Une Blonde Allumeuse
Mec seul, la cinquantaine.
Un dimanche matin jaccompagne mon voisin à la gare. Je le laisse sur le quai et sort du hall pour regagner ma voiture. Japerçois alors, qui avance dans ma direction, une superbe fille. Elle est blonde, cheveux longs, une veste noire fermée à cause du froid et bizarrement par cette fraîcheur de fin novembre une mini jupe noire. Elle a de longues jambes blanches et je suppose des bas, ou collants, couleur chair. Elle semble jeune.
Je reste planté devant lentrée et attend son passage. A son approche jai confirmation de son âge et de sa beauté. Elle a des cuisses sublimes, bien en chair sans être grosses, vraiment canon la petite. Elle passe tout près de moi et jentends le frottement de ses bas. Elle me lance un regard un peu hautin du style « tu tes bien rincé lil, vieux cochon ». Je ne suis pas très fier de moi, mais ne peut mempêcher de me retourner pour la voir encore. Elle se retourne aussi, comme pour sassurer quelle me fait de leffet, et disparaît dans la gare.
Jai envie delle et entre dans le hall, sans oser laborder. Lidéal serait quelle vienne à moi, savoir ce que je veux, mais il ne faut pas rêver.
Elle regarde les panneaux daffichage, va à laccueil et ressort. Je la suis discrètement, elle semble contrariée et ne sinquiète plus de moi. Elle se dirige vers les bus, et monte dans le premier. Il y a un attroupement autour de son bus, des voix qui sélèvent, et je reste par curiosité. Des gens redescendent du car, dont ma belle inconnue. Elle récupère son bagage dans la soute et vient sasseoir sur un banc devant la gare. Elle sort son portable et le range dun air rageur.
Je men veux de ne pas avoir eu le courage de lui parler et ne veux pas laisser passer une deuxième chance. Je lapproche en espérant quelle ne remarque pas la bosse dans mon pantalon, tellement elle est bandante :
- Bonjour. Je vous demande de mexcuser si je vous importune, mais il me semble que vous avez quelques soucis.
Jai peur quelle ne menvoie promener, mais elle est toute douce et se confie à moi. Son train a été annulé, le bus de remplacement prévu ne peut emmener tout le monde et elle ne fait pas partie des personnes prioritaires. Pour comble son portable est déchargé, et elle doit attendre plus de trois heures pour le prochain train. La ville où elle doit se rendre est à moins de deux heures en voiture, je nai rien à faire et lui propose de ly conduire.
- Et vous feriez ça juste pour mes beaux yeux ?
- Cest vrai quils sont beaux, mais à vrai dire ce nest pas ce que jai remarqué en premier.
- Et cest quoi ?
- Une jolie blonde en mini jupe, daprès vous ?
- Cest bien ce quil me semblait. Et vous espérez vous la faire la jolie blonde ?
- Si elle est daccord, oui. Sinon elle ne risque rien. Alors cest oui ?
- Ok, je nespère ne pas le regretter.
Je prends sa valise et elle me suit. Elle est assise à mes côtés, sa mini jupe remonte sur ses cuisses, ras la moule. Jai des bouffées de chaleur et bande dur. Je lui pose des questions parfois personnelles, et elle y répond gentiment. Elle a 22 ans, est étudiante en géographie, a largué son copain il y a 3 mois, et vit seule. Les minutes passent, ses cuisses semblent me dire « alors, tu te décides », et je dois passer aux choses sérieuses :
- Vous vous habillez toujours ainsi pour prendre le train.
- En hiver, oui. Jaime mon corps et ne veut pas le cacher.
- Et en été, cest plus chaud.
- Ny pensez pas, vous allez vous faire du mal.
- Et les voyageurs, ça leur fait quoi ?
- Tous des salauds. Jaime les allumer, leur faire tirer la langue au sol et dresser la queue au plafond.
- Vous navez jamais eu dennuis ?
- Non, malheureusement. Il y a trop de monde dans les trains pour une aventure coquine.
- On est plus tranquille en voiture.
Je pose ma main sur sa cuisse, et elle me laisse faire.
et culotte. On ne parle plus et je lentends soupirer de plaisir. Il y a une aire de repos et je my engage :
- Quest ce que vous faîtes ?
- Je nen peux plus, salope. Ce nest pas tout dallumer les mecs, il faut ensuite éteindre le feu. Tu vas me faire une bonne petite pipe.
- Ca ne va pas, non !
- Oh si ça va, même très bien. Je bande comme un âne, et tu as une bouche prometteuse. Tu dois pomper à merveille.
- Mais je
.
- Fermes là, on est arrivé, et garde ton souffle pour sucer.
On descend, laire est déserte, et je lemmène aux toilettes hommes. Les wc ne sont pas reluisants, et on sinstalle à lentrée, pouvant ainsi surveiller les venues. Je baisse mon froc et déballe mon sceptre au mieux de sa forme. Elle ouvre de grands yeux :
- Elle te plait ?
- Elle est énorme.
- Nexagères pas, elle est belle mais il y a beaucoup mieux. Mais on nest pas là pour discuter. A genoux salope, et suce.
Elle saccroupit et sa chaude bouche me gobe le gland sur lequel passent ses lèvres et sa langue gourmande.
- Oh putain que cest bon. Dès que je tai vu jai su que tu étais une chaude. Prends la toute, je veux jouir dans ta gorge.
Elle se retire :
- Ah non ! Je suce à fonds, mais je navale pas.
- Il faut un début à tout chérie, et je te jure que tu vas avaler.
Je tiens sa tête à deux mains et engage mon manche jusquà la racine. Elle manque suffoquer et me repousse.
- Tu choisis : ou tu me suces comme je veux, ou je te baise la bouche.
Jenfile à nouveau à queue, et libère mes mains. Elle est docile, soumise, et me fait une turlutte délice. Une voiture arrive et elle veut se relever. Je la maintiens en place et lui ordonne de continuer à me faire reluire la queue.
Cest un homme, seul, 35 ans. Il sarrête, stupéfait par la scène, puis va aux urinoirs.
- Dépêche-toi de me faire jouir salope, tu as une queue encore plus belle qui tattend.
Elle est à fonds dans sa fellation, et me fait dégorger le poireau pour mon plus grand soulagement. Je lui sers de longues rasades quelle engloutît avec application. Elle me nettoie, je la relève et lui roule une longue pelle à laquelle elle sabandonne après un semblant de rébellion.
- Géniale chérie, cest une de mes meilleures pipes. Va voir le mec, il a un beau sucre dorge à toffrir.
Elle sapproche de lui et se met en position. Il me regarde comme pour me demander mon accord et je lui fais un signe complice. Elle le prend, et il lui administre une baise buccale comme je nai osé le faire. Elle se débat pour se défaire de son emprise, puis abandonne, baisse les bras, et il se sert delle comme dune poupée gonflable. Il hanhanne comme une bête et jouis à flots dans sa bouche qui bouffe tout.
On repart à la voiture, le laisse enfin pisser et il nous rejoint. Il me laisse une carte de visite pour le prévenir si on repasse.
On reprend la route, et elle fait la gueule :
- Tu es fâchée ?
- Vous êtes vraiment un salaud.
- Je sais que ce nest pas facile, mais mets toi à ma place. Je naurais jamais pareille occasion.
Et puis jétais sûr que tu aimais sucer.
- Oui jaime, mais vous naviez pas à moffrir à un autre comme une pute.
- Cest vrai, tu as raison. Mais toute queue qui bande na pas de raison, et tu mas fait disjoncter. Je te demande pardon.
- Cest un peu facile.
- Je suis sincère. On va chez toi et je te laisse te venger. Je te bouffe la chatte, le cul, te lèche de la tête aux pieds, tout ce que tu veux.
Elle sadoucit, reconnaît quelle a apprécié de nous sucer et avaler nos semences, reconnaît quelle la cherché, et me pardonne. Il nous reste une heure de trajet. Je replace ma main dans son entre cuisses dégoulinant et linterroge sur sa vie sexuelle.
Finalement elle nest pas si salope quelle le paraît. Elle na connu que deux mecs, et une fille lors dune soirée trop arrosée. Elle suce, baise, mas ne pratique pas la sodomie. Des copines lui en ont vanté les avantages, mais elle reste bloquée tout en y pensant. Elle ne sest faîte léchée que par cette fille, et jamais par ses deux amants passés.
On arrive enfin chez elle.
A suivre
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