Nouvelle Vie À La Campagne 2
Le lendemain Gilles était là à 8 heures devant ma porte, dès que je lui eu ouvert, il rentra comme la veille, en passant il me fit une bise sur le front et se dirigea vers le salon qui est dans la même pièce que la salle à manger, je le suivais un peu anxieuse mais aussi je dois le reconnaitre existée, il se retourna vers moi et me pris dans ses bras et membrassa, un baiser fougueux, sa main gauche sinsinua dans mon jogging et il me prit la fesse gauche, quil caressa doucement.
Il sécarta de moi et me dit :
- alors ma petite chérie, tu as pensé à moi ?
- oui.
- et tu veux toujours devenir ma salope.
- oui, je veux être ta salope.
Cela sorti sans réfléchir un seul instant.
- il va falloir que tu apprennes à le devenir, hein !
- je suis prête.
- maintenant, tu vas me faire un café, je t'attends là.
Je me dirigeais vers la cuisine, cette nuit javais beaucoup réfléchi sur ce qui cétait passé hier, et vu mon excitation en repensant à tout ce que javais fait avec lui, j'avais pris ma décision s'il revenait. Le fait d'être soumise m'avait procuré tellement de plaisir, et j'avais eu comme une révélation, je crois que ma vie était trop vide, trop timide et le fait dêtre la bonne copine et pas celle que lon emmenait en boite et quon complimenté.
J'étais faite pour ça être dirigée et obéissante, et je sentais en moi la chaleur dêtre soumise et je me suis rendue compte que jaimais être humiliée par des mots vulgaires.
Autant que lon me les disent ou que les disent moi-même, être prise comme une simple femelle qui accepte tout.
De retour dans le salon avec le café, je vis Gilles, assis dans un fauteuil.
- ma chérie, mon premier ordre, comme je viendrai tous les matins te voir, je veux que tu sois nue pour me recevoir, tu mettras simplement un petit tablier car je prendrai mon petit déjeuner ici, et je ne voudrai pas que tu te brules avec le café.
- oui, Gilles.
- cela veut dire, ma salope que je ne veux plus te voir avec ton jogging et ton tee-shirt
Je m'exécutais de suite et enlevais mon tee-shirt et descendais mon jogging et ma culotte, jétais nue au milieu du salon.
- approche-toi de moi.
Ce que je fis.
- approche toi encore et écarte tes jambes, je veux que ta petite chatte soit au niveau de ma main.
Sa main droite quil me désigna du regard était sur laccoudoir du fauteuil, jécartais les cuisses et arrondies mes jambes et descendis pour le satisfaire, ma chatte touchait sa main
- cest bien ma salope.
Et il mintroduisait trois doigts dans mon intimité.
- tu aimes ça, hein salope te faire tripoter, et en plus comme jai ouvert les rideaux nimporte qui pourrait te voir dans cette position.
Je réalisais quil disait vrai, bien sur il y avait peu de chance que quelquun puisse me voir mais on ne sait jamais, des bois ou des champs autour du jardin, de plus ma position humiliante au possible, nue au milieu du salon et les jambes écarter et arc de cercle pour plaire à mon seigneur et maitre, mexcitais énormément.
- oui jaime.
- noublie pas ma salope, je veux que tu me dises clairement que tu aimes.
- oui, jaime que tu me tripotes et que tu mettes tes doigts dans ma chatte.
- bien, mon deuxième ordre, tu vas mépiler tout ça, je veux que ta petite chatte soit bien lisse tout le temps.
- elle le sera pour demain, promis.
- tu nas pas à promettre, tu le fais, point !
- oui, Gilles je serai toute lisse demain.
- tu nas pas trop mal dans tes cuisses.
- un peu, oui.
- tu reste comme cela tant que je te le dirai, cela fait partie de lenseignement ma salope davoir mal.
- oui, Gilles.
- mon troisième ordre, tu ne mettras ni de culotte ni soutient gorge, et tu gardes toujours tes lunettes et tes cheveux longs, jaime te voir comme une petite étudiante .
- oui, Gilles.
- tu feras, tout ce que je te dirai de faire.
- bien sur, Gilles.
- je ne veux pas que tu grossisses et que tu aies des nichons comme toutes ses nanas de maintenant, tu pèses combien ?
- 52 kg.
- et tu fais combien de tour de nibars ?
- 85 b.
- bien tu reste comme ça, jaime bien tes petits nichons.
- oui, Gilles.
- tu accepteras, toutes les queues qui se présenteront à toi vieilles comme jeunes, petites ou grosses.
- Oui, Gilles toutes les queues.
- et tu feras tout ce quils veulent, sans discuter.
- Oui, Gilles je serai ta pute.
- bien maintenant mets toi à genoux.
Je mexécutais de suite en plus mes cuisses commençaient à me faire vraiment mal, il se leva et dégrafa son jeans, et me présenta sa queue que je mis en bouche de suite.
- bien ma salope, suce moi et caresse moi les couilles.
Je mempressais a le sucer en caressant les bourses comme il le voulait, au bout de quelque instant il me dit :
- je vais te faire voir comment on se fait baiser par la bouche ma pute, mets tes mains dans ton dos.
Ce que je fis, il me prit la tête par larrière avec ses deux mains et commença un mouvement de va et vient, ce qui fit que très rapidement sa queue touchait presque le fond de la gorge qui me procura des hauts de cur, qui se calmaient quand il se retirait, je ne pouvais plus contrôler ma salive qui dégoulinait sur moi en longs fils, jétais trempée par ma salive, sur mes seins mon ventre et mes cuisses.
- cest bien ma salope, jaime ça te voir baver comme ça.
Apres un temps assez long, il mattrapa par le bras et mentraina et me mit debout face au mur le plus proche, le visage et tout mon corps plaqué au mur.
- cabre tes reins gros pute, je vais te défoncer.
Ce que je fis, il mécarta plus les jambes et me pénétra brutalement, et commença à me pistonner, sous ses grand coups de mandrin, je me soulevai à ne plus toucher terre dans de grand cris de ma part tellement le plaisir était intense, et lui râlait comme un fauve, une vraie brute sur sa proie.
Je ne peux pas vous dire combien de temps il ma labouré comme ça, ce que je sais, cest quil a déchargé en moi et quand il est parti, jétais effondrait au sol contre le mur et que son sperme coulait sur mes cuisses, et javais du mal à reprendre mon souffle, javais perdu la notion du temps.
Pendant le reste de la semaine, Gilles continua à venir tout les matins pour assouvir ses envies avec moi comme une poupée dépravée. Le week-end étant donné que mes parents étaient présents, je ne vis pas Gilles, et jen profitais pour me reposer car je nai pas lhabitude de faire des efforts aussi physiques.
Dailleurs avant le connaitre, je naimais pas le tout du sport mais maintenant avec le plaisir que jai avec lui, le dimanche jai comme un manque de ne pas le voir, et je me suis fait une sieste ou jen profité pour me caresse en pensant à ma nouvelle vie avec beaucoup de délectation pour mes prochaines jouissances.
Le lundi matin Gilles débarqua vers 8 heures, moi jétais nue, sexe rasé pour le recevoir comme la semaine dernière, il ne ma pas demandé un café comme d habitude, ni même membrasser, mais il me dit,
- mets-toi à genoux et pompe moi, comme une bonne salope
Ce que je fis, et donc jétais dans lentrée du salon, entrain de le sucer depuis une certain temps, quand dun seul coup, jentendis la sonnette de la porte dentrée, je pris un coup au cur énorme, et jallais retirer son membre de ma bouche et me relever, quand je sentis une main vigoureuse sur ma tête me retenir.
- continue ma pute.
Je fermais mes yeux.
- et Daniel, tu peux rentrer cest ouvert, dit Gilles.
Jentendis la porte souvrir et se refermer derrière moi, et quelques pas venir vers nous
- très jolie scène.
Javais toujours les yeux fermés et je sentis quil était à ma droite très prés de nous, javais le sexe de Gilles dans ma bouche et je pouvais plus bouger.
- allez ma salope, continue on nous regarde.
Je me sentais cramoisie de honte, mais je me remis à le sucer, depuis quil me parlait des autres queues, je devais me douter que cela arriverai.
- je te présente Claire, la nouvelle pute du coin.
- très mignonne gamine, dit linconnu.
- Claire ouvre les yeux, je te présente Daniel.
Jouvris les yeux sur son ordre, et vis Daniel pour la première fois, je sortis le sexe de ma bouche et dit :
- bonjour.
Daniel était un homme entre cinquante et soixante ans « je sus plus tard quil avait 62 ans », très grand et très maigre, les cheveux blanc, il devait être très beau dans sa jeunesse.
- bonjour, Claire.
Une main très ferme de Gilles me fit reprendre la fellation.
- tes sur quelle nest pas mineure cette gamine, dit Daniel.
- oui, elle a 19 ans, dit Gilles.
- Elle est un peu maigre, non, et elle a vraiment des petits nichons.
- moi jaime bien et puis cest vraiment une vraie salope.
- oui, ça cest vrai, elle a lair de bien savoir pomper !
- oui, dailleurs ma chérie fait voir à mon ami comme tu fais.
Il me retira sa queue de ma bouche, Daniel dégrafa son pantalon et descendit son slip, il bandait déjà, il savança et me mis sa queue dans la bouche, elle était un peu plus petite que celle de Gilles, je me mis à le sucer, je pouvais la prendre totalement en bouche.
- cest vrai quelle se débrouille très bien cette salope.
- oui, elle aime ça la bite.
- les copains lont déjà essayé ?
- non, pas encore mais je vais leur faire profiter de ses trous.
- on peut la baiser et lenculer quand on veut ?
- oui, on va mettre ça au point.
- bon ce nest pas tout ça mais moi je profiterai bien delle.
- pas de problème fait ce que tu veux delle.
- ok, aller mets toi à quatre pattes sur le canapé.
Ce que je fis, il se mit derrière moi, et me pénétra et commença son va et vient assez rapide, Gilles sétait mis dans un fauteuil et il nous filmait, il avait évolué plus de portable mais maintenant une camera numérique.
Il me dit pendant que Daniel me limait :
- tu aimes ça ma salope.
Je lui répondis dans un souffle :
- oui !
Je sentais le plaisir monter déjà
- quest-ce que tu as dire à Daniel ?
Je le regardais avec interrogation.
- que tu feras ?
Je me rappelais ce quil mavait appris.
- je suis une pute, vous pouvez faire ce que vous voulez de moi, quand vous voulez et où vous voulez, mes trous sont à votre disposition, je serai totalement soumise et obéissante à vos envies...
- cest sur ça ? dit Daniel toujours en me baisant.
-Oui, jaccepterai ce que vous ordonnez.
- bien sur Daniel, il faut que ses parents ne lapprennent pas, dit Gilles.
- ok, et bien la pute mets toi la tête dans les coussins et relève ton cul.
Ce que je fis, il retira son sexe de ma chatte et le présenta en écartant mes fesses sur ma petite rondelle, et il me pénétra brutalement, je poussais un cri de douleur à la pénétration et très vite il commença un va et vient sur toute sa longueur.
- tu aimes ça hein te faire enculer.
- oui.
- quest-ce que je tai dit Claire ?
Javais un mal fou à rester lucide.
- oui, jaime me faire enculer, jadore avoir une bite dans mon cul.
Il me besognait de plus en plus fort et moi je poussais des cris à chaque fois quil me perforait, et il eux une vocifération et il déchargea abondamment dans mes entrailles.
Mes deux hommes étaient assis sur les fauteuils et me regardaient, je massis sur le canapé mais très vite je sentis le sperme de Daniel couler entre mes cuisse, je me levais rapidement pour éviter den mettre partout.
- vas te laver le cul, ma chérie, dit Gilles.
Avec empressement, je me dirigeais vers létage mais Gilles me dit :
- non ma pute vas plutôt dans la cuisine, que lon profite du nettoyage de ton petite cul.
Je me retrouvais donc devant lévier, ne voyant ni de gant de toilette ni serviette éponge, je pris une serviette de cuisine pour le faire.
- non, utilise plutôt tes mains pour nettoyer ton entre cuisses, dit Daniel.
Mettant du savon sur mes deux mains, je me mis à laver mon sexe avec ma main gauche et mon cul avec la main droite.
- aller, retourne toi salope que lon voit mieux, dit Daniel.
En retournant, je vis mes deux hommes et je me rendis compte que leurs vigueurs remontaient vers le haut surtout pour Daniel.
- tu as encore envie de bite hein salope, dit Gilles.
- oui.
- et si on lui faisait une double, tu ne las jamais fait hein, me dit Daniel.
- non, jamais.
- ok, mais moi je prends son cul, dit Gilles.
- daccord, je reconnais quelle est bien serrée, cest un vrai plaisir de lenculer, dit Daniel
Ils repartirent vers le salon, je me lavais à grande eau en mettant partout (tant pis je nettoierai après), et je les retrouvais dans le salon, Gilles était assis sur le canapé au milieu et me dit
- viens tassoir sur ma queue ma salope.
Je me mis en position comme si je masseyais, je mis mes mains sur ses cuisses, il écarta mes fesses et il mit son gland sur ma petite rondelle, elle était encore dilatée, le sexe de Gilles était plus gros que celui de Daniel et je le sentis passer, il mit ses mains sous mes fesses pour me faire monter et me descendre le long son membre jusquà ses couilles.
Daniel sapprocha de nous, me fit mettre mes jambes à lextérieure des jambes de Gilles, et il me présenta sa queue et sintroduit dans mon sexe sans aucune pitié
Jétais distendue, je sentais les deux sexes en moi, et ils se mirent chacun, leur tour à commencer leur va et vient synchroniser, quand lun sortait lautre rentrait très rapidement eu un orgasme, puis deux et après je ne sais plus, jétais totalement dévastée, je ne peux dire combien de temps ils mont prise mais à la fin, ils mont déposé sur le tapis du salon et mont demandé douvrir la bouche.
Ils ont déchargé tous les deux sur mon visage, et mont demandé davaler le tout.
Gilles ma dit avant de partir
..
- maintenant ma chérie, tu es une pute, et cela ne fait que commencer
À suivre cpchatonrose88@gmail.com
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