Virginie Ou Les Pièges De L'Infidélité (3)
Le moins que lon puisse dire cest que le retour de Virginie et Léopold chez eux fut glacial. Il lavait vue se donner à trois hommes. Elle lavait vu se donner à trois hommes. Ils dormirent néanmoins quelques heures puis ne surent trop que se dire. La tension était trop forte entre eux. Ils finirent par tomber dans les bras lun de lautre le soir et se firent divinement lamour. Non, ils ne recommenceraient pas. Promis
Promis
Seulement, Vincent rappela quelques jours plus tard. Vincent, son amant qui lavait abandonnée. « Je te promets, je nai pas pu tappeler. Un voyage daffaires qui séternisait et avec le décalage horaire, tu comprends. » Elle ne le croyait pas mais bon, que faire ? Comment lui résister. Dautant que Léopold était lui-même reparti à létranger quelques jours non sans lui avoir fait promettre de bien se tenir. « Ce soir, chez des amis. Fais-toi belle.
- Des amis libertins ?
- Non, non, des amis tout court. Jai besoin dune cavalière, il y aura aussi des clients. »
Elle avait bien eu envie de lui dire de se trouver une escort girl si cétait juste pour faire bien à son bras quil avait besoin delle mais en fait elle était plutôt flattée de sa proposition. Il la retrouva le lendemain dans un café proche de lappartement où ils devaient dîner. Elle ne voulait plus prendre le risque de le voir chez elle. Quil était beau. Grand, brun, musclé. 1m 90 si male pendant que son Léopold était si terne, si peu masculin à côté. Sa chatte sétait instantanément humidifiée en le voyant et elle savait quelle ferait nimporte quoi pour lui. Elle aurait tant aimé quil la prenne là, tout de suite, mais il lui dit : « Nous sommes en retard. Tu es très belle
» Elle létait. Elle avait mis le paquet. Une robe noire très échancrée sur la poitrine qui laissait entre apercevoir son 95d. Des bas noirs eux aussi. Des talons aiguilles. Noirs. Seule touche de couleur son collier de perles. Blanches. La classe
En arrivant chez les amis de Vincent, Virginie dut admettre que ses peurs de se retrouver livrée à des males dominateurs comme la fois précédente nétaient pas fondés.
- Non pas encore, mais nous sommes très intéressés par ses prestation. »
En fait, Virginie ne sait pas trop bien ce que Vincent faisait. Elle lavait rencontré dans un cocktail lors du vernissage dune exposition de peinture et il lui avait juste dit quil faisait des « affaires ». « Les quelles ?, demanda donc t-elle.
- Nous pensons lui acheter des tableaux. » Ah donc, il nétait pas à cette expo par hasard.
Et lhomme, un nommé Bernard, de renchérir : « Il semble quil sache bien choisir ses protégés peintres, mais aussi femmes. Vous êtes superbe, Virginie. » Elle en rougit presque. Il faut avouer quil était exactement comme elle aimait les hommes. Grand, mince. La cinquantaine évidemment mais quelle prestance. Et il parlait français comme vous et moi, sans une pointe daccent.
La soirée sétait bien passée et cétait lheure du départ. Assise entre Bernard et Vincent, Virginie avait été drôle, belle. Elle était contente delle et navait quune hâte que Vincent la prenne. Elle fut donc bien déçue en sortant quil lui dise quils allaient encore boire un verre chez Bernard. Et encore plus quand Vincent lui dit de monter dans la voiture de Bernard parce quil était en scooter et navait quun casque. Alors quelle sapprêtait à protester, une caresse sur les fesses lui fit vite renoncer. Elle sinstalla donc confortablement à larrière de la grosse Mercedes, aux côtés de Bernard. Deux hommes étaient devant, quil lui présenta comme son chauffeur et son garde du corps. « Désolé, ils parlent très mal français.
Mais le portail de la demeure une fois ouvert, la voiture garée devant limposante bâtisse, les choses changèrent. « Allez vous préparer Virginie », lui intima-t-il à peine entré. « Vos affaires sont à côté. » Il ouvrit une porte et la fit entrer. Au milieu de la pièce il ny avait quun corset, rouge. « Mettez le et rejoignez vous. Angela va vous aider à le lacer », dit-il encore en lui désignant une jeune femme brune pulpeuse habillée elle aussi dun simple corset qui laissait voir ses seins et son sexe. « Mais non », essaya-t-elle de dire. « Voyons cest bien ce qui était convenu avec Vincent. Voulez vous lui parler ?
- Bien sûr. » Elle prit donc le téléphone quil lui tendait et entendit tout de suite la voix de Vincent : « Jarrive mon amour. Fais ce que Bernard te dit. On va bien samuser je te le promets. Je serai là quand tu seras habillée. »
Habillée, déshabillée plutôt se disait elle en sadmirant néanmoins dans la glace. Trente ans, pas un poil de graisse, des seins à se damner, des jambes, juste le visage quelle trouvait un peu ingrat mais qui provoquait lamour fou chez plus dun homme. Angela lui laça fortement le corset qui faisait encore plus ressortir sa poitrine et laccompagna au salon. Bernard et Vincent devisaient gaiement et sifflèrent dadmiration en voyant les deux femmes. « Vous êtes superbe ! » Angela navait toujours pas dit un mot et navait fait que mettre son doigt devant la bouche à chaque tentative de dialogue de Virginie. Elle sasseya instantanément aux pieds de Bernard qui lui caressa doucement la tête avant daccrocher une laisse au collier quelle portant. Il dit alors durement à Virginie : « Aux pieds de Vincent, quil vous mette aussi votre collier. Fascinée, elle sapprocha du grand canapé noir où Vincent était assis. Il lui mit alors un collier en métal quil ferma avec une petite vis.
La conversation continua entre les deux hommes. Ils buvaient tranquillement sans sembler faire attention à elles. Le temps commençait à sembler long à Virginie. Angela ne bougeait pas. Enfin Bernard leur dit de se mettre à quatre pattes. « Regardez Vincent comme elle mouille ». Bernard avait introduit son index dans le sexe dAngela. Face à Virginie elle semblait déjà jouir. Vincent en fit autant avec elle et elle en fut également ravie. « Elle mouille moins, dit Vincent.
- Cest parce quelle nest pas encore dressée », répondit Bernard. « Nous allons nous en occuper ? Vous êtes daccord Virginie.
Pratiquement nue, à quatre pattes devant ces deux hommes, elle ne savait que répondre.
« Je vous préviens Virginie quune acceptation vaut pour toute cette nuit. Nous ferons de vous ce que nous voulons. Vos orifices seront livrés à qui nous le voudront et vos tentatives de rébellion sévèrement châtiées. Alors Virginie ? » Bernard la subjuguait encore plus que Vincent. Elle sentait son sexe couler littéralement dexcitation. Elle sentendit dire : « Je ferai ce que vous voudrez.
- A qui parlez-vous ?, demanda Bernard
- A vous.
- On dit maître alors ? Répétez : « Je ferai ce que vous voudrez, maître »
- Je ferai ce que vous voudrez
maître.
- Bien. Mettez vous toutes les deux à quatre pattes sur ce canapé que nous inspections vos orifices. »
Les deux femmes se mirent donc cote à cote sur le canapé en cuir. Les deux hommes entreprirent de pénétrer leurs sexes, leur anus, faisant moult commentaires sur leur texture, leur ouverture. « La prochaine fois vous ferez un lavement Virginie », intima Bernard avant dappeler : « Venez, elles vous attendent. » Virginie se retourna subrepticement, ce qui lui valut un coup de cravache sur la fesse. « On ne se retourne pas », ordonna Bernard. Elle avait quand même put voir entrer les deux hommes de la voiture, nus, leurs sexes imposants en érection.
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