Le Voyeur

Bonjour, je suis Juliette, j'ai 22 ans ! C'est une histoire qui m'est arrivée il y a à peu près deux ans au mois de juillet.

C'était au début des soldes et j'étais partie à la chasse, aux fringues !

Aucune copine avec moi ! Toutes parties en vacances ! Alors me retrouvant seule, j'ai décidé de noyer mon chagrin dans la frénésie d’achats.

C'est un truc que la plupart des hommes ne comprennent pas.

Donc destination le grand centre commercial le plus proche, là où s'étendent à perte de vue les magasins plus attirants les uns que les autres dans de longues galeries marchandes.

Je venais d'avoir mon permis de conduire, et comme je suis une fille prévoyante depuis toujours, j'avais pu m'acheter ma première voiture.

Une petite Fiat rouge qui affichait fièrement 160 000 au compteur.

Bon, c'était un moyen de locomotion pas cher, en tout cas à l'achat, car maintenant vue le prix de l'essence je vais bientôt devoir revendre la voiture pour pouvoir m'acheter le carburant.

J'arrive donc au parking sous-terrain, je me gare tranquillement du premier coup ! Et oui messieurs ! Du premier coup, et me dirige vers l'escalator.

Il y a beaucoup de monde ! Des personnes me précèdent, d'autre me suivent.

Au court de l'ascension, je ressens un effleurement sur ma cheville.

Je pense à une bestiole, je vais encore me faire piquer. Je me penche pour dégager la gêneuse, mais il ne s'agit pas d'une bêbête, c'est une sacoche noire qui est posée près de mes pieds. J'entends un :

- Excusez-moi mademoiselle.

Je me retourne. Un jeune homme est derrière moi et récupère sa sacoche.

Je lui réponds avec un sourire :

- Il n'y a pas de mal.

L'ascension continue. Nous arrivons dans la galerie marchande ! Je me dirige d'abord vers un premier magasin de chaussure.

Il y a effectivement beaucoup de monde.

Ah les soldes, c'est toujours toute une ambiance ! Je remarque une paire de chaussure qui me plaît et m'assied sur un pouf qui vient de se libérer.

Je retire mes chaussures, les renifle, puis enfile les nouvelles.

En me redressant, je constate qu'un homme me regarde avec intérêt, plus préoccupé par mon essayage que celui d'un de ses s dont sa femme s'occupe.

Pourquoi me regarde-t-il ? Ah, je comprends, c'est ma tenue qui lui plaît ! Aujourd'hui, j'ai mis une petite jupe légère, assez courte et évidemment, Monsieur est plus attiré par mes jambes ou autre chose que par les chaussures de son garçon.

Ah je vous jure ces hommes, mais ce n'est pas pour me déplaire ! Je vais m'amuser un peu ! Faisant semblant qu'elles me gênent, je me baisse à nouveau vers mes chaussures, en prenant soin de bien écarter mes jambes.

Je le regarde du coin de œil, il est devenu rouge écarlate ! C'est sûr, sa femme n'est pas aussi habillée sexy que moi.

Il s'est déconcentré sur l'essayage de son fils et pour le troubler un peu, je passe à côté de lui en prenant soin de laisser ma jupe le caresser au passage.

Il détourne sa tête pour ne pas croiser mon regard.

Non finalement, les chaussures ne me convenaient pas ! Alors je vais dans un autre magasin dans lequel les chaussures sont en vrac, mais à pas cher. Je m'attarde sur une paire qui me tenterait bien.

Je me penche pour ramasser la boîte et quelque chose de sombre passe derrière moi à me toucher, s'immobilise une ou deux secondes puis disparaît.

Me relevant, j'aperçois le jeune homme de l'escalator qui m'avait déjà approché tout à l'heure.

J'ai l'impression que ce n'est pas une coïncidence que tu sois passé derrière moi tout de suite.

Je continue à déambuler dans le magasin mais rien ne m'intéresse.

La boutique suivante vend des vêtements mixtes. J'y trouve de temps en temps des choses qui me vont bien.

Je me fraie un passage dans la nuée de clients, je vais de droite à gauche dans les rayons. Finalement, je trouve deux pantalons, quatre chemisiers et deux robes qui pourraient m'aller.

Pas mal pour une période de soldes ! Direction les cabines qui ne sont pas si prises que ça. Une se libère rapidement et je repousse le rideau.

Je commence par un premier pantalon qui me boudine un peu, pourtant je ne suis pas si grosse que cela ! Ah, si j'avais une copine pour me donner son avis... Bon, essayons quand même l'autre.

Je dépose le premier, l'accroche au porte-manteau et commence à enfiler le second. Crotte! le premier pantalon vient de tomber ! En me baissant pour le ramasser, je constate quelque chose de noir au sol sous la cloison de séparation de la cabine de gauche.

Je me mets à genoux pour voir qui peut-être à côté. Il semble que cela soit un homme d'après les chaussures. Pour en avoir le cœur net, je termine d'enfiler le second pantalon et sors de la cabine.

Je reste à proximité du rideau, ce qui me permet de jeter un œil dans la cabine d'à côté. Oh ! C'est encore le jeune homme de l'escalator ! Plus de doute possible, il me suit.

Et toujours avec sa sacoche... Que peut-il y avoir dedans ? Une caméra, un appareil photo ? Il ne m'a pas paru bien méchant.

Si je jouais aussi avec lui, je pensais encore au père de famille de tout à l'heure. Allez, s'il me photographie, je lui demande s'il peut m'envoyer les photos !

Je rentre dans la cabine et cette fois-ci je me mets complètement nue. Que c'est excitant d'être entièrement nue dans une cabine sachant que des tas de gens sont derrière le rideau et ne peuvent plus ou moins me voir !

Mon excitation durcit mes pointes de sein et je commence à me les caresser.

J'ai bien dégagé l'espace sous la cloison de séparation pour que si mon voyeur est bien un voyeur, alors il aura sa séquence photos comme il n'en a jamais eu !

J'entends un bruissement sous la cloison et un petit miroir apparaît. Je fais celle qui n'a rien vu et je continue mes caresses sur mes seins gonflés d'excitation.

Je me retourne pour lui présenter mon postérieur, je passe ma main dans mon dos et amène mon majeur entre mes cuisses pour rejoindre mon petit minou qui s'est déjà humidifié de désir.

Mon doigt glisse délicatement le long de mon clitoris qui s'est lui aussi gorgé d'envie, écarte doucement mes lèvres qui se referment sur lui, puis caresse mon anus, et enfin écarte mes fesses.

J'imagine ce que doit ressentir mon gars derrière la paroi ! Le rideau de ma cabine était bien sur mal fermé.

Un gars qui attend sa copine profite lui aussi du spectacle !

Je referme vite le rideau car je ne veux pas que l'on vienne maintenant m'accuser d'exhibitionnisme !

Bon, il faut quand même que je continue mon essayage. J'enfile la première robe, sans rien dessous et je ressors.

Il y a un peu moins de monde que tout à l'heure. Mon voyeur sort lui aussi pour se regarder dans la glace. Je fais semblant de ne pas le voir et, reculant vers lui, je le bouscule en arrière.

Pensant que je vais tomber, il m'att la taille et l'épaule !

- Oh, pardon, lui dis-je.

La robe étant très légère, le loustic a du apprécier sous ses doigts toutes mes formes car il en a profité pour me peloter un peu partout ! Il me répond par un :

- Ça ne fait rien.

Tout troublé puis regagne sa cabine. J'y retourne également et me remets nue.
Me mettant bien devant le truc noir sous la cloison, je commence par m'écarter mes lèvres avec ma main gauche tandis que mon majeur droit titille mon clitoris tendrement.

Sa turgescence est rapide et mon souffle s'accélère. Je m'imagine mon voyeur derrière le mur, en train lui aussi de se caresser ou à faire je ne sais quoi et mes halètements se transforment en gémissements.

A côté, cela semble aussi s'agiter.

Ma main saisit ma belle touffe pubienne et lui fait exécuter un mouvement vertical. Cela a pour effet d'enserrer mon clito qui se voit caresser sur toute sa surface érectile.

Le plaisir va bientôt exploser.

J'abandonne mon pubis pour me pénétrer deux doigts dans mon sexe tout mouillé de ma liqueur féline.

Des ondes prennent naissance au plus profond de moi, se propagent dans tout mon corps et je râle de plaisir au moment du séisme orgasmique.

Quelques instants passés, alors que mon corps n'est pas tout à fait revenu à lui, j'entends le rideau d'à côté se tirer.

Oh non, mon voyeur ne s'est quand même pas enfui ? Et mes photos que je voulais avoir ?