Je Ne Peux Plus Bander

J'ai eu un accident de moto et depuis, je me "promène" dans un fauteuil roulant. Je ne peux plus me servir de ce que j'aimais beaucoup, ma queue. Elle reste avachie au grand dam de mon épouse qui aime baiser. Elle ne veut pas aller voir un autre homme ni une autre femme: elle ne veut jouir qu'en ma présence. Au début elle se branlait toujours devant moi. Je la voyais se masturber et je ne ressentais rien de particulier dans mon bas ventre, par contre sur le plan moral il me manquait réellement cette sacrée bite.
Elle n'en pouvait plus. Après avoir essayé les légumes tels que concombres, aubergines et autres grosses carottes elle optait enfin pour commander des jouets sexuels.
Enfin elle reçoit sa commande : un suceur vibreur pour le clitoris, un double godemiché pour son con et son cul et un autre qui muni d'une ventouse se fixe sur presque n'importe quelle surface, un œuf vibrant télécommandé et enfin un gode nature qui n'a pour fonction que simuler une baise normale.
Il est tôt dans l'après-midi: elle ouvre le paquet et me montre ce qu'il contient. Elle en est toute excitée et pose le tout sur la table en détaillant l'un après l'autre ses nouveaux compagnons. A dire vrai elle ne sait trop par lequel commencer. Elle se déshabille et je regarde toujours avec envie ce corps que j'aime tant. La seule chose que je puisse faire est de l'embrasser sur la bouche et sur les seins.
J'ai besoin de sentir ses lèvres sur les miennes. Elle m'embrasse et essaye pour ma énième fois de me faire bander. Elle veut jouir grâce à moi: elle me donne la télécommande de cet œuf et se le met à fond dans le con. Elle est là, devant moi, les jambes resserrée sur l'objet. Elle me demande de commencer à faire vibrer l'engin. Je commence doucement: elle ressent presque les mêmes sensations que quand nous baisions. Elle est obligée d'appuyer ses fesses sur le rebord de la table. Elle se caresse les seins et se laisse aller. Il ne lui faut pas longtemps pour qu'elle crie " je jouis".

Elle garde son nouvel ami et me demande de le remettre en route. Cette fois elle jouit encore plus vite.
Elle est prise de frénésie et veut tester tous les jouets. Elle prend le gode à ventouse, le colle sur le sol, devant moi, se baisse écarte bien les jambes, chercher son entrée un petit instant et elle se baisse lentement: elle le fait pénétrer et quand il est en elle, si elle me regarde bien en face au début, là, elle ferme les yeux, ses mains sont sur sa poitrine et la tête est reversée. Elle soupire jusqu'au moment où encore elle me dit jouir. Si je ne peux la baiser, au moins elle me tient au courant de ses plaisirs.
Elle laisse le gode là où il est planté: c'est une véritable queue, comme était la mienne.
Emportée dans la véritable pornographie, elle s'assoit, toujours à ma vue, sur le divan où nous baisions si souvent. Elle décide de se branler le clitoris avec suceur vibreur. Elle écarte les jambes et j'ai en vue toute sa fente. Elle commence par se caresser manuellement le clitoris et enfin pose ce suceur sur lui. L'effet est foudroyant, elle se met à gémir et sa tête en arrière, avec les yeux fermés me montre son plaisir qui monte. Elle l'a bien fixé jusque là où elle se masturbe et enfin elle commence à me dire " oui, oui, encore, encore" comme si c'était moi qui était sur elle. Finalement elle pousse un grand cri quand elle jouit. Elle n'est pas comblée. Il lui faut essayer le gode, qu'elle a choisi simplement pour essayer la double pénétration qu'elle n'a jamais eu. Elle aimait quand nous pratiquions la sodomie. Cette fois elle s'approche du bord du divan, écarte bien les jambes, me remontre encore tout son con. Elle lèche les deux bouts pour bien les mouiller et commence par s'en mettre une partie dans le con. Elle se baise un instant et ensuite arrive facilement à le plier pour très lentement s'enculer. Elle me regarde fixement et agite en elle ce gode un peu particulier. Elle me sourit en disant qu'elle prend beaucoup de plaisir à se mettre elle même, toute seule dans les deux trous. Et enfin, sa tête à nouveau en arrière elle ouvre la bouche pour crier encore une foi qu'elle jouit.
Cette fois elle n'en peut plus. Il lui reste encore le gode normal. Elle se le réserve pour ce soir au lit, juste avant de s'endormir. Nous faisons lit à part depuis longtemps: elle ne me dérangera pas si elle se le met dans le con ou le cul.
Ce n'est que le lendemain qu'elle me dit ce qu'elle a fait : elle a utilisé le gode normal avant d'aller chercher le suceur vibreur qui lui a donné encore deux jouissances.
Désormais elle se passe de moi, sauf quand elle veut et souvent que ma langue aille dans sa bouche.