Le Prof De La Fac
La première année de FAC ma laissée de bons souvenirs, mais sexuellement parlant ce ne fut pas le top. Jeu deux petits amis, nous faisions lamour et moi ma coquine, mais je mennuyais vite avec mes amants ; pour une raison simple, les garçons de mon âge que je fréquentais avaient mon âge justement et insuffisamment dexpérience à mon gout et surtout aucune fantaisie. Beaux
sympas
drôles mais mentalement des ados, quant au plaisir à donner à une femme le vide total : préliminaires bâclés bien souvent, aucun érotisme post-coïtus, puis lacte sexuel qui ne se réduit quà la recherche de leur propre plaisir tournant autour dune, voire deux positions si vous avez de la chance, ponctuées des mêmes phrases stéréotypées du style : « tu la sent bien ? » ou « elle est grosse ma queue hein ?? » et la fameuse quand tout est fini rapidement
trop rapidement !! : « alors cétait bon ? » , puis une fois le préservatif noué et jeté au bord du lit, il vous dit : au mieux quil retourne dans sa chambre pour bucher, au pire quil rejoint ses potes
.
Si bien que je fus vite à la recherche : dun homme plus âgé !!!! Je voulais connaître cet érotisme poussé à lextrême , cette sexualité débridée comme dans quelques films vu au cinéma, pas des films X , non ! des films érotiques avec des scènes de nus très softs ou curieusement le sexe de lhomme est banni alors que celui des filles est exposé, mais dont la volupté et lérotisme sont poussés à lextrême
jétais à la recherche du plaisir avec un homme qui prend son temps, qui vous fait monter la température doucement par des mots , des regards, des gestes calculés
qui vous charme et vous laisse penser que vous êtes unique, de lérotisme au bout de chaque doigt, de la sensualité dans chaque baiser, chaque caresse, lil coquin dans lequel vous sentez quil ne fera de vous quune bouchée mais quelle bouchée
celui avec lequel vous succomberez et tomberez dans ses bras en vous faisant désirer mais si impatiente quil se batte avec votre soutien-gorge et ôte enfin votre petite culotte, pour ensuite frotter sa verge sur votre corps en plongeant sa langue dans votre petit buisson ou votre berlingot tout lisse
et cela à chaque fois que vous ferez lamour !!!
Sauf que dans le milieu étudiant, ils sont peu nombreux ceux-là, soit trop âgés (au-delà du double de mon âge, je mimpose une limite
) soit non libres (être la maitresse cachée attendant que Mr se libère pour me mettre un ptit coup de 5 à 7 ? non merci
) soit ils ne me plaisent pas
Je sortais peu à lépoque, largent ne coulait pas à flot
pour en gagner un peu je faisais du baby-sitting donc peu de chance de trouver mon « old fucker » avec un biberon ou une couche sale à la main
.
Un jour alors que je minstallais en silence dans lamphi ou le cours avait commencé, la voix du prof attira mon attention
une voix grave, chaude, suave que je ne connaissais pas. Je levais les yeux et vis un homme, la trentaine avec une allure cool à la fois sportive et décontractée, bien bâti, grand, brun, une barbe de trois jours, tout à fait mon genre !!! le cours se passa à écouter sa voix et analyser ses gestes, mais impossible de me souvenir du contenu
Cet homme mattirait, je le trouvais séduisant, viril mais pas macho, des gestes surs et mesurés et surtout SA voix qui me caressait les oreilles et la peau, jen avais des frissons
Mais comment attirer son attention au milieu de 200 étudiants, sans passer pour une « pouffe » ou une folle
: la mini-jupe à ras le bonbon ? pas trop mon genre
faire tomber toutes mes affaires bruyamment ? une chance sur deux quil me vire de lamphi
lui faire des illades ? au 6° rang il ne verrait même pas si jai un bout de salade coincé entre les dents
il me faut une solution
vite ! Comme tous les autres écrivaient à la va-vite un résumé de ce quils entendaient, moi je mis mes coudes sur le bureau, entremêlais mes deux mains, posais ma tête dessus sans rien faire juste à lécouter, si bien quau bout dun moment son regard se posa plusieurs fois sur moi, curieux et amusé à la fois
gagnée, je lintriguais il ne me restait plus quà lattirer dans mes filets.
Ce fut la fin du cours, sans le regarder je commençais à ramasser mes affaires, sil me laisse sortir sans rien dire jai perdu, je croisais mes doigts
.
- « Mademoiselle ?... Mademoiselle ??, jaurais reconnu sa voix entre mille, je me retournais lair de rien
« vous pouvez venir me voir sil vous plait ! »
YEEEEESSSSSS !!!!! hurlais-je dans ma tête
nonchalamment je descendis les marches jusquà lui, mapprochant du bureau ou il saffairait à ramasser ses livres, les autres étudiants partant rapidement afin déviter la queue interminable du resto U
- « vous avez une mémoire déléphant ou mon cours est-il si ennuyeux et inintéressant au point de nen rien noter ? »
- « Non ! jai un dictaphone et jenregistre, comme ça je peux le réécouter dans ma chambre et prendre ce qui mintéresse vraiment » lui dis-je avec aplomb
- « ah oui ! un de ces nouveau appareil qui se déclenche au son de la voix » répondit-il, me détaillant discrètement des pieds à la tête
Malgré sa discrétion, javais vu
toi ! me dis-je, les petites étudiantes ne te laissent pas indifférent, il faut que je sache jusquà quel point
- « et puis cela me permet de réécouter votre voix aussi longtemps que je veux, sans attendre le prochain cours ! » dis-je effrontément en battant des paupières
Il fallait que jaille vite, cétait lheure du repas, le prochain cours était dans une semaine autant dire des mois
Je tentais le tout pour le tout !
- « il faut que je me dépêche, il ne restera plus rien au resto et jai une faim de loup »
- « Puis-je vous proposer de maccompagner dans une brasserie, ainsi vous pourrez entendre ma voix à loisir tout en vous restaurant » dit-il, pensant me « pécho » gentiment, alors que cétait lui la proie
maline lAmandine non ?
Le piège avait fonctionné, je vous épargnerais la discussion durant le repas mais jappris quil sappelait : Damien ! 32 ans, séparé sans , mais surtout nous nous sommes donnés rencart samedi soir dans un pub
Samedi soir
le pub
sympa, dans une cave, un groupe de rock mettait lambiance
javais mis une jupe, ni trop courte ni trop sage, des Dim-up, un joli top moulant avec un décolleté juste ce quil faut pour attirer lil sans pour autant faire mauvais genre sur des talons mi- haut galbant mes jambes
la fille sage qui se veut coquine
le piège absolu ! Damien avait de la conversation et je lécoutais parler, bercée par sa voix, je ne quittais pas ses yeux expressifs et malicieux
cétait un charmeur et il le savait
et puis les cocktails : 1
2
Margaritas, mon cerveau avait déconnecté, la musique ronronnait dans ma tête, le charme de sa voix opérait
Il me prit la main et la caressa doucement (ouf ! il en avait mis du temps !!) curieusement nos échanges se firent plus intimes, il me demanda si javais déjà eu un petit ami ou plusieurs, si javais couché avec eux (il me prend pour une gamine ou quoi ?)
lalcool me désinhibant je lui racontais mon intimité, la conversation devenait coquine
.
Dans la voiture je caressais son entre-jambe, riant et gloussant, parlant de mes amants qui, mis à part le premier, navaient pas su exploiter en moi la coquine que jétais
complètement pompette la fille !!! lui mécoutait en souriant, amusé de mon état. Je nétais pas complètement saoule, mais suffisamment pour parler de moi sans retenu
ainsi il sut rapidement tout ce que jaimais faire aux garçons.
Arrivés chez lui, nous nous installâmes sur le canapé, il ouvrit du Champagne et nous vidions nos verres entre deux baisers et confidences sur mes spécialités, Barry White en fond musical
Le Champagne eut un effet euphorisant sur moi, je lappris à mes dépends, en fait cest simple je perdis le contrôle de moi-même
la conversation sétant dirigé sur les danses érotiques, jentrepris de lui faire une démonstration dun striptease finissant en nu intégral. Jamais je navais fait ça, je me rendais compte que mon cerveau me faisait faire des choses curieuses, mais sans filtre, aussitôt pensées aussitôt faites, sans aucune résistance. Je me déhanchais lascivement au rythme de la musique, faisant glisser mes vêtements un par un lentement et venant me frotter langoureusement à lui
si javais été une danseuse orientale je lui aurais fait la danse du ventre, jétais comme hypnotisée, dans une bulle de coton mais consciente !!!
Il ne me laissa pas le temps de tous les ôter, me prit sur ses genoux, caressa ma peau et membrassa partout
le picotement de sa barbe mélectrisait.
- « le reste je préfère men occuper moi-même » me susurra-t-il à loreille, il faut dire quil ne restait plus grand-chose !
Ses mains parcouraient mon corps, de belles mains douces et fermes, sa bouche me couvrait de baisers, sa langue léchait les parties les plus sensibles de mon anatomie, men faisant découvrir de nouvelles, javais à faire à un connaisseur. Assise en travers sur ses genoux, mes fesses bien calées entre ses cuisses , je sentais la bosse sous son pantalon, ses mains me découvraient, si douces, si chaudes, si habiles que jen avais des bouffées de chaleur
il libera habilement mes seins de leur maintien en dentelle, pourtant si léger et si fin
Et, comme sil lisait en moi, me mit debout face à lui, puis doucement, lentement, tout en me glissant sa langue dans le nombril fit glisser mon string le long de mes cuisses jusquà mes chevilles, je laidais à le retirer en soulevant mes pieds
cette sensation me rend folle, le glissement de ce bout de tissus sur mes jambes me met en transe
à ce moment-là je mabandonne complètement, limite soumise à mon partenaire. Jétais nue face à lui, ne gardant que mes Dim-up, lui me faisant tourner sur moi-même en détaillant mon anatomie
.
Il me souleva, me pris dans ses bras, je me sentais petite fille, et me déposa doucement sur le canapé. Tout en ôtant sa chemise, il glissa sa langue sur mon corps, cétait chaud, humide, délicieux, je creusais le ventre et me mordais les lèvres
Son torse était velu mais pas trop, une toison douce
il continuait à me lutiner, une main se fraya un passage entre mes cuisses que jécartais un peu, la paume de sa main se posa sur mon pubis, je me dis à ce moment-là : « tu as atteint le point de non-retour », il glissa un doigt entre mes grandes lèvres puis poussa les petites et rentra dans ma vulve trempée tout en mordillant la pointe durcie dun de mes seins la faisant rouler sur ses dents, ma poitrine se souleva, un deuxième doigt me pénétra, ma cyprine coulait grâce à ses va et viens dans mon ventre
Javais envie de lui, de sentir son sexe en moi, de me laisser aller à ses coups de reins jusquà lorgasme
Mais il prenait son temps, jétais prise au piège de ma propre envie.
-« ta bouche est une pure merveille » me dit-il en me faisant gober ses boules une par une, et replongeant entre mes lèvres
Javais la tête qui tournait, enivrée dalcool et de stupre, le corps brulant, je ne le voyais plus, il était un sexe géant à lécoute de mes envies. Je repris les choses en main, le fis assoir sur le canapé, et, allongée sur lui ,jentrepris de lui faire la pipe de sa vie
Je ne métais jamais autant appliquée, tous mes talents y passèrent, alternant douceurs et gloutonneries dans une dégustation totale
ma langue glissant de son gland jusquà son scrotum, remontant le long de sa tige, léchant la base du prépuce en y faisant le tour tout en le regardant droit dans les yeux plus coquine que jamais, le plongeant entièrement dans ma bouche gourmande et le gardant au chaud longuement
il devint fou ! je le savourais, le dévorais, le dégustais, son membre gonflé dans ma bouche était une confiserie, surexcitée de ma lubricité amplifiée par ses râles je ne me rendis compte de rien lorsquil se leva , me mit à genoux sur le canapé la tête sur le dossier, dans une levrette ou il me pénétra dune seule poussée
Ses mains sur mes hanches, il allait jusquau fond de moi dans un rythme idéal, ses testicules sécrasant sur mes fesses, son pouce se glissant dans mon anus, son autre main claquant mon postérieur, jeu mon premier orgasme
quel amant !!
Je ne feulais plus, je criais
nous fîmes lamour longtemps et dans toutes les positions inimaginables, à la fois sensuelles et fougueuses mes orgasmes me faisant exploser les tempes, nos corps dégoulinant de sueur
Pas de répits entre chaque position, jétais plus que brulante, mon corps était un appel au désir. Son sexe me fouillait le ventre, je me ruais parfois sur sa queue bouche grande ouverte dans une fellation torride et il me reprenait debout contre le mur ou couchée sur le canapé les jambes écartées le bassin animé de spasmes.
Il mentraina dans son lit
- « tu es chaude comme la braise ! es-tu prête pour une nouvelle expérience ? » me susurra-t-il à loreille
Dans létat ou jétais, alcool plus plaisir, jaurais dit oui à tout
ce que je fis, devinant ce quil voulait, ne pouvant rien lui refuser vu le nombre dorgasmes quil mavait donné. En cuillère, il posa son gland à lentrée de mon petit trou trempé de salive, malgré la crainte je nétais pas tendue, curieuse de ce plaisir tabou
Je sentis chaque millimètre de son sexe forcer délicatement le passage étroit, petite douleur mais moins que je ne laurais cru, il était doux ! Une fois le gland rentré, le reste passa tout seul, il ne bougea que complètement en moi
Sensation bizarre, de ce membre épais dilatant mon anus, de frottements pas si désagréables en fait, mélangés à un curieux sentiment de culpabilité ! Je neus pas vraiment dorgasme cette première fois, juste une sensation dabandon total, de chair dilatée, de douleur mêlée au plaisir de soumission à la fois ravie et soulagée lorsquil jouit en moi de longues salves chaudes, en me serrant fort dans ses bras ...Nous restâmes ainsi longuement, son sexe se dégonflant petit à petit dans mon petit cul.
Lalcool sétant dissipé, je pensais avec amusement que maintenant jétais ouverte de partout, grâce à un amant merveilleux, mais réalisant avec effroi quil navait mis aucun préservatif en sentant son sperme dégouliner de mon orifice lorsquil se retira
ma crainte fut rassurée lorsquil me dit quil avait fait un test négatif au HIV de moins de 3 mois et aucune partenaire depuis, et toi me dit-il ??????
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