à mon index qui pénètre mon anus.
- Pas terrible comme ça, ty mets de la mauvaise volonté, attends
Elle se lève et jen profite pour me redresser, un pied toujours sur le rebord de la baignoire.
Quelques secondes plus tard elle revient, un petit sourire pincé aux lèvres, mains dans le dos :
- Tourne-toi, je moccupe de ton cul, branle-toi, et ferme les yeux, allez tourne-toi
penche-toi !
Une main me pousse au milieu du dos : je plie la taille, je méquilibre de la main gauche sur le mitigeur. Une deuxième main écarte ma fesse du pouce. Je sens un appui sur lillet de mon anus, une pression plus forte, mon cul qui souvre, un frottement lent. Ce nest pas un doigt, la sensation est différente et ça glisse assez bien. Je sens que lobjet sélargit un peu puis devient plus étroit. Elle ne le pousse plus et il reste en place.
- Redresse-toi ! Mets ton pied sur le rebord !
Elle reprend ma main gauche, la ramène dans mon dos, dirige mes doigts qui se referme sur
une brosse à dents ! Elle ma enfilé le manche dune brosse à dents dans le cul !
Elle appuie sur mon poignet et me fait faire un mouvement de va-et-vient puis me lâche.
- Tourne- toi vers moi, mets lautre jambe sur le rebord
je veux te regarder te branler des deux cotés en même temps
je voulais ça depuis longtemps
on est trop
sages
tu ne trouves pas ?
Je bouge à peine la brosse et je recommence à caresser mon sexe, toujours aussi raide. Elle caresse mes couilles du bout des doigts, les sépare de son pouce, glisse ses doigts entre mes jambes vers lanus, caresse ma main qui tient la brosse à dents, passe un doigt sur les replis de chair qui bougent au rythme du va-et-vient que je lui donne.
- Tas déjà été avec un homme ?
- Comment ça ?
- Je veux savoir si tas déjà branlé un autre homme, si un autre homme ta baisé
si tas déjà eu une queue dans le cul ! Tu comprends, là ?
- Non, jamais.
- Hmm, tu réponds bien vite. Eh ! Ralentis pas ! Te fais pas jouir, mais continue
oui, comme ça. De toute façon, tu ne pourrais pas, je crois
tas lair trop serré.
- De quoi ?
- Tes fesses ! Ton ptit trou à lair trop étroit pour te faire enculer
quoique
si ça te plaisait tu y arriverais sans doute.
Elle a posé une main sur ma hanche et je sens ses doigts de lautre main, plutôt ses ongles, sur mon gland, puis un ongle qui joue avec le trou. Sa main descend, avec deux doigts elle tire vers le bas la peau de mes couilles en pinçant fort la peau, en la roulant entre ses doigts.
- Cnest pas beau tous ces poils ! Je crois que je taimerais bien aussi nu quun gamin. Je te ferai une épilation, un jour
Sa voix sest adoucie, plus basse et plus rauque. Je sens sa main plus lourde sur ma hanche. De son autre main elle tire sur les poils au dessus de mon sexe, sur les cotés, tantôt doucement et tantôt plus fort, étirant la peau.
- Je moccuperai de ça une autre fois, Tes daccord bien sûr ...
Elle repasse la main entre mes jambes, tire aussi sur les poils autour de lanus, le masse doucement autour du manche de la brosse que je ne bouge presque plus.
- Tu sais que jai un gode ?
-
- Tu las jamais vu ? Il nest pourtant pas trop caché
- Je ne lai jamais vu.
Et cest vrai. Il ne mest jamais venu à lidée de fouiller dans ses tiroirs. Je nimaginais même pas quelle puisse avoir un gode. Bon, elle vivait seule depuis plus dun an
alors
pourquoi pas un gode. La seule relation dont elle ma parlé ma plutôt émoustillé. Martina ma raconté quelle sétait fait draguer par une commerciale qui visite sa boîte. Et moi, deux filles ensemble, ça mexcite assez, comme tout les mecs, je crois. Elle ma dit que cétait pas allé très loin : des illades, des bisous qui glissaient vers la bouche, des gestes un peu trop appuyés, mais pas plus :
- Et tu ten servais souvent ?
Rire de Martina :
- Servais ? Quest-ce qui te fait croire que je men sers plus
et quest-ce qui te fait croire que jétais seule à men servir
- Avec ton ancien copain ?
Nouveau rire :
- Tu sais comment il sappelle mon gode ? On appelle ça un double dong
-
- En général cest pour des filles qui jouent ensemble
- Ah ! Tu mavais dit que ce nétait pas allé très loin avec la fille dont tu mas parlé
- Eh ! Nen profite pas, continue !
Elle redonne un mouvement de va-et-vient à ma main sur la brosse à dents toujours plantée entre mes fesses.
- Cétait au tout début, nous deux, je ne voulais pas te choquer.
- Ah, ok
- On ne parlait pas de ça
je te lessaierai peut-être, à moins que tu préfères un mec
- Quoi ?
- Fait pas semblant, tas bien compris.
Elle tire toujours sur la peau de mes couilles et y plante ses ongles. Elle glisse sa main entre mes cuisses, appuie sur le bout de la brosse, lenfonce complètement et repousse ma main qui la tenait.
- A toi de la faire sortir, sans y toucher mon grand !
Du bout du doigt elle donne de petits coups sur lextrémité qui résonnent à lintérieur de mon ventre. Son autre main est aussi entre mes jambes, ses doigts ont dépassé mes couilles et me massent entre les couilles et lanus, ongles sortis.
- Je te lessaierai, mon gode. Je suis sûre que taimera. Je te ferais bien essayer un homme aussi, et comme je serais avec toi, je suis sûre que taimerais aussi
Elle a remonté la main qui soccupait de mon cul et elle me branle le gland entre le pouce et lindex serrés.
- Imagine, imagine une bite dans ton cul pendant que je te sucerais, une bite bien épaisse qui étirerais ton petit cul, mes doigts qui temprisonneraient comme ça
Elle serre mes couilles dans sa main et les tire vers le bas en cadence avec ma main sur mon sexe et ses doigts autour de mon gland, lentement, cest elle qui donne le rythme et je sens quelle ne veut toujours pas que je jouisse.
- Tu veux que jy pense ? Tu veux que jarrange quelque chose ? Regardes-moi !
Jouvre les yeux enfin et la regarde. Fini le sourire pincé. Ses pommettes ont pris de la couleur, elle respire plus vite en me regardant droit dans les yeux, un bout de langue entre ses dents. Les mouvements de ses doigts sur mon gland saccélèrent, la main qui tient mes couilles suit le même rythme, ses ongles se plantent plus fort et sa main se resserre, juste en dessous, ou presque, du seuil de la douleur, ma main suis le rythme le long de mon sexe.
- Regarde-moi, dis-moi que tu veux
dis-moi que je dois te trouver un mec
que tu veux te faire enculer pour moi
demande-moi
dis-moi : « je veux me faire enculer », allez dis-le, dis-le
« je veux me faire enculer pour toi »
- OUUUI, OUUUUI
Nous avons accéléré ensemble jusquau point de non-retour, jai joui comme je navais pas joui depuis longtemps, je sentais la brosse à dents bouger au rythme des contractions de lanus qui accompagnaient les jets de sperme, et je sentais ses ongles plantés dans mes couilles qui bougeaient au rythme de mon plaisir.
Je la regardais droit dans les yeux, elle me regardait droit dans les yeux, et elle riait, se mordait la lèvre pendant que je léclaboussais de mon sperme. Et doucement, dune petite voix sucrée, des paillettes dans les yeux :
- Tas dit oui ! Tas dit oui ! Tu vas te faire défoncer mon grand, tu vas te faire enculer bien profond,
je vais te trouver un homme
et tu le feras pour moi
Elle a relâché la pression de ses doigts sur mon gland et le dernier jet de sperme sest posé sur ses lèvres. Elle a léché la larme de sperme :
- Tu vois, marché conclu !
Elle se lève, me pose un baiser sur la joue, ferme le rideau de douche.
5 secondes, le rideau souvre à nouveau, je nai pas bougé. Martina, yeux embués, pleins de larmes.
Elle prend ma tête entre ses deux mains, ses doigts dans mes cheveux, membrasse brusquement bouche fermée, appuyant très fort ses lèvres sur les miennes.
Elle se recule. Une larme coule sur sa joue. Yeux écarquillés.
Voix basse, douce et intense à la fois :
- Je taime
oh, comme je taime !
Elle me lâche, la larme glisse au coin dun doux sourire, elle recule lentement, ferme la porte de la salle de bain
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!